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Bon Voyage, Your Mermaid's Setting Sail | Tiamat | Tiamat Lamyri Ursirre | Image du profil : ϟ Œuvre : OC
ϟ Parchemins : 38
ϟ Gallions : 100
ϟ Âge (RP) : 17 ans
ϟ Maison : Ursirre
ϟ Année scolaire : 7ème année
ϟ Baguette : Palétuvier rouge, cheveu de sirène, 32.5cm, très flexible.
ϟ Autres comptes : Kokichi Oma, Ernest B. Albrecht, Cassiopeia Alvarez, Ramuda Amemura, Maya Fey |
| Image du profil : ϟ Œuvre : OC
ϟ Parchemins : 38
ϟ Gallions : 100
ϟ Âge (RP) : 17 ans
ϟ Maison : Ursirre
ϟ Année scolaire : 7ème année
ϟ Baguette : Palétuvier rouge, cheveu de sirène, 32.5cm, très flexible.
ϟ Autres comptes : Kokichi Oma, Ernest B. Albrecht, Cassiopeia Alvarez, Ramuda Amemura, Maya Fey | Sujet: Bon Voyage, Your Mermaid's Setting Sail | Tiamat Ven 12 Juil 2024 - 5:21 Tiamat Lamyri
OC | | Identité | Lamyri Tiamat (Tia) 17 ans Français Français, Anglais, langue aquatique Né le 8 juin 2007 à Pau, en France Yeux ambrés, cheveux blonds 1m51 & 48kg |
Who am I...? Tiamat est un sorcier sang-mêlé appartenant à la maison Ursirre et en 7ème année. Il est inscrit aux options Arts et Musique magiques et Soins aux Créatures magiques. Il ne possède aucun don. Il n'occupe aucun poste.
Sa baguette est faite de palétuvier rouge, avec un cœur en cheveu de sirène, d'une longueur de 32,5cm, très flexible. Il n'a pas d'animal de compagnie à l’école (cependant, il possède un corgi du nom de Samson qui vit chez ses parents).
Son patronus est un requin Mako. L'odeur de son Amortentia est composée d’air marin, de colophane et de son shampooing (particulièrement haut-de-gamme). Son reflet dans le miroir du Riséd est lui-même en habit de concert, le Messiah Stradivarius, violon légendaire, entre les mains : il est un si bon violoniste qu’il sera un des premiers à utiliser ce fameux instrument depuis sa création en 1716. Son Épouvantard prend encore une fois la forme de lui-même, cette fois avec le trophée d’American Idol entre les mains.
Il n’a pas de famille présente à Ilukaan. Sa matière favorite est Histoire de la magie et la matière qu'il aime le moins est Vol et sport. Derrière l'écran Pseudo & pronoms : Mayux | ElleSouhaites-tu être parrainé·e ? Oui… :,( (c’est mon dernier compte alors laissez-moi faire la blague)Avatar : OC personnelCode du règlement : [MP au staff]Comment as-tu trouvé le forum ? Je suis ici depuis un moment je crois.Un petit mot ? Cette fiche me paraît absolument irréelle. Tiamat, sur ILUKAAN ? headcanons Enfant de popstar, mais il fait de son mieux pour que tout le monde l'oublie. • Agenre - utilise tous les pronoms, mais s'auto-genrera le plus souvent au masculin par habitude/facilité. • Attiré uniquement par les hommes. • Lister toutes les personnes sur qui il a eu un crush prendrait des heures. • Gaucher. • Dès qu'il passe du temps chez ses parents, Tiamat apprend des tours questionnables à son chien, du type « mâchouiller les chaussures des invités ». • Il en connaît beaucoup sur les malédictions, puisqu’il a fait du lèche-vitrine avant de choisir laquelle il voulait qu’on lui lance. • Sa malédiction : quand il essaie de chanter, des bulles sortent de sa bouche au lieu de sa voix mélodieuse. • Problème étant qu'il essaie par réflexe de chanter dans la douche, quand il fait du ménage... Vous pouvez deviner comment ça se termine. • Sa voix peut atteindre un volume élevé à en faire saigner des tympans à cause de son entraînement en chant… Malheureusement, maintenant que cet art est pour lui chose du passé, il parle juste trop fort. • Il a essayé très, très longtemps d’apprendre le piano, son instrument favori, mais n’a jamais atteint un niveau qu’il juge convenable. Par honte, il refuse d’en jouer. • Son instrument de prédilection est le violon. Il ne juge pas son niveau convenable, mais ce n’est pas son instrument préféré, alors… • Ne vous méprenez pas : ça ne veut pas dire qu’il a de basses ambitions. L’Ursirre a la ferme intention de devenir le meilleur violoniste du monde. • Incroyable joueur de maracas. La flexibilité de ses poignets est, selon les dires de certains, « inouïe ». • Il adore la pluie. Quand il pleut, Tiamat sort sans parapluie et saute dans des trous d’eau. • Claustrophobe. • Le plus mauvais perdant qui soit. Ne jamais l’inviter à une soirée Monopoly : il retournera le plateau et criera que le joueur le plus riche est un sale tricheur capitaliste. • Énervé par les personnes qui ne ramassent pas leurs dégâts. • De base intéressé par l’application des mathématiques dans la musique, il regarde désormais des vidéos à ce sujet sur WitchTube pour passer le temps. Comme un nerd, oui. • Il lui arrive souvent de sortir en pleine nuit pour chercher l’inspiration. • Il ressent les émotions très fort et s’emporte facilement. Il va cependant toujours s’excuser s’il a été blessant. • Quand il s’ennuie, il regarde beaucoup de séries de télé médiocres… et de films d’horreur. Il ADORE ce genre (y compris en série, livre, ou encore jeu vidéo). • Les côtés peu ragoûtants du corps humain ne lui font pas peur. Tia ne détourne pas les yeux en voyant des plaies, du sang… • Il aime collectionner dans les jeux. Il a complété à 100% le musée d’Animal Crossing, par exemple. • C’est tout le contraire dans la vraie vie : il s’achète peu de choses, mais soyez-en sûrs, son stylo sera aussi beau que celui d’un PDG. • Sinon, il a quelques exemplaires anciens de partitions musicales et son violon date du XIXème siècle. Il prend grand soin de ses quelques possessions, vu leur valeur. • On pourrait s’attendre à ce que vivre avec Tiamat soit infernal, vu le caractère bruyant et chaotique du personnage : que nenni. Sa partie de la chambre est toujours rangée et sans un grain de poussière. • Il est par contre un peu trop territorial. S’il voit une chaussette d’un coloc dans ce qu’il considère être son espace, le coupable aura droit à une note passive-agressive sur son bureau, avec la chaussette. • Appelle généralement les gens par leur nom de famille s’il le connaît. • Adore la mangue et tout ce qui a un parfum de mangue. • Déteste le vol en balai : le vent le décoiffe ! • Le cheveu de sirène dans sa baguette est celui de son grand-père adoptif. « Toute âme est une mélodie, qu'il s'agit de renouer ... » « Mais si tu prends ma voix, demanda la petite sirène, que me restera-t-il ? » — H.C. Andersen Le tintement de la cloche annonça la fin des cours pour la journée. Tous les élèves rangèrent leurs cahiers et plumes en vitesse, espérant éviter le pire des bouchons dans le corridor. Tiamat n’en fit pas de même : il savait qu’il n’y avait aucun moyen d’échapper aux foules sinon d’attendre sa dispersion.
Quelquefois, l’enseignant et les quelques élèves qui étaient aussi restés après la fin du cours pour poser une question ou discuter entre eux lui jetaient un rapide coup d'œil. Il les ignora. Les regards curieux, rien de plus habituel pour quelqu’un qui a longtemps eu son visage imprimé sur des couvertures de magazine. Enfin, après une dizaine de minutes, le professeur lui dit :
« À demain, Tiamat. »
Puis, il éteignit la lumière et quitta la pièce. Comme il l’avait anticipé, le temps avait suffi à déserter le couloir. Les clics de ses talons résonnant à chacun de ses pas, il marcha à un rythme relaxé jusqu’à son casier, où il avait laissé son violon pour ne pas avoir à rentrer aux dortoirs entre la fin des cours et le début des heures de club. Il déverrouilla son cadenas et s’apprêta à ramasser son instrument, mais une feuille, qui n’était pas là ce matin, tomba et flotta jusqu’à ses pieds. La curiosité est humaine : bien que l’Ursirre soit souvent perçu comme une chimère entre ange et sorcier ou encore comme un être composé davantage de plastique de chair, il faisait définitivement partie de cette espèce, et ramassa donc le papier. D’un coup sec, il le défroissa avant de le parcourir du regard.
Ô cheveux aux teintes platines, d’une douceur presque féminine, une vague se dessine jusqu'au bas de son échine.
Ô fins traits du plus beau visage votre nez a très bel affinage. Votre couleur, celle d'un coquillage, m'émerveille autant qu'un mirage.
Ô iris trempés dans le miel, vos regards caractériels me font croire à l'éternelle douceur du monde matériel.
Ô tenues de dentelle et satin vous égayez tous mes matins grâce à votre aspect galantin et à votre charme distinct.
Ô charmante voix mélodieuse, ton absence m'est odieuse. Si tu es miséricordieuse, partage-moi tes notes joyeuses.
Tu invoques en mon coeur les pluies diluviennes Ton chant est celui d'une séductrice sirène Je t'aime, Tiamat, et je veux devenir tienne.
À chaque ver qu’il lisait, l’horreur qu’il ressentait s’exacerbait. Une chance, se dit Tiamat, que le poète du dimanche qui avait eu l’idée d’écrire cette épouvante avait eu l’obligeance de ne pas signer son nom à la fin, sinon il se serait senti obligé de répondre, et il n’était pas certain d’avoir la fortitude nécessaire pour rester poli.
Ô cheveux, vous êtes ennuyeux. Ô yeux, je ne vous ai jamais remarqués. Marcelle, on n’a pas été dans la même classe depuis la quatrième année. La prochaine fois, fais mieux. (et écris à propos de quelqu'un d'autre.)
PS : il y a des cours de poésie offerts à la bibliothèque les deuxième mardis de chaque mois.
Une fois son effroi passé, il saisit la feuille des deux mains et la déchira sèchement sans même y réfléchir à deux fois. Cette admiratrice anonyme avait beau l’avoir décrit, ses remarques n’étaient que superficielles. Même lui, qui détestait se pavaner, savait que son apparence valait mieux que ses analogies plates. Oui, ses cheveux étaient d’un blond pâle et doux au toucher. Cependant, selon lui, leur brillance et leur élégante versatilité auraient davantage mérité d’être soulignés que leur apparence générale, que tous pouvaient remarquer en un coup d'œil. Le manque d’épaisseur de sa tignasse ne l’empêchait pas d’être impressionnante, notamment à cause de ses mouvements dignes de ceux de l’eau sur la mer. Sa longueur lui permettait d’être arrangée de plein de manières différentes, toutes distinguées : queue de cheval, détachés, tresses, chignons… (Le commentaire sur sa féminité lui plut un peu, par contre. Juste un tout petit peu.)
Sans parler de sa description de son visage ! Certes, il n’était pas rond, mais il n’irait pas jusqu’à qualifier son nez de fin ou même de notable. Non, ce qui marquait, sur son visage, c’était ses sourcils : tout petits, les deux. (D’ailleurs, parce qu’ils restaient presque toujours en position froncée, les expressions de Tiamat étaient parfois dures à interpréter. Cependant, ses tics et la sensibilité de ses joues aux rougeurs compensaient cette froideur faciale.) Comment oublier la façon dont son teint avait été décrit ? Ok, les coquillages, c’était dans le thème nautique et généralement pâle, mais bordel, un effort ! La couleur d’une peau n’émerveille personne. Encore plus la sienne, qui était banale : pâle en hiver, un peu bronzée en été. Celle de monsieur et madame tout le monde pour un caucasien, enfin, sauf monsieur et madame « je-passe-quarante-cinq-heures-par-semaine-sur-mon-ordi-à-jouer-à-Fortnite ». Que n’aurait-il pas donné pour d’adorables taches de rousseur ! À la place, il n’avait rien, sauf la déception et des remerciements des maquilleuses qui avaient moins de couches de fond de teint à appliquer avant ses séances photo.
Il trouvait ça énervant que ses yeux soient comparés à du miel, mais soit. Tant que son admiratrice n’avait pas faim en croisant son regard, elle pouvait en penser ce qu’elle voulait : leur couleur était, après tout, d’un ambre riche.
Son style vestimentaire aurait mérité d’être coupé de ce poème, à son humble opinion. Impertinent, absolument impertinent. En plus d’être réducteur ! Certes, il portait souvent des habits faits de matières haut-de-gamme et aux froufrous féminins, mais surtout dans le but de cultiver son androgynie. En réalité, sa garde-robe était composée d’habits de tout genre : t-shirts, jupes, robes, béret… Les jeans slim (souvent colorés) et les crop-tops chics, ceux aux motifs fleuris ou au cols Claudine, étaient un élément clé de sa garde-robe estivale ! Tout ce qu’il ne possédait pas, c’était des vêtements stéréotypiquement masculins, comme une veste en cuir ou des pantalons larges. Des rubans ornaient souvent ses cheveux et des bijoux son cou ou ses poignets.
Le dernier élément du message d’amour (beurk) et non le moindre : sa voix. Oh, sa voix mélodieuse… Ta gueule, pétasse, aurait-il dit s’il avait eu cette étrangère face à lui. Objectivement, on pouvait la qualifier de belle, certes : un alto chantant et qui portait facilement, au timbre agréable. Pourtant, comment le saurait-elle ? Non pas en l’entendant chanter, car il ne l’avait pas fait depuis des lustres. Elle l’avait écouté en ligne ou sur des CD, comme tout le monde, et avait décidé que ce talent que la nature lui avait octroyé définirait sa valeur personnelle. Avait-elle déjà conversé avec lui ? Certes, sa voix était agréable à entendre et forte, mais, justement, son volume tendait à briser les tympans. En plus, elle avait tendance à atteindre des aigus presque imperceptibles par l’oreille humaine lorsqu’il s’emportait : l’émotion la rendait insupportable.
Une fois que le papier fut déchiré en quarante-huit morceaux, il les laissa tomber au sol. Une seconde passa, et il eut une soudaine prise de conscience.
« Oh bordel de merde, le concierge va m’égorger. »
Quand la renommée d’un être humain dépasse les limites de sa communauté, certaines facettes de sa personnalité sont révélées. Certains profitent de leur statut pour obtenir des faveurs, d’autres préfèrent plutôt utiliser le fait que leur voix ait un poids pour parler d’enjeux qui leur tiennent à cœur… Peu importe les valeurs de l’individu et la moralité derrière ses actions, le fait est que les personnes connues cherchent souvent à le rester. Pourtant, rarement, certains décident par eux-mêmes de quitter le feu des projecteurs. Par exemple, Tiamat Lamyri, l’unique fils de la popstar Pelagia Lamyri, a subitement décidé d’arrêter le chant, alors qu’il a passé des années à se consacrer à cet art et à répéter à tous qu’il ne voulait rien de plus que de suivre les pas de sa mère. Pour comprendre autrui, il faut comprendre son monde : ainsi, pour faire sens de la décision inusitée de cet amoureux de la musique, il faut en dresser le portrait. J’espère que cet ouvrage, cher lecteur, t’aidera à te faire une image plus claire de qui est Tiamat. Dans les quelques prochains paragraphes, je te parlerai des aspects principaux définissant cet étrange énergumène, en commençant par sa volonté de se fondre dans la masse, puis sa sensibilité, ses tendances obsessives, sa difficulté à suivre la raison, sa recherche inlassable de quelqu’un lui disant comment il devrait agir et, pour terminer, sa loyauté. DE LA CONFORMITÉ OU VOULOIR RESSEMBLER AUX AUTRES Peu nombreux sont les individus qui cherchent activement à se fondre dans la masse. Ironiquement, cela ne les rend-t-ils pas uniques ? Tiamat est une de ces licornes qui rêvent d’être un simple cheval. Il ne sacrifie pas son unicité sur le plan physique, parce que de toute manière, il est rare de nos jours qu’un style vestimentaire suffise à marginaliser quelqu’un (sauf ceux qui portent des t-shirts Trollface ou des talons aiguille à motif zébré, mais ne l’ont-ils pas un peu cherché ?). Par contre, il ne demandera jamais à prendre le rôle le plus important dans un projet et se rabaissera toujours si on lui fait des éloges. On pourrait le dire humble, mais désespéré d’avoir une place parmi ses pairs serait une description plus juste. Si on lui rappelle sa (courte) carrière en tant que chanteur, il dira que c’est loin derrière lui. Il encouragera même les autres à penser qu’il est dévasté d’avoir été maudit et de ne plus pouvoir chanter, bien qu’il ait en réalité été le responsable de cet événement : déjà car ça attise la sympathie, faisant en sorte qu’on lui parle comme s’il était une personne au lieu de l’ange Gabriel, et parce qu’il pense la populace incapable de comprendre pourquoi il a voulu fuir une vie de célébrité. Être connu fait rêver tant de monde, après tout. Peut-être bien que l’incompréhension va des deux côtés dans cette situation. Malgré ses vaillants efforts, Tiamat n’arrive pas à casser le mur entre lui et ses pairs. DE L’ÉMOTIVITÉ Susceptible, cœur d’artichaut, pleurnichard : toutes ces épithètes peuvent qualifier le jeune Ursirre. Cumulé à son manque de retenue, cela résulte en un cocktail explosif. S’il va mal, c’est le problème de tous les habitants du quartier, alors que s’il a une bonne journée, il collera pratiquement des posters au mur pour que le monde entier le sache. Seulement à de rares occasions, il garde ses états d’âme pour lui, soit quand ses préoccupations lui paraissent incompréhensibles d’un point de vue extérieur. D’ailleurs, sa sensibilité s’exprime aussi à sa facilité à s’attacher aux autres. Si quelqu’un lui montre une once de gentillesse et a environ son âge, Tiamat en tombera très probablement amoureux. Sinon, il le suivra partout et cherchera à devenir son ami. Et, au contraire, il a du mal à oublier les torts commis à son encontre ; du moins, pas sans excuses sincères et répétées. Sa rancune est tenace. DE L’OBSESSION OU DE LA PASSION Tiamat vit tout à 110% et sa ferveur n’y fait pas exception. Si un sujet ou une activité l’intéresse, il y consacrera beaucoup de temps pour tout savoir à son propos, pour exceller dans sa pratique. Il remettra jamais au lendemain ce qu’il peut faire de suite, car autrement, il serait accablé par la frustration. Qu’est-ce qui peut bien le posséder ainsi ? Son amour pour la musique, principalement - et, par miracle, il a décidé de devenir violoniste et non pianiste, car s’il avait voulu se spécialiser dans son instrument préféré, il se serait probablement tué à la tâche (ou sinon il aurait tué un passant dont la tête ne lui revenait pas). Son perfectionnisme peut être un peu autodestructeur par moment, en effet. Ses intérêts sont multiples et d’ailleurs changent selon ses humeurs. Il ne faut pas le lancer ni essayer de débattre avec lui quant à un sujet qui lui tient à cœur : même si on scotche ses lèvres ensemble, il n’arrêtera pas de parler. Par ailleurs, sa détermination ne s’applique pas qu’aux projets qu’il aime : son éthique de travail excessive se voit dans ses splendides résultats scolaires. DE L’IRRATIONNEL Les protagonistes de shonen seraient fiers de lui sur ce point-là : Tiamat suit son cœur plutôt que sa raison, que ses chances de réussite soient de 90% ou de 0,09%. S’il a tort, il poursuivra ainsi dans l’erreur plus souvent que non… Le raisonner est possible, mais nécessite énormément de patience. Par ailleurs, il suit à l’aveuglette ses amis. Sa confiance en ceux qu’il apprécie est, sans aucun doute, TROP forte. Alors, le plus souvent, s’ils font du mal à quelqu’un, il les défendra quand même, et s’ils disent des stupidités, il essaiera de trouver des arguments pour corroborer leurs dires. DU SUIVEUR Ce n’est pas que le sang-mêlé est incapable de réfléchir par lui-même et de prendre des initiatives. Cependant, il doute souvent de ses décisions et préfère se tourner vers quelqu’un de plus confiant, qui à ses yeux réussit mieux que lui, pour lui donner conseil. Son estime de lui n’est pas basse ! Le problème vient plutôt du fait qu’on l’a toute sa vie habitué à la dépendance. Tiamat remplit sa garde-robe par lui-même et choisit ses bouteilles de vernis à ongles depuis peu de temps, entre autres. Pour cette raison, il agit comme un caneton qui cherche une mère derrière laquelle marcher. L’idée de se débrouiller par lui-même le terrifie. DE LA DÉVOTION ET DU DÉVOUEMENT Un individu autant attaché au regard d’autrui que l’est Tiamat sait rendre l’affection qu’on lui porte. Sa loyauté est sans pareille. Jamais l’idée de trahir ou de mal parler d’un ami ne lui vient à l’esprit. Comme si ça ne suffisait pas, il est extrêmement généreux envers ces personnes. Pas très attaché à l’argent qu’il a accumulé au fil des années, il n’hésite pas à l’utiliser pour voir un beau sourire chez quelqu’un qu’il apprécie. Quand un camarade est malade, il va souvent le visiter, même s’il ne reste pas à son chevet h24 (parce qu’il est très occupé), la majorité du temps avec un panier de thés, un oreiller, une nouvelle peluche… Et il se propose pour rendre service quand il le peut. L’Ursirre a de belles qualités, hein ? Problème étant, il lui arrive d’être un peu timide, et que sa peur d’être jugé trop gnangnan lui fasse prendre la posture du déni. Sans être insultant, il essaiera de minimiser ce qu’il ressent envers quelqu’un… Au point où il pourrait appeler son meilleur ami un camarade de classe dans un moment de faiblesse. « Vois, Moby Dick ne te cherche pas. C'est toi, toi qui la cherches follement. » — Herman Melville Près de l’eau, là où même le vent a un goût de sel, les vagues bleues engloutissent le sable fin comme la farine et les poissons rencontrent les filets usés des pêcheurs, se dressait une grande demeure. Le village le plus près d’elle se trouvait à une trentaine de minutes de distance en voiture, bien assez pour la qualifier d’isolée. N’allez pas croire que le maître des lieux y vivait en ermite, car la vérité était toute autre. Non, sous le toit mansardé et derrière les fenêtres subdivisées de cette immense maison se prélassait la chanteuse pop sorcière Pelagia Lamyri lorsqu’elle n’était ni en tournée, ni invitée à un gala, ni attendue pour prendre des photos en robe diaphane dans les rues d’Amsterdam. Bien sûr, son mari, travaillant comme curateur dans un musée, passait aussi du temps dans ce quasi-palais, mais il était évident, rien qu’au choix des décorations, que le titre de maître des lieux revenait à l’artiste.
Leur rêve, comme celui de nombreux autres couples mariés, était de fonder une famille. Cependant, ils avaient beau tout essayer, des remèdes magiques aux docteurs, en passant par les herbes médicinales et les cristaux mystiques, rien n’y faisait : Pelagia était infertile. Pas prêts à abandonner, ils se tournèrent vers l’adoption. Leurs démarches les menèrent jusqu’à un orphelinat magique de Pau, où ils firent la rencontre d’un jeune bambin enjoué qui babillait de gaies mélodies. En un coup d'œil, ils surent que cet enfant, pauvre bambin abandonné quelques jours à peine après avoir vu la lumière jour pour la première fois, était destiné à grandir dans leur foyer. Le couple décida ensemble de nommer ce petit « Tiamat », en hommage aux origines de sa mère, demie-sirène. Lui donner le nom de famille maternel fut à leur avis un choix évident : « Tiamat Ducharme » manquait sacrément de cohérence stylistique.
Les quelques premières années, ils les passèrent sur cette plage du sud de la France, une idylle au soleil chaud et aux longs après-midis. Cependant, les caméras attendaient leur étoile. La petite famille quitta son foyer douillet et vogua jusqu’aux États-Unis alors que le jeune sorcier n’avait que quatre ans. Là-bas, il fit connaissance avec les tapis rouges, les paparazzi et son oncle. Le grand frère de Pelagia vivait en Californie depuis huit ans avec sa femme et sa fille, Nina. Ne vivant qu’à une heure de distance, Tiamat passa beaucoup de temps chez eux lorsque ses parents travaillaient, dans leur villa elle aussi près de la mer pour la même raison que celle de Pelagia l’avait été : des écailles sèches ne seyaient pas à un être de l’eau.
Ce fut en ce lieu que la magie de l’enfant se manifesta, quand il eut cinq ans. Ils pataugeaient dans les vagues salées du Pacifique et la jeune Nina s’aventura dans l’eau creuse, si creuse qu’elle n’y avait plus pied, et invita son plus jeune cousin à la rejoindre pour lui montrer un poisson qu’elle apercevait au loin. Sans réfléchir, Tiamat la suivit. Pourtant, alors qu’elle n’avait aucun mal à rester en apnée pendant une, deux minutes, lui commença à bleuir bien vite. Un accidentel sortilège de Têtenbulle lui sauva la vie ce jour-là.
La soirée-même, il questionna sa mère, et elle lui confirma qu’il n’était pas comme elle, son oncle et sa cousine. Des écailles scintillantes ne parsemeraient jamais ses jambes, et, pour la première fois, Tiamat se sentit différent.
Dès qu’il fut un peu plus vieux, les agents du showbiz commencèrent à inviter Tiamat dans leur monde. Bien qu’il tint quelquefois compagnie à sa mère lors de ses apparitions publiques et qu’il participa à quelques shooting photos à ses côtés, il fut gardé loin des plateaux télévisés lors de sa tendre jeunesse - ses parents voulaient pour lui une enfance, si pas normale, au moins insouciante. Pour la même raison, ils préférèrent ne pas l’envoyer à l’école primaire magique : ils doutaient de la capacité des autres mômes à ne pas harceler ou essayer d’exploiter leur petit joyau à cause de sa réputation. Ainsi, son père, bien qu’occupé à cause de son travail dans le musée magique d’histoire de Los Angeles, lui fit l’école à la maison, aidé de quelques vieux amis et collègues qui jouèrent aux précepteurs. Pelagia, elle, lui donna des cours de chant, ayant remarqué l’amour que son petit bout de chou avait pour cet art. Tout le monde s’attendait à ce qu’il suive ses traces une fois grand, mais l’heure n’était pas à l’exploitation du travail des enfants.
Le temps passe, et les jeunes grandissent : à un moment, l’heure arriva où Tiamat eut onze ans. Quand le moment de choisir une école vint, Ilukaan leur tapa presque immédiatement dans l'œil. En France ou aux États-Unis, sa célébrité collerait à la peau du jeune sorcier, alors qu’au Canada, sa réputation était moindre. Cette école lui permettrait peut-être de vivre une scolarité normale.
Sa première journée arriva enfin. Il déposa ses quelques boîtes de bibelots et vêtements dans sa nouvelle chambre et partit directement vers la cérémonie d’accueil. Lorsque son nom fut appelé, le cri de l’ours se fit entendre, et ainsi, il rejoignit la maison de la défense, les Ursirre. Ne comprenant pas le patriotisme de ses nouveaux camarades, il jugea silencieusement ceux qui l’applaudissaient alors qu’il ne faisait qu’aller s’asseoir à la même table qu’eux. Cette incompréhension n’en termina pas ici : n’ayant jamais interagi avec des personnes de son âge qui n’étaient pas de sa famille ou du milieu du showbusiness, il eut un mal fou à s’intégrer. Il y avait trop de gens, il ne savait pas comment leur parler, on le regardait avec jalousie ou on riait du fait qu’il n’avait pas d’amis.
Sa scolarité n’était pas heureuse, mais elle était ordinaire. Ses notes étaient bonnes, il passait ses après-midis à pratiquer le chant dans les salles annexes, et la vie suivait son cours, comme celle de milliards d’autres sans-noms. Du moins, jusqu’à ce que, à la fin de sa deuxième année, les provocations d’un élève de sa classe le poussent à bout et qu’il lui donne un coup de poing en plein nez, qui devint un véritable combat. Séparer les deux jeunes prit dix minutes à l’enseignant, qui fut « surpris de la hargne d’un si petit individu » (ses mots exacts). L’été-même, ses parents décidèrent qu’il ne participerait pas aux vacances annuelles d’Ilukaan pour le punir, et irait plutôt passer deux mois chez sa grand-mère, vivant dans un village magique français situé dans les Alpes du Sud, isolé du monde. De toute façon, puisqu’il avait grandi aux États-Unis, il n’avait jamais eu l’occasion d’apprendre à connaître sa mamie hors d’appels Skype et de visites au jour de l’an. D’une pierre, deux coups, comme on dit.
Ce qui avait été initialement prévu comme étant une punition fut, au final, une des expériences les plus marquantes de la vie du jeune élève. Pendant ces deux mois, il fut traité comme un individu lambda par tous les villageois, qui ne le connaissaient que comme « le petit-fils », et devint proche de sa grand-mère. Celle-ci l’amena nager dans le lac où elle avait rencontré son grand-père, sirène et hélas décédé quelques années avant sa naissance. Bien sûr, elle lui fit faire de la randonnée, lui présenta le dragon de la montagne, lui fit goûter à des plats originaux… Cet été, il découvrit que sa grand-mère était aventureuse et amusante. Cependant, cette vieille dame cachait aussi un côté plus doux. À chaque soir, elle jouait du violon, et, face à l’intérêt et aux regards curieux de Tiamat, lui apprit les bases de la pratique de cet instrument. Pour la première fois de sa vie, il se sentit comme s’il avait sa place aux côtés de quelqu’un.
Ses vacances en France suffirent à ce que Tiamat change sa perspective sur la vie. Il aimait qu’on lui parle comme s’il était n’importe qui. Il prit donc la résolution de tout faire pour qu’ils l’acceptent comme l’un des leurs. Malheureusement, cela voulait dire payer des choses aux autres, leur faire des faveurs déraisonnables, bref, parader son statut, se différencier davantage au lieu de se rapprocher des autres… Ce qui l’empêcha de former un vrai lien avec ne serait-ce qu’un seul de ses camarades.
Par contre, être en contact avec des jeunes adolescents de milieux différents et sa propre puberté l’amenèrent à se questionner. Il comprit alors qu’il avait 15 ans qu’il ne s’identifiait pas au terme « garçon »… Ni au terme « fille », ni à un entre-deux. De plus, il n’avait d’yeux que pour les gars… Ses parents et sa grand-mère en entendirent parler, tout comme certains camarades de classe, qui questionnaient sa récente acquisition de robes, jupes, et rubans.
Lors de sa cinquième année, sa mère commença à envoyer à Tiamat les offres des producteurs. Puisqu’il avait depuis longtemps exprimé l’envie de devenir lui aussi un artiste célèbre un jour et qu’il était désormais, si loin d’être adulte, assez grand pour entamer sa carrière, elle trouvait bon qu’il commence à se faire connaître. Sous ses propres termes, bien sûr. Pendant quelques mois, il fut incertain, mais décida de collaborer avec un vieil ami de Pelagia, qui voulait l’aider à enregistrer un single. Il ne l’écrit pas seul, mais travailler avec le compositeur l’amusa beaucoup.
Puisqu’aucun grand artiste n’atteint l’apogée de son art en une chanson, il décida de continuer sur sa lancée. En été 2023, au lieu d’accompagner les élèves de l’école un peu partout dans le monde, il retourna aux États-Unis pour participer à un concours de chant télévisé, « Put a Spell on me Junior ». Les premiers épisodes furent un jeu d’enfant pour lui, qui était de loin le participant le plus expérimenté et talentueux de la saison. Cependant, bien vite, il commença à se remettre en question.
Dès la première semaine, laissé à lui-même, Tiamat s’ennuya. Il décida de sortir de sa loge, de marcher dans les corridors pour se changer les idées… Soudainement, il entendit un de ses compétiteurs qui faisait des vocalises, bien qu’il venait à peine de terminer sa représentation. Le soir, il refit une marche, et entendit le même jeune homme pratiquer une chanson qu’il allait seulement performer la semaine suivante. Cette même voix, derrière la porte, celle d’un adolescent travailleur, devint pratiquement part de son quotidien.
Ce garçon perdit face à lui, qui avait le temps de s’ennuyer, lors de la troisième ronde d’élimination.
Alors, Tiamat décida qu’il ne méritait pas de chanter. Sa voix était seulement enchanteresse parce que la meilleure enseignante en chant au monde l’avait entendu gazouiller joliment et s’était dit qu’il serait malheureux de ne pas mettre son talent à profit. Il ne voulait pas de cet avenir facile, qu’on lui avait pratiquement pré-mâché, alors que d’autres travaillaient d’arrache-pied et rataient.
Une idée lui vint en tête. Une solution miracle à tous ses soucis : plus jamais Tiamat Lamyri ne serait une étoile inatteignable pour ses camarades, et plus jamais il n’aurait l’occasion d’oisivement voler des opportunités aux plus méritants. Lors d’un appel vidéo avec sa mamie, lui demanda une immense faveur. Il n’avait confiance en personne d’autre pour dire oui à ses folies, ni pour garder le secret.
Tiamat voulait être maudit.
Les semaines suivantes furent passées à rechercher les malédictions, élaborer un sort assez fort et obscur pour que personne n'arrive à lui retirer et un mensonge. L’histoire officielle serait la suivante : Tiamat recevrait le cadeau empoisonné d’un « fan », et serait dévasté que son avenir ait été ruiné. Dans les faits, son aïeule lui enverrait, sous un faux nom, un pendentif qu’elle aurait enchanté.
« Plus jamais, tu ne pourras chanter. Si tu essaies, ta bouche s’emplira de bulles, et ta voix sera ainsi tue. Une punition digne d’un petit insolent, ne penses-tu pas ? »
Leur plan se déroula comme ils l’avaient prévu, et, bien sûr, l’événement fit scandale. Ce fut sans regrets qu’il quitta le plateau de tournage de « Put a Spell on me » pour passer les quelques derniers jours des vacances d’été chez ses parents. Pendant ces jours, il se questionna. Maintenant qu’il n'était qu'un adolescent ordinaire, que faire ? Il savait qu’il voulait continuer à jouer de la musique, mais autrement. Son art devait être le fruit de son labeur personnel, de sa sueur et de ses désirs. Il considéra plusieurs avenues : La danse ? Le sport n’était pas son truc. Le piano ? Trop un bel instrument, il avait l’impression de profaner un monument religieux à chaque fois que ses doigts en frôlaient les touches. Non, il lui fallait autre chose, qui le ferait vibrer sans le mener à s’auto-détruire dans une quête de perfection inachevable.
Juste avant d’entrer en sixième année, Tiamat prit la décision de poursuivre le violon sérieusement. Il en jouait depuis quatre ans, mais seulement comme loisir. Ainsi, atteindre un niveau digne de ses hauts standards lui demanderait beaucoup, beaucoup de travail. De plus, il pourrait ainsi rendre hommage à sa grand-mère, celle qui lui avait ouvert les yeux quant à la tristesse de sa réalité, et celle qui l’avait aidé à changer sa vie.
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| Sujet: Re: Bon Voyage, Your Mermaid's Setting Sail | Tiamat Ven 12 Juil 2024 - 7:50 BIENVENUE A TIMAT5 OMG DEPUIS LE TEMPS <3 | | Mithrun of Kerensil Personnel | Image du profil : ϟ Œuvre : Dungeon Meshi
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| Sujet: Re: Bon Voyage, Your Mermaid's Setting Sail | Tiamat Ven 12 Juil 2024 - 17:19 TIAMAT SUR ILUKAAN???? *pretends to be shocked*
Bienvenue au poissongue, I love them! | | Vincent Leroy Ex-Directeur | Image du profil : Comment appelle-t-on un chat qui chante?
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| Sujet: Re: Bon Voyage, Your Mermaid's Setting Sail | Tiamat Lun 15 Juil 2024 - 13:07 J'adore Tiamat, jsp si j'ai été assez claire en pv... Bon courage à ce bonhomme pour s'intégrer malgré lui ! Mets pas trop d'savon partout non plus tho'. Validation Bienvenue chez les Ursirre Accompagné par d'autres nouveaux élèves, tu es appelé par le directeur à t'avancer au centre du Dôme. Scruté par les élèves et étudiants, tu regardes alors ton reflet dans la fontaine qui va décider de ton sort. D'abord voyant ta sale tête dans l'eau, tu remarques que le reflet semble se changer peu à peu jusqu'à prendre la forme d'un ours. Tu es d'autant plus surpris quand l'animal commence à pousser un cri dans toute la salle. Tout le monde se met soudainement à t'applaudir, tandis que le directeur s'approche de toi avec un saphir brute qu'il met autour de ton cou. "Bienvenue à Ursirre !" ⇢ Te voilà validé, tu peux désormais poster dans tous les recoins du forum, RP-Post ainsi que RPCB. ⇢ N'hésite pas à voir la chambre qui t'a été attribuée. ⇢ Si ton personnage est en cursus universitaire, il peut postuler pour avoir un job d'étudiant. ⇢ Crée dès maintenant un topic pour récapituler les relations de ton personnage. Tu peux également acquérir un portable ou bien créer un blog. ⇢ N'hésite pas à faire une demande de RP pour trouver un partenaire d'écriture ! ⇢ Enfin, amuse-toi bien sur le forum, n'hésite pas à en parler autour de toi et à voter régulièrement aux TS ! | | | | Sujet: Re: Bon Voyage, Your Mermaid's Setting Sail | Tiamat
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