Who am I...?

Ming est un sorcier sang-mêlé appartenant à la maison Lupy et en 15e année. Il suit le cursus Histoire et Culture Magiques. Il ne possède aucun don et n'occupe aucun poste.

Sa baguette est faite de cyprès, avec un cœur en poil de Ya Zi, d'une longueur de 34cm, légèrement élastique. Son animal de compagnie est une chatte très demandeuse surnommée Xuan Ji, après une de ses anciennes conquêtes.

Son patronus est un cerf au museau blanc. L'odeur de son Amortentia est composée d'un mélange olfactif de diverses fleurs, qu'il associé à la féminité de manière générale, de métal et de terre battue. Son reflet dans le miroir du Riséd est lui-même, avec la renommée qu’il mérite, et entouré de femmes. Il prétend que son Épouvantard prend la forme de toutes ses exes qui en demandaient trop qui le poursuivent mais il s’agit en réalité de Yushi Huang, portant les plaies qu’il a lui-même causées.

Son neveu Xiu est présent à Ilukaan. Sa matière favorite est l'Histoire de la magie, notamment les chapitres épiques et guerriers, et la matière qu'il aime le moins est la Botanique (prétendant qu’il “a autre chose à faire que du jardinage”).

Oh difficile de passer à côté de lui sans se retourner.

C’est le cas pour beaucoup d’étudiants à Ilukaan, sans le moindre doute, mais Ming est particulièrement beau et a de la prestance, indubitablement, c’est sans aucun doute ce qui facilite les choses lorsqu’il fait la cour à une demoiselle qui lui aurait tapé dans l’oeil.

Il marche d’un pas assuré, à larges enjambées, ce qui est facilité par sa grande taille.
Athlétique, Ming est bien bâti par-dessus le marché, grâce à une pratique sportive rigoureuse et des séances régulières à la salle de sport où il prend soin de tout travailler.

Néanmoins, si l’on pense qu’il ne s’agit que d’une montagne de muscles, que l’on se détrompe. Loin d’être un taureau, Ming est plus délicat qu’il n’y paraît, se rapprochant davantage d’un cerf, dont son patronus prend la forme : noble, agile, mais non dénué d’une force certaine.
Ses gestes sont mesurés, précis, dénués de la moindre maladresse. C’est un homme charmant, sur quasiment tous les aspects et cela justifie sans mal sa popularité auprès de la gente féminine et son sobriquet de “Dieu de l’amour”.

Son visage a des traits fins, équilibrés, dignes d’un Apollon du nord-est de la Chine. Un nez droit, bien dessiné entouré par des yeux en amande, manquant de paupière mais allongés, d’un brun paraissant parfois cuivré aux lueurs du jour, lesquels sont surmontés de sourcils bien dessinés, bougeant au gré de ses expressions.
Ses lèvres bien dessinées sont bien souvent étirées dans un sourire enjôleur et une voix lyrique, rythmée, masculine, s’échappe de celles-ci quand il vient à prendre la parole, associée à un beau verbe bien maîtrisé.

Son visage pâle et lisse est entouré d’une longue crinière épaisse, sombre, soyeuse et souple, qu’il se plaît à attacher au quotidien pour mettre plus en valeur ses traits.

Ming prend soin de son apparence, des moindres détails de celle-ci pour qu’il soit le plus séduisant possible au quotidien. Cela fait partie de son charme et ça marche, alors pourquoi s’en passer ? La nature l’a doté d’un physique avantageux, il serait bête de ne pas le mettre en valeur et le sublimer.
Cette volonté de bien paraître est affichée dans son style vestimentaire. Ming se met en valeur à travers ses atours, n’hésitant pas à afficher un peu trop de peau au goût des personnalités les plus sobres, il suit les tendances, sans en faire trop.
Il affectionne également les vêtements traditionnels, hanfu ou atours typiquement mandchous, il porte les uns et les autres sans ciller, dépendant des occasions, témoignant de sa double culture dont il est fier.

Oh c’est définitivement le genre d’hommes à “voler des coeurs”, en concordance avec ce que l’on dit de lui.

Sa réputation le précède.

Et c’est le cas de le dire ! Quel mauvais garçon entend-t-on dire bien souvent à son sujet, quel homme facile, de petite vertu !

Oh, loin de se cacher ou de rougir de ses mille conquêtes, Ming s’en enorgueillit sans mal, étant en plus d’un tempérament confiant et fier, au point de s’assimiler à de l’arrogance et à de la vanité, ce qui le pousse parfois à mépriser certains, malgré lui, et à faire preuve d’une certaine insensibilité.

Il a du mal à résister aux charmes du beau sexe et est enclin à courir après ses représentantes. Il apprécie le jeu de la séduction, chose qui n’est pas particulièrement ardue pour lui, étant quand même quelqu’un de charmant.

La légèreté de ses mœurs est telle que dès lors que l’on entend parler d’un scandale impliquant une demoiselle, on le tient immédiatement pour responsable et on a tendance à se tourner vers lui avec un regard accusateur.

Comment pourrait-on être blâmé pour ça ?
Loin d’être stable et solide comme le roc à ce niveau, il est comme l’air, inconstant, faisant en sorte qu’aucun sentiment ne se développe, qu’il n’y ait aucun quiproquo à ce sujet et que chacun continue de son côté, libre de toute attache sentimentale.

Un mufle dirait-on. C’est un vrai goujat. Un profiteur même !

Après tout, il joue de ses charmes pour rendre malheureuse n’importe quelle demoiselle qui se serait éprise de lui, aussi impitoyable qu’un ex de Taylor Swift (il aurait d’ailleurs mérité sa place parmi ceux-ci et même sa propre chanson). Il n’a aucun scrupule à abandonner ses conquêtes sur le sol froid et dur quand il s’en est lassé, comme Thésée a laissé Ariane sur une île…


Et pourtant…
En dépit des rumeurs et de sa réputation sulfureuse (quoique celle-ci est méritée en partie, compte tenu du phénomène), Ming est loin d’être le malotru qui est souvent dépeint par les cancans, ses rapports avec les demoiselles sont pour le moins plus nuancés qu’ils ne paraissent.
Ce n’est pas un enfant de chœur, la luxure est son péché capital, ça c’est certain, mais il n’est pas aussi mauvais qu’on le dit envers les femmes.
Quand on le connaît un peu plus, on le voit respectueux des représentantes de la gente féminine, bien que celles-ci soient son vice, les traitant avec tout le soin et toute l’attention qui leur est dû. Jamais il ne lui viendrait à l’esprit de donner de faux espoirs à ses partenaires, Ming prend toujours le temps de clarifier la situation et fait en sorte de ne jamais jouer avec leurs sentiments. Malgré la triste réputation que certains lui affublent, il est profondément peiné quand il entend qu’il a causé du tort à une femme et aussi nombreuses soient ses conquêtes, il se souvient de chacune d’entre elles et est prêt à réparer les méfaits qu’il a causé, s’il y en a et jamais il ne rejettera la faute sur l’une d’elles et sera toujours présent si jamais elles ont besoin de lui.

Parce que quoi que l’on dise de lui, Ming est droit et honnête, tant dans ses paroles que dans ses actions. Il est loin de jouer un double jeu ou aux faux semblants. Il n’a pas le temps pour ça… Ni le cœur à la malveillance. Il se méfiera bien entendu de certaines personnes, n’étant pas naïf au point d’être dénué de suspicions mais jamais il ne fera de coups bas ou assènera de couteaux dans le dos. Il est important pour lui de garder la face en restant honorable.
C’est un homme authentique, décomplexé, bien que fier, chaleureux avec un certain sens de l’humour. Sa compagnie est agréable. Hédoniste, on aura compris qu’il apprécie les bonnes choses qu’offre la vie. Ming sait également soutenir ses connaissances… Y compris dans les situations les plus cocasses ou dans leur vie amoureuse.

Têtu et ayant une pleine confiance en ses capacités, il ne cille pas face à l’adversité et garde une grande maîtrise de lui-même, allant même jusqu’à se placer devant les autres pour les protéger, quelle que soit son opinion d’eux, qu’il les apprécie ou les méprise. Paradoxalement, il sait rester à sa place, il ne va pas chercher à bouter quelqu’un d’un rang plus haut que lui, parce que les hautes-sphères et le pouvoir ne l’intéressent pas vraiment, malgré un fort esprit de compétition (et de camaraderie). Par ailleurs, il ne prend pas de risques inutiles et a tendance à prévenir ceux qui frôlent les limites.