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Things are in their place, all kept in a row. - Min-Ji Bang | Min-Ji Bang Lupy | Image du profil : ϟ Œuvre : Original Character
ϟ Parchemins : 155
ϟ Gallions : 143
ϟ Âge (RP) : 17 ans
ϟ Maison : Lupy
ϟ Année scolaire : 7ème année
ϟ Baguette : Bois d'acacia et coeur en épines de monstre du Fleuve Blanc, 31 cm, fine et très rigide
ϟ Malle : Oppotion
ϟ Autres comptes : Lélio Murphy - Nazar A. Petrov - Firmin A. Dubois - Neil A. Josten |
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ϟ Autres comptes : Lélio Murphy - Nazar A. Petrov - Firmin A. Dubois - Neil A. Josten | Sujet: Things are in their place, all kept in a row. - Min-Ji Bang Lun 1 Juil 2024 - 1:51 Min-Ji Bang
OC | | Identité | Bang Min-Ji 17 ans Américaine Anglais, Coréen, Japonais 13 janvier 2007 à San Francisco (États-Unis) Yeux marrons, cheveux noirs et raides. 1m54 & 51 kg |
Who am I...? Min-Ji est une sorcière sang-mêlée appartenant à la maison lupy et en 7ème année. Elle est inscrite aux options Alchimie et Étude des Runes. Elle ne possède aucun don. Elle n'occupe aucun poste.
Sa baguette est faite d’Acacia, avec un cœur en épines de monstre du Fleuve Blanc, d'une longueur de 31cm, fine et très rigide. Son animal de compagnie est Hellébore, une couleuvre à nez retroussé.
Son patronus est un Cygne chanteur. L'odeur de son Amortentia est composé de poulet frit, de thé noir au jasmin et de lavande. Son reflet dans le miroir du Riséd est elle qui donne une conférence devant toute une foule de scientifiques, dont sa mère fait partie. Son Épouvantard prend la forme de sa mère la regardant avec déception.
Elle a sa mère, Hye-Jin Bang présentes à Ilukaan. Sa matière favorite est Potions et la matière qu'elle aime le moins est l’Astronomie. Derrière l'écran Pseudo & pronoms : Lu (il) Souhaites-tu être parrainé·e ? NonAvatar : OC de @khudeejuhCode du règlement : [MP au staff]Comment as-tu trouvé le forum ? Je suis là depuis le jour 1 du forum.Un petit mot ? Adieu les vieux persos, bonjour les nouveaux ! headcanons Quand la pression se fait trop forte pour toi, Min-Ji, tu fais le grand ménage de printemps dans ton dortoir. Tu jettes tout ce qui ne t’apporte pas de joie, que ce soit tes affaires ou celles de tes colocataires. Elles n’avaient qu’à pas les laisser traîner. • Quand tu as envie de pleurer, tu t’autorises à le faire mais seulement si tu es seule et uniquement pendant 5 minutes. Tu mets même une alarme et tu te remets instantanément au travail quand elle sonne. C’est la base si on veut correctement gérer son temps. • La première chose que tu fais le matin au réveil, c’est de regarder ton agenda pour voir ton programme de la journée et relire la to-do list que tu as rédigée la veille. • Tu n’iras d’ailleurs pas te coucher tant que les éléments de cette to-do list ne seront pas tous barrés et tu rédiges chaque soir ta to-do list à faire pour le lendemain. • Tu ne sors jamais de ta chambre sans maquillage, il est hors de question de montrer la moindre imperfection à tes camarades. • Tu n’utilises que des cosmétiques de la marque de ta mère. • Quand quelque chose ou quelqu'un te contrarie, tu serres les poings pour essayer de ne pas montrer ton agacement. Tes ongles longs ne sont pas très compatibles avec cette manie, laissant des marques sur les paumes de tes mains.• Tu bois plus de café que de tout autre liquide. • Tu fais de la danse, c’est important pour toi d’avoir un esprit sain dans un corps sain. • Tu as dû mal à faire des fiches de révision, parce que pour toi chaque détail est capital et tu aimerais pouvoir tout retenir. • Tu stabilotes à outrance tes cours. • Le mot échec ne fait pas partie de ton vocabulaire, tu préfères ne pas essayer plutôt que de te planter.• Tu n’as pas peur d’écraser les autres pour réussir. • Hellébore est ton confident, il est le seul à pouvoir assister à tes crises de larmes. • Tu as un cœur d’artichaut, mais tu le caches du mieux que tu peux derrière une façade froide. Il ne faut pas que tu montres aux autres ta vulnérabilité. • Tu es passionnée par la toxicologie. • Ta couleur préférée est le lavande. • Tu dors avec une charlotte en soie pour ne pas abîmer tes cheveux. • Tu tombes souvent malade, dès qu’un virus traîne tu l’attrapes instantanément. • Tu détestes l’odeur du tabac. • Quand quelqu'un n’est pas d’accord avec toi et que tu sais que tes arguments sont ceux de la raison, il peut t’arriver de faire des PowerPoint pour prouver à la personne qu’elle a tort. • Tu es Capricorne ascendant Verseau. «Not a brand new thing that a queendom doesn't need a king.» «If looks could kill you'd be a criminal.» — Touched by an Angel de Boys World On t’entendait arriver avant de te voir, Min-Ji, la plupart du temps. Tu avais toujours le pas pressé, parce que chaque trajet était une perte de temps à tes yeux. Ta marche vive et ton pas assuré faisaient claquer tes talons sur le sol à chaque fois que tu traversais un couloir, le tout agrémenté de “Pardon” agacés quand un élève se trouvait au milieu de ton chemin. Tu serais sûrement plus discrète si tu portais des chaussures plates, mais tu préférais l’élégance des souliers à talons. Puis surtout, tu étais petite Min-Ji, comme ta mère. Les chiens ne font pas des chats. Tu espérais grandir encore un peu, mais tu ne te faisais pas d’illusion, ta mère ne dépassait pas le mètre soixante et tu arrivais sur la fin de ta puberté. Ça serait déjà un miracle si tu réussissais à la rattraper. Tu avais aussi espéré que l’adolescence épaississe un peu ta carrure pour te donner des formes plus féminines, mais elle avait plutôt décidé que tu resterais une brindille pour ton plus grand malheur.
Mais pour en revenir à ce que tu tenais de ta mère, il n’y avait pas que ta taille. Tu avais aussi le même nez retroussé qu’elle, les mêmes traits fins du visage… Et la même longue chevelure noire aussi, qui arrivait au milieu de ton dos. Ils avaient la même couleur, la même épaisseur et le même volume, mais les siens étaient ondulés alors que les tiens étaient lisses. Cette différence venait de ton géniteur, comme une petite erreur qu’il avait laissé dans le but de ne pas faire de toi la copie conforme de Hye-Jin. Un autre de ces défauts particulièrement visible était les taches de rousseur qui constellaient la peau pâle de ton visage. On pouvait citer tes yeux aussi, dont la couleur marron divergeait encore de celle de ta mère. Cela ne t’empêchait pourtant pas de lancer les même regards noirs qu’elle ou les mêmes regards fatigués quand tu tombais sur un interlocuteur vraiment stupide.
Finalement, quand on y prêtait attention, tu avais surtout pris d’elle certaines expressions et quelques manies. Vous fronciez les sourcils de la même manière quand vous étiez agacées, vous aviez la même posture droite et fière peu importe la situation. Elle te semblait presque faite de glace, alors inconsciemment tu essayais de rester froide et sérieuse toi aussi. C’était d’elle que venait ton habitude de t’hydrater régulièrement les mains, pour ne pas qu’elles finissent abîmées par les préparations de potions à répétition. Les mains étaient une vraie mine d’or d’informations quand on rencontrait une nouvelle personne. Étaient-elles abîmées, signe d’un travail manuel ? Les ongles étaient-ils rongés, montrant l’angoisse de leur propriétaire ? Tes mains à toi en tout cas, tu faisais tout pour qu'elles soient parfaites. Tu avais des doigts fins, ornés d’une manucure impeccable. Tu voulais qu’on voit au premier regard que tu étais soignée. Le diable se cachait dans les détails, tu le savais bien.
En tout cas, ta mère était aussi responsable de ta routine de soins de la peau et de maquillage, vu que tu la calquais sur la sienne et que tu utilisais les produits de sa marque. Tu maquillais un peu plus ta bouche qu’elle, par contre. Tu avais l’impression que porter un rouge à lèvres voyant focalisait l’attention des gens sur tes lèvres, et donc qu’ils t’écoutaient un peu plus consciencieusement. Tu détestais devoir te répéter. Puis cela te donnait un air plus adulte aussi, tu avais 17 ans, tu n’aimais pas qu’on te prenne pour une enfant. Ton envie d’être une femme et plus une petite fille se voyait aussi dans ton style vestimentaire. Tu devais être élégante et féminine, sans pour autant paraître frivole. Adieu les t-shirts à motifs colorés et autres vêtements trop gamins à ton goût. Tu préférais les colliers de perles, les chemisiers, les jupes et les robes un peu chics. Il t’arrivait rarement de mettre des pantalons, mais jamais des jeans. Tes jambes étaient pour toi un atout de séduction, tu ne comptais pas les cacher. Il fallait dire que ta mère t’avait élevée à la coréenne et ça se voyait dans tes tenues. Les mini-jupes ne te faisaient pas peur mais il était hors de question que tu portes le moindre décolleté.
Toujours est-il que tu contrôlais ton apparence en tout circonstances, Min-Ji. Elle était pour toi une fierté, une armure et un signe de ta perfection. Tu ne sortais jamais de ton dortoir sans être parfaitement maquillée et apprêtée. L’acné que tu avais eu au début de ton adolescence n’avait pas laissé de cicatrices, dieu merci, mais elle restait pour toi un épisode assez traumatisant. Comme si ton corps avait décidé de te trahir et de faire ressortir ton imperfection par tous les pores de ta peau. C’était pour cela que tu traquais toujours actuellement la moindre trace de boutons, de peur que le cauchemar recommence. Parce que tu suais sang et eau, Min-Ji, pour entretenir ce masque de perfection, alors tu étais terrifiée à l’idée qu’il tombe en morceaux. On n’atteint pas la perfection en un jour, Min-Ji, tu le savais très bien, c’était pour cela que tu y consacrais chaque heure de ton existence. Beaucoup pourraient penser qu’elle est inatteignable, que c’est un but irréalisable, mais c’était parce qu’ils ne connaissaient pas ta mère. Elle était ton but à atteindre, tu devais au moins l’égaler, voir même la dépasser pour qu’elle soit fière de toi. Elle avait réussi dans tous les aspects de sa vie. Elle était belle et intelligente, en plus d’être une chercheuse de renom. Elle était à la tête d’une entreprise florissante qui arrivait à lutter contre le temps qui passe tout en élevant une enfant toute seule… Alors il fallait que tu travailles plus, encore et toujours, pour égaler ta mère. Tu n’étais pas aussi brillante qu’elle, mais avec des efforts acharnés, tu finirais par y arriver. Tu n’étais pourtant pas bête, Min-Ji, tu étais même dans le haut du panier si on se fiait à tes notes. Mais ce n’était pas assez, c’était l’excellence que tu visais.
Tu t’obstinais à tout contrôler, à ce que tout soit parfait. Tu aimais le travail bien fait, mais surtout fait selon tes critères. Et rendu dans les temps aussi, la ponctualité était une règle de base pour toi. Mais il n’y avait pas que dans ton travail que tu étais méthodique et organisée, tous les autres aspects de ta vie subissaient le même traitement pour que tu puisses tout maîtriser. Tu détestais les imprévus, il fallait que tout se passe comme tu l’avais décidé au préalable. Montrer des faiblesses, ça t’empêcherait d’être la meilleure. Les autres se serviraient de la moindre de tes vulnérabilités contre toi, tu le savais car tu ferais exactement la même chose si c'était pour briller. On ne peut atteindre les sommets qu’en se servant des autres comme marchepied, c’est bien connu.
Dans la vie, il fallait savoir prendre des autres ce dont on a besoin pour s’élever soi-même. Tu ne cherchais pas spécialement à leur faire du mal, mais si tu pouvais tirer quelque chose d’eux ou s’ils te barraient la route, tu n’hésiterais pas. Cela te donnait un air hautain, vu que tu évaluais les gens pour savoir ce qu’ils pouvaient t’apporter avant de décider si oui ou non ils étaient dignes de ton attention. Tu n’avais pas de temps à perdre avec des idiots. Idiots qui n’étaient pour la plupart même pas capables de faire les bons choix pour eux-mêmes, alors il t’arrivait souvent de les faire à leur place, avec autorité. Tu avais toujours raison de toute façon, non ? Alors autant qu’ils te laissent faire, ça ferait gagner du temps à tout le monde. Et ton temps à toi était précieux, Min-Ji.
C’est pour cela que tu essayais de tout compartimenter, de tout chronométrer, pour ne pas soudainement te laisser submerger. Parce que derrière ta carapace froide et rigide, derrière la jeune fille élégante et confiante, se cachait un être beaucoup trop sensible. Un cœur qui pouvait facilement être blessé, qui s’attachait vite et qui tombait bien trop souvent amoureux. Des émotions beaucoup trop fortes pour que tu réussisses à les gérer, alors tu avais décidé de tout enfermer au fond de toi et de jeter la clef. Tu ne t’écoutais pas, Min-Ji, tu bombardais ton cerveau d’informations pour qu’il ait toujours quelque chose sur lequel réfléchir et qu’il ne pense jamais à toi. Comme si ta soif de curiosité, si tu l’épanchais, pouvait faire taire ton anxiété et tes doutes.
Ce n’était pas être parfaite que d’avoir envie d’abandonner au moindre petit inconvénient qui se mettait sur ton chemin. Avoir envie de t’effondrer sur le sol et de pleurer toutes les larmes de ton corps au moindre pépin était aussi loin de la perfection. Tu aurais pu être la reine du drame, Min-Ji, si tu laissais un peu plus ton cœur s’exprimer. Mais tu préférais écarter les autres de ta vie pour ne pas leur montrer cette facette de toi. Tu avais pourtant désespérément besoin de compagnie, mais tu préférais la solitude au risque d’être blessée ou de tout gâcher. Tu ne supportais pas les échecs Min-Ji, et la sphère sociale était le sujet que tu maitrisais le moins, alors tu préférais ne pas tenter pour ne pas rater. Réseauter, c’était dans tes cordes, mais quand il fallait tisser un vrai lien il n’y avait plus personne. Tu jalousais la simplicité avec laquelle les gens arrivaient à se créer des groupes de potes et à aller vers les autres. En fait, tu enviais tout ce que les autres savaient faire et pas toi, Min-Ji. Tu devais faire mieux qu’eux, réussir, rendre fière ta mère… Tu devais atteindre la perfection. « But my equation's me plus me instead of me plus you.» — Wingman de Boys World La plupart des embryons passent les premiers mois de leur existence dans le ventre de leur mère, entourés par leur chaleur et protégés par leur amour inconditionnel. Mais ce ne fut pas ton cas, Min-Ji, c’est dans un chaudron que tu as grandi, en attendant de naître et tu ne t’es jamais éloigné des ateliers de potions depuis. Ta mère est connue dans l’entièreté du monde magique pour sa marque de cosmétique Kumiho. Elle faisait une thèse en cosmétologie magique sur le vieillissement et a trouvé pendant ses études une formule révolutionnaire qu’elle s’est empressée de breveter. Elle a monté une entreprise florissante et de fil en aiguille, elle s’est retrouvée à la tête d’un empire centré sur la jeunesse éternelle. C’est à ce moment-là qu’elle a décidé de t’avoir, Min-Ji, pour perpétuer son œuvre, pour que tout ce qu’elle a construit lui survive. Une envie de maternité subite, dans le but d’avoir une mini-elle dont elle serait fière. Mais Hye-Jin ne faisait pas les choses n’importe comment, elle voulait que son enfant soit parfait. Elle n’avait pas besoin d’un homme dans sa vie, elle ne souhaitait pas s’en encombrer et elle ne voulait pas prendre le premier venu pour créer sa plus belle œuvre. Alors elle éplucha ses contacts, cherchant dans ses connaissances quelqu’un d’aussi brillant qu’elle, d’aussi beau, avec des antécédents familiaux impeccables et qui accepterait de lui donner du matériel génétique avant de sortir définitivement de sa vie. Une fois la perle rare trouvée, elle fit le choix de te faire grandir dans un chaudron plutôt que dans son ventre. Elle ne voulait pas déformer son corps et gâcher sa beauté. Mais elle n’était jamais loin de toi, vu qu’elle passait son temps dans son atelier, là où tu grandissais.
Tu sortis le nez de ton chaudron début janvier 2007, mais ce n’est pas pour autant que tu quittas l’atelier de potions. Ta mère ne voulait pas te lâcher, mais elle ne voulait pas non plus délaisser son travail. D’abord dans un porte-bébé, puis accroché à sa jambe, tu grandissais entourée de chaudrons bouillonnant et d’effluves de potions. Tu appris rapidement à lire, intriguée par les énormes ouvrages qui avaient l’air de la passionner. En voyant la fierté dans ses yeux lorsque tu réussis à lire ta première phrase, tu voulus instantanément faire mieux pour que ce regard ne disparaisse jamais. Tu appris à faire ta première potion avant même de connaître tes tables de multiplication. Certaines mères apprennent à leurs enfants à cuisiner des gâteaux avec elles le dimanche après-midi, mais toi, Hye-Jin préféra t’apprendre comment couper correctement une racine de mandragore ou les propriétés de la bave de crapaud. Étais-tu naturellement douée en potions ou ton talent vient-il du fait que tu aies grandi dans un atelier ? Tu ne le sauras sûrement jamais.
Vers tes six ans, ta mère voulut te scolariser dans une école primaire magique pour que tu évolues au milieu d’autres enfants et qu’elle puisse avoir plus de temps pour s’occuper de son entreprise. Ce fut une véritable catastrophe. Tu ne supportas pas la séparation, passer huit heures sans elle te semblait insupportable. Ce fut tes premières grosses crises de larmes et tes premiers caprices. Tu ne voulais pas aller à l’école. Puis quand tu y étais, tu t’y ennuyais à mourir. Les cours étaient trop simples, les autres élèves trop bêtes, tu ne t’entendais pas avec eux… Cela te semblait être une horrible perte de temps. Rapidement, tes compétences se mirent à stagner car l’école te prenait un temps monstre qui aurait pu te servir à apprendre des choses que tu ne savais pas déjà. Ta mère le remarqua assez vite, décida de te retirer de l’école et fit venir des précepteurs à la maison pour les matières qu’elle n’avait pas l’envie de t’enseigner elle-même. À moins que ce ne soit les crises de larmes, les difficultés à t’endormir, la perte d’appétit et le manque de joie de vivre qui lui ait fait comprendre que l’école, ce n’était vraiment pas pour toi. Mais c’est à cette époque qu’elle commença à ne plus t’emmener partout avec elle, pour couper le cordon. Avant, tu venais avec elle quand elle réseautait, quand elle était en réunion, quand elle donnait des conférences… Enfin, tu l’accompagnais toujours quand elle ne trouvait personne pour te garder, mais c’était plus anecdotique. Tu adorais ces moments pourtant, surtout les conférences. Tu voyais ta mère distiller son savoir et une foule de gens l’admirer, l’applaudir même, ou lui poser des questions. Mais personne n’était plus en adoration que toi devant le génie de ta mère. Tu voulais être aussi brillante plus tard. Tu voulais que la foule se masse pour écouter tes futures grandes découvertes, et tu voulais que ta mère te regarde comme tu la regardais à chacune de ses conférences.
Ta première manifestation magique arriva peu de temps après ton arrêt de l’école. Elle n’était pas spectaculaire, Min-Ji, elle était pratique. Tu t'entrainais à faire une potion qui ne demandait pas de sorts pour être réalisée, sous la supervision de ta mère. Tu avais mal géré ton temps, tes deux mains étaient occupées à écraser les œufs de grenouille alors que ta potion demandait à être remuée pour ne pas brûler. D’instinct, tu avais levé ta tête vers le chaudron, regardant fixement la cuillère avant de faire un signe de tête pour lui indiquer dans quel sens touiller la mixture. Et la cuillère obéit, alors tu te remis au reste de la recette comme si de rien n’était. Tu ne t'étais même pas rendu compte de ce qu’il venait de se passer tellement c’était naturel à tes yeux. Combien de fois avais-tu vu ta mère utiliser la magie pour remuer ses potions ? Tu ne les comptais même plus.
Ta mère aborda rapidement un sujet qui fâche après ta première manifestation magique, l’école. Certes, tu n’étais pas obligée d’aller en primaire avec d’autres sorciers, mais à partir de tes onze ans, tu allais devoir poursuivre une scolarité dans l’une des grandes écoles de magie. Ilvermorny ou Ilukaan dans ton cas, vu que tu étais née aux États-Unis. Elle te prépara très tôt à cette idée, car contrairement à la primaire tu n’aurais pas la possibilité de rentrer si ça se passait mal. Elle étudia avec toi les deux écoles, les cours qu’elles proposaient, les grands sorciers qui en étaient sortis diplômés, les enseignants… Tu devais faire le bon choix du premier coup, car tu n’aurais pas la chance de changer plus tard, tu allais devoir passer au moins 7 ans dans l’établissement que tu choisirais. Le choix final fut fait bien avant la rentrée de tes onze ans. Ilukaan étant une école internationale, des professeurs de renom s’y trouvaient. Puis tu avais aussi moins de chance de te faire embêter par les autres élèves à cause de tes origines vu qu’ils venaient tous du monde entier.
Tu continuas d’ailleurs de te documenter sur l’école même après ton choix fait, pour essayer de te sentir plus familière avec elle. Tu ne voulais pas débarquer en terrain inconnu et prendre le risque de gâcher ta première année à cause de la peur et des crises de larmes. Tu n’avais pas le temps de chouiner, tu avais des Optimal à obtenir si tu voulais rendre ta mère fière en lui montrant tes devoirs à chaque vacances. La rentrée fut quand même difficile pour toi, ce fut énormément de changements d’un coup. Tu perdais le calme de la vie avec ta mère, des après-midis dans son atelier, pour être propulsée dans une école immense grouillante d’élèves. Rapidement, la bibliothèque fut ton refuge. Beaucoup plus calme que le reste de l’école, elle débordait de connaissances que tu n’avais pas chez toi, sur des domaines qui n’intéressaient pas ta mère. Puis avec la rentrée, le début des cours et la rencontre avec les autres élèves, tu te rendis rapidement compte que tu n’étais pas aussi exceptionnelle que tu pensais l’être. Certes, il y avait toujours des matières où tu avais une longueur d’avance mais… Certains des autres élèves étaient très bons, aussi bons que toi. Bon, il y avait des gens bêtes aussi, mais à ceux-là, tu n’accordais même pas un regard. Tu n’en avais pas le temps de toute façon, vu qu’il fallait que tu travailles pour prendre ou conserver des longueurs d’avance sur les autres graines de génie.
Ta scolarité fut une ligne droite, une fois que tu fus habituée à l’école, aucun pépin ne se mit au travers de ton chemin. Tu avais peu d’amis, les élèves de ta maison étaient bruyants, mais ça ne t’empêchait pas de faire de ton mieux pour être une élève excellente. Tu aurais pu être la meilleure de ta promotion, si dans ton année la concurrence n’était pas terriblement rude, mais tu touchais la perfection du bout des doigts. C’était ton but à atteindre. Les BUSES furent une promenade de santé pour toi, tu avais eu des notes excellentes même si le stress d’avant l’examen avait failli te provoquer un malaise. Et maintenant, en septembre, tu allais attaquer ta septième année, une année décisive pour le reste de ton existence. Tu allais passer tes ASPICS et devoir choisir un cursus, tu n’avais pas le droit à l’erreur. Tu ne sais pas si c’était une coïncidence ou un coup calculé de la part de ta mère, mais c’est aussi pour cette rentrée cruciale que Hye-Jin postula à Ilukaan pour devenir professeur de potions. Elle t’avait confié vouloir enseigner, une fois que son entreprise tournerait bien, parce que la recherche et la transmission de savoir étaient quand même ses premières passions. Mais tu ne t’attendais pas à ce que ça soit cette année, dans l’école où tu faisais tes études. Tu ne savais pas si cette nouvelle devait te réjouir ou t’affoler. Tu étais heureuse d’avoir ta mère à l’école, de pouvoir être aussi proche d’elle qu’avant ton entrée à Ilukaan. Mais tu avais aussi peur de ne pas être à la hauteur, de la décevoir, qu’elle se rende compte que tu n’étais pas aussi excellente que tu devrais l’être. Tu avais peur qu’en rencontrant certains de tes camarades, elle les préfère à toi, il y avait plein d’élèves doués à Ilukaan, plein d’élèves qui avaient sûrement moins besoin de travailler que toi pour être bon. Tu allais devoir être encore meilleure cette année. (c) Ilukaan | | Mithrun of Kerensil Personnel | Image du profil : ϟ Œuvre : Dungeon Meshi
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| Sujet: Re: Things are in their place, all kept in a row. - Min-Ji Bang Lun 1 Juil 2024 - 2:23 Min-Jiiiiiiiiiiiiiiiiiii! La voilà! Hâte de rp avec elle! Bon courage pour la fin de ta fiche | | Mateus de la Cruz Cervirald | Image du profil : ϟ Œuvre : OC
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| Sujet: Re: Things are in their place, all kept in a row. - Min-Ji Bang Lun 1 Juil 2024 - 17:20 Ma némésis....... tu n'auras jamais mon club de danse NI ma place sur le devant de la scène !!
(rebienvenue j'aime Min-Ji et Mateus aussi) | | Allen Walker Cervirald | Image du profil : ϟ Œuvre : D Gray Man
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| Sujet: Re: Things are in their place, all kept in a row. - Min-Ji Bang Mer 3 Juil 2024 - 19:38 Re bienvenueeeee! | | Min-Ji Bang Lupy | Image du profil : ϟ Œuvre : Original Character
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ϟ Don : Être plus fab que toi
ϟ Baguette : Vigne, coeur en plume d'oiseau tonnerre, 30,45 centimètres. Avec un joli strap dessus.
| Sujet: Re: Things are in their place, all kept in a row. - Min-Ji Bang Sam 6 Juil 2024 - 12:21 Rebienvenue avec ce nouveau perso !! Trouvons des amis à cette brave petite... (tu n'as pas le choix) Amuse-toi bien ! Validation Bienvenue chez les Lupy Accompagnée par d'autres nouveaux élèves, tu es appelée par le directeur à t'avancer au centre du Dôme. Scrutée par les élèves et étudiants, tu regardes alors ton reflet dans la fontaine qui va décider de ton sort. D'abord voyant ta sale tête dans l'eau, tu remarques que le reflet semble se changer peu à peu jusqu'à prendre la forme d'un loup. Tu es d'autant plus surpris quand l'animal commence à pousser un cri dans toute la salle. Tout le monde se met soudainement à t'applaudir, tandis que le directeur s'approche de toi avec un rubis brut qu'il met autour de ton cou. "Bienvenue à Lupy !" ⇢ Te voilà validé, tu peux désormais poster dans tous les recoins du forum, RP-Post ainsi que RPCB. ⇢ N'hésite pas à voir la chambre qui t'a été attribuée. ⇢ Si ton personnage est en cursus universitaire, il peut postuler pour avoir un job d'étudiant. ⇢ Crée dès maintenant un topic pour récapituler les relations de ton personnage. Tu peux également acquérir un portable ou bien créer un blog. ⇢ N'hésite pas à faire une demande de RP pour trouver un partenaire d'écriture ! ⇢ Enfin, amuse-toi bien sur le forum, n'hésite pas à en parler autour de toi et à voter régulièrement aux TS ! | | | | Sujet: Re: Things are in their place, all kept in a row. - Min-Ji Bang
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