Physique
(Liste ou description rédigée sont acceptées !)

Sourire ravageur au regard flingeur, une grande silhouette fine se mouve dans les couloirs sordides. Ses cheveux laissent trainer une odeur reconnaissable de terre mouillée. Elle surgit d’un coin de couloir, ses yeux vous transpercent, ses mots vous tuent. Grand sourire assuré, chacun de ses mots résonnent comme une attaque personnelle, elle vous rabaisse, elle vous détruit. Vriska est détestable, mais elle vous aime. De son sourire sincère à son honnête colère.

De longs cheveux d’un noir de jais s’éclaircissant par artifice vers un bleu marine, une peau douce marquée par la vie, irritée par l’angoisse, le stress de la créature morbide oscillant entre macabé marchant et Clarimonde.

Caractère

D’humeur passagère passant du prospère et elle vous plombe l’air dans sa tristesse vénère. Ses pensées hurlent ses pulsions et sa colère jaillit, injustice enfantine, traumatisme irritant elle guette

La porte des enfers.

Vriska ne pense pas à vous, elle ne pense qu’à elle, elle ne pense qu’à ce qu’elle ressent avec vous. Elle se cherche, elle se fait ressentir, elle veut devenir. Quête perpétuelle d’un avenir radieux, celle du preux héros n’hésitant pas au sacrifice, elle tue le temps. Elle les tue tous.

Manque conscient d’empathie, elle compare votre douleur à la sienne, vous n’êtes que des chochottes. Jeune fille forte, elle essaye de porter le fardeau de sa vie, de la hisser à indispensable mais il suffit qu’un de ses os se brise et elle n’est plus. Vriska n’est pas de porcelaine,

Vriska est en fer.

Excédée par leur bonheur, elle le pourri. Jalousie accablante, elle vous pompe, elle vous détruit. Poupée de fer, elle ne danse pas, ses pas résonnent comme la terreur face à la douleur. Elle n’en à que faire.
Tout le monde déteste Vriska, tout le monde désire Vriska.

Histoire

Abjecte créature qu’est sa mère, utilisant les mains pures de l’enfant naïve pour la concetrer vers les crimes. Les enfants souffrent moins. Dès sa naissance, Vriska n’a pu jouir du grand regard curieux d’un enfant puisqu’à peine eût-elle le droit de sortir de chez elle qu’elle comprit: la vie n’était pas belle.

[uc]