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Théodore G. Artinson - La perfection ou rien | | | Sujet: Théodore G. Artinson - La perfection ou rien Mer 22 Juil - 21:59 Théodore G. Artinson | OC POSTE : Bibliothécaire DIRECTION DE MAISON : Non. ANIMAL DE COMPAGNIE : Une chouette effraie du nom de Soren. BAGUETTE : Bois d'if, crin de sombral, d'une longueur de trente centimètres : une baguette fine avec de très légers tracés qui convergent telle une spirale vers la pointe, elle se démarque avant tout par la couleur qui est celle d'un marron vif tirant presque vers le rouge, reflet idéal du tempérament de son maître. PATRONUS : Hyène ODEUR DE L'AMORTENTIA : Parchemin, lilas, eau salée REFLET DANS LE MIROIR DU RISÉD : Lui gagnant un duel face à ses divers ennemis, les dominant du haut de son savoir et de sa maîtrise de la magie face à une petite foule de mondains conquie par le jeune homme. ÉPOUVANTARD : Lui, seul, recroquevillé, humilié, battu jusqu'au sang FAMILLE : Aucun membre de la famille présent à l'école
Théodore Gardiensar Artinson — Original Character 27 ans | Sang-mêlé | Homme | Écossais |
"Je veux ci, je veux ça. Je veux la perfection. "
NOM : Gardiensar Artinson PRÉNOM : Théodore SURNOM : Partison DATE ET LIEU DE NAISSANCE : 9 novembre 1992 à Édimbourg LANGUES PARLÉES: Anglais, allemand (compréhension et expression correctes) et français (quelques bases) DON : Occlumens YEUX : Marrons clairs CHEVEUX : Châtains (mais se teint régulièrement les cheveux) TAILLE : 1m81 POIDS : 76kg Liste des headcanons Est asthmatique et déteste tout particulièrement cet handicap qu'il cherche à contrer - Avait une phobie des dragons, désormais une simple peur, qu'il a réussie à réduire - A toujours, de temps à autre, des boutons d'acné qu'il cache vainement - Passe tout le temps la main gauche dans ses cheveux et tape instinctivement du pied sur le sol - Adore le thé noir - Collectionne de nombreux livres, parfois sans intérêts, qui embellissent sa bibliothèque - Se teint régulièrement les cheveux en un brun foncé qu'il considère bien plus distingué que sa couleur naturelle - Choisit toujours soigneusement ses vêtements et peut se maquiller grâce à la magie afin de cacher quelques imperfections - A eu des démêlés financiers en Angleterre à cause de plusieurs mois de loyers impayés et a toujours du mal à gérer correctement son argent - Affectionne tout particulièrement la métamorphose tout comme il déteste la botanique (bien trop salissante de son point de vue) - Répète sans cesse "Parfait" - Un bouquet de Lilas trône sur son bureau de bibliothécaire. Côté joueurPSEUDO : Newtylen AVATAR : De Atalienart (magnifique travail). COMMENT AS-TU TROUVÉ LE FORUM ? : En vagabondant de forums en forums. UN PETIT MOT : Un plaisir de renouer avec un personnage que je n'ai joué depuis longtemps (mais c'est bien ma première sur le forum) CODE DU RÈGLEMENT : (à envoyer par MP) Physique
En soi, le physique de Théodore ne brille pas, un homme normal parmi une foule banale au sein de laquelle vous vous déplacez difficilement. Pressé, vous ne remarquez même pas ce léger sourire en coin, tacheté là, parmi ce visage fin qui trahit quelques épreuves difficiles - mais rien de tragique, rassurez vous bien que vous ne lui accordassiez aucune attention - et dont un léger teint pâle vient harmoniser le tout. Une barbe naissante fraîchement coupée vient alors montrer le soin tout particulier que ce jeune homme prend, chaque matin, à s'habiller, se maquiller - légèrement, il ne s'agirait pas de mettre divers produits inutiles pour un homme - afin de paraître resplendissant lors de quelques réceptions bien entretenues. Vous ne remarquez pas là, ces quelques boutons vainement cachés sous une légère poudre blanche doucement répandue et appliquée sur ce visage d'où des yeux marrons éclairent d'une légère lueur la personne et, sans avoir même besoin le dire, montrent d'ores et déjà la haute confiance du jeune homme. Les cheveux, eux, sont rangés avec précision, vous ne remarquez pas la couleur brune appliquée alors le matin même ; un peigne magique sans nul doute fut bien utile à organiser cette chevelure d'où aucune mèche ne dépasse, sauf une légère, à l'arrière du crâne qui rebique, d'un air rebelle, comme pour se moquer avec tout le mépris du monde de son porteur qui marche alors à vos côtés.
Sa taille peut, néanmoins, vous frapper. Sa corpulence, en revanche, n'attire aucun regard puisque celle-ci cache un léger ventre, des muscles maintes fois travaillés - mais par périodes bien trop espacés pour qu'ils puissent pleinement exister - et des jambes finement taillées. Ces mêmes jambes sont à l'imagine des bras, tout aussi fins, desquels de grandes mains aux doigts agiles viennent s'ajouter - un quidam pensant alors qu'il s'agit d'un pianiste. D'un tel artiste il aurait pu être question avec de tels vêtements, choisis avec précaution. Une chemise bien propre, bien repassée, bien lisse - souvent de couleurs sombres bien que, de temps à autre, le blanc fasse son apparition - au-dessus de laquelle une très délicate veste se pose. Parfois, mais pas ce jour malheureusement pour vous, le jeune homme sort de sa grande armoire sa belle robe de sorcier d'un noir de jais, sur laquelle sont brodés deux initiales et un blason - inconnu à un non-initié des cercles privilégiés - qui dessine une chouette harfang des neiges qui tient dans son bec une fine baguette magique. Son pantalon, vous vous en seriez douté sans même le regarder, s'accorde tout parfaitement avec le reste de ses vêtements; sobre, simple, élégant. Ses chaussures, marrons, reflètent alors la lumière des rayons si durs qui vous aveuglent même ici sur ces simples objets de cuir dont un soin tout particulier a été apporté comme le montre la lueur bien inhabituelle que l'on ne retrouve que sur certaines chaussures.
Vous continuez alors votre chemin, retenant simplement, l'espace de quelques secondes si fugaces, si intimes, ce jeune homme, élégant, le sourire charmeur, un peu grand, le cheveux bien rangés mais, il reste bien normal parmi toute cette foule. CaractèreVous avez bien remarqué ce petit sourire en coin en passant devant lui à toute vitesse malgré l'âpre foule qui vous entoure tous deux. Ce même sourire accompagne Théodore jusqu'à son rendez-vous, un mot bien impropre pour qualifier l'endroit où il se rendait puisqu'il avait prévu de voir Madame la Comtesse - ainsi l'appelle le petit cercle - pour prendre l'habituel thé du samedi après-midi, à quinze heures quinze précisément ; ainsi sonna-t-il à la porte, toujours souriant. Finalement, on lui ouvrit, sans autre forme de procès et il entra, donnant sa légère veste d'été à l'elfe alors présent qui, d'un coup de doigt, la fit voler jusqu'au grand porte-manteau d'acajou qui trônait alors dans la pièce. Alors, l'air toujours curieux, Théodore s'approcha à nouveau des divers tableaux et vases qui peuplaient ce vaste hall surchargé dont le tapis bordeaux brodé d'or et dessinant les armoiries de la maisonnée signalait à chaque visiteur l'importance des propriétaires. Passant une main dans ses cheveux, un simple réflexe, le jeune homme détailla du regard ce tableau qui, pudique, rougissait derrière son éventail lilas et sa large robe bouffante. La curiosité avait toujours été un point fort chez cet apprenti bourgeois - ne parlons guère d'aristocratie - puisqu'elle l'avait menée à faire de nombreuses découvertes ; cette soif de connaissance fut, sans nulle doute, la raison qui avait poussé il y a de ça de nombreuses années le fameux Choixpeau magique à l'envoyer dans la prestigieuse maison Serdaigle. Malheureusement, il aurait tout aussi bien pu se rendre à Serpentard pour son goût prononcé de la luxure. En réalité, derrière ses traits, Théodore restait un jeune homme superficiel qui s'arrêtait, bien souvent, aux simples apparences. Il n'en est pas moins intelligent et perspicace ce qui peut alors vous dévoile cette personne tels ces livres étranges si paradoxaux qui mêlent allègrement une action rythmée à une langueur sans nom.
La Comtesse, descendant les marches, arriva face au charmant jeune homme dont elle vantait les mérites et l'ambition non dissimulée. Ne souhaitait-il pas, après tout, maîtriser de nombreuses branches de magie, voire toutes s'il en avait la possibilité ? L'orgueil pointu de l'apprenti bourgeois se gonflait avec cette aspect ambitieux qui ne le quittait plus depuis son adolescence. L'ambition fut alors le moteur, doublée de la curiosité, dans la carrière professionnelle - et sociale - de Théodore - "Monsieur Artinson, au nom si raffiné et si fin que l'on goûterait presque la délicatesse de nos chers anglais à le prononcer" comme le disait si bien au petit cercle la Comtesse. En outre, la persévérance n'a jamais quitté et ne quittera jamais cet être déjà bien doué par la nature.
La discussion dans ce salon aux couleurs rouges criardes - ainsi donc les lampions d'Asie enchantés ne se démodaient-ils jamais ? - se poursuivait et, malgré toutes les formes de politesse, les caprices de Théodore ne pouvait guère se cacher longtemps. En effet, ses crises furent bien connus de nombre de ses camarades durant son enfance. L'âge vint mais les caprices restèrent. Aux crises succédèrent des demandes bien plus pernicieuses. Les caprices prirent une teinte bien plus machiavélique, subtile et méprisante. A la force physique se substitue la finesse psychologique, bien plus puissante. La manipulation, voilà une arme bien utile qui rivalisait à de nombreux égards avec une baguette pourtant si raffinée. Pourtant, face au caprice, une toute autre force se trouvait en présence. Un autre aspect tout aussi important qui a forgé et forge encore Théodore, son goût prononcé pour la perfection. Ainsi son ambition, sa curiosité s'expliquent-elles, le jeune homme cherchant sans cesse la perfection. Peut-être la trouvera-t-il un jour à force de répéter Parfait à ses interlocuteurs.. N'existait-il pas pourtant, chez ce jeune homme, une légère empathie qui attendait, seule, jetée au seuil du cœur, une oreille attentive au sein d'un monde d'hypocrites sorciers ? HistoireToujours curieux ? N'avez vous donc pas honte de vous tenir ainsi, hagard, face à cette pensine débordante ? Après tout, peut-être bien que son propriétaire, minutieux et perfectionniste vous le savez à présent, a bien voulu accepter votre présence au sein de son humble domicile - un appartement bien meublé mais, vous en découvrirez chaque recoin bien plus tard. Il a donc décidé de vous laisser seul ici. Et cette étrange lueur vous attire de laquelle s'échappe quelques images bien étranges, un dragon, un homme blond, de jeunes enfants, un duel. Les souvenirs se mélangent en de splendides volutes volatiles légères. Un homme assez orgueilleux pour posséder un tel objet magique, pour penser que sa vie doit être conservée. Sans crier gare, comme si une pulsion vous y obligeait, vous plonger la tête à l'intérieur. * * * " - Encore un peu de pudding Théodore ? Il faut te nourrir, tu le sais. - Non maman ! Je. Veux. Aller. Jouer. Les cadeaux de papy et mamie sont trop cools ! Je veux y aller ! Alleeeeez, je veux ! Je veux ! - Parle autrement à ta mère jeune homme. Cesse tes caprices, tu as huit ans. Regarde plutôt ta petite sœur, Lara ne dis rien. Cesse de râler. Annabelle, peux-tu...- Oliver, s'il te plaît, il n'a que huit ans... Allez mon sucre d'orge, tu peux aller jouer dans ta chambre. Oui Lara, tu peux y aller aussi.Content de lui, Théodore saute alors de sa chaise pour monter les escaliers, suivi de près par sa petite sœur, âgée seulement de quatre ans, avant d'arriver dans sa grande chambre ; regorgeant de jouets, celle-ci trahissait tout particulièrement l'attitude d'Annabelle Artinson Gardiensar à l'égard de son fils qu'elle surnomme alors "sucre d'orge", "mon ange", des sobriquets que son mari trouve, à de nombreux égards, bien ridicules. Ainsi vit cette petite famille de sorciers au 14 rue Silsoe dans le maigre village de Flitwick en Angleterre. Ces Écossais font bien tâche au sein de ce quartier pavillonnaire, installés ici depuis six ans à présent - Théodore était alors seulement âgé de deux ans - avec leur accent bien fort et leurs traditions douteuses. Fort heureusement pour les Gardiensar, aucun voisin n'entre à l'improviste sans quoi, ce pauvre moldu se retrouverait face à un spectacle bien étonnant entre des assiettes qui volent pour se laver, du linge suspendu dans le jardin par un fil invisible - ou serait-ce de la magie ? - voire quelques plantes bien étranges que même le plus fin botaniste moldu ne connait. Si Annabelle est issue de parents non magiciens, elle s'est très bien accoutumé à un tel mode de vie certes atypique mais bien pratique sur de nombreux aspects.
Les deux enfants jouent, rigolent, forts d'une complicité qui jamais ne les lâchera et ce malgré les différends et les obstacles. Théodore prend bien soin de sa petite sœur ou, pour être plus précis, de sa demie sœur. Oliver Gardiensar n'est en rien le père biologique du jeune enfant et, à ce titre, lui fait bien ressentir par diverses méthodes bien peu propres et raffinées qui, au malheur de Théodore, se manifestent en l'absence de sa très chère mère qui, à coup sûr, le protégerait au prix de sa vie. Les souvenirs de son père biologique se mêlent dans sa tête d'enfant, il ne saurait réellement discerner ces yeux marrons, cette calvitie naissante et ce sourire forcé ; malheureusement pour la mère et l'enfant, monsieur Artinson n'est pas décédé mais, dans un élan de lâcheté, de couardise, celui-ci a préféré prendre la fuite, laissant ainsi les deux êtres seuls en Ecosse dans la vaste capitale de la région, Édimbourg. Depuis ce jour, qui arrive bien trop souvent, jamais, ni la mère, ni l'enfant, ne revirent cet homme dont le prénom a même été effacé de la mémoire de Théodore. Puis vint alors Oliver Gardiensar, un anglais charmant au teint scintillant, à la douce chevelure blonde, aux yeux bleus aciers. Puis vint Lara qui, rapidement, se fit une place au sein de la famille recomposée. Ainsi vivent-ils, tranquillement, dans cette maison calme, trahissant néanmoins leur style de vie aisé. Dehors, les arbres se balancent au vent. Le soleil rayonne doucement au travers des gris nuages. Une effluve de lilas vous parcoure les narines. * * * Le mouvement est violent, abrupt, rapide. Le bruit cinglant, frappant, violent. La gifle, sans autre forme de procès, vint marquer au fer rouge le visage si pâle du jeune enfant. Le surplombant de toute sa hauteur, le beau-père crie. Seuls eux peuplent cette si douce maison. La mère est partie avec la petite sœur, laissant les deux ennemis seuls. Il n'est pas le fils légitime. Il n'est pas de son sang, son sang pur. Jamais il ne s’élèvera. Jamais il ne sera fréquentable. A Poudlard, tu seras un rejeton. Je te hais. Je te déteste. Vivement ton onze ans. Tu ne m'as rendu fier qu'une seule fois très cher Théodore, lorsque tu as manifesté tes premiers pouvoirs, faisant léviter une assiette. Pourquoi ? Parce que je savais que tu irais à Poudlard. Je ne sais comment Annabelle est douce avec toi. Ni tes grands-parents. Va, dans ta chambre. Ne pleure pas. Un homme, ça ne pleure pas. Alors, le teint livide, l'enfant monte les marches, se retenant de pleurer. Un homme, ça ne pleure pas. Un homme, ça ne souffre pas. Un homme, ça prend sur soi. Un homme, c'est tout ça. Je suis un homme. Je suis Théodore Gardiensar Artinson, fils d'Annabelle Gardiensar Artinson, mariée à Oliver Gardiensar, botaniste de renom dans de nombreux cercles de la sorcellerie anglaise. Mais je ne garderai pas la tête baissée. Je m'élèverai. J'irai plus haut que mon beau-père. Quoi qu'il en coûte. La porte se ferme, claque violente sur le mur qui en tremble encore de frayeur. Le lilas tombe au sol. Sa douce odeur se répand et sa fane en même temps. Ou est-passé le bon temps ? * * * Un belle journée s'annonçait en ce samedi dans les couloirs de Poudlard. Là, dans le parc, les feuilles marrons et jaunes flânaient dans les airs avant de se poser, d'un air discret, sur le sol. Quelques jeunes gens se baladaient alors en ces temps bien propices à diverses activités entre amis ; ces amis au nombre de quatre jusqu'ici parlaient d'une voix douce, deux filles et deux garçons du même âge dont tous arboraient sur leur poitrine un insigne dorée où était finement gravée la lettre P, trônant fièrement à la lumière automnale. Les deux blonds parlaient ensemble - Erin, préfète de Serdaigle, et Marvin, préfet de Poufsouffle - tandis que les deux autres se taquinaient en riant - Elsa, préfète de Gryffondor, et Théodore, préfet de Serdaigle - maison que le Choixpeau a choisi sans hésiter une seule fois lors de la cérémonie de Répartition il y a de ça cinq années. Ce groupe inséparable depuis la première année dont, par moment, d'autres personnes venaient se greffer puis repartaient et revenaient alors. Les feuilles craquaient sous leurs pieds dans ce large parc aux couleurs flamboyantes, un phénix semblait éclairait d'une nappe d'incendie le crépuscule chatoyant. Ils finirent par s'asseoir là, aux abords du lac, où venaient s'échouer de timides vagues et quelques bulles, fragiles, atteignaient la surface, témoins obscurs d'une vie sous-marine si mystérieuse. La conversation battait son plein. Théodore s'allongea, bombant la torse, riant de bon cœur, passant une main dans ses cheveux ; il ne prenait guère conscience de la valeur d'une telle amitié, pourtant nécessaire et vitale à sa survie. La famille, celle qu'il voulait oublier - voire même renier à certains moments, bien qu'il aimât toujours profondément sa petite sœur - ne pouvait le perturber, lui, cet adolescent rebelle et capricieux. Face à un tel caractère, peu d'élèves comprenaient sa position de préfet qu'il affectionnait tout particulièrement. En réalité, il se tuait à la tâche chaque jour, cherchant la perfection, à tout prix. Un préfet idéal aux yeux des professeurs et de la direction malgré ses quelques débordements capricieux et impétueux.
La discussion battait son plein. A une conversation futile et frivole d'adolescents de seize ans se succédait un débat sur les sentiments et les émotions si instables pour de jeunes personnes. Deux opposants principaux s'affrontaient alors, Théodore et Marvin. L'un, superficiel, au cœur dur, à l'âme inébranlablement fixée dans des principes arriéristes et masculinistes ; l'autre, surdoué, hypersensible, à l'âme fragile telle une feuille que l'on brise si facilement à l'aide de ses doigts. Peu à peu, le ton augmente, le désaccord s'accentue. Théodore ne peut supporter cet être toujours prêt à pleurer, cet ami pourtant fidèle sur qui il peut compter. Le miroir de sa propre faiblesse refoulée. Les mots fusent. Les deux préfètes tentent de calmer le jeu. En vain. Un poing part et vint s'écraser sur la joue du Poufsouffle, jeune Marvin n'ayant mérité tant de violence.
" - Un homme, un vrai, ça ne pleure pas Marvin. Ravale ces larmes inutiles. Je te l'ai déjà dit, je ne supporte pas ça. Bonne nuit. Les filles, à demain. "
Se drapant dans sa fierté, Théodore part, l'air orgueilleux, bombant à nouveau le torse. Les minutes s'écoulent, les marches filent. Le haute tour de Serdaigle s'offre enfin à lui. Le jeune homme s'écroule, vide, sur le lit. Regrette-t-il son acte ? Sans nul doute. Son plus cher ami, à nouveau frappé au visage. La dernière fois se fut en troisième année. Quelle relation bien particulière. Théodore ne supporte pas les faiblesses de Marvin mais tient à lui. Il le harcèle parfois. Et parfois rit avec lui. D'un air las, il regard son lilas, posé là, sur cette maigre table de bois. Le bon temps des amitiés est-il passé ? * * * La dernière année sonnait le glas. Tous ces moments passés en ce si somptueux château, cette école magique et magnifique que Théodore affectionne tant et pourtant, les dix sept ans se pressent à la porte. Tout comme les résultats des ASPICs. Pour la première fois, le jeune homme est anxieux. Le poids de son beau-père n'est plus présent, il est assez grand pour lui tenir un minimum tête. Il avait bien réussi ses Buses, seulement un Acceptable en Botanique - matière honnie du jeune homme, trop sale pour son goût prononcé de la luxure - pouvait faire tâche. Néanmoins, un Optimal en métamorphose - matière suivie jusqu'en septième année - l'avait bien ravi. D'ici quelques secondes, il saurait les résultats de fin de ces études. Celles-ci ne furent pas brillantes, il ne fut pas le premier de la classe, ni le dernier. Toujours dans le peloton de tête, il manquait parfois de travail mais jamais de persévérance. Les professeurs l'appréciaient en tant qu'élève, en tant que personne, peu se prononçaient à son égard ; ce qui, au demeurant, l'arrangeait bien. Un hibou traverse la pièce à vive allure avant de déposer, sans autre forme de procès, un lourd parchemin sur la table. Une lente respiration avant d'ouvrir la lettre. Ainsi se terminait sa longue scolarité, parfois compliquée à cause des ses caprices - mais sa fierté l'empêchait de le reconnaître - et de son asthme, parfois bien heureusement avec de magnifiques rencontres. Il repensait, avec mélancolie, à la bibliothèque, à tout ce savoir inaccessible qu'il avait dévoré jusqu'ici. Il s'était d'ores et déjà intéressé aux Runes - domaine passionnant -, à l'arithmancie, l'occlumancie, la légilimancie, l'alchimie, le transplanage - dont il avait passé le permis suite à une formation éprouvante mais gratifiante - et moults matières magiques. Il connaissait de nombreux sorts - mais n'était en rien un sorcier exceptionnel bien qu'il souhaitât en devenir un -, maîtrisait l'art des potions, la métamorphose et le duel. L'enveloppe ouverte, trônait sur la table. Un sourire radieux sur le visage. Un bel avenir pouvait s'offrir à lui. Mais où partir ? Que faire ? Revenir en cette douce maison familiale ? Non. Pré-au-lard serait alors le meilleur endroit. Il sortit de la pièce. La douce chaleur de l'été se répandait. Les lilas finissaient de fleurir.
" - Alors Erin, tu fais quoi à la rentrée ? Je pense aller à Pré-au-lard, trouver un travail avec mes résultats... Bonne idée, n'est-ce pas ? " * * * Une bonne idée... Une bonne idée... Voilà deux années que les mots tournaient sans cesse dans la tête de Théodore. Assis là, à sa petite table, il ruminait. Il attendait une cliente. C'était bien rare qu'un rendez-vous se fasse à l'avance ainsi. Mais, c'était mieux que rien. Il jeta un léger coup d’œil dehors. Les voitures, ces engins étranges, se bousculaient dans la vaste allée. Londres. Grisâtre. Il regrettait l'ambiance chaleureuse des Trois-Balais où il avait été serveur durant quelques mois ; il pensait à ses collègues de la Gazette, qu'il avait abandonnés au bout d'une année de loyaux services. Il paye le prix fort de l'indépendance. Il a pu revoir, aux fêtes annuelles, sa petite famille. Il évitait les confrontations avec Oliver. Il se savait encore trop faible. Trop faible pour rivaliser avec lui. Mais ça n'était que partie remise. Ce fut néanmoins un plaisir de revoir sa mère et sa petite sœur. Grand-père, voilà quelques années qu'il les avait quittés. La douleur toujours présente pesait lourdement sur le cœur du jeune homme. Il repensait à ce repas de Noël. Les sourires. Les mensonges surtout. Oh tu travailles au Ministère ? Oui oui. Parfait mon ange ! Et dans quel département ? Justice Magique ! Intéressant. Tu côtoies quelles familles ? Je... Aucune famille père. Quelle ironie cruelle. Il a tout raté jusqu'ici. Alors, il se cultive, perfectionne sa maîtrise de la magie. Ce qui peut être assez fructueux. Il en est fier au moins. Il rêve de travailler à la Justice Magique. Il doit se coltiner ce travail peu gratifiant. Mais il fait confiance à ses économies. Il pourra bientôt partir. Surtout depuis qu'il a vu cette brochure alléchante. Il n'a que vingt quatre ans. Mais partir là-bas, de l'autre côté de l'océan est tellement tentant. Peut-être trouvera-t-il de meilleurs cercles. Des familles plus prestigieuses. Il n'aime pas Mme. Vernun. Elle est d'un pédant mais, au vue de sa situation, il fait avec ce qu'il a ; en effet, le nom de Gardiensar l'aide bien parmi les doux rangs de la bourgeoisie sorcière anglaise. Voilà que le jeune homme s'affuble d'un deuxième nom. Il rêve d'une particule, d'un domaine, d'une large réception où, cette fois, il serait l'hôte. Bien loin de cette appartement miteux. Il dévoilerait ses talents à toute la foule. La porte sonne. La cliente est arrivée, il faut préparer le lit. Las, Théodore se lève, ne jetant pas même un regard sur ces lilas, à la fenêtre, qui fanent et dont l'odeur ne peut rivaliser avec l'effluve grisâtre de la ville, de la vie monotone et morne. * * * Quelle belle terre. Quel bel endroit. Un campus magnifique. La brochure ne mentait pas et ceci malgré les deux années de différence. La valise lévitant à ses côtés, Théodore se tenait droit, le sourire aux lèvres, face à cette école qui hantait ses rêves depuis de nombreuses nuits. Il avait cherché ainsi les postes disponibles, ceux qui pouvaient lui être accordés ; celui de professeur ne fût pas assez attirant à son goût, tout comme celui de concierge. La bibliothèque ravivait en lui une étincelle toute particulière, celle qu'il possédait, celle qui rayonnait en lui à chaque instant où il ouvrait un livre pour abreuver sa soif de connaissance ; une fois qui, durant ces dernières années, l'aide à vivre, à survivre. Devenir meilleur, que son beau-père, que le marquis de Harquincourt pour ainsi réussir à gagner n'importe quel duel. Bien évidemment, Théodore n'était pas arrivé à Ilukaan sans n'avoir établi un plan bien précis ; il savait déjà quels cercles côtoyer, quels lieux fréquenter, où se rendre lors de son temps libre, comment se tenir, parler et être. L'entretient se passerait divinement bien. Il le savait. Il bombait son torse, comme pour montrer à la face de ce petit monde son badge invisible - pourtant bien rangé dans son sac sans fond - dont il était si fier. Il s'avançait, confiant, orgueilleux, capricieux ; le jeune homme négocierait à tout prix pour occuper ce poste si prestigieux, ses nombreuses notes, son parcours professionnel atypique - n'avait-il pas été rédacteur de la Gazette mais également archiviste au service d'un chercheur en métamorphose ? - l'aiderait sans nul doute. La fleur de l'âge l'aiderait, du haut de ses vingt six ans. Il respira profondément. Là-bas, au fond d'une cour, il la sentait. La douce effluve des lilas. | | Lucifer Hellborn Personnel | Image du profil : say I am lost, but I am found
say I have no power here
but have you looked around?
i run this place, this is my home
and I will build my castle with the ashes of your throne
ϟ Œuvre : Obey me! shall we date?
ϟ Parchemins : 246
ϟ Gallions : 17
ϟ Relations : my lucifer is lonely.
ϟ Âge (RP) : 27 ans
ϟ Année scolaire : Professeur
ϟ Titre(s) : Assistant-professeur en Théologie Sorcière
ϟ Don : /
ϟ Baguette : Bois de cèdre, coeur en plume d'oiseau-tonnerre, 33.55cm
ϟ Autres comptes : Francis Bonnefoy, Tom M. Riddle, Lian Xie, Respen Enneiros, Phoenix Wright |
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ϟ Autres comptes : Francis Bonnefoy, Tom M. Riddle, Lian Xie, Respen Enneiros, Phoenix Wright | Sujet: Re: Théodore G. Artinson - La perfection ou rien Mer 22 Juil - 23:09 J'aime énormément le travail d'Atalienart donc c'est un plaisir de retrouver un de ses personnages en avatar.
Aussi, un bibliothécaire <3
Bienvenue sur le forum en tout cas ! J'espère que tu te plairas parmi nous ! | | | | Sujet: Re: Théodore G. Artinson - La perfection ou rien Mer 22 Juil - 23:11 Bienvenue ! C'est moi qui vais m'occuper de la correction de ta fiche, j'ai super hâte de la voir complète ton OC a l'air super intéressant (et c'est un bibliothécaire aaaaa). Tu as donc jusqu'au 22/08 pour la compléter, et je t'invite à te manifester quand tu auras fini dans ce topic ! Bon courage pour ta fiche | | Arthur Kirkland Lupy | Image du profil : Beware of my grumpy hissing.
ϟ Œuvre : Axis Powers Hetalia
ϟ Parchemins : 729
ϟ Gallions : 549
ϟ Âge (RP) : Vingt-deux ans.
ϟ Maison : Lupy
ϟ Année scolaire : 12ème année
ϟ Titre(s) : /
ϟ Don : Fourchelang.
ϟ Baguette : Bois de noyer, crins de licorne – 30 centimètres – Assez rigide.
ϟ Cursus : Justice Magique
ϟ Malle : Un carnet dans lequel il note ses observations quotidiennes ▬ un casque-écouteurs moldu ▬ un kit de broderie ▬ de nombreux romans d'horreur et policiers.
ACHATS :
- Larmes d'hermaphrodite.
- Potion démange.
ϟ Autres comptes : Belphegor Hellborn — Kainé Doherty — Hajime Hinata — Tamaki Suoh — Razor Hrodwulf — Franziska von Karma — Goro Akechi |
| Image du profil : Beware of my grumpy hissing.
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ACHATS :
- Larmes d'hermaphrodite.
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ϟ Autres comptes : Belphegor Hellborn — Kainé Doherty — Hajime Hinata — Tamaki Suoh — Razor Hrodwulf — Franziska von Karma — Goro Akechi | Sujet: Re: Théodore G. Artinson - La perfection ou rien Mer 22 Juil - 23:31 Oh la bonne bouille Bienvenue à toi et bon courage pour la fiche !
- Résumé du RP Duel, merci Griselda ♥:
- Merci Kikki ☆:
| | | | Sujet: Re: Théodore G. Artinson - La perfection ou rien Jeu 23 Juil - 3:51 Bienvenue sur le forum! Un membre du personnel en plus rohlala~ Hâte d'en savoir plus sur Théodore, je partage sa souffrance pour l'asthme ;w; Bonne rédaction de fiche~ | | Meulin Leijon Catgirl en chef | Image du profil : ϟ Œuvre : Homestuck
ϟ Parchemins : 159
ϟ Gallions : 184
ϟ Âge (RP) : 24 ans
ϟ Maison : Cervirald
ϟ Année scolaire : 14ème année
ϟ Baguette : Aulne - Ventricule de Dragon - 23 cm, rigide et très fine
ϟ Cursus : Communication et Littérature Sorcières
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| Image du profil : ϟ Œuvre : Homestuck
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ϟ Baguette : Aulne - Ventricule de Dragon - 23 cm, rigide et très fine
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| Sujet: Re: Théodore G. Artinson - La perfection ou rien Jeu 23 Juil - 4:03 Oooh j'adore déjà ton perso ! J'ai hâte que tu termines ta fiche, j'ai déjà des petites idées de lien hihi Bienvenue ! | | Darren Leonhardt Le champion Darren | Image du profil : ϟ Œuvre : Original Character
ϟ Parchemins : 350
ϟ Gallions : 158
ϟ Âge (RP) : 49 ans
ϟ Année scolaire : Professeur
ϟ Titre(s) : Professeur de Toxicologie botanique et mycologique, Directeur adjoint
ϟ Baguette : Pommier, cœur en crins de Kelpy, 32,3 cm
ϟ Malle : Oppotion
ϟ Autres comptes : Gabriel ; Henry ; Guerlain ; Ambroise |
| Image du profil : ϟ Œuvre : Original Character
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ϟ Autres comptes : Gabriel ; Henry ; Guerlain ; Ambroise | Sujet: Re: Théodore G. Artinson - La perfection ou rien Jeu 23 Juil - 16:39 Ah !! Un nouveau membre du personnel !! Trop content de te voir !!
Bienvenue parmi nous et surtout, j'espère pouvoir voler un lien !! <3 :D | | Simeon Karam Cervirald | Image du profil : ϟ Œuvre : Obey Me!
ϟ Parchemins : 98
ϟ Gallions : 147
ϟ Âge (RP) : 25 ans
ϟ Maison : Cervirald
ϟ Année scolaire : 15ème année
ϟ Titre(s) : /
ϟ Baguette : Bois de sorbier, crin de licorne, 29 centimètres, souple
ϟ Cursus : Psychomagie
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| Image du profil : ϟ Œuvre : Obey Me!
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| Sujet: Re: Théodore G. Artinson - La perfection ou rien Jeu 23 Juil - 18:45 Bienvenue par ici ! Damn, j'ai hâte de faire la connaissance de ton personnage | | Vincent Leroy Ex-Directeur | Image du profil : Comment appelle-t-on un chat qui chante?
Chat-kira.
ϟ Œuvre : Original Character
ϟ Parchemins : 1709
ϟ Gallions : +infini
ϟ Âge (RP) : 51 ans
ϟ Année scolaire : PNJ
ϟ Titre(s) : Ancien Directeur d'Ilukaan — PNJ
ϟ Don : Être plus fab que toi
ϟ Baguette : Vigne, coeur en plume d'oiseau tonnerre, 30,45 centimètres. Avec un joli strap dessus.
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| Image du profil : Comment appelle-t-on un chat qui chante?
Chat-kira.
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| Sujet: Re: Théodore G. Artinson - La perfection ou rien Sam 25 Juil - 18:35 Coucou ! Après lecture de ta fiche, je trouve ton personnage très intéressant et bien construit, dans ses défauts réalistes comme dans ses qualités. En somme c'est un excellent OC et j'espère que tu vas apprécier le jouer sur le forum ! Je voulais juste faire une petite remarque (qui reste importante parce que... Cela change beaucoup le sens de tes mots). Par deux fois tu parles du goût prononcé de Théodore pour la "luxure" mais euh... La luxure ce n'est pas le luxe ou l'opulence, la luxure c'est le "comportement de quelqu'un qui se livre sans retenue aux plaisirs sexuels" ( Larousse). Je pense que ce n'était pas vraiment le sens que tu voulais donner à tes phrases, donc je préfère le mentionner :D Je te valide tout de même, tu es libre de modifier légèrement ta fiche après ça :) Bon jeu ! Bienvenue à Ilukaan ! Validation → Te voilà validée, tu peux désormais poster dans tous les recoins du forum, RP-Post ainsi que RPCB. → Crée dès maintenant un topic pour récapituler les relations de ton personnage. Tu peux également acquérir un portable ou bien créer un blog. → N'hésite pas à faire une demande de RP pour trouver un partenaire d'écriture ! → Enfin, amuse-toi bien sur le forum, n'hésite pas à en parler autour de toi et à voter régulièrement aux TS ! | | | | Sujet: Re: Théodore G. Artinson - La perfection ou rien
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