ILUKAAN est un forum MULTIFANDOM dans l'univers d'Harry Potter.
Ilukaan est une école de magie internationale se situant en Nouvelle-Écosse au Canada.
L'histoire se déroule en 2024, mélangeant magie et technologie.
Vous pouvez jouer des personnages de manga/anime, jeux vidéos, films d'animation, dessins animés, romans jeunesse ou encore un OC.
L'intrigue se fait à la fois en RPCB et RP-POST.
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For the sake of fame |
Goro Akechi
Lupy
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For the sake of fame | Tumblr_o5buqfj0qC1tmhcmyo4_500
♘ My sole interest is uncovering the truth
♞ I decide the Truth

ϟ Œuvre : Persona 5
ϟ Parchemins : 259
ϟ Gallions : 494
ϟ Relations : (soon)

ϟ Âge (RP) : dix-sept ans.
ϟ Maison : Lupy
ϟ Année scolaire : 7ème année
ϟ Baguette : Bois de cèdre, plume de phoenix, 29 centimètres, fine et souple.
ϟ Malle : (vide)

ϟ Autres comptes : Arthur Kirkland — Belphegor Hellborn — Kainé Doherty — Hajime Hinata — Tamaki Suoh — Razor Hrodwulf— Franziska von Karma
Goro Akechi
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♘ My sole interest is uncovering the truth
♞ I decide the Truth

ϟ Œuvre : Persona 5
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ϟ Gallions : 494
ϟ Relations : (soon)

ϟ Âge (RP) : dix-sept ans.
ϟ Maison : Lupy
ϟ Année scolaire : 7ème année
ϟ Baguette : Bois de cèdre, plume de phoenix, 29 centimètres, fine et souple.
ϟ Malle : (vide)

ϟ Autres comptes : Arthur Kirkland — Belphegor Hellborn — Kainé Doherty — Hajime Hinata — Tamaki Suoh — Razor Hrodwulf— Franziska von Karma
Sujet: For the sake of fame |
Dim 7 Juil 2024 - 13:37
                    
Goro Akechi


Persona 5
Identité
Akechi.
Goro (« Prince », parfois, ça arrive).
Dix-sept ans.
Japonais.
Japonais, anglais, bribes de chinois.
2 juin 2007, à Osaka (Japon).
Cheveux bruns clairs et yeux chocolats.
1m78 & 64 kg.
Who am I...?
Goro est un sorcier de sang-mêlé appartenant à la maison Lupy et en septième année. Il est inscrit aux options Arithmancie et Arts et Musique Magiques. Il ne possède aucun don. Il n'occupe aucun poste.

Sa baguette est faite de bois de cèdre, avec un cœur en plume de phoenix, d'une longueur de 29 centimètres, fine et souple. Il n'a pas d'animal de compagnie.

Son patronus est un corbeau. L'odeur de son Amortentia est composée de thé noir, de cendres et de métal. Son reflet dans le miroir du Riséd est lui-même, entouré de proches imaginaires. Son Épouvantard prend la forme de sa propre personne approchant pour l’étrangler.

Il n'a pas de famille présente à Ilukaan. Sa matière favorite est la Métamorphose et la matière qu'il aime le moins est la Botanique.
Derrière l'écran
Pseudo & pronoms :
Asahi/Alex, elle
Souhaites-tu être parrainée ?
wsh genre.
Avatar : Goro Akechi — Persona 5Code du règlement : c’moi l’règlement.Comment as-tu trouvé le forum ?
chipi chipi chapa chapa.
Un petit mot ?
j’y crois pas que j’ai choisi goro fcking akechi quoi.
headcanons
Il est bon joueur, mais déteste énormément perdre. • C’est un vrai theater kid quasiment pas assumé. • Ambidextre, mais main gauche dominante. • Le jazz est son genre musical favori. • Parfois, il interrompt sa propre conversation pour réfléchir. • Il a le flair pour trouver de bons restaurants, mais ce n’est pas manger en soi qui l’intéresse. • Il aime faire du vélo depuis l’enfance, mais les balais ont remplacé sa façon de se déplacer en ville. • Son pseudo sur le Witchnet est « Robin Hood. » • S’il s’ennuie et qu’il tombe sur un cas curieux d’Hooter, il va tenter de le résoudre. • D’ailleurs, se rendre publique sur le Witchnet ne le dérange pas spécialement. • Il a grandi avec le dialecte du Kansai, mais s’en est débarrassé le plus vite possible une fois arrivé à Ilukaan. • Demi-romantique et demi-sexuel. • Il traîne avec des bonbons et échantillons de produits de beauté dans son sac. Tous obtenus de magasins qu’il a visité. • Il ne sait pas cuisiner. • Les films d’horreur, c’est son truc. • Pour lui, le thé noir durant la fatigue, il n’y a rien de mieux. • Les parents sont un sujet très touchy pour lui, il préfère ne jamais en parler, au pire considérer qu’il n’en a pas. • Il songe à viser le cursus Auror & Défense Magique. • Les jeux d’adresse sont ses favoris, tels que le billard et les fléchettes, mais il apprécie un petit jeu de société quel qu’il soit de temps en temps. • Il ne va plus chez lui depuis le milieu de sa troisième année.
« It seems I'm unwelcome no matter where I go. »
« I may not seem like it, but I sometimes wish that Santa Claus actually existed. »
Pour un Japonais, ou même pour une personne de son âge tout court, Goro n’a rien d’extravagant ou de vraiment particulier. C’est peut-être même sa simplicité qui fait son charme — après tout, il en prend avantage si cela peut vraiment tourner en sa faveur.

Même s’il a le faciès simple et une coupe de cheveux on ne peut plus classique, il est tout à fait facile à distinguer si l’on cherche un gaillard d’un mètre 78 — soit, grand. Un type à la taille élancée, pas spécialement musclé, mais dont la haute stature se reconnaît facilement si on lui a déjà parlé quelques fois (ou juste entendu parler de lui en plus d’une description très précise). Du fait qu’il ne cherche pas à s’imposer autant que sa taille le lui permettrait — par rapport à d’autres, je veux dire par-là — il est au contraire le genre de type à marquer les mémoires avec un sourire simple, très présent, sans pour autant être trop expressif. Goro, on le connaît plus par des on-dits que par ses traits physiques, alors c’est normal si vous tardez à le trouver dans l’école (bon, certes, c’est aussi qu’il y a un monde fou certain sur le campus…).

Ce sourire, brillant de sociabilité, est plus facile à reconnaître que ses cheveux bruns et clairs, dont il ne se passerait pourtant jamais de la coupe. Il dit toujours ne jamais les vouloir trop courts ; juste dépassant un peu les épaules, c’est très bien (mais n’est-ce pas aussi parce qu’il serait « moins souvent » dans les mémoires, apparemment ?). Contrastant avec la clarté de ses cheveux, ses yeux sont d’un marron relativement sombre — deux iris dont on a honnêtement pas grand-chose à dire. En fait… son visage entier n’est pas digne d’une description plus poussée. On ne saurait dire si Goro est plutôt beau ou relativement simple — et ça expliquerait sa réticence à se faire une coupe. Oui, c’est sans doute ça : le Lupy ne fait pas partie des gens vraiment « beaux » ou simplement à tomber parterre, mais c’est sûrement pour cela qu’en compensation, il est plutôt considéré comme « cool » (ah, il se disait bien que l’image qu’il donnait en dehors du reste pouvait satisfaire). Sa garde-robe bien propre y est forcément pour quelque chose.

L’attitude, certes, mais qu’est-ce qu’une image sans des vêtements adéquats ? Je dis ça, mais le fait est que Goro ne s’habille pas de manière excentrique non plus. Ou même du genre à se faire remarquer. Au contraire, ses goûts restent très simples ; enfin, ce qu’il porte est simple. Une sobriété tout à fait acceptable en société : un trench quand il fait froid, des chemises et pulls sans manches quand il fait un peu plus chaud… oui, on pourrait dire que le style prep school de Goro a un petit côté kitsch, et le pire c’est que ça colle à son portrait de bon élève qui sait bien se tenir comme il faut. Disons qu’au pire ça ne lui apporte aucun problème, et qu’au mieux, il passe pour quelqu’un de vraiment propre sur soi. S’il ne l’est pas ? Oh, si, tout de même. Monsieur utilise d’ailleurs des petits soins de beauté pour ses mains — pas qu’il veuille à tout prix en mettre, en fait, mais comme il en a à ne plus savoir quoi en faire, il faut bien les utiliser avant qu’ils ne périssent…

Toujours est-il que Goro adopte une image relativement pro où qu’il aille, même en dehors de l’école. Mais l’uniforme, ce n’est qu’à l’intérieur du campus. Il prend même soin de conserver une paire de chaussures toutes belles mais classiques spécifiquement pour matcher avec. Prendre soin d’un portrait bien calculé de A à Z semble être dans sa nature.

Et pourtant…
... Parfois, Goro se regarde dans le miroir et se demande quand. Quand est-ce qu’il ne pourra plus se supporter ?

Ce sourire de façade, il le tient quasiment toute la journée ; c’est bien l’inconvénient quand on vit toute l’année sur un campus avec autant d’élèves partout. Même jusque dans la chambre, où trois autres personnes encore partagent sa presque-vie nocturne. Mais c’est un sourire que plus ou moins tout le monde apprécie, alors s’il doit le tenir encore pour des années, il le fera. Pas comme s’il avait prévu de s’en débarrasser un jour, c’est là tout le principe.

De ce sourire s’accompagne une oreille attentive. Goro est du genre à discuter des opinions et avis des autres, assez constamment même. Il aime savoir ce que les gens pensent, apprécie même un interlocuteur qui dit justement le fond de sa pensée sans se cacher — tout le monde sait qu’il y a une forme d’hypocrisie polie à laquelle quasiment tous se conforment. Et il est toujours surpris lorsque quelqu’un brise cette règle universelle. C’est agréable, ça permet de savoir qu’en face, il peut parler franchement à la personne. Ce pourquoi il est tout autant un adepte d’une façon de pensée très pacifiste : « Soyons d’accord d’être en désaccord. » Goro respecte les visions de chacun, dans le sens où si insister une première fois ne suffit pas à changer le regard d’autrui, alors il ne s’y aventurera pas plus. Mais c’est pourquoi il n’a pas peur non plus de donner ses propres idées, même sur les questions frileuses. Et cette façon de communiquer le rend agréable à la conversation.

L’image et la façon de la communiquer sont très importantes pour lui, du moment qu’elles permettent de pouvoir maintenir sa réputation actuelle. Une réputation qui le rend appréciable, non pas en essayant de convaincre les autres qu’il serait un type génial, mais bien en leur laissant le choix de dire qu’il l’est. Ce pourquoi il ne doit pas commettre la moindre faute à ce sujet. Si les gens disent d’eux-même que Goro est quelqu’un de sympathique, d’intelligent, de malin, alors il n’en sera que plus agréable encore à force d’en entendre parler, non ? Pour autant, ça ne lui semble jamais suffisant dans sa recherche d’approbation. Après tout, comment s’en satisfaire lorsque tout est faux ?

Ce que Goro montre n’est qu’une copie très redorée du portrait type de la personne acceptée en société. Sois poli, veille aux bons résultats de tes études, à ta façon de t’habiller, aux relations que tu dois maintenir et celles que tu peux laisser couler, à la confiance que tu apportes… Tant d’efforts pour un masque parfait. La façade fonctionne, mais tout comme celle-ci, l’attention gagnée en retour semble trop superficielle. Alors les efforts sont doublés. Les détails sont minutieusement surveillés. Et les gens l’aiment, les gens disent du bien de lui. Les professeurs sont contents de ses résultats, il ne fait jamais de travers sur son parcours… alors pourquoi ça ne suffit toujours pas ? Que doit-il faire pour que l’affection rendue l’atteigne, le fasse enfin se sentir réellement accepté ? Son propre rôle est devenu une prison, il a le sentiment de ne parler aux gens qu’à travers des barreaux, derrière lesquels son vrai lui doit rester caché et ainsi ne jamais obtenir ce qu’il cherche pourtant avec acharnement.

Goro connaît très bien les deux obstacles à son objectif : on ne peut pas l’aimer lui si on aime un autre Goro complètement factice. Et enfin, lui-même ne s’autorise pas réellement à trouver cette sincérité qu’il désire pourtant. Car il ne supporte pas sa propre image si bien façonnée. Car il déteste aussi son passif avec le monde extérieur qui l’a forgé autrement que comme ce qu’il montre. C’est que sa propre mère lui a tant répété maintes fois durant l’enfance combien il ne servait à rien, il trouverait plus insupportable encore de rencontrer quelqu’un détenant tout ce qu’il n’a pas… sans jamais être passé par le travail qu’il se force à faire.

Ce pourquoi le Goro caché derrière un tel masque ne respire pas autant la sociabilité et ces dorures mensongères. Il n’a jamais demandé à naître là où il ne le fallait pas, alors ces mauvais jugements qu’on lui accordait chez lui avaient donné un jeune Akechi peu souriant, quasiment asocial et solitaire. Sans artifice pour faire bonne figure. Mais qui voudrait d’un garçon aussi désintéressé et pessimiste envers le monde ? Ce dernier ne lui a pas fait de cadeau à la naissance, alors il n’allait pas être gentil pour faire plaisir en retour. Ce que le monde extérieur lui inspire le plus, c’est une envie de tout casser. De dire aux plus puissants d’aller se faire foutre. De n’enfoncer que leurs personnes et pas la sienne si ça leur chante. Il prétend très souvent être du « bon » côté de la justice, celle que ces gens réclament comme idéale, mais parfois il crève d’envie de leur dire tout simplement de la fermer. Lui aussi a ses envies de se lâcher, de laisser parler ce sentiment de rébellion contre tout ce pourquoi justement il doit travailler dur pour que la société l’accepte. Pourquoi elle dit justement que c’est bien.

Après, Goro a bien des qualités, de vraies qualités qui ont bien un but bénéfique… mais que pour lui. Malgré tout, il demeure réfléchi, logique, perspicace à moins qu’on ne parle de sociabilité — de vraie sociabilité. Autant montrer une image toute brillante et refaite avec les codes habituels en société, ça on peut dire qu’il sait y faire, autant il est complètement largué lorsqu’il s’agit de s’occuper de son cercle ultra-personnel. Plutôt que de s’embêter à chercher des relations, Goro trouve encore plus simple de les éviter. C’est toujours plus facile de vivre pour soi-même : ainsi, il donne une excellente impression envers l’école en elle-même, mais toujours plus factice au fur et à mesure qu’on tente de l’approcher de façon plus subjective.

Cependant, et ça on s’y attendait, il n’est pas non plus inatteignable. C’est un certain labeur de l’approcher plus intimement, mais le fait est qu’il est compliqué de connaître Goro à moins qu’il ne laisse tomber son masque le premier. Il a beau avoir un humour noir, plaisanter sur les choses qui énerveraient autrui, ne pas sourire ne serait-ce que pour reposer ses zygomatiques, il assume pleinement d’être le genre de personnes qu’on assimilerait à un bon gros connard antipathique. Une opportunité de pouvoir lui parler plus franchement, en vérité, car révéler cette facette à quelqu’un, c’est pour Goro l’ultime preuve qu’il accorde sa confiance. Il peut se sentir plus à l’aise, même si en retour ce n’est pas spécialement drôle pour vous.

Ça ne veut pas dire pour autant qu’il sera forcément sympathique à chaque fois. Si vous acceptez cette partie de lui, alors vous acceptez tout le reste. Soyez néanmoins certain qu’une fois ce cap passé, jamais Goro ne vous donnera de coup de couteau dans le dos. Il vous accorde sa confiance pour vraiment le connaître, donc ne la gâchez pas.
« And so, your heart is always free. The exact opposite of mine. »
Posons les bases tout de suite : Goro n’est pas un enfant désiré.

Fruit de l’union passionnée mais éphémère d’un politicien de sang-pur et d’une sorcière de sang-mêlée à la vie moins gâtée. Leur relation n’était pas spécialement prévue pour être sérieuse, du fait que lui était un homme de pouvoir qui commençait tout juste à gravir les échelons, et elle une femme qui ne trouvait nulle autre revenu que dans la prostitution. Peut-être avait-elle oublié de prendre sa contraception, ou que cette dernière était périmée, dans tous les cas le pire était arrivé. Ce que l’on peut parfois tourner en blague, ce que l’on peut qualifier « d’humour noir, » c’est réellement ce en quoi Goro était considéré : un accident. Un gamin qui n’était pas prévu, et qui aura surpris les deux parents à en devenir. Elle n’avait pas l’argent nécessaire pour avorter, et lui ne voulait pas percer son budget dès le début de sa carrière politique qui commençait tout juste à prendre de l’ampleur.

La meilleure solution, donc ? Fuir. Couper les ponts avec cette femme. Ils s’étaient peut-être un peu aimés, le temps de quelques mois, mais devenir père n’était pas sur sa liste de responsabilités. Il « en avait d’autres, » qu’il disait. Tous les deux savaient très bien que cette relation était vouée à s’arrêter un jour ; juste, pas aussi brusquement ni pour une raison comme celle-ci.

Le petit garçon vit ainsi le jour le 2 juin 2007, dans un hôpital d’Osaka. La pire chose qui pouvait arriver à cette femme qui n’avait rien demandé. Pourtant, sa vie était simple : elle donnait de l’amour, recevait de l’argent, et c’est tout ! Pourquoi a-t-il fallu que la vie lui colle un enfant entre les pattes ? Maintenant qu’il était de ce monde, elle ne pouvait plus faire marche arrière. Et bien sûr, impossible de contacter le père qui était retourné à sa si prometteuse carrière politique.

Les premières années, elle avait bien tenté de prendre soin de ce marmot pour ne pas être responsable de négligence — elle n’avait définitivement pas besoin de faire face à la justice ou au sens moral. L’argent accumulé grâce à ses services suffisait pour subvenir à leurs besoins durant un temps, mais lorsqu’elle tenta de reprendre le travail, les clients fuyaient dès qu’ils comprirent qu’ils consommeraient dans le même appartement qu’un enfant en bas-âge. Mademoiselle Akechi dû donc se résoudre à trouver un petit job ingrat le temps que son fils grandisse — et quelle plaie ce fut pour elle, elle n’aimait décidément pas avoir un patron. Elle reprit donc son activité dès que le gamin fut assez malin pour pouvoir jouer dehors ou aller se laver seul au bain public. Et elle avait de la chance qu’il soit justement vite intelligent…

Dès qu’un inconnu entrait chez eux, elle lui disait tout de suite d’aller s’amuser dans la rue, dans le parc en face ou d’aller prendre son bain. Goro était obéissant, et puisqu’il était habitué à l’étrangeté de sa mère peu aimante, il sortait et passait le temps comme demandé.

Grâce au minimum de décence de sa génitrice, Goro ne fut jamais témoin de ses activités, et à la place, jouait au super-héros en se servant de bâtons pour mimer des baguettes magiques. Puisqu’elle n’avait pas spécialement d’amis, et encore moins avec des enfants, il ne trouva quasiment jamais l’occasion de s’en faire à son tour. Lui arrivait d’en croiser dans le parc, avec leurs parents, mais il était si peu amené à parler à d’autres gens qu’il ne savait pas comment réagir. Tout ce qu’elle lui avait appris, c’était d’être poli, mais aussi de ne pas parler aux hommes qui entraient chez eux. Ainsi, l’argent revint peu à peu dans le foyer, et lorsqu’elle n’en ressentit plus la nécessité, elle quitta son job honnête.

Les jours étaient aussi répétitifs que monotones. Puisqu’il n’avait jamais appris comment approcher autrui, Goro ne parlait pas à ses camarades de la petite école sorcière du coin — ainsi elle était tranquille pour la journée et n’avait pas à s’inquiéter d’avoir un fils illettré à la maison qui alourdirait son fardeau. Ses plus « proches » relations furent les professeurs de l’établissement, qui avaient évidemment pour but de s’intéresser à la solitude et au travail du jeune sorcier. Un enfant qui ne parle qu’aux adultes, ça sortait un peu de l’ordinaire, mais ça lui permit d’avoir une approche différente de la vie sociale — adaptée à un gamin de son âge, en revanche, pas vraiment ; ce pourquoi justement il sentait toujours comme une distance évidente avec eux.

Puis à une nouvelle rentrée d’avril, sa classe entière changea ; il ne reconnaissait plus aucun camarade. Tous étaient évidemment partis à l’école magique de Mahoutokoro, où la scolarité là-bas démarrait à l’âge de 7 ans. Confusion et embarras se dispersèrent dans le petit corps professoral en constatant que Goro n’avait pas fait de même. Et pour cause…

Sa mère n’y avait tout simplement pas pensé. Ou alors, elle avait juste la flemme.

Ce nouvel espoir d’envoyer ce petit garçon avec de potentiels amis était parti en fumée ; dès lors, il allait falloir tout recommencer avec des gamins plus jeunes que lui et qu’il ne connaissait de nulle part.

Plus il grandissait, plus Goro se rendait compte du manque flagrant d’attention de sa mère. Que c’était bizarre qu’elle ne fasse pas autant attention à lui. Ou alors, pas qu’il s’en était rendu compte, mais plutôt qu’il commençait à ressentir le besoin de l’avoir auprès d’elle. Il avait déjà eu cette première impression d’être différent des autres gamins lorsqu’il sut que non seulement il n’avait pas de père, mais qu’en plus jamais elle ne lui en faisait mention. Pas de photo pour son visage, pas de nom pour son identité, rien, que dalle. Il n’osait pas en parler, car elle ne voulait de toute façon déjà pas lui parler énormément, encore moins pour des futilités. Elle lui disait surtout quand il fallait se mettre au lit, qu’il fasse ses devoirs (car elle ne voulait pas s’attirer d’ennuis sur son éducation et qu’il y ait d’écho jusqu’à l’école), quand il fallait manger… D’ailleurs, elle ne cuisinait quasiment jamais, et leurs repas étaient cantonnés à des plats commandés ou préparés.

Peut-être par ennui ou manque d’argent, sa mère se remit comme ça, du jour au lendemain, à prendre des petits jobs alimentaires en plus de son travail nocturne. Ce dernier constituait toujours la majorité de ses revenus, mais peut-être craignait-elle d’être un jour jugée d’être à la fois mère et prostituée. Peu importe, Goro commençait à se rendre compte à quel point il était futile de se faire du souci pour sa mère — elle ne s’en faisait pas pour lui en retour.

Il se sentit même frustré à son égard pour la première fois lorsqu’il ramena le courrier, dont une grosse enveloppe avec plein de prospectus d’écoles de magie, qu’elle ne regarda même pas. Elle n’en avait donc tant rien à faire… ?

Elle ne pouvait même pas tenir un travail honnête — alimentaire et ingrat, mais honnête — plus de trois mois. Un coup elle était vendeuse en potions de cosmétique, un coup elle était caissière dans un konbini aux produits exclusivement sorciers. Mais jamais elle ne cessa complètement de vendre son corps.

Cette petite vie si plan-plan et vide de sens rendait le jeune garçon apathique, qui ne pouvait pas se rebeller contre le seul parent qu’il avait. Tout comme elle, il préféra ne pas lui parler. Même en cas de nécessité, le plus souvent, il préférait encore se débrouiller seul. Il ne réclamait pas de repas cuisiné à la maison, qu’elle l’accompagne au bain public, de sortir dans les rues pour passer le temps lorsqu’il en avait marre d’être enfermé à ne rien faire… Faire ses devoirs était un de ses passe-temps, et il apprenait des choses de lui-même avec des livres empruntés à l’école — livres qui commençaient à l’ennuyer tant ça n’était plus vraiment de son âge. Il eut tout de même une ou deux fois le courage de demander à sa génitrice d’en acheter pour lui, puisqu’il ne lui réclamait jamais quoi que ce soit d’autre. Sans doute pour être tranquille le plus vite possible, elle avait accepté (en lui laissant l’argent à aller dépenser lui-même, hors de question d’aller le faire pour lui s’il pouvait sortir seul).

Une vie si plan-plan et vide de sens.

Jusqu’au jour où il leva les yeux vers sa mère lorsque celle-ci regarda la télévision. Une petite télé avec laquelle même Goro s’occupait lorsqu’il était plus petit, mais qu’il avait peu à peu lâché lorsque Mademoiselle Akechi commençait à vouloir l’utiliser plus que d’habitude.

Elle grimaçait en écoutant le discours d’un homme politique dont les traits ne lui disaient rien.
Absolument rien.
Et pourtant, elle avait sorti, comme ça…

« Tu vois ce type, ce gros connard ? C’est ton père. »

Les yeux de Goro s’emplirent soudainement de confusion.

Son père ? Ce mot lui paraissait étranger tant il avait assimilé qu’il n’en entendrait pourtant jamais rien. Il regarda l’écran, puis sa mère, avant de revenir vers lui. Elle semblait tout à fait saine d’esprit, bien consciente, et pourtant tellement en colère… Elle fixait avec un regard sévère le faciès de l’homme qui parlait dans un micro, qui se tournait vers plusieurs angles de caméra, qui parlait d’un futur radieux à venir dans les prochaines années…

« Je t’en foutrais des avenirs radieux. Toi et ta putain de foutue carrière politique de merde. »

Tellement en colère qu’il fallait que ça sorte, et elle n’avait que le résultat de ses erreurs passées pour en être témoin. Cette personne qui souriait et faisait de belles promesses, qui avait fréquenté sa mère et rendue possible sa naissance, il avait donc la vie facile ?

Pendant que lui et cette femme prostituée filaient une vie en carton dans ce petit appartement… ?

Peut-être que Goro ne comprenait pas encore très bien. Il n’avait que dix ans, alors la politique, le concept de pouvoir et d’argent dans la société, ça lui passait encore au-dessus. Mais il savait qu’il devrait jouer avec des enfants de son âge. Il n’avait même pas les affaires qu’un petit garçon devrait posséder ne serait-ce que pour son développement personnel. Il grandissait avec le minimum que ce qu’une mère aussi désintéressée que la sienne pouvait lui procurer. Tout ça parce qu’elle n’avait pas de mari ou juste un homme responsable à ses côtés pour l’aider.

Le seul père qu’il aurait pu avoir avait décidé de les abandonner. Et il se permettait de vivre gracieusement grâce aux mains des plus grands en ignorant tout le reste. À force, Goro ne savait plus sur qui jeter sa frustration.

Sur lui-même, qui n’était qu’un petit garçon impuissant.
Sur sa mère, qui ne le considérait pas plus qu’un fardeau.
Sur son « père », envers lequel il ressentait soudainement un profond sentiment d’injustice.

Le choc fut tel que Goro lâcha toute cette frustration accumulée ; un courant d’air venu de nulle part passa dans la pièce, et l’écran de la télévision explosa en petits morceaux dans le salon, au milieu de quelques magazines stupides que sa mère avait acheté pour ne même pas les lire entièrement. Disons qu’il y avait mieux comme expérience pour sentir ses pouvoirs s’éveiller. Mais s’il ne se maîtrisait plus à l’approche de la pré-adolescence, alors quel genre de sorcier deviendrait-il… ? Sans doute qu’à ce moment-là, Mademoiselle Akechi se rendit compte que son petit garçon n’était plus si petit que ça, et qu’elle ne pouvait plus espérer que de le savoir passif du matin au soir.

Puisqu’il (elle !) avait loupé son occasion d’entrer à Mahoutokoro, il était temps de ressortir l’enveloppe qu’elle avait ignoré jusque-là. Oh, il ne fallait sûrement pas s’attendre à un élan d’attention de sa part : elle n’avait simplement pas envie de s’occuper d’un garçon qui entrera bientôt en pleine puberté, et qui devra apprendre à gérer ses pouvoirs et ce type d’incidents (s’il devait se réitérer). Et quitte à l’envoyer loin de la maison, autant faire ça au mieux, dans un autre continent où elle sait qu’elle-même n’ira jamais. Quelque chose d’aussi loin que grand, comme l’Amérique du Nord.

Elle se moquait du programme d’Ilukaan, elle savait juste que son fils était débrouillard. N’importe quel établissement conviendrait, et elle ne lui laissait pas vraiment le choix. Elle ne l’accompagna même pas jusqu’au bout lorsqu’il fut question d’acheter le nécessaire pour sa première rentrée. Goro s’était rarement aventuré trop loin de l’école ou de la maison, et pour s’éviter de potentiels ennuis, sa mère l’avait cette fois-ci amené dans une rue commerçante magique d’Osaka. Bien qu’elle semblait pourtant embêtée de devoir dépenser son argent pour ça, elle lui laissa le champ libre pour acheter presque tout ce qu’il demandait ce jour précisément. La bonne vieille méthode de déculpabilisation juste avant de lâcher son enfant unique dans un pays qu’il ne connaît absolument pas. Mais il n’était plus à un abandon près. Ce fut la première et unique fois qu’il put être vraiment égoïste avec sa mère : au-delà de la baguette et des ouvrages obligatoires, il demanda quelques affaires en plus ; notamment encore plus de bouquins, mais aussi son propre balais, bien qu’il ne pourra pas l’utiliser immédiatement.

La rentrée sonna un de leurs derniers jours passés ensemble.

Elle ne s’était même pas retournée après l’avoir laissé là devant le campus, seul et au milieu d’autres enfants de son âge. Ça faisait d’ailleurs énormément de monde d’un coup : lui qui n’avait été habitué qu’à avoir une petite classe de jeunes enfants, il se retrouvait soudainement au milieu d’un mélange de cultures comme de tranches d’âges. De jeunes nouveaux premières années comme lui, mais aussi de plus vieux qui s’apprêtaient à se lancer dans leur dernière année.

Goro avait envie de sentir ce nouveau départ comme quelque chose de mérité, d’attendu, de réconfortant. Pourtant, quelque chose coinçait.

Lui qui avait vécu dans un milieu récalcitrant à parfaitement s'adapter à ses besoins, cette fois-ci il sentait que c’était complètement l’inverse : que cet endroit ne lui correspondait pas. Sans compter les élèves qui se connaissaient déjà, ou encore ceux dont la majorité avait fait leurs courses à Bloombury. Cette sensation de liberté ne lui venait toujours pas, et cette solitude, elle refusait de lui décoller de la peau.

S’il se présente, s’il montre l’enfant indésirable qu’il a toujours été, serait-il capable de vraiment se sentir à sa place ? Même à l’école d’Osaka, c’était compliqué, au point de paraître impossible. Alors, ici…

« Lupy ! » avait annoncé le directeur à la suite d’un cri de loup.

Faire partie d’une des maisons ne suffira jamais, puisqu’il ne ferait que partie de la masse. La masse bruyante, qui plus est. Qui le remarquerait au milieu d’autant d’adolescents ? Partant de ce qu’il est, de comment il a jusqu’ici toujours été traité, il allait vivre la même chose qu’au Japon. Et sa magie ? Elle ne ferait que refléter cet aspect abject comme la première fois… ? Car s’il est aussi peu désiré dans son foyer, mais également dans une école où il passera plusieurs années de sa vie, alors où pourrait-il encore aller ?

Personne ne doit connaître ce Goro Akechi dont le monde n’a jamais voulu.

Au départ, il est certes resté discret, mais il faisait de son mieux. Il apprit les mêmes rudiments de la magie que les autres, les mêmes termes, les mêmes mouvements de baguette, mais surtout il donna le maximum de ses efforts durant les cours d’anglais. Le bon côté des choses lorsqu’on est amené à s’auto-éduquer de temps en temps, c’est qu’on a parfois l’esprit vif. Il lui fallait vite comprendre son entourage s’il voulait pouvoir montrer un autre Goro, qui lui, serait tout bonnement parfait.

Dès lors qu’il eut sa première excellente note en anglais, tout s’accéléra très vite. Certains de ses camarades non-anglophones le trouvaient chanceux, ou simplement doué, et ce fut la première porte ouverte vers une façade dont il allait prendre soin au quotidien. Il fallait savoir bien parler, bien écrire, et donner les meilleures réponses. Les encouragements des professeurs embellirent cette image au fil des ans, et il apprit à dorer l’aspect sympathique de son masque par mimétisme social — jusqu’à ce que ça lui vienne plus naturellement sans que forcer ne soit trop fatiguant. À Ilukaan, il n’était plus le fils-fardeau d’une prostituée, mais Goro Akechi, le bon élève exemplaire. Maintenant qu’il était appréciable, il fallait devenir apprécié. Il aida les autres dans leurs devoirs, se porta volontaire pour des travaux de groupes, même si ça revenait à tirer le plus gros du travail vers le sommet. Les autres comptaient sur lui, donc il devenait sympathique, essentiel. Pas juste un gosse sans intérêts qu’on pouvait laisser dans son coin.

Les bonnes notes s’accumulèrent. On disait du bien de lui. « Akechi est plutôt cool, » « Akechi est sympa, et pas con en plus ! » C’est ce qu’il entendait. Ici et là. Parfois, on le complimentait pour ça. On le félicitait. On l’encourageait même à travailler plus dur encore pour le cursus des Aurors, comme il y songeait parfois. Akechi est si intelligent, si calme, il a la tête sur les épaules… Quel détective ne ferait-il pas pour le monde sorcier ! Il pouvait jeter cet ancien lui aux ordures, l’abandonner tout comme ses géniteurs l’ont fait précédemment. Il devenait bon, puis remarquable, et peut-être même aujourd’hui parfait.

Alors pourquoi l’appréciation et l’approbation qu’il reçoit ne sont toujours pas satisfaisantes ? En quoi tout est-il encore insuffisant ? Tout ce qu’il montre à autrui est factice, alors l’affection en retour l’est peut-être tout autant ? Ou bien ne lui est tout simplement pas dûe… ? Mais il ne peut pas se débarrasser de son masque, car l’autre Goro… il sait que personne ne l’aimerait.

Après tout, il est son propre premier hater.
(c) Ilukaan


〘sarcasm〙
You could be the corpse and I could be the killer,
If I could be the devil, you could be the sinner
            
Ren Amamiya
Lupy
Image du profil : For the sake of fame | Pkwm
For the sake of fame | Cbb7d93ca086500f95cf0d8cea2f18ff8dcf5f48
Can't hold on or life won't change
And our voices rang out, here
Took the mask off to feel free

ϟ Œuvre : Persona 5
ϟ Parchemins : 15
ϟ Gallions : 20
ϟ Âge (RP) : 17 ans
ϟ Maison : Lupy
ϟ Année scolaire : 7ème année
ϟ Baguette : Ebène; plume de phénix; 31 cm; souple
ϟ Malle : ✭ Une paire de gants rouge
✭ Des friandises pour chat
✭ Des lingettes pour lunettes

ϟ Autres comptes : Trucy WrightZhongli ShiAventurine A. Gaiathra
Ren Amamiya
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Sujet: Re: For the sake of fame |
Dim 7 Juil 2024 - 13:40
                    
For the sake of fame | Hzo5


For the sake of fame | 3vvb
            
Mithrun of Kerensil
Personnel
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ϟ Œuvre : Dungeon Meshi
ϟ Parchemins : 21
ϟ Gallions : 48
ϟ Âge (RP) : 37 ans
ϟ Année scolaire : Professeur
ϟ Titre(s) : Professeur d'archéologie magique
ϟ Baguette : Bois de chêne rouge, avec un cœur en croc de basilisk, d'une longueur de 22cm, rigide
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Sujet: Re: For the sake of fame |
Lun 8 Juil 2024 - 5:01
                    
Ce que j'aime chez toi Alex c'est que tu joues toujours des persos adorables et gentils! Bienvenue à Akechi, donne des liens 🔪
            
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Sujet: Re: For the sake of fame |
                    
            
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