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Preview du mois de décembre : it's beginning to look a lot like Christmas!
ILUKAAN est un forum MULTIFANDOM dans l'univers d'Harry Potter.
Ilukaan est une école de magie internationale se situant en Nouvelle-Écosse au Canada.
L'histoire se déroule en 2024, mélangeant magie et technologie.
Vous pouvez jouer des personnages de manga/anime, jeux vidéos, films d'animation, dessins animés, romans jeunesse ou encore un OC.
L'intrigue se fait à la fois en RPCB et RP-POST.
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I got a fucking image to maintain • Kainé |
Kainé Doherty
Strixyst
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It's okay. You're not the only voice in my life anymore. I've spent time with others.

ϟ Œuvre : NieR
ϟ Parchemins : 254
ϟ Gallions : 440
ϟ Âge (RP) : vingt-trois ans.
ϟ Maison : Strixyst
ϟ Année scolaire : 13ème année
ϟ Titre(s) : /
ϟ Don : /
ϟ Baguette : bois de noisetier, ventricule de dragon – 25 centimètres – très rigide.
ϟ Cursus : Sciences occultes.
ϟ Autres comptes : Arthur Kirkland — Belphegor Hellborn — Hajime Hinata — Tamaki Suoh — Razor Hrodwulf — Franziska von Karma — Goro Akechi
Kainé Doherty
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It's okay. You're not the only voice in my life anymore. I've spent time with others.

ϟ Œuvre : NieR
ϟ Parchemins : 254
ϟ Gallions : 440
ϟ Âge (RP) : vingt-trois ans.
ϟ Maison : Strixyst
ϟ Année scolaire : 13ème année
ϟ Titre(s) : /
ϟ Don : /
ϟ Baguette : bois de noisetier, ventricule de dragon – 25 centimètres – très rigide.
ϟ Cursus : Sciences occultes.
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Sujet: I got a fucking image to maintain • Kainé |
Jeu 29 Oct - 12:47
                    
Kainé Doherty


Nier
Identité
Doherty
Kainé ("Hey sexy", la bourrine et d'autres sobriquets du genre. Elle déteste particulièrement le surnom "Sunshine")
23 ans
Irlandaise
Gaélique irlandais, anglais
14 juin 2001 (l'Aire (village sorcier), Irlande)
Cheveux blonds platines, yeux marrons
1m72, 63 kg
Who am I...?
Kainé est une sorcière sang-mêlée appartenant à la maison Strixyst et en 13ème année. Elle suit le cursus Sciences occultes. Elle ne possède aucun don. Elle n'occupe aucun poste.

Sa baguette est faite de noisetier, avec un cœur en ventricule de dragon, d'une longueur de 25cm, très rigide. Son animal de compagnie est Tyrann, un chat noir.

Son patronus est un épervier. L'odeur de son Amortentia est composé de larmes lunaires (fleur sorcière), de charbon et des pins. Son reflet dans le miroir du Riséd est un autre elle, épanouie dans une somptueuse robe. Son Épouvantard prend la forme du cadavre distordu de sa grand-mère.

Elle n'a pas de famille présente à Ilukaan. Sa matière favorite est Défenses Contre les Forces du Mal et la matière qu'elle aime le moins est la Divination.
Derrière l'écran
Pseudo & pronoms :
Alex / Asahi (elle, la)
Souhaites-tu être parrainé·e ?
Je suis le parrainage.
Avatar : Kainé, Nier.Code du règlement : C'est la mer noire.Comment as-tu trouvé le forum ?
C'est lui qui m'a trouvé-
Un petit mot ?
Pouet pouet camembert.
headcanons
Intersexuée, mais élevée et genrée au féminin • En soi, ce n'est pas un secret, mais un sujet tabou pour elle • Elle a une sainte horreur de son corps • Paradoxalement, elle l'habille très bien, se coiffe bien et aime le maquillage • Habile de ses mains • Aime tout particulièrement faire des couronnes de fleurs • A un véritable langage de charretier • La faute à sa grand-mère qui est tout aussi vulgaire • Donne des insultes et injures très imagées • Crache plus de venin qu'elle ne frappe • En fait, les poings, ça reste occasionnel • Elle a pas mal de force dans les bras, ils sont même un peu musclés • Aime bien les enfants • Tendance à s'adoucir en leur présence • De même pour les gens qui n'ont aucune confiance en eux et en qui elle se reconnaît • A choisi son cursus pour l'étude des Obscurus • Ne supporte pas le bullying et en défendra souvent les victimes • Asexuelle (mais pas aromantique) • A toutefois beaucoup de mal à s'imaginer dans une relation • La seule fois où ça a failli arriver, le type a pris ses jambes à son cou
« Home sweet home appears to be a shithole. »
« My grandma gave me the strength to deal with this goddamn mutant body. »
L’on dit souvent, et parfois sur le ton de la plaisanterie, qu’Ilukaan est une école réunissant de belles personnes de façon un peu hasardeuse. « Par chance », on retrouve comme qui dirait des quatre coins de la planète de beaux jeunes hommes, comme d’adorables jeunes filles. Attrapez un élève au pif dans le couloir et vous avez de grandes chances d’obtenir ce genre de réponse en retour, mais Kainé semble faire plus ou moins exception. Tout simplement parce qu’elle n’attache aucune importance à l’apparence d’autrui. Vraiment aucune. Pourtant, en ce qui concerne son propre cas, tous les efforts sont mis à l’épreuve pour qu’elle puisse se ranger avec une rage assez inédite du côté féminin de la force.

Ça ne coule pas spécialement dans les veines des Doherty, mais Kainé est une belle personne au naturel. Les plus observateurs pourraient même la qualifier de « sexy ». Sans particulièrement s’en vanter (au point de certainement faire comme si elle l’ignorait totalement), elle possède un corps aux courbes élancées, propres et bien dessinées. Il n’y a pourtant de sa part aucun effort pour jouir de cette paire de jambes (certainement son meilleur atout) ou de cette poitrine généreuse qui ne présente pourtant pas de vulgarité particulière. Cette beauté corporelle pourrait éventuellement en faire jalouser certains, surtout lorsque la concernée ne fait aucun commentaire dessus. Pas de quoi s’étonner lorsque la Strixyst semble se moquer des conventions sociales sur le physique, au point de répondre qu’on se « fout complètement de si t’es moche et gros ou canon et bien membré. T’es con, t’es con ».

Sur ce mètre 72 pour un poids moyen d’un peu plus de 60 kilos, Kainé doit une partie de ce chiffre à quelques muscles qu’elle forge occasionnellement. Ça se voit surtout dans les bras. L’on pourrait se dire qu’il y a un décalage énorme entre sa façon de se maquiller et s’habiller, et le fait même qu’elle puisse être musclée ici et là ainsi que dotée d’une certaine force… mais il en est bien ainsi. Si une certaine généralité connaît Kainé comme « une belle personne », d’autres peuvent connaître la facette sportive qu’elle ne cache pas particulièrement. Mais il est en fait assez courant de la voir dans les lieux sportifs du campus, en train de s’entraîner à frapper comme à courser. Pas de sport favori en perspective : que de l’entraînement et de la volonté pure à s’entretenir forte. Kainé jure que sa seule motivation est de ne pas paraître fragile comme l’on pourrait s’y méprendre en la regardant. Ne serait-ce qu’avec ses talons (elle court très bien avec des talons). Mais dans le fond, ça lui sert aussi certainement d’exutoire.

Parlant de talons, la garde-robe de Kainé est tout ce qu’il y a de plus élégant. Passant des chaussures à lanières aux débardeurs aux cols légèrement plongeants. Fut une époque où, très adolescente rebelle, elle provoquait le titillement des membres du personnel en s’habillant avec du « trop court, trop transparent, trop moulant ». Une période qui ne dura que de la 6ème à la 7ème année, son sérieux s’étant surtout révélé à l’aube de son cursus. Maintenant, certes elle porte des jupes courtes, mais il n’est pas plus rare de la voir porter un jean ou une veste à fausse fourrure. Mais comme elle préfère la praticité à la beauté, Kainé ne se gêne pas de porter quelques fois partiellement l’uniforme, à savoir qu’il ne lui est pas rare d’ôter ne serait-ce que le veston.
Elle n’est pas spécialement bijoux, malgré les boucles d’oreilles qui demeurent, dira-t-on, sa sorte préférée. C’est ainsi que l’améthyste de sa maison s’est transformé en une boucle portée le plus souvent à l’oreille gauche à l’issue de son premier cycle.

S’il n’y a rien d’extravagant du côté vestimentaire et ornements prévus en accompagnement, Kainé tente beaucoup d’expériences avec ses cheveux. Ainsi, ces derniers sont très souvent attachés : en tresses, en queue de cheval, en nattes un peu rafistolées comme-ci ou comme ça… Sa clair blondeur platine est si lisse qu’il y a de quoi essayer à peu près tout. Bien dommage cependant qu’une fois détachés, ils ne lui arrivent qu’aux omoplates ; elle s’amuserait sûrement beaucoup plus s’ils étaient encore plus longs. Mais Kainé refuse de trop les laisser pousser malgré tous les efforts féminins, pour profiter encore longtemps de ce côté pratique qui lui sert très souvent d’excuse. Après, on lui dira qu’une fleur dans les cheveux, ça ne rend en rien les choses pratiques. Mais cette fleur (une larme lunaire originaire de chez elle), ensorcelée afin qu’elle ne flétrisse jamais, est un souvenir précieux de sa grand-mère et de beaucoup de moments de joie passés avec. Donc il est tout à fait hors de question de s’en débarrasser.
Kainé aime le clair. Pas mal de clair. Du bleu ou du blanc. Du gris ou juste une variante plus sombre. Un truc qui s’assortit à ses yeux qui tirent un peu des deux côtés. Un bleu pâle, un outre-mer moche, un océan un peu usé.

Sa mâchoire légèrement carrée est un détail qui lui est propre. Corps de mannequin, poitrine de compétition, jambes débordantes de beauté, maquillage quotidien mais léger… Et pourtant. Kainé a la voix grave. Et porte avec malaise la lingerie fine. Née autant homme que femme, son corps a largement penché vers le chromosome X. Il ne lui en reste pas moins un attribut évident au niveau de l’entre-jambes… Sa taille de ce dernier lui permet de bien pouvoir le dissimuler, mais il représente tout ce que Kainé déteste à son propre sujet. Son intersexuation n’est pas spécifiquement un secret, et elle a de toutes évidences été « classée fille » dans les dortoirs comme sur les registres d’Ilukaan. Mais le sujet demeure aussi tabou que regretté. Cette particularité la pousse ainsi à se montrer sous un jour féminin parfois très prononcé. L’on pourrait dire qu’elle est, de toutes évidences, une jeune femme. Mais s’il y a bien une personne qui ne digère toujours pas la réalité cachée sous ces vêtements, c’est Kainé. C’est pourquoi malgré sa garde-robes, elle ne se sent toujours pas capable de porter des robes. Certes son corps est bien habillé, mais il y a encore de ce Y apeuré et réfugié bien au fond de son esprit.

Alors, Kainé a la démarche assurée. Le pas élégant, lorsqu’elle semble de bonne humeur. Mais ne cédera pas aux images que l’on se fait des mannequins sur les podiums ou de celles qui posent dans des magazines. Loin, très loin d’elle l’idée d’aller se pavaner auprès d’autrui ou même devant le miroir pour son propre plaisir. S’il y a au moins une chose qu’elle apprécie chez ce genre masculin perdu, c’est le contraste naturel entre son spectre et son attitude.
Pour cette jeune femme Strixyst, il a longtemps été compliqué de se trouver. Pas simplement au niveau de l’identité, mais également en matière de goûts et couleurs. Née et élevée dans un village assez xénophobe, l’Irlandaise a partiellement vécu à la dure, avec un entourage à moitié pourri jusqu’à l’os. Les montagnes de l’Aire n’étaient décidément pas l’endroit rêvé pour élever une enfant qui manquait autant de confiance en elle. Ce pourquoi d’ailleurs Ilukaan fut un choix inespéré pour l’accomplissement de la sorcière.

Au premier abord, la Doherty semble de nature extrêmement fermée. Sans doute les moues froides de cette dernière vous donneront envie de faire demi-tour. Qu’on vous a murmuré à l’oreille que malgré son élégante allure, elle ne conservait pas sa langue dans sa poche et était capable de balancer les pires vacheries. C’est tristement vrai, mais d’un autre côté, cela n’est en aucun cas preuve d’une animosité extrême au point qu’elle ne soit pas le moins du monde fréquentable. En effet, bien que réservée sous certains aspects, Kainé ne refuse jamais clairement la présence d’autrui. Elle est en fait têtue à un point parfois affligeant. Et pourtant, ce n’est que la politesse qui lui fait défaut. Capable d’un dialogue fort de café (on remercie mamie pour avoir été la figure maternelle des années durant), qu’elle soit ravie ou agacée, elle ne manquera pas de commenter les petites choses de la vie avec un dialecte qui ferait rougir les plus coincés. Si vous êtes à court d’insultes ou d’expressions variées mais pas fleuries pour un sou, vous pouvez toujours lui demander conseil.

Malgré cette expressivité verbale, Kainé est assez secrète. Jamais la première à bien vouloir parler d’elle. Ou alors, c’est vraiment parce qu’on lui a demandé. Il n’y a pas vraiment de difficulté à engager le dialogue en sa compagnie, mais parler de soi n’est pas une initiative qui lui sied. Elle répondra aux questions sans divaguer, sans même forcément développer. D’un autre côté, c’est pas forcément le truc le plus intéressant à décortiquer, n’est-ce pas ? Même une conversation sur la pluie et le beau temps peu sembler moins gênant. Plus chiant mais moins gênant.
Cette force de caractère dont elle fait preuve représente ainsi à la fois sa meilleure force et sa pire faiblesse. Certes l’on ne pourra pas dire qu’elle ne se défend pas, mais d’un autre côté, elle est très facile à titiller. Ou du moins, il est très simple de la faire jurer et ainsi de provoquer chez elle une vulgaire comparaison entre votre cerveau et le nombre d’excréments que mange une mouche dans sa vie. Certes, les deux partis semblent très éloignés l’un de l’autre à première vue, mais elle est dotée d’une imagination débordante. On aimerait bien qu’elle la développe à d’autres niveaux, ceci dit.

Cette parole sans filtre est néanmoins bien plus douce et émotionnelle lorsque Kainé s’identifie à autrui. Une personne mal dans sa peau, un enfant perdu, ou simplement quelqu’un de reconnaissant envers elle, la Strixyst s’adoucira et révélera alors un visage nouveau. Ça peut être autant du favoritisme qu’une compassion pleine de bonté. S’en prendre aux faibles est un acte qu’elle ne pardonne pas, quelle que soit la raison. Sans pour autant s’autoproclamer justicière, Kainé trouvera toujours l’envie d’extirper des pécheurs la raison de leurs fautes et pourquoi. L’injustice n’est pas tolérée, en particulier lorsqu’elle peut encore faire tourner le vent (surtout lorsqu’elle le peut). Aucune barrière ne retient Kainé de ses excès de colère de laquelle s’extirpe un besoin absolu d’évacuer sa rage envers les concernés, en leur crachant leurs quatre vérités au visage par exemple. Il n’est aussi pas à exclure la fine possibilité de quelques poings ajoutés au processus, bien qu’elle use davantage des mots que des phalanges. Mais les muscles de Kainé servent le plus souvent à faire du spectacle. Ouvrir une porte à coup de talon, frapper du poing sur la table, tout est bon pour faire réagir les partis et ainsi se faire entendre. Hors de question qu’on l’ignore et qu’elle s’exclame dans le vent. Une franchise si directe que la Franchise en elle-même en aurait peur.

Il en est de même pour toutes les émotions dites négatives que l’humain ne sait pas gérer : une timidité naissante, une tristesse honteuse, une confusion frustrante ? Une colère en guise de réponse. Kainé démarre toujours au quart de tour sans la moindre patience, et ce pour la plupart des situations. Même les plus bêtes et simples. La voir jurer sur une porte simplement parce que le verrou est un peu abîmé et qu’elle ne veut donc pas s’ouvrir, jusqu’à maudire toute la génération de ce serrurier au point qu’ils mériteraient de souffrir de la même hernie… c’est possible.

Cette force d’esprit et cette rage font d’elle cependant un excellent adversaire, comme une bonne compagne d’exercice. Les plus sportifs du campus peuvent la croiser s’atteler à plusieurs disciplines qui la maintiennent en forme. Pas une en particulier ne lui permet de se distinguer clairement des autres, elle s’attaque à un peu tout, tant que ça lui permet de s’exercer : boxe, course, musculation… avec modération. C’est le plus souvent dans ces instants-là que Kainé révèle sa force, sa détermination et sa rage à vouloir montrer qu’elle ne porte pas des jupes essentiellement parce qu’elle est jolie. Il est assez étrange de constater cette contradiction entre la destruction des clichés féminins comme ses efforts énormes à oublier qu’elle est biologiquement autant homme que femme. Parce que Kainé s’assume largement intérieurement, et très difficilement extérieurement.

Ce conflit interne la pousse alors à ne pas prendre quelconque trop plein de confiance envers son entourage ; lequel l’approche pour sa personne, lequel pour ses formes ? Car il est arrivé à la jeune femme de se faire accoster parce qu’elle avait de belles jambes. Beaucoup ont prit la fuite lorsqu’elle a seulement ouvert la bouche ensuite. Réaliste, terre-à-terre, Kainé fait part de sa vision du monde, de comment le reste le perçoit. Que les gens moches sont rarement aimés malgré leur coeur d’or. Que les riches n’éprouveront qu’une compassion fausse et éphémère envers les plus démunis. Plutôt que de sourire à pleines dents avec un espoir débordant, elle se résout à rester derrière ces barrières de doutes afin de ne pas être déçue de trop nombreuses fois.
Ceci dit, les moments de joie sont bien présents. Si elle s’avère froide ou récalcitrante à se mêler à autrui, Kainé apprécie sans le montrer lorsqu’on l’interpelle vraiment, lorsqu’on a besoin de son aide, de sa personne. Être la confidente, la grande sœur attitrée, l’élève dont le professeur est fier, que des titres dont elle ne se vantera jamais tant elle les trouve rarement sincères et donc extrêmement précieux. Sa grand-mère adorée mais vulgaire comme elle le lui a bien enseigné lui a également fait cadeau de cette force : celle de croire en autrui, même si le doute se doit de se montrer dans le processus.
« Why do you have to be such a shithead all the time, you bastard? »
Lorsque le monde sorcier s’est doucement inspiré des inventions moldues, forcément, il y a eu des débats. Que la technologie tâchait l’essence même de la magie, qu’il n’y avait pas à mélanger les torchons et les serviettes… Et pourtant, voyez où on en est aujourd’hui : tout le monde a son téléphone portable et/ou son propre ordinateur. Deux mondes désormais aussi différents que similaires, quand bien même on aurait du mal à croire que magie et technologie puissent aussi bien se mêler selon les endroits.
L’Aire, par exemple, n’en faisait pas partie. Ou plutôt, il faisait partie de ces coins encore en minorité mais bien existants, qui refusaient de céder un peu trop le passage à l’envahisseur.

L’Aire, village sorcier un peu particulier dissimulé entre les montagnes de la campagnarde Irlande. Particulier autant dans sa structure que ses habitants. En effet, ce lieu de vie restreint au point qu’absolument tout le monde là-bas se connaît, était construit entre deux flancs de montagnes, au-dessus d’un gouffre dont on ne voyait pas le fond. On ne disait pas grand-chose de ce dit fond ; jamais l’on n’évoquait moindre rumeur comme quoi on y trouverait des cadavres ou même un dragon profondément endormi à des kilomètres de profondeur… Mais cette particularité aura étonné plus d’un visiteur qui, sur place, pourra constater qu’il n’y a pas de routes : juste des ponts et des places toutes faites de bois. Le tout entouré de sortilèges qui assurent la protection des habitants. Tous les enfants qui y grandissent ignorent ce qu’est jongler avec l’équilibre, tant courir à longueur de journée sur ces ponts est un aspect banal du quotidien.

Et Kainé n’y faisait pas exception, bien entendu.

Née un 14 juin, le jour de sa naissance fut accueilli par un vent frais qui apporta l’odeur des pins. Il était déjà de notoriété chez les Doherty de faire attention aux économies depuis que la grand-mère du côté paternel a rejoint le foyer à la suite du décès de son mari, mais jamais cette entrée dans la maisonnée n’avait en quoi que ce soit dramatiser la situation. Pas même lorsque l’enfant était arrivé ; c’est pas grave, on se serrera juste un peu plus la ceinture.
Au milieu de ce bonheur étincelant, on y trouva une petite tâche de confusion que l’unique guérisseur de l’Aire pouvait seulement identifier. En additionnant l’ouverture du 21ème siècle, la vieillesse de ce village reculé ainsi que sa fermeté d’esprit, il était compliqué de dire avec plus de précision ce dont le bébé souffrait. « Souffrait » ?

Il ne souffrait en rien : la génétique de l’Homme était si capricieuse, par moments, qu’elle pouvait sans problème toucher les sorciers. Ainsi, issu.e d’un Sang-pur et d’une Née-moldu, l’enfant s’avéra être autant une fille qu’un garçon. Par sécurité et crainte qu’un jour l’enfant soit brimé.e, les parents prirent la décision de définir le bébé comme une adorable petite fille. De ce fait, même si la poitrine venait à ne pas pousser, au moins personne n’irait chercher des noises à cette pauvre petite qui elle-même allait devoir apprendre à se connaître.
On la nomma Kainé. Un prénom masculin, qui jouissait pourtant d’une sonorité féminine. Le choix était parfait, original, et même la grand-mère Kali se réjouissait de pouvoir partager quelques lettres avec elle. Kainé fut donc choyée comme n’importe quel enfant qui le mérite au sein de son foyer aimant.

Les années passants, beaucoup de paramètres changèrent de manière progressive. D’abord à un niveau constant, tout se transforma au point qu’il fallait au même rythme changer les habitudes. Jeune enfant qu’elle était, le corps de Kainé ne montrait encore aucun signe de dominance d’une anatomie sur l’autre. Ainsi elle entra dans la petite école de son village avec une apparence androgyne.
Le souci de ces villages minuscules, c’est que la plupart des parents se connaissent. Ainsi, leurs marmots se connaissent. Et tandis qu’il était beaucoup plus simple pour les mêmes enfants de jouer entre eux grâce aux relations de leurs pères et mères, Kainé demeurait la plus timide et moins osée, qui peinait à se faire des amis. Sans compter qu’à cet âge-là, les enfants peuvent s’avérer aussi innocents que cruels. Ainsi, lorsqu’on commença à déterminer l’Irlandaise comme une « sorte de garçon » et « truc comme une fille » à l’école, le processus était déjà lancé. Là était alors l’inconvénient de cet avantage à connaître tout le monde : en quelques temps, Kainé était victime de brimades.

Au départ, il ne s’agissait que de murmures. Puis de ragots transmis d’un bout à l’autre de la classe. De dos qui se tournent lorsque les yeux craintifs de la petite remarquaient les messes basses jusqu’à ce qu’un des garçons les plus téméraires décida d’élever la voix :

- T’es quoi, au juste ?

Je suis quoi, ça, Kainé ne se l’était jamais vraiment demandé. Il a toujours été évident et naturel à la maison de dire qu’elle n’était ni plus ni moins qu’une petite fille. Mais ce visage carré, cette voix confuse, ce torse plat et ces longs cils… Quel parfait mélange. Quel parfait spécimen pour nourrir les moqueries de ces gamins cruels.
« Tu es quoi », une question à laquelle Kainé ne pouvait répondre. Pas tant parce qu’elle l’ignorait, elle pourrait très bien dire haut et fièrement qu’elle est une fille. Mais elle savait que la vérité, sa vérité, ne plairait à personne dans cette classe. Personne n’allait accepter sa version des faits. L’identité qu’elle veut chérir. Les gamins l’empêchaient souvent de rentrer chez elle à temps le soir venu, lui posant la même horrible question pleine de sous-entendus sans la moindre excuse valable. L’avis général de la classe, on ignorait ce qu’il en était réellement dans ces coulisses : est-ce que les enfants disaient d’elle qu’elle était un garçon ? Qu’elle n’était aucun des deux ? Qu’elle valait autant qu’un loup-garou pestiféré ?
Aucune idée. Kainé ne voulait pas le savoir. Ce pourquoi elle ne répondait jamais à la damnée question. Du moins, jusqu’à ce jour où les gamins turbulents avaient ramené des cailloux.

Des cailloux gros et ronds, ou petits et pointus. Des cailloux qu’on lui lança au visage comme sur ses jambes découvertes. « Pourquoi tu mets une jupe ?! » cria avec dégoût l’un d’eux. « Pourquoi tu fais comme si t’étais une fille ?! » poursuivit un autre. Pétrifiée par cette injustice et le nombre, Kainé se mit en boule sur le pont et attendit que les choses passent.

« Dis-nous c’que t’es ! » « Dis-nous c’que t’es ! » « Dis-nous c’que t’es ! » « Dis-nous c’que t’es ! » « Dis-nous c’que t’es ! »

Devait-elle avouer définitivement afin d’avoir la paix ? Dire une chose aussi dure et injuste ? Malgré le doute qui fissurait de jour en jour ses convictions, elle n’en eut pas le temps : l’un des gamins fut projeté un mètre en arrière sur le dos. Derrière Kainé et gagnant du terrain sur le pont, Kali avançait en tendant sa baguette et vociféra :

- Que j’vous reprenne pas à toucher à Kainé, bande de p’tits salauds ! J’vais vous transformer en p’tites merdes d’hippogriffe, ça vous ira comme un gant, par Merlin !

Les enfants prirent la fuite en entendant la suite du dialecte, un mélange inédit d’insultes et de formules magiques. Lorsque le calme revint, la vieille sorcière vint aider sa petite-fille à se relever avant de sécher ses yeux humides avec douceur.

- J’t’ai déjà dis de pas t’laisser faire, ma p’tite. C’est rien qu’des p’tits merdeux.

Kali était une femme de Sang-pur, âgée mais dotée d’un vrai langage de charretier qui n’aura toutefois jamais horrifié l’enfant. Elle était certes vieille, avait atteint la centaine d’années, mais s’était toujours occupé de Kainé comme la meilleure des nounous. C’était le plus gros de son quotidien depuis que les parents de la jeune fille avaient prit la décision de quitter régulièrement le village afin de trouver du travail au-delà de ces montagnes. L’Aire était petit et avait rarement besoin de main d’œuvre en plus, ainsi père comme mère s’étaient résolus à voyager dans le reste du pays, pour revenir quelques jours après. Mais comme la croissance de Kainé, ces séjours se modifiaient de plus en plus afin de s’allonger encore et encore. D’où le vide de la petite maison, mais les moments de joie très intenses entre une grand-mère et sa petite-fille.
Bien sûr, leurs absences régulières jouaient sur le morale de Kainé. Elle ne pouvait pas leur en vouloir, après tout il fallait bien vivre. Le milieu en soi n’était pas précaire, mais la xénophobie généralisée du village faisait qu’on refusait rapidement et acceptait rarement comme lentement la nouveauté qui venait d’ailleurs. L’Aire était une déconnexion énorme des villes. Un peu une sorte d’autre-monde. Et la jeunesse de la jeune fille le vivait difficilement.

En grande partie élevée par sa grand-mère, Kainé apprit à marcher sur les ponts la tête haute, sans toutefois encore se sentir capable de répondre plus que cela aux affreux gamins. Pourtant, elle s’instruisait des habitudes et langage de Kali au fur et à mesure, héritant ainsi de sa vulgarité mais également de son répondant. De telles injures dans la bouche d’une jeune fille surprend. Au moins il y a de quoi décontenancer les adversaires. Mais à l’âge de dix ans, bientôt onze, elle manquait encore cruellement de confiance en elle, et à l’approche de l’été 2012, il allait falloir réfléchir à quelle école la petite allait postuler.
Lorsque le sujet fut mit sur la table la première fois, une énorme dispute éclata entre les deux partis : Kainé refusait d’abandonner (le mot qu’elle employait) sa grand-mère qui se retrouverait seule dans ce village de pauvres cons, dû au malheureux mais nécessaire fait que le couple Doherty était désormais rarement à la maison. Pas une gifle ne partie, pas de geste brusque regrettable, que des voix qui explosaient. Kainé jura sur sa grand-mère pour la première fois, faisant exploser un vase de la cuisine. Ses pouvoirs s’étaient récemment éveillé avant son onzième anniversaire et ils étaient la preuve qu’elle n’avait pas le choix.
La seule initiative de Kali à l’issue de cette dispute, c’était de pousser sans faire mal sa petite-fille dans un coin du salon, punie comme à l’école. Là alors, l’enfant versa des larmes de rage jusqu’au calme plat.

Une heure après, elle était revenue dans les bras de sa mamie adorée, s’excusant à multiples reprises. Pas pour la crise de nerfs, mais pour cet abandon dont elle a déjà honte. Caressant avec tendresse les cheveux blonds et joliment coiffés, Kali marmonna d’un ton aussi sérieux que d’habitude malgré ses mots :

- Arrête de chialer, va… T’es plus forte que ça.

C’est ça, Kainé était forte. Elle le pouvait, il fallait seulement qu’elle se donne les moyens. Le lendemain de ce jour fort en émotions, la pile de prospectus qu’avait reçu Kainé fut enfin éparpillée sur la table et fouillée par quatre mains. Afin de ne pas négliger la distance, le premier choix aurait dû être Poudlard. Mais son château rustique, ses vieilles traditions, cette sorte de fermeture d’esprit qui lui rappelait douloureusement celle de l’Aire et de ses foutus habitants… Tout cela l’effrayait. En France, Kainé se sentirait trop petite. Trop éloignée du critère des Français qui ont l’air de beaucoup jouer sur l’esthétique. Quand elle cherchait des noms de sorciers ayant obtenu leur diplôme là-bas, elle avait l’impression que presque tous sortaient d’une série à l’eau de rose, du style Amour, Gloire et Magie.
C’est là qu’elle le vit : un bleu électrique, des photos brillantes. Le prospectus d’Ilukaan sortait du lot de paperasses, comme s’il avait été posé là par erreur. Les écrits vantaient avec grandeur que l’école était ouverte dans tous les sens du terme, acceptant le monde entier et toutes ses différences. Si Kainé trouvait ces critères d’acceptation miraculeusement parfaits pour elle, son hésitation lui fit douter des étoiles que le papier lui mettait dans les yeux. Or, à peine eut-elle rendu ce prospectus au reste que Kali s’était exclamé : ce sera Ilukaan. C’est soit Ilukaan, soit rien.

Poussée par la force de caractère de sa grand-mère ainsi que son assurance peu à peu influencée, Kainé partie étonnamment loin, au Canada. Ses parents étaient tout bonnement ravis, autant du choix de l’école que de la distance. C’était assez cruel de devoir insister là-dessus, mais contrairement à la jeune fille, le reste de la petite famille voyait cette distance comme une condition nécessaire. Plus l’école était loin, moins souvent elle allait pouvoir revenir. Et il était hors de question que Kainé rencontre aussi souvent les adolescents turbulents en pleine puberté de l’Aire. Du moins, pas tant qu’elle ne parvenait pas à s’accepter comme eux trois l’ont toujours fait.

Le stress de la première année faisait presque suffoquer d’angoisse la jeune fille. Elle n’avait jamais vu autant de personnes dans un campus pourtant presque autant peuplé que son village indéniablement plus grand. Pour la première fois, elle partageait les mêmes jours qu’une autre communauté dont elle ne pouvait retenir tous les noms et visages. Il lui était également encore compliqué de s’attribuer au nom des Strixyst qu’elle avait rejoint. Le temple des chouettes et des illusions, paraît-il.

L’illusion… Ce n’est pas parce qu’au fil des ans, son corps était trompeur, n’est-ce pas ?

Sa poitrine commença à pousser l’année suivante. Et le temps passant, l’aspect androgyne se métamorphosa gracieusement en une figure élégante et féminine. À croire que le mental de Kainé influençait grandement sur cette croissance, car ça ne lui semblait jamais suffisant : en témoigne cet attribut masculin qui lui rappelle à chaque douche ce qu’il en a toujours été. Malgré son affirmation sur son genre, Kainé ne parvient toujours pas à vivre paisiblement de manière absolue, marquée par les expériences du passé.
C’est pourtant pas faute d’avoir effectivement essayé de se rapprocher de certains. Des garçons gourmands comme des curieux. Certains ont été décontenancés par sa voix grave. D’autres lui avaient demandé si c’était vrai. Et une fois, juste une fois, elle a réellement tenté de sauter le pas. Mais il paraît que ça a rapidement tourné au vinaigre lorsque le garçon un poil plus âgé qu’elle découvrit ce qui se cachait sous la lingerie.
Pas de copain, alors ? Pas d’amoureux ? Ou d’amoureuse, Kainé ne pourrait jamais se baser sur ce genre de détails.

Compliqué de pouvoir aimer les autres quand on ne s’aimait pas soi-même, disait-on. Or, Kainé se réfugiait dans cet amour éprouvé pour les autres. Même si les gens parlaient d’elle en mal, même si elle était l’objet de rumeurs ou de bruits distordus au fur et à mesure qu’ils passaient de bouche en bouche… elle laissait faire et se contentait de se boucher les oreilles en couvrant les bruits par les siens. En criant ses injures ou en arrosant autrui du besoin de sa personne juste.
Elle avait d’ailleurs longuement hésité à choisir le cursus de Psychomagie. Mais malgré sa position de fausse justicière, de anti-héroïne, elle ne se sentait pas suffisamment forte pour pouvoir affronter les problèmes des autres si elle devait en faire son devoir. Ainsi fut sélectionné le choix des Sciences occultes à la place. L’ombre et tout ce qui reflète le malheur dans la magie apportent leur lot de curiosité, sans doute.

Aujourd’hui encore, Kainé fuit autant l’aide qu’elle n’en a véritablement besoin. Selon sa têtue personne, elle n’a pas spécifiquement besoin de parler, mais plutôt d’écouter, d’entendre les autres et de s’identifier jusqu’à pouvoir résoudre ses propres problèmes. Car si elle s’avère aveugle face à son propre malheur et non pas avec ceux des autres, alors ses proches pourront certainement l’aider à trouver la solution en faisant de même.
(c) Ilukaan
            
Henry Eilenberg
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Henry Eilenberg
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Sujet: Re: I got a fucking image to maintain • Kainé |
Jeu 29 Oct - 16:19
                    
Rebienvenue sur le forum, hâte de voir ton perso en rp :D


I got a fucking image to maintain • Kainé | Nnp7
            
Invité
Invité
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Sujet: Re: I got a fucking image to maintain • Kainé |
Jeu 29 Oct - 19:49
                    


ELLE EST LA.

Courage pour la fin de ta fiche ma biche ♥
            
Kainé Doherty
Strixyst
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Kainé Doherty
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Sujet: Re: I got a fucking image to maintain • Kainé |
Jeu 29 Oct - 20:28
                    
Il semblait loin le temps où tu rushais une fiche en une journée 😩


Merci Anna ♥:
            
Vincent Leroy
Ex-Directeur
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Comment appelle-t-on un chat qui chante?
Chat-kira.

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ϟ Âge (RP) : 51 ans
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ϟ Titre(s) : Ancien Directeur d'Ilukaan — PNJ
ϟ Don : Être plus fab que toi
ϟ Baguette : Vigne, coeur en plume d'oiseau tonnerre, 30,45 centimètres. Avec un joli strap dessus.
Vincent Leroy
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Sujet: Re: I got a fucking image to maintain • Kainé |
Sam 31 Oct - 22:35
                    
Rebienvenue à Kainé ! Contente de la revoir, espérons que tout se passe bien pour elle une nouvelle fois et qu'elle se comprenne au fur et à mesure. Bonne petite fiche, agréable à lire. J'te valide, va

Message du staff
Bienvenue à Ilukaan !
Validation

Accompagnée par d'autres nouveaux élèves, tu es appelée par le directeur à t'avancer au centre du Dôme. Scrutée par les élèves et étudiants, tu regardes alors ton reflet dans la fontaine qui va décider de ton sort. D'abord voyant ta sale tête dans l'eau, tu remarques que le reflet semble se changer peu à peu jusqu'à prendre la forme d'une chouette. Tu es d'autant plus surprise quand l'animal commence à pousser un cri dans toute la salle. Tout le monde se met soudainement à t'applaudir, tandis que le directeur s'approche de toi avec une améthyste brute qu'il met autour de ton cou.

"Bienvenue à Strixyst !"

→ Te voilà validée, tu peux désormais poster dans tous les recoins du forum, RP-Post ainsi que RPCB.

→ N'hésite pas à voir la chambre qui t'a été attribuée.

→ Si ton personnage est en cursus universitaire, il peut postuler pour avoir un job d'étudiant.

→ Crée dès maintenant un topic pour récapituler les relations de ton personnage. Tu peux également acquérir un portable ou bien créer un blog.

→ N'hésite pas à faire une demande de RP pour trouver un partenaire d'écriture !

→ Enfin, amuse-toi bien sur le forum,  n'hésite pas à en parler autour de toi et à voter régulièrement aux TS !

            
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Sujet: Re: I got a fucking image to maintain • Kainé |
                    
            
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