|
If I ever say "do you want me to be honest?" Say no. | Amelia Moore. | | | Sujet: If I ever say "do you want me to be honest?" Say no. | Amelia Moore. Lun 30 Aoû 2021 - 22:05 Amelia Moore
OC. | | Identité | ► Moore. ► Amelia (dit Melia, Lia, Amy, Am’, Ames ou encore Minipousse et d’autres adjectifs sympathiques référents à son encore petite taille,). Elle/elle. ► 12 ans. ► Étasunienne d’origine. ► Anglais (langue maternelle). ► 24 janvier 2010, à Washington DC, USA. ► Ses yeux sont colorés d’un marron clair tirant quelque sur le vert, tandis que ses cheveux possèdent une couleur blond pâle. ► 1m28 pour 23kg. |
Who am I...? Amelia est une sorcière née-moldue appartenant à la maison Lupy et deuxième année. Elle ne possède aucun don. Elle n'occupe aucun poste.
Sa baguette est faite de Frêne, avec un cœur en plume de Phénix, d'une longueur de 22,4 cm, légèrement flexible. Son animal de compagnie est un bébé hibou Grand-Duc de Virginie du nom de Vega.
Son patronus est un albatros. L'odeur de son Amortentia est composée de celle du beurre de cacahuète, du goudron chaud et des vieux livres qui ont passé un bon bout de temps sur leur bibliothèque. Son reflet dans le miroir du Riséd est une représentation d’elle, gagnant des compétitions dans ses domaines de prédilection. Son Épouvantard prend la forme de d’un crash d’avion entouré de feu et composé de bruyantes explosions.
Elle n'a pas de famille présente à Ilukaan. Sa matière favorite est le vol et la matière qu'elle aime le moins est encore à déterminer. Derrière l'écran Pseudo & pronoms : Zephyr ; Iel.Souhaites-tu être parrainé·e ? Nop.Avatar : Megan — Amiette.Code du règlement : XComment as-tu trouvé le forum ? Je suis dans le groupe des vieux de la vielle.Un petit mot ? Je sais que j’avais dit que je referais Morgan, et que certain·es l’attendaient, et je suis désolé·e, j’ai ramené Minipousse (promis elle va grandir) à la place. headcanons Adore la vitesse. — Est un monstre au karting. — Pilote depuis qu’elle en a le droit, même si elle touche des fois difficilement les pédales. — Á cause de sa petite taille, elle est obligée de se défendre avec du sarcasme. — Court plutôt vite, car il faut bien échapper aux gens. — Aime la nourriture épicé. — N’a pas le palais très fin. — Du genre à faire ses devoirs à la dernière minute, mais à quand même des notes plus que correctes. — Ne brosse jamais ses cheveux. — Attend de grandir avec impatience pour qu’on cesse de se moquer d’elle ou de lui refuser des choses, comme, au hasard, des attractions. — Défonce tout le monde aux auto-tamponneuses. — Attend avec impatience d'avoir la possibilité de faire du saut en parachute. — En bref, elle aime les sports à sensation allié à la vitesse. — N’a fait que des compétitions automobiles amateures sans prix et est douée. — S’est promis de gagner des courses plus officielles. — Pour l’instant elle se limite à la vitesse sur terre, mais elle compte bien aller dans les airs. — Son père est un aviateur émérite. — D’ailleurs, elle a déjà été copilote de son père sur un trajet en avion (un petit, ils n’étaient que tous les deux, sur une courte distance, elle n’a pas piloté, juste indiqué le chemin et poussé quelques boutons, et le vrai copilote était juste derrière elle). — A un faible pour les jupes avec des bretelles. — Sa mère est couturière, et lui fait la plupart de ses vêtements. — Souvent avec des constellations, ou des motifs qui rappellent Halloween. — Période qu’elle préfère. — Affectionne les animes de mecha. — Si ça existait, elle voudrait en piloter un. — Plutôt faible physiquement, elle n’aime pas spécialement le sport outre ceux de vitesse, évidemment. — Bien qu’elle fasse un peu de skate, et des rollers de temps à autres. — Apprécie qu’on lui fasse différentes coiffures, même si ça implique de brosser ses cheveux. — En primaire elle séchait les cours à cause des incessantes moqueries sur sa taille et car certaines personnes la harcelaient physiquement. — Est toujours prompte à sécher un cours si cela lui arrive de nouveau. — Ne rejette pas spécialement l’autorité mais n’apprécie pas qu’on la commande. — Trouve les relations amoureuses ridicules. — Très douée pour les jeux de rythmes, surtout ceux qui s’accélèrent. — Son jeu favori c’est « Like a Dino! ». — Sinon en vrai elle n’est pas spécialement douée pour les activités manuelles. — Possède une petite peluche d’une cigogne qu’elle garde toujours sur elle. — N’aime pas le chocolat, ni n’est très fan des choses trop sucrés. — Rejette tout type de boisson gazeuse. — Se prend souvent à essayer de trouver des formes avec les nuages. — Essaye de se montrer plus mature qu’elle ne l’est. — Pour la soutenir, sa maman fait de la magie non-maj, mais n’est pas très douée. — Apprécie l’art de l’origami. — Incapable de ne hausser qu’un seul sourcil, alors elle se contente de les froncer. — Trouve la danse classique magnifique. — Possède une petite figurine de ballerine qui fait de la musique, offerte par sa mère. — Désire voler au moins une fois sur le dos d’un dragon. — Apprécie les rumeurs et commérages, mais le niera avec force. « Trust me, I’m a pilot. » « Don’t trust everything you see. Even sugar looks like salt. » Être la plus petite de sa classe est quelque chose de devenu naturel pour Amelia, être moquée ou tournée en dérision aussi, bien qu’elle préfèrerait que cela cesse. Il va sans dire qu’elle espère grandir dans un futur plutôt proche, sans souhaiter dépasser le mètre quatre-vingt non plus, simplement ne juste plus avoir à grimper sur un escabeau dès que quelque chose est un tant soit peu en hauteur. C’est son seul et unique complexe.
À ajouter à cela : de longs cheveux qui rendent sa stature presque plus chétive. Sa chevelure, d’une couleur blonde cendrée, boucle naturellement, et lui permet de se cacher dedans si le besoin s’en faisait ressentir. Par habitude, elle la laisse lâche, flottant au gré du vent et de sa marche. Pour s’éviter de ressembler à un cocker trempé, elle ne les brosse jamais, même après la douche — cela plus par flemme et parce qu’elle ne prend pas spécialement soin d’elle. Il lui arrive de se laisser coiffer par sa mère, qui semble adorer trouver de nouvelle façon d’attacher ses cheveux à chaque fois. La seule exception est lorsqu’elle fait du sport, elle les coince en une queue de cheval haute pour qu’ils ne la dérangent pas, et basse si elle doit mettre un casque. Nouvellement, elle prend l’habitude de coincer sa baguette dans quelques-unes ses mèches, en un petit chignon.
Si Amelia aborde généralement une expression plutôt neutre, lorsqu’elle est face à quelqu’un qu’elle jugera stupide, une personne qui se moquerait d’elle, un individu qui la commandera ou un professeur qui se la jouerait « jeune », elle aura cette tendance à froncer ses épais sourcils foncés, à défaut de réussir à n’en hausser qu’un seul. Tandis que dans ses yeux d’un marron clair constellé de tâches vertes, passeront d’indifférent à sombre. Et c’est à ce moment-là que, de sa voix encore fluette, elle lancera une pique bien sentie, ou s’efforcera à ne lâcher qu’un simple soupir blasé.
Il est fort possible de croire que l’étasunienne ne sait pas sourire, voir ses dents relève d’un défi que ses parents relèvent depuis sa petite enfance. Les yeux dirigés vers le ciel, la bouche fermée et l’expression paisible, c’est le plus proche qu’il est possible de la voir physiquement heureuse. Autrement, elle conserve en toute circonstance le trait distant et renfermé. C’est à se demander si elle complexe sur ses dents, or ce n’est pas le cas du tout, sa dentition est parfaite en tout point, et ne nécessitera pas le passage disgracieux avec l’appareil dentaire.
Son visage dénote encore les marques de l’enfance, rond, des joues rebondies, un petit nez qui trône en plein milieu. Il ne possède pas encore d’imperfection lié à l’adolescence, pas de bouton en vue, simplement quelques rougeurs associés à son temps passé au soleil avec un oubli de crème solaire. Amelia ne bronze pas, elle rougie, prend des coups de soleil. C’est pour cela qu’il n’est pas rare de la voir avec un tube d’indice cinquante dès que l’astre du jour fait son apparition.
Pour ce qui est de son port de l’uniforme, c’est assez simple. Amelia se vêt de la jupe règlementaire, généralement la courte même en hiver (avec des exceptions), associée à des collants sombres en hiver, opaque en été, elle apprécie la sensation sur ses jambes. Il est important de préciser que la jeune fille à tendance à préférer que les vêtements qui couvrent ses jambes soit courts, car cela lui permet une plus grande mobilité, et rares sont les exceptions. Elle est, par ailleurs, plutôt heureuse de voir que l’uniforme comporte des bretelles. Cela fait écho à ses vêtements de tous les jours, qui se traduisent souvent par des jupes à également pourvu de bretelle. Le rouge et le noir lui donne une légère sensation d’Halloween, bien que ce ne soit pas les couleurs exactes, elle s’en contente. La cape est également en coordination parfaite avec les motifs qu’abordent la plupart de ses collants et même quelques pulls. Elle se trouve souvent à la regarder pour voir les constellations bouger au gré de celles dans le ciel. Un bonus plus qu’appréciable. Ses deux accessoires favoris est une paire de lunette d’aviateur rétro, et une copie de celles de Tom Cruise dans Top Gun, personne n’a le droit d’y toucher, et encore moins de les essayer.
Amelia a quelques petites habitudes, sans véritablement parler de tics, outre celles de froncer les sourcils presque à longueur de journée. Comme celui d’entortiller une mèche de ses cheveux quand elle se trouve en pleine réflexion, alors perdue dans ses pensées. Lorsqu’elle doit se retenir de parler, de lancer quelques remarques bien senties, elle a tendance à se mordre la langue ou l’intérieur de la joue, et cela lui provoque des aphtes régulièrement, principalement à cause de ses canines pointues — heureusement pour son entourage, elle ne mord pas. La tête littéralement dans les nuages, l’étasunienne peut se détacher de son entourage, oubliant ce qui se passe et se perd dans ses pensées. Souvent concernant ses passions, à la prochaine fois qu’elle ira faire du karting, ou quand son père l’amènera en balade en avion. Car Amelia aime les sensations fortes liés à la vitesse. C’est une grande partie de sa personnalité. Depuis l’enfance elle a été mise dans ce monde, celui de la course automobile, des auto-tamponneuses, et des voyages en avion. À l’instar de son modèle, Amelia Earhart avec qui elle partage le même prénom, son rêve est d’obtenir son permis d’avion, de posséder le sien et de partir à l’aventure avec.
Ses parents la soutiennent de tout leur être dans ses rêves, la gâte même souvent dans ce sens là et elle leur rend leur affection à sa manière, avec des petites attentions gentilles, et une absence de caprice qui les a toujours étonnés. Ils désirent tellement lui apporter leur support, que sa mère s’est mise à la magie non-maj’, provoquant des fous-rires chez son mari, et de long soupir chez sa fille. Son père, de son côté, ayant quelques contacts, réserve dès que possible des pistes de karting pour eux trois. Dans ces moments-ci, Amelia est plus paisible que jamais. Et si elle parvient à battre sa mère, son père est encore bien loin devant, mais elle s’est promis de le battre, un jour.
Il est possible de qualifier Amelia de personne patiente, la voir supporter les tours de magie ratés de sa mère est une chose qu’elle va devoir apprendre à faire en silence, tout comme lorsqu’elle est son cobaye. Sa génitrice s’aide de sa famille pour voir ce que donne ses créations vestimentaires, que ce soit des prototypes ou des commandes. Ainsi, Amelia se retrouve sous les coups de ciseaux, les épingles et les aiguilles de la créatrice qui lui confectionne la plupart de ses vêtements.
En accord avec son apparence, Amelia est une enfant renfermée de nature, peu sociable par-dessus cela. N’importe qui penserait qu’il s’agit d’une conséquence à la victimisation qu’elle a subi en primaire par ses camarades, mais la vérité est assez éloignée de cette constatation erronée. L’Étasunienne n’a jamais été une enfant vive et joyeuse, qui souriait à ses parents, riaient des chatouilles ou des blagues. Pour dire vrai, les incessantes moqueries et brimades physiques dont elle était l’objet n’ont pas aidé à ce qu’elle s’ouvre aux autres.
Amelia n’a jamais su l’exacte raison qui poussaient à ses camarades de primaire à la traiter ainsi. Peut-être était-ce en raison de sa taille, mais cela lui semble un peu futile, même pour des enfants. Alors, il est a pensé qu’ils s’en prenaient à elle pour son caractère taciturne, éloigné de la cohue générale. Puisqu’elle semblait préférer plier des papiers seule dans son coin plutôt que d’aller jouer avec les autres, ils le lui faisaient payer en détruisant ses œuvres, encore maladroites. La liste de ce qu’elle a subi pour le bon plaisir des caïds de l’école est encore longue, et cela a eu deux conséquences importantes : Amelia fuyait sa classe, s’enfermait dans sa chambre, se rendait à la bibliothèque, se cachait dans l’atelier de sa mère, et elle s’est entraînée au sarcasme. Sa seule arme face à ces personnes plus grandes et plus fortes.
Maintenant qu’elle a quitté le primaire, elle ne pense plus réellement à cela, elle ne regarde pas en arrière, son attention est fixée vers l’avenir qu’elle se décide. Celui qu’elle obtiendra par la force de sa détermination. Bien qu’elle soit encore jeune, Amelia se fait facilement des opinions sur tout un tas de sujet et s’en défait difficilement. On peut même dire qu’elle est bornée. Il vaut même mieux ne jamais lui dire qu’elle ne peut pas faire quelque chose, car elle prouvera le contraire — à n’importe quel prix.
Ses premières impressions sont souvent justes, et elle a, de ce fait, l’impression de ne pas avoir besoin de les remettre en question. En revanche, elle sait avouer ses torts, quand ils lui sont mis sous le nez, ce n’est pas agréable et elle doit ranger son ego dans poche, mais elle les accepte. S’excuser n’est pas encore quelque chose qui lui est facile, à la place elle se contente d’une maigre attention et d’un regard fuyant.
Bien qu’elle ne soit pas des plus sociable, si le bon sujet est sur la table, Amelia n’aura pas sa langue dans sa poche. La jeune fille ne déprécie pas parler à autrui, alimenter une conversation, même si ce n’est pas quelque chose de très naturel chez elle. Il lui arrive de communiquer avec des origamis, en fonction des couleurs ou des formes, cela peut représenter ses diverses émotions. La seule personne qui parvient à les comprendre est son père, avec qui elle a appris ce genre de code plus jeune. Il va sans dire qu’elle n’est pas du genre à se plaindre, à raconter ce qui lui arrive. De plus, elle est une tombe lorsqu’il s’agit de secret, il est possible de se confier à elle, le secret sera encore mieux gardé que Fort Knox.
La Lupy est plutôt rusée de nature, sans aller jusqu’à manipuler les autres, elle ne se laisse simplement jamais avoir. Principalement car elle ne donner pas sa confiance aux autres, et qu’elle vérifie toujours tout ce qu’on lui dit, quand c’est possible. Par ailleurs, elle pourrait mener les autres sur de mauvaise piste si elle le désirait, mais ce n’est pas dans ses projets. Amelia essaye d’apparaître plus mature qu’elle ne l’est, et dans ce petit corps cela jure. Ses paroles ne reflètent pas nécessairement son apparence, et par moment ses paroles dénotent de son encore jeune âge. Cela promet qu’elle sera vive d’esprit, et d’une réflexion poussée.
Deux choses qu’elle garde pour elle, sont ses passions pour les mechas et les peluches. Ce n’est pas qu’elle en a honte, elle veut simplement garder ce monde secret, l’éloigner des yeux des autres, sauf de ses parents. Dans sa chambre elle expose quelques figurines de mecha provenant de film et d’anime. Le reste est remplie de peluche de toutes tailles, mais d’un seul genre : des oiseaux, d’innombrables oiseaux. Plus jeune, elle s’imaginait voler sur leur dos, ou à leurs côtés. À Ilukaan, elle n’a amené qu’une petite cigogne, qu’elle conserve dans son sac et se trimballe un peu partout, il s’agit d’un porte-bonheur. « People say I act like I don’t care… I’m not acting. » Comme beaucoup, la vie d’Amelia Moore est plutôt calme et heureuse.
Et tout cela a commencé un 24 janvier 2010, à Washington DC, le jour de sa naissance. Rien de bien extraordinaire, si ce n’est le miracle de la naissance, d’un enfant en parfaite santé et des parents heureux de commencer cette nouvelle vie à trois.
Son père est un pilote de karting et d’avion durant ses temps libres, avec en poche un diplôme d’ingénieur en aéronautique, qui s’est reconverti en technicien d’essai et concepteur, qui, en vue d’une imminente vie de famille, n'a pas continué vers sa passion pour la formule 1, bien qu'il aurait été promis à une carrière fantastique, il garde moult contacts dans ce milieu toutefois. Sa mère est une couturière indépendante sans grand revenu, qui s’est amusée, durant toute sa grossesse, à créer toutes les tenues que sa fille allait porter durant sa phase de nourrisson. Cela fait, elle continuera à confectionner ses vêtements, comme elle fait pour son mari.
L’enfance d’Amelia sera des plus banales, sans aucun événement pour perturber sa croissance. Elle est constituée d’amour, de petit bonheur et de blessure bégnine enfantine. L’enfant ne cherche pas à se faire comprendre immédiatement, elle reste calme dans son berceau, et même lorsqu’elle commence à marcher, elle reste assez statique pour que cela n’inquiète pas ses parents. Ils la couvent d’amour, de jeu et de jouet. Rapidement sa chambre se retrouve sous les peluches car elle montre très vite un intérêt pour elles, et seront rejointes, quelques années plus tard, par des figurines de mecha.
Elle montre très vite ses intérêts pour le karting, après avoir regardé des compétitions avec son père, elle demanda à s’y essayer, la formule 1 en apprenant les exploits de son père, et pour l’aviation dès lors que son père en parlait chez eux. La vivacité nouvelle d’Amelia, l’enfant calme par excellence, donnait le sourire à ses parents, même s’ils durent lui annoncer qu’elle ne pourrait pas faire du saut en parachute avant qu’elle ne pèse au moins une quarantaine de kilos. Sa déception fût passagère, car ses géniteurs l’inscrivirent à une compétition de karting pour enfant, et lui promirent de le faire chaque année. Assez régulièrement elle demande également à se rendre au National Air and Space Museum de la Smithsonian Institution, lieu dans lequel elle pouvait y rester des heures, juste à regarder modèles suspendus sous sur nez ou posés non loin d’elle. Elle les connaissait par cœur, et pouvait presque servir de guide.
En revanche, une fois qu’elle intègre le primaire, sa petite bulle de bonheur et de calme va éclater. La plus petite de sa classe, réservée, encore timide et la tête dans les nuages, Amelia se retrouvera très vite être la cible des moqueries de ses camarades. Ils s’en prendront à elle physiquement, la poussant dans les couloirs et la cour de récrée, la laissant de côté lorsqu’elle s’approche pour se sociabiliser. Tout s’escaladera très vite en prenant de l'âge, et Amelia se referme de plus en plus, jette ses origamis déchirés, piétinés, à la poubelle, range ses affaires mises sur le sol, ravale ses larmes alors qu’on lui tire les cheveux. C’est lorsqu’un des enfants, alors âgé de sept ans, lui emmêle un chewing-gum dans les cheveux que quelque chose craque en elle : plus jamais elle ne veut retourner à l’école. Ses parents n’en sauront jamais rien, car une fois arrivée chez elle, le bout de plastique mâché avait disparu. Comme par magie.
Alors, pour la première fois de sa vie, Amelia sèche les cours, elle ne monte pas dans le bus qui vient la chercher tous les matins et retourne le plus discrètement possible chez elle. Son plan est de s’enfermer dans sa chambre jusqu’à la fin de la journée. À cet âge, elle s’en pense capable. Mais sur sa route, elle croise un premier obstacle, qui ruinera sa journée : sa mère est dans le jardin à s’occuper des plantes, et elle a entendu la porte. La main prise dans le sac, Amelia est obligée d’avouer qu’elle ne veut pas aller en cours, qu’elle veut rester à la maison. Ce qui semble être incompréhensible pour sa mère, qui ne l’avait jamais vu rejeter avec autant d’ardeur l’école. Muette, Amelia ne crache pas le morceau sur les brimades de ses camarades, et préfère les taire. Après tout, elle aurait dû les affronter, comme sur une piste. Elle ne s’en sentait pas capable, trop petite, trop chétive, malgré un répondant nouveau empli de sarcasme. Heureusement qu’elle courait vite.
Les jours suivant c’est un peu la même rengaine, et Amelia refuse de sortir de sa chambre. À tel point qu’un jour, sa porte ne veut plus s’ouvrir du tout, sans même avoir été fermé à clef. La maison étant vieille, personne ne s’en inquiète, ce n’était pas la première fois qu’une porte se coinçait. C’est le second acte de magie dont la petite fait preuve, invisible aux yeux de tous.
Ses parents, ne sachant pas quoi faire, n’ayant même pas conscience de la raison de ce refus catégorique, décident de la sortir de l’école et de la garder à la maison pour lui prodiguer eux-mêmes les cours. Comme sa mère était son propre patron, elle pouvait se permettre de rester plus souvent à la maison, et de temps à autres, son père l’amenait jusqu’à son entreprise, où il prenait de son temps libre pour lui faire ses cours, et lui montrer son lieu de travail. Et cela se passe bien jusqu’à la fin de l’année, mais elle va devoir reprendre le chemin de l’école, car ils ne pourront pas continuer ainsi pour toujours.
Amelia a neuf ans, et retourne en cours. Immédiatement, la victimisation recommence, les enfants se moquent de son absence cette fois. Au bout d’une semaine elle joue à la fille de l’air, mais au lieu de se réfugier chez elle, Amelia décide de se cloîtrer dans la bibliothèque du village, rapidement trouvé par sa mère qui avait été appelé par l’école et le bibliothécaire. Encore une fois, Amelia s’enferme dans le silence, et il est impossible de lui tirer les vers du nez. Pour la énième fois, sa mère abandonne et la ramène à la maison.
Un pacte se fait entre elles deux, si Amelia retournait en cours pour les évaluations, elle ferait en sorte de lui prodiguer les cours à la maison avec son père. C’est un compromis qui ne plaît pas spécialement à l’enfant, mais elle l’accepte. C’est un pas en avant, qui l’aidera à repartir dans le monde de l’école. Sa mère est alors obligée d’expliquer le cas étrange de sa fille, et l’arrangement est accepté. Le bien être d’Amelia est ce qui compte le plus.
L’année se passe ainsi, Amelia se rend en classe pour ses contrôles, et reste à la maison pour apprendre avec ses parents. Invisible à leurs yeux, quelques actes magiques font surface autour de l’enfant, des objets qui bougent, la télévision qui se rallume soudainement juste après avoir disjonctée, rien qui ne semble alarmer qui que ce soit.
Le jour de ses onze ans, un courrier pour le moins étonnant leur parvient : des flyers pour différentes écoles de magie.
Amelia, les papiers entre les mains, rejoint ses parents pour leur demander qui est l’instigateur de cette blague qu’elle ne trouve pas drôle. Mais il ne s’agit pas de leur fait, et ils semblent aussi étonnés qu’elle. Comme cela ne provient pas d’eux, elle jette tout à la poubelle. Quelques heures plus tard, à la porte se trouve deux personnes, s’annonçant comme des envoyés du Ministère de la magie, qui auraient dû accompagner les flyers mais avait rencontré un retard imprévu. La blague allait trop loin, et Amelia quittait alors la pièce, sans une parole de plus.
Pourtant les deux envoyés du Ministère restèrent pour expliquer et démontrer la véracité de leur propos à ses parents, qui furent rapidement convaincu après une preuve tangible : un sort de réparation sur une tasse qui s’était retrouvée au sol, bisée en plusieurs morceaux. Dans l’escalier, Amelia assista à ce manège, sans pour autant trouver une quelconque explication scientifique. Étant la principale concernée, elle fut rappelée par son père pour écouter le reste du discours des deux sorciers, qui concernait le choix de l’école de magie, et les flyers furent sortis de la poubelle, rapidement nettoyé d’un simple coup de baguette. L’explication faites, ces deux personnes n’avaient plus rien à faire, mais laissèrent un numéro à contacter si le besoin s’en faisait ressentir.
Maintenant il ne restait plus qu’à choisir dans quelle école Amelia irait. Elle ne pouvait pas se défiler, à la rentrée 2021, elle rentrerait au collège, dans une école de sorcellerie, sans possibilité d’apprendre chez elle puisque ses parents étaient ce qu’on appelle des non-majs. Sous ses yeux défilaient les flyers, mais aucun ne faisait vraiment envie à l’enfant, simplement car elle ne désirait pas partir loin de chez elle, avoir de nouveaux camarades et retomber dans le même schéma qu’en primaire. Elle décida de laisser le choix à ses parents, qui, après une très courte réflexion, préféraient que ce soit au plus proche, pour pouvoir la récupérer si besoin s’en faisait ressentir. Deux écoles convenaient : Ilvermorny et Ilukaan. L’une aux États-Unis et l’autre au Canada. Les deux écoles présentaient de bons avantages, et à la finale ils prirent la décisions qu’Ilukaan semblait plus adaptée aux problèmes de leur filles.
Pour essayer de lui remonter le moral durant ces longs mois entre la révélation de sa nature, et sa nouvelle rentrée, sa mère se mit à la magie non-maj, sans grande réussite. Elle lui fit même une grande surprise un mois avant le début des cours : elle lui ramena un bébé hibou grand-duc, pour l’accompagner dans ce nouveau voyage, pour ne pas qu’elle soit seule.
La rentrée serait difficile, s’adapter à ce nouveau monde, mais sa baguette dans la poche et Vega sur l’épaule, Amelia apparaissait grandie aux yeux de ses parents, prête à vivre en parfait accord dans ce nouveau monde. (c) Ilukaan | | Lilwenn Cerwyn Cervirald | Image du profil : ϟ Œuvre : OC
ϟ Parchemins : 41
ϟ Gallions : 50
ϟ Âge (RP) : 17 ans
ϟ Maison : Cervirald
ϟ Année scolaire : 7ème année
ϟ Baguette : Bois de rosier, crin de Ceffyl dŵr, fine et souple, décorée de fines arabesques, 19 centimètres.
ϟ Malle : "L'Histoire de la Magie, de nos plus lointains ancêtres à nos jours", une encyclopédie en 32 tomes. | Quelques livres sur les perroquets. | Des dizaines de sachet de thé en vrac. | Des ailes de fées (le jouet pour enfant). | Des coquillages. | Des livres de botanique avancée. | Des chaussons de danse.
|
| Image du profil : ϟ Œuvre : OC
ϟ Parchemins : 41
ϟ Gallions : 50
ϟ Âge (RP) : 17 ans
ϟ Maison : Cervirald
ϟ Année scolaire : 7ème année
ϟ Baguette : Bois de rosier, crin de Ceffyl dŵr, fine et souple, décorée de fines arabesques, 19 centimètres.
ϟ Malle : "L'Histoire de la Magie, de nos plus lointains ancêtres à nos jours", une encyclopédie en 32 tomes. | Quelques livres sur les perroquets. | Des dizaines de sachet de thé en vrac. | Des ailes de fées (le jouet pour enfant). | Des coquillages. | Des livres de botanique avancée. | Des chaussons de danse.
| Sujet: Re: If I ever say "do you want me to be honest?" Say no. | Amelia Moore. Mar 31 Aoû 2021 - 1:18 Je suis déjà venue te voir en pv hihi mais rebienvenue, contente de revoir Amelia <33 | | | | Sujet: Re: If I ever say "do you want me to be honest?" Say no. | Amelia Moore. Mar 31 Aoû 2021 - 8:12 Ameliaaa Hâte de la voir validée, son frère de coeur l'attend avec impatience | | Keyne Glyndŵr Cervirald | Image du profil : ϟ Œuvre : OC
ϟ Parchemins : 270
ϟ Gallions : 600
ϟ Âge (RP) : 21
ϟ Maison : Cervirald
ϟ Année scolaire : 11ème année
ϟ Baguette : Poirier – Crins de licorne – Fine – Flexible – 25cm
ϟ Cursus : Education magique
|
| Image du profil : ϟ Œuvre : OC
ϟ Parchemins : 270
ϟ Gallions : 600
ϟ Âge (RP) : 21
ϟ Maison : Cervirald
ϟ Année scolaire : 11ème année
ϟ Baguette : Poirier – Crins de licorne – Fine – Flexible – 25cm
ϟ Cursus : Education magique
| Sujet: Re: If I ever say "do you want me to be honest?" Say no. | Amelia Moore. Mar 31 Aoû 2021 - 8:22 Une première année !!! (Bientôt en tout cas) <333 Elle a l’air toute choupi, j’aime beaucoup son prénom tbh.
Bon courage ! | | | | Sujet: Re: If I ever say "do you want me to be honest?" Say no. | Amelia Moore. Mar 31 Aoû 2021 - 9:42 GASP. Elle est là. Rebienvenue potichat, très content de voir ce bébé arriver (même si elle n'est pas à Ursirre, OUIN) Courage pour ta fiche !! | | | | Sujet: Re: If I ever say "do you want me to be honest?" Say no. | Amelia Moore. Mer 1 Sep 2021 - 20:48 Merci à vous toustes ! J'espère que la fiche d'Amelia vous plaira, et que le personnage aussi pour le coup ! (Toujours choçu·e qu'elle soit pas à Ursirre mais on va dire que Lupy ça passe ) | | Ranma Saotome Sans maison fixe | ϟ Œuvre : Ranma 1/2
ϟ Parchemins : 112
ϟ Gallions : 189
ϟ Âge (RP) : 17 ans
ϟ Année scolaire : 7ème année
|
| ϟ Œuvre : Ranma 1/2
ϟ Parchemins : 112
ϟ Gallions : 189
ϟ Âge (RP) : 17 ans
ϟ Année scolaire : 7ème année
| Sujet: Re: If I ever say "do you want me to be honest?" Say no. | Amelia Moore. Jeu 2 Sep 2021 - 5:04 J'espère bien. Bon jeu avec ce nouveau personnage ! | | | | Sujet: Re: If I ever say "do you want me to be honest?" Say no. | Amelia Moore. Jeu 2 Sep 2021 - 13:09 Pouahahah Gégé Merci beaucoup ! | | Vincent Leroy Ex-Directeur | Image du profil : Comment appelle-t-on un chat qui chante?
Chat-kira.
ϟ Œuvre : Original Character
ϟ Parchemins : 1709
ϟ Gallions : +infini
ϟ Âge (RP) : 51 ans
ϟ Année scolaire : PNJ
ϟ Titre(s) : Ancien Directeur d'Ilukaan — PNJ
ϟ Don : Être plus fab que toi
ϟ Baguette : Vigne, coeur en plume d'oiseau tonnerre, 30,45 centimètres. Avec un joli strap dessus.
|
| Image du profil : Comment appelle-t-on un chat qui chante?
Chat-kira.
ϟ Œuvre : Original Character
ϟ Parchemins : 1709
ϟ Gallions : +infini
ϟ Âge (RP) : 51 ans
ϟ Année scolaire : PNJ
ϟ Titre(s) : Ancien Directeur d'Ilukaan — PNJ
ϟ Don : Être plus fab que toi
ϟ Baguette : Vigne, coeur en plume d'oiseau tonnerre, 30,45 centimètres. Avec un joli strap dessus.
| Sujet: Re: If I ever say "do you want me to be honest?" Say no. | Amelia Moore. Ven 3 Sep 2021 - 11:25 Ici Gaumar ! Tu es validé.e, félicitation ! J'espère qu'Amélia va se sentir mieux ici qu'à son école non-maj', de toute façon si Keyne la croise et qu'elle est témoin de harcèlement, elle va plaquer des gens au sol dans la violence. C'est aussi incroyable cette passion pour la vitesse, hâte de voir où ça va aller! Bon RP ! Validation Bienvenue chez les Lupy Accompagnée par d'autres nouveaux élèves, tu es appelée par le directeur à t'avancer au centre du Dôme. Scrutée par les élèves et étudiants, tu regardes alors ton reflet dans la fontaine qui va décider de ton sort. D'abord voyant ta sale tête dans l'eau, tu remarques que le reflet semble se changer peu à peu jusqu'à prendre la forme d'un loup. Tu es d'autant plus surpris quand l'animal commence à pousser un cri dans toute la salle. Tout le monde se met soudainement à t'applaudir, tandis que le directeur s'approche de toi avec un rubis brut qu'il met autour de ton cou. "Bienvenue à Lupy !" ⇢ Te voilà validé, tu peux désormais poster dans tous les recoins du forum, RP-Post ainsi que RPCB. ⇢ N'hésite pas à voir la chambre qui t'a été attribuée. ⇢ Si ton personnage est en cursus universitaire, il peut postuler pour avoir un job d'étudiant. ⇢ Crée dès maintenant un topic pour récapituler les relations de ton personnage. Tu peux également acquérir un portable ou bien créer un blog. ⇢ N'hésite pas à faire une demande de RP pour trouver un partenaire d'écriture ! ⇢ Enfin, amuse-toi bien sur le forum, n'hésite pas à en parler autour de toi et à voter régulièrement aux TS ! | | | | Sujet: Re: If I ever say "do you want me to be honest?" Say no. | Amelia Moore.
|
| |