ILUKAAN est un forum MULTIFANDOM dans l'univers d'Harry Potter. Ilukaan est une école de magie internationale se situant en Nouvelle-Écosse au Canada. L'histoire se déroule en 2024, mélangeant magie et technologie. Vous pouvez jouer des personnages de manga/anime, jeux vidéos, films d'animation, dessins animés, romans jeunesse ou encore un OC. L'intrigue se fait à la fois en RPCB et RP-POST.
3211 pts
575 pts
2683 pts
1396 pts
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.
La vie est une cerise, la mort est un noyau, l'amour un cerisier [Eülin Ayam]
Invité
Invité
Sujet: La vie est une cerise, la mort est un noyau, l'amour un cerisier [Eülin Ayam] Jeu 26 Aoû 2021 - 20:07
Eülin Ayam
OC/Suda Ayaka
Identité
Ayam Eülin ('Lin) 30 ans Française Français, anglais, russe, mermish, LSF, bases de latin, de gobelbabil, d'ASL et de japonais 13 novembre 1990 Yeux verts, cheveux châtains 1 mètre 70, 65 kilos
Who am I...?
Eülin est une sorcière de sang mêlé. Elle possède le don de sang de vélane. Elle occupe le poste de professeur d'Artisanat.
Sa baguette est faite de bois de pommier, avec un cœur en crin de sombral, d'une longueur de 25 cm, souple et fine. Son animal de compagnie est Lily, un chat de gouttière toute noire aux yeux verts, qu'elle a trouvée devant chez elle. Elle l'a adoptée sans se poser davantage de questions. Son patronus est une chouette effraie. L'odeur de son Amortentia est composé de chocolat chaud, d'iode et de violette. Son reflet dans le miroir du Riséd est entouré de ses proches et de ses élèves, le menton de sa femme posé sur son épaule alors qu'elle lui entoure la taille de ses bras. Son Épouvantard prend la forme d' une forêt menaçante, aux arbres immenses dont tombent des branches énormes, alors que des hurlements envahissent ses oreilles.. Elle n'a pas de famille présente à Ilukaan.
Derrière l'écran Pseudo & pronoms : Ysael (elle)Souhaites-tu être parrainé·e ? Non Avatar : OC - Suda AyakaCode du règlement : [MP au staff]Comment as-tu trouvé le forum ? montre ce cher Aizawa en souriantUn petit mot ? Nya ?
headcanons
Elle adore les chats mais craint les chiens depuis qu'elle est toute petite • Ses bras sont couverts de taches de rousseurs qui apparaissent en été • Elle a toujours un léger accent français quand elle parle dans d'autres langues • Ses fleurs préférées sont les primevères, les violettes et le chèvrefeuille • Elle s'est amusée à apprendre le langage des fleurs vers ses 10 ans • Elle porte toujours le pendentif offert par sa femme autour du cou • Elle est très friande de littérature moldue, et a une licence dans ce domaine en France • C'est une fan de Kaamelott • Elle préfère écrire à la main plutôt qu'à l'ordinateur • Lors de coups de blues, elle se regarde un film de Dreamworks de son enfance • Elle déteste la réglisse • Elle écrit et dessine sur son temps libre • Elle s'amuse à apprendre des insultes dans toutes les langues possibles et imaginables • C'est sa mère qui lui a appris le mermish • Elle a appris le karaté dès ses six ans, poussée par son père, et est ceinture noire dans cette discipline • Elle n'a pas un bon équilibre et est incapable de tenir plus de dix minutes sur une planche à voile • Elle ne se met pas facilement en colère, mais quand elle explose, il vaut mieux fuir loin
« Can you hold me ? »
« Pourquoi me questionner Je suis là pour vous plaire...»
Des yeux verts, une peau pâle adepte des coups de soleil, des cheveux châtains qui s'éclaircissent en été et se parent de reflets roux au moindre de tes pas... Tu es une belle femme Eülin, avec ta beauté qui tient plus du celte que du romain. La faute sans doute aux origines bretonnes de ta mère et normandes de ton père, sans compter le sang de vélane qui coule dans tes veines. Avec de tels gènes, tu pouvais difficilement te retrouver avec autre chose qu'une peau de rouquine et une beauté hypnotisante. Tes veines se dessinent en des tracés bleus pâles sur tes poignets, tes paupières, tes omoplates. Ta silhouette est agréableà regarder, avec assez de formes pour appâter les regards. Tu t'en passerais pourtant bien la plupart du temps, et malgré ton habillement très neutre, tu ne peux empêcher les regards de se tourner invariablement vers toi.
Tes mains sont les premières à montrer ton métier. Elles sont abîmées, couvertes de fines cicatrices et de quelques traces de brûlures. Ta poigne est ferme et franche, autant que ton sourire étire tes lèvres en une expression constamment joyeuse, voire malicieuse. Sourire qui se fige lorsque l'on parle de la cicatrice pointant sur ta nuque, avant que tu ne changes de sujet, cachant la marque en plaisantant.
La colère est effrayante sur toi Eülin. Ton sourire disparait, et tes yeux verts, d'ordinaire si pétillants, se chargent de glace et de venin, rendant leur éclat metallique d'autant plus menaçant. Tes muscles se tendent, ta mâchoire se crispe, et ta langue maternelle roule sur ta langue comme une promesse de malédiction. Tu n'as pour l'instant jamais eu besoin de te servir de tes pieds ou de tes poings, mais ces derniers sont prêts à sévir. Tu te contrefiches de ressembler à une furie dans ces moments-là tant tu te laisses contrôler par ta rage. Seuls les bras de ta femme venus enlacés ta taille peuvent t'arrêter. Et en ces instants, ton corps se détend immédiatement et tu te laisses aller contre elle, non sans grommeler des insanités pour prouver que si, tu es toujours fâchée.
Mais il vaut sans doute mieux te voir en colère que te voir t'effondrer. Que de voir ta peau déjà pâle devenir cadavérique, de voir tes yeux se remplir de larme et se ternir, et de t'entendre hurler avec un tel désespoir que l'on croirait se faire percer le coeur d'un poignard. Ta douleur, elle se lit sur ton visage comme sur un livre ouvert, et aucun sourire ne pourra y changer quoi que ce soit.Tu es trop expressive pourton bien Eülin, et peu importe les années qui passeront, tu ne pourras jamais changer cet état de fait.
Ton sourire illumine tes traits Eülin, comme toujours lorsque tu te trouves avec tes élèves, tes collègues ou ta femme. Tu sembles si joyeuse, toujours prévenante, toujours prête à aider les autres. Ton affection, tu la donnes par des petits cadeaux, des encouragements, voire des câlins si la personne en face n'est pas contre l'idée de t'avoir contre elle. Tu ne te rends pas compte que c'est une manière pour toi de ne pas souffrir. Car ta sensibilité à fleur de peau, ton empathie, ne te laisse aucun répit. Tu sais lorsque quelqu'un va mal, tu ressents sa douleur comme si c'était toi qui souffrais. Alors, de manière consciente, tu caches ta tristesse, ta mélancolie, lorsque ces dernières s'invitent dans ta tête les mauvais jours. Tu ne veux déranger personne, et après tout, pourquoi les inquiéter quand ces états ne sont que passagers ? Tu te plonges dans ton travail pour échapper à tes pensées, les mouvements de tes mains amenant rapidement le silence dans ta tête où ne cessent de rebondir chansons et murmures d'univers en construction. Et tu repousses, encore et encore, ces sentiments qui s'écharpent dans ta gorge et ta poitrine, jusqu'au moment où tout explose, le plus souvent en pleine nuit, dans des cauchemars sanglants qui te réveillent dans un hurlement de pure terreur.
Tes larmes, tu ne les montres qu'à celle qui partage ta vie, et que tu aimes désespéremment. Car tu l'aimes Anya, et tu la laisses te prendre dans ses bras et te bercer jusqu'à ce que tu te rendormes, appaisée. Elle est la seule à pouvoir calmer tes angoisses, et arrêter tes colères. Combien de fois t'a-t-elle empêchée de partir trop loin ? Combien de fois a-t-elle arrêtée ta baguette alors que tu t'apprêtais à donner une leçon cuisante à celui qui avait osé te faire sortir de tes gonds ? Tu ne sais plus. Tu t'es déjà disputée avec elle, violemment même. Mais ça n'avait rien changé à votre relation, la rendant juste plus solide alors que vous vous réconciliez d'un baiser.
Si tu es devenue professeur, c'est parce que tu aimes les enfants. L'instinct de la grande soeur sans doute, plus le fait que tu es d'une patience d'ange. Tu aimes leur enseigner les arts de l'artisanat, le calme que peuvent apporter les activités manuelles, la satisfaction de voir quelque chose naître entre ses doigts par la seule force de sa volonté et de ses efforts. Cela ne t'empêche pas d'être sévère, bien sûr, d'autant que tu es intraitable sur la sécurité. Certes, tu ne peux pas empêcher certains accidents, après tout des ados restent des ados, mais tu aimerais autant que possible ne jamais avoir à envoyer des élèves à l'infirmerie. Autant dire que lorsque ça commence à un peu trop partir en sucette pour toi, tu sors ta voix autoritaire et tes yeux revolver. Curieusement, ça en calme plus d'un.
Tu ne t'intéresses pas uniquement aux sorciers ou aux moldus, mais également aux créatures peuplant votre monde. Sans doute grâce à ta mère qui t'a appris à parler le mermish, et à ton père qui était toujours fasciné par "le petit peuple" et toutes les histoires de magie que sa femme lui racontait. Ta soif de connaissances sur ce sujet semble intarrissable, et il n'est pas rare de te voir discuter avec passion de ce sujet. Sans doute te montres-tu parfois trop passionnée pour ton bien, mais cela t'importe peu. Ta curiosité reste la plus forte, reste d'enfance qui refuse de te quitter, et qui fait sourire Anya à chaque fois qu'elle te voit partir dans une discussion interminable avec quelqu'un d'autre. Ça, et ta propension à gagatiser sur tous les chats que tu croises. Elle s'est d'ailleurs contentée de soupirer quand tu as ramenée Lily à la maison.
« Et n'y puis rien changer.» — Jacques Prévert
Tu es née de l'union d'un père moldu, artiste à ses heures perdues, et d'une mère sorcière possédant du sang de vélane. Ton père n'a jamais su te raconter exactement comment ils s'étaient rencontrés, et ta mère s'est contentée de sourire, te glissant juste que c'était lui qui était venu à elle, son portrait entre les mains, pour le lui donner.
Tout ce qui est sûr, c'est qu'ils s'aimaient profondément. Tu es née un soir de tempête, de même que tes frères et soeurs des années plus tard. Tu devins l'aînée, celle qui prend soin des autres et n'hésite pas à veiller sur tout le monde quand tes parents s'accordaient une soirée en amoureux. Il faut dire qu'entre ton père qui travaillait en tant que gendarme et ta mère en tant que langue de plomb, ils n'avaient guère d'occasions de se faire se genre de sortie.
Tu allas comme tes frères et soeurs à l'école publique moldue avant d'entrer à Beaubâton. Ce fut là que tu connu tes premières discriminations. Chez les moldus parce que tu étais différente et parlais d'un monde fantaisiste, chez les sorciers parce que tes origines n'étaient guère vues avec bienveillance. Pas tant que ça pour le côté "sang mêlée", non, vous étiez très nombreux dans ce cas, mais ton héritage vélane passait beaucoup moins. Tu te plongeas dans les études pour ne plus y penser. Tu appris l'anglais et le russe ainsi, avant de t'intéresser à la langue des signes française en croisant plusieurs sorciers sourds durant ta scolarité. Certains d'entre eux furent tes premiers vrais amis, de même que ta correspondante russe, rencontrée sur le Witchnet alors encore balbutiant.
Les années passèrent tranquillement, et les harcèlements se firent moins fréquents. Tu te rapprochais de plus en plus de ta correspondante, Anya. Suffisament pour que tu supplies tes parents de t'emmener à la coupe du monde de Quiddich pour la voir. Inutile de dire que votre rencontre se déroula avec émotions. Tu lui sautas littéralement dans les bras lorsque tu la vis enfin, laissant ta joie éclater dans ton étreinte et tes larmes. Any te serra contre elle, amusée, avant que vous ne passiez l'entièreté de la soirée à discuter. Vous séparer fut difficile, et le ballet de vos lettres reprirent.
Tu quittas Beaubaton avec un très bon niveau et l'ambition de protéger les autres fermement ancrée dans ta petite caboche. Naturellement, tu devins auror, rendant tes parents fiers mais également très inquiets. Après tout, ce métier était dangereux, et tu étais encore leur bébé, celui qui avait ouvert ses yeux verts un soir de tempête dans un petit hôpital de campagne au fin fond du Finistère. Tu leur assuras que tout irais bien, et qu'il ne t'arriverait rien de grave. Et tu y crus. Jusqu'à ce soir de juin 2019 où le destin failli t'arracher à la vie. Tu ne te rappelles pas de grand chose, juste d'arbres immenses, de craquements sinistres, et d'une douleur atroce dans le dos qui s'accompagna du hurlement de ta collègue. Lorsque tu revins à toi, tu étais dans un hôpital, Anya à tes côtés, te serrant la main, un bouquet de violettes et de chèvrefeuille posé dans un vase non loin de ton lit.
Tu restas à l'hôpital un certain temps. Assez pour comprendre que tu pourrais difficilement continuer ton métier d'auror. Cette réalisation te fit paniquer. Qu'est-ce que tu allais faire maintenant ? Comment est-ce que tu pourrais aider les autres ? Pour la première fois depuis longtemps, tu te sentais inutile, et totalement dérisoire. Tu voulais aider les autres et tu n'étais même pas fichue de reprendre ton travail après un accident si stupide ? Anya vit tout ça. Elle le vit, et elle t'aida à comprendre, à travers bon nombre de disputes et de discussions, qu'il y avait d'autres moyens d'aider les gens, et que cet incident ne la rendait pas inutile pour autant. Ça prit du temps, beaucoup plus que tu n'osais l'admettre, mais elle réussit à te calmer et à effacer ce drôle de vide qui pesait sur ta poitrine.
Vous vous étiez également rapprochées. Beaucoup rapprochées. La voir te réchauffait et te faisait te sentir en sécurité, à ta place. Tu pouvais pleurer devant elle, te mettre en colère, hurler, et elle pouvait faire de même sans que vous ne vous en offusquiez. Vos mains se cherchaient et s'attrapaient lorsqu'elles étaient proches. Son odeur faisait battre ton coeur, son regard te faisait rougir... C'était beau et terrible. Alors, un soir, alors que tu lui caressais la joue, tu lui avouas tes sentiments, timidement, dans un murmure. Elle se contenta de sourire et de relever doucement ton visage. L'instant d'après, ses lèvres se posaient sur les tiennes.
Quand tu sortis enfin de l'hôpital, tu pris du temps pour faire le tour du monde avec Anya. Tu avais besoin de temps pour décider de ce que tu allais faire. Celle qui allait devenir ta femme quelques mois plus tard finit par te conseiller de devenir professeur. Après tout, tu avais l'habitude de prendre soin des gosses, et tu avais toujours envie de transmettre ton savoir aux autres. Tu ne tardas pas à avoir vent d'un poste de professeur à Ilukan. Tu postulas pour le poste d'artisanat vu que, même en étant auror, tu n'avais jamais cessé de créer des objets magiques.
Tu pris tes fonctions quelques semaines plus tard, souriante, une alliance au doigt. Il était temps de commencer une nouvelle vie.
(c) Ilukaan
Invité
Invité
Sujet: Re: La vie est une cerise, la mort est un noyau, l'amour un cerisier [Eülin Ayam] Jeu 26 Aoû 2021 - 20:22
COUCOU ET BIENVENUE (c'est Léo hihi)
Trop content que tu aies fini par nous rejoindre
Courage pour ta fiche, trop hâte de la lire et de voir quelle dame tu vas nous présenter
ϟ Baguette : Bois de Sequoia, plume de phoenix, 30cm
ϟ Cursus : Psychomagie
ϟ Malle : Potion démange
Sujet: Re: La vie est une cerise, la mort est un noyau, l'amour un cerisier [Eülin Ayam] Jeu 26 Aoû 2021 - 20:43
UNE PROF FRANCAISE ! Je me demande si elle est allé à Beaux Batons ! Goultard et Darren et d’autres prof y sont allé, peut-être qu’ils se connaissent de là bas ?
How lucky!
You must be really bored to talk to a pest like me
Sujet: Re: La vie est une cerise, la mort est un noyau, l'amour un cerisier [Eülin Ayam] Jeu 26 Aoû 2021 - 20:50
Bienvenue Une nouvelle prof, ça apporte un vent de fraîcheur ! Hâte d'en apprendre davantage sur ton personnage et bon courage pour le reste de ta fiche !
ϟ Baguette : Bois de noyer, crins de licorne – 30 centimètres – Assez rigide.
ϟ Cursus : Justice Magique
ϟ Malle : Un carnet dans lequel il note ses observations quotidiennes ▬ un casque-écouteurs moldu ▬ un kit de broderie ▬ de nombreux romans d'horreur et policiers.
ACHATS :
- Larmes d'hermaphrodite.
- Potion démange.
ϟ Baguette : Bois de noyer, crins de licorne – 30 centimètres – Assez rigide.
ϟ Cursus : Justice Magique
ϟ Malle : Un carnet dans lequel il note ses observations quotidiennes ▬ un casque-écouteurs moldu ▬ un kit de broderie ▬ de nombreux romans d'horreur et policiers.
ACHATS :
- Larmes d'hermaphrodite.
- Potion démange.
ϟ Baguette : Baguette de 26cm en bois de chêne rouge avec un poile de Wampus cat pour coeur.
ϟ Cursus : Technologie & Ingénierie magique
ϟ Malle : Larmes d'Hermaphrodite
Sujet: Re: La vie est une cerise, la mort est un noyau, l'amour un cerisier [Eülin Ayam] Jeu 26 Aoû 2021 - 21:34
Bienvenue ! Il n'y a jamais assez de personnel pour surveiller tout ce petit monde qui évolue à Ilukaan. Bonne chance pour ta fiche.
Invité
Invité
Sujet: Re: La vie est une cerise, la mort est un noyau, l'amour un cerisier [Eülin Ayam] Jeu 26 Aoû 2021 - 21:49
Ooooooooh merci à tous pour votre accueil
Invité
Invité
Sujet: Re: La vie est une cerise, la mort est un noyau, l'amour un cerisier [Eülin Ayam] Jeu 26 Aoû 2021 - 22:31
Bienvenue ici ! Hâte de voir ce que ta fiche va donner ! Ton avatar est beaucoup trop belle omg En espérant que tu te plaises sur le forum !
Francis Bonnefoy
Cervirald
Image du profil :
Emportés par la foule qui nous traîne
Nous entraîne
Écrasés l'un contre l'autre
Nous ne formons qu'un seul corps
Et le flot sans effort
Nous pousse, enchaînés l'un et l'autre
Et nous laisse tous deux
Épanouis, enivrés et heureux
ϟ Baguette : Bois de charme — 29,5cm — Cheveu de vélane — Flexible
ϟ Cursus : Potions approfondies
ϟ Malle : Jeune pousse
ϟ Autres comptes : Lucifer Hellborn, Tom M. Riddle, Lian Xie, Respen Enneiros, Phoenix Wright
Image du profil :
Emportés par la foule qui nous traîne
Nous entraîne
Écrasés l'un contre l'autre
Nous ne formons qu'un seul corps
Et le flot sans effort
Nous pousse, enchaînés l'un et l'autre
Et nous laisse tous deux
Épanouis, enivrés et heureux
ϟ Baguette : Vigne, coeur en plume d'oiseau tonnerre, 30,45 centimètres. Avec un joli strap dessus.
Sujet: Re: La vie est une cerise, la mort est un noyau, l'amour un cerisier [Eülin Ayam] Dim 29 Aoû 2021 - 10:37
Cette plume (je suis la modo Alex, coucou)
Eülin est un perso vraiment canon, autant dans la forme que le fond, moi en tout cas j'ai beaucoup aimé lire sa fiche ! Et puis une prof d'artisanat, ENFIN, un peu de neuf !
J'ai toutefois une petite correction à te demander (un micro détail, d'où la validation quand même) : tu fais mention d'El Dorado dans ses HC, sauf que techniquement "ça ne passe pas". C'est tout con, mais on préfère éviter la mention direct de titres dont les oeuvres sont jouables sur le fo (afin d'éviter toute confusion irp) ; au contraire de Kaamelott qui, là pour le coup, passe totalement.
Je te souhaite un bon jeu et un bon courage à Eülin pour enseigner dans cette école de fous à Ilukaan !
Validation
Bienvenue chez le personnel
⇢ Te voilà validée, tu peux désormais poster dans tous les recoins du forum, RP-Post ainsi que RPCB.