ILUKAAN est un forum MULTIFANDOM dans l'univers d'Harry Potter. Ilukaan est une école de magie internationale se situant en Nouvelle-Écosse au Canada. L'histoire se déroule en 2024, mélangeant magie et technologie. Vous pouvez jouer des personnages de manga/anime, jeux vidéos, films d'animation, dessins animés, romans jeunesse ou encore un OC. L'intrigue se fait à la fois en RPCB et RP-POST.
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ϟ Titre(s) : Batteur dans l'équipe de Quidditch des Lupy
ϟ Baguette : Bois de charme, cœur de ventricule de dragon, 29cm, raisonnablement flexible
ϟ Cursus : Economie du Monde Magique
Sujet: I need to cry, baby, cry baby || Haruka Hijikata Sam 13 Jan 2024 - 22:44
Haruka Hijikata
OC
Identité
Hijikata Haruka (Haru) 22 ans Franco-japonais Français, japonais, anglais 4 juillet 2002 à Tokyo (Japon) Yeux ambrés, cheveux noirs 185cm, 80kg
Who am I...?
Haruka est un sorcier⸱sang-mêlé appartenant à la maison Lupy et en 12ème année. Il suit le cursus Economie du Monde Magique. Il ne possède aucun don. Iel occupe le poste de batteur dans l'équipe de Quidditch Lupy.
Sa baguette est faite de bois de charme, avec un cœur en ventricule de cœur de dragon, d'une longueur de 29 cm, raisonnablement flexible. Son animal de compagnie est une petite chatte nommée Mittens.
Son patronus est un très gros chat. L'odeur de son Amortentia est composé de fleur de cerisiers, crème brûlée et thé vert. Son reflet dans le miroir du Riséd est lui-même en tenue de marié. Son Épouvantard prend la forme d'une illusion de falaise escarpée.
Il a un petit frère et une soeur jumelle présents à Ilukaan. Sa matière favorite est Marketing et la matière qu'il aime le moins est Histoire de la magie.
Derrière l'écran Pseudo & pronoms : Sue, elle/laSouhaites-tu être parrainé·e ? Lol nonAvatar : OC PersonnelCode du règlement : [MP au staff]Comment as-tu trouvé le forum ? On se le demande vraiment !Un petit mot ? prout
headcanons
Haruka est un bon cuisinier : il a tout appris de sa mère, et met fièrement à profit cet enseignement dès qu'il en a l'occasion. C'est très utile puisqu'il adore manger. • Il n'est pas malchanceux à proprement parler, mais il a le don de se fourrer dans des situations ubuesques. C'est souvent au moins partiellement sa faute, il le reconnaît. • Haruka est sportif, et a testé beaucoup de sports différents. Outre le Quidditch, il aime le kendo. • C'est un gros weeb. Il utilise parfois sa connaissance du japonais et ses origines pour frimer un peu auprès des autres weebs. Une façon de se déclarer de la noblesse weeb, en quelque sorte. • C'est un gros, gros, gros romantique dans l'âme. • Haruka a une nature quelque peu addictive et/ou obsessionnelle qu'il tente tant bien que mal de maîtriser. • De fait, il a des périodes d'obsession pour des choses un peu aléatoires : des œuvres fictionnelles, un hobby, un sport... Une personne. Parfois. • Il aimerait bien avoir un tatouage mais son père le tuerait. Peut-être littéralement. • Il est pansexuel. • Bien que son anniversaire soit en été, il préfère le froid à la chaleur. Il adore la neige, d’ailleurs. • Il est d’excellent conseil lorsqu’il s’agit d’amour ou d’amitié. • Les plus jeunes élèves se feront obligatoirement chouchouter. Non, ce n’est pas négociable. • Il a quelques expériences amoureuses, mais rien de très sérieux ou durable. • Il n’est ni surdoué, ni totalement stupide. C’est un bon élève avec quelques ratés, et il a besoin de réviser dur pour avoir des bonnes notes. • Il se maquille assez facilement et met volontiers du vernis à ongles. • Il fait facilement des cadeaux. En gros, si vous voulez vous faire offrir un Stardust, allez-y avec Haru. • Sa présence sur les réseaux sociaux est limitée : il consomme plus qu’il ne publie.
« We're not bitches. »
« Il est moche, mais c'est mon petit frère donc je suis obligée de dire que je l'aime. » — Kasumi, sa soeur
Il est impossible de décrire l’apparence de Haruka sans commenter sur sa nature joviale. « Cela ne relève pas de l’aspect physique ! » me rétorquerez-vous, et vous auriez tout à fait raison, bien que j’oserais avancer le commentaire que vous ne devez pas être fun en soirée. Seulement, le visage expressif et la sympathie quasi-permanente qui anime ce jeune homme donne une saveur toute particulière à ses traits.
Haruka est beau, c’est vrai. Un parfait mélange de traits européens et asiatiques : des yeux en amande vifs, aux couleurs chaudes qui accrochent la lumière comme les feuilles d’automne, un nez droit et équilibré, des pommettes légèrement saillantes et des lèvres roses juste un peu plus charnues que la moyenne pour un homme. À cela viennent s’ajouter une peau pâle aux tons froids, et surtout, une crinière d’un noir de jais, à peine retenue en une queue de cheval haute la plupart du temps. Et le reste de son corps n’est… Pas en reste, justement : grand sportif, Haruka est raisonnablement musclé, assez en tout cas pour donner à son buste une forme attrayante avec des épaules larges et une taille assez fine.
Voilà donc un simple portrait. Il serait techniquement suffisant de s’arrêter ici. Vous auriez une idée, aussi vague soit-elle, de l’apparence du jeune homme. Seulement, voilà ce qui vous frapperait réellement si, d’aventure, vous veniez à le rencontrer : ses lèvres pleines sont presque toujours étirées en un sourire qui transmet bien des émotions, de la malice à la joie enfantine en passant même, parfois, par la tristesse.
On dit parfois que les yeux sont la fenêtre de l’âme. Dans le cas de Haruka, ses yeux sont plutôt une baie vitrée panoramique sur le vaste éventail de sentiments contraires qu’il peut ressentir à chaque instant. Car l’étudiant, bien loin des conventions de genre dépassées, n’a pas peur d’exprimer ses émotions : ainsi, il n’est pas rare de voir ces yeux ambrés déborder de larmes incontrôlées.
Bref, autant de choses qui ne relèvent pas du physique à proprement parler mais sans lesquelles toute description serait incomplète. Ah, oui, il ne faudrait pas oublier la cicatrice que Haruka arbore au niveau des côtes, douloureux souvenir d’un incident qu’il préfère généralement passer sous silence, à moins d’être questionné directement à son propos. Elle n’est pas très visible, mais s’étend sur deux bonnes dizaines de centimètres : dernier témoin d’une blessure que l’on imagine fort déplaisante.
Haruka est un jeune homme avec un certain goût vestimentaire. Il sait savamment jouer de l’uniforme scolaire pour y apporter une touche personnelle, sans toutefois dépasser les limites fixées par le règlement. En dehors du campus, il opte pour une garde-robe moderne avec des éléments traditionnels : il n’est ainsi pas rare, comme le veut la mode actuelle, de le voir porter une veste de kimono par-dessus un t-shirt. Si ses cheveux sont difficiles à coiffer, ils sont chouchoutés et bien brillants.
Voilà donc le portrait d’un garçon bien ajusté et bien dans sa peau (ou presque ?).
Si vous avez lu dans l’ordre, vous aurez compris que Haruka est un garçon émotif, qui se laisse vite emporter par ses propres désirs. Ce n’est pas faute d’essayer de se maîtriser, mais c’est plus fort que lui : comme le chat voué à pousser le verre d’eau de la table, le jeune homme devra composer avec ses pulsions sentimentales.
Alors, premièrement, Haruka pleure beaucoup. De tristesse, de colère, de joie, de rire, bref – ici, ça chiale. Il n’en a aucune honte et ne s’en cache pas, sauf si ça le prend à un moment particulièrement inopportun. Il considère qu’il n’a pas à rougir d’être humain, même lorsque c’est désagréable. Rassurez-vous, il ne risque pas non plus de vous exploser en sanglots dessus toutes les deux phrases. D’ailleurs, ses crises de larmes sont souvent très courtes : il s’agit parfois d’une larme versée en regardant une vidéo particulièrement émouvante, ou bien un rapide détricotement mental devant la quantité de devoirs qu’il a à faire. Rien de grave, promis.
Haruka est sociable, très sociable même. Il part du principe que l’extrême majorité des personnes a bon fond, et que les individus profondément et irrémédiablement mauvais sont très rares. Ainsi, il est à même de discuter avec à peu près n’importe qui, même lorsque son avis personnel est foncièrement différent de celui de son interlocuteur. Ça ne l’empêchera pas d’avoir un sens moral très prononcé et de chercher à débattre s’il pense que la personne en face fait fausse route, mais il vit généralement selon la maxime « live and let live ».
Sauf si vous arrivez à le mettre en colère.
Mettre en colère Haruka, ce n’est pas chose simple. Le garçon est patient, cherchera à désamorcer la situation, optera pour la diplomatie avant le combat. Mais si jamais vous dépassez l’une de ses limites, alors c’est une tout autre personne à qui vous ferez face. Menaçant, insultant, dans de très rares cas violent, le Lupy montre alors qu’il n’est pas si naturellement aimable qu’il y paraît. Il semble soudainement débloquer l’accès à un répertoire d’insultes qui ferait rougir un marin aguerri et tape directement là où ça fait mal.
Et, puisque ce ne serait pas drôle sinon, il le regrette souvent dans l’heure qui suit. Ses colères ont des conséquences parfois dévastatrices sur ses relations et il déteste cet aspect de son impulsivité. Heureusement, tout comme il n’a pas honte de pleurer, Haruka n’a que très peu de mal à venir s’excuser lorsqu’il sait qu’il est allé trop loin ; si la personne en face n’accepte pas ses excuses, tant pis, il aura essayé.
Parlant d’impulsivité, si Haruka n’est pas stupide à proprement parler, il se retrouve souvent dans des situations ubuesques par pure envie d’essayer de nouvelles expériences, d’amuser la galerie, on de satisfaire l’impulsivité de quelqu’un d’autre. Ce n’est pas un fauteur de trouble. Enfin, pas intentionnellement. Encore une fois, il réalise souvent bien vite le pétrin dans lequel il se fourre et fait tout son possible pour en sortir les malheureux qui se sont retrouvés pris dans le tourbillon de ses envies passagères.
Ah oui, Haruka est aussi légèrement, un tout petit peu naïf. Avec un bon mensonge, vous pouvez le faire marcher très loin… Alors, à bon entendeur, il déteste les menteurs.
« Et allez, ça re-chiale. » — Armand, son frère
L’histoire de notre protagoniste débute un chaud et beau jour de juillet, dans un grand hôpital de l’agglomération tokyoïte. Pleinement désiré et attendu avec impatience par ses parents, tout deux sorciers de sang-mêlé, il naît une vingtaine de minutes après sa sœur jumelle, qui ne manquera pas de lui rappeler tout au long de sa vie qu’après tout, elle est techniquement son aînée. Haruka arrive donc dans une famille aimante, composée à ce moment-là d’une mère française diplomate pour le compte du Ministère Magique de son pays d’origine et d’un père japonais qui, après une carrière quelque peu décevante dans l’armée, a repris l’affaire familiale, c’est-à-dire un petit apothicaire de quartier. Oh, et sa sœur aussi : peu de ressemblances physiques entre les deux, puisque Haruka est un portrait craché de son père tandis que Kasumi ressemble à leur mère.
L’enfance du garçon se fait, dès son plus jeune âge, entre deux pays : il parle parfaitement français et japonais, et fait des allers-retours réguliers qui lui donnent une certaine aisance pour le voyage et l’expatriation. Haruka et Kasumi accueillent avec ravissement leur petit frère, Tatsuo – ou Armand, puisqu’il préfère qu’on l’appelle par son deuxième prénom. Malgré les chamailleries habituelles, la famille Hijikata est plutôt modèle aussi bien dans la réussite de ses enfants que dans leurs relations interpersonnelles.
Très tôt, il apparut qu’Haruka était un garçon sensible, touche à tout, qui pleurait souvent mais s’arrêtait bien souvent aussi vite qu’il avait commencé. Si son père, par sa carrière militaire qui l’avait rendu quelque peu bourru, le taquinait plus ou moins sérieusement sur sa sensibilité, Haruka ne s’est jamais senti réprimé par sa famille, qui lui a toujours fait comprendre que peu importe le chemin qu’il déciderait d’emprunter, tout le monde serait toujours derrière lui pour le rattraper s’il tombait.
Cette attitude eut deux effets notables sur la personnalité du garçon : le premier est que, peut-être encouragée par ce milieu propice, sa magie s’est déclarée assez tôt, aux alentours de cinq ans (un peu avant sa sœur, ce qui, bien sûr, est toujours un point contentieux entre les deux – il faut bien qu’il puisse répondre aux « je suis ton aînée ! »). Et quelle première manifestation magique spectaculaire ! Il était parvenu à changer rapidement la couleur d’une lanterne en papier allumée à l’occasion de festivités locales, jusqu’à ce qu’il s’emballe sans doute un peu trop et que celle-ci prenne feu, déclenchant une énième crise de larmes.
Le second effet eut des conséquences plus perverses : Haruka était curieux, impulsif, et prêt à tout essayer au moins une fois. Habitué à avoir un filet de secours permanent à toutes ses actions, il s’aventurait parfois sur des terrains dangereux, et le jour de l’accident d’Armand n’était pas une exception. Oh, comme il s’en voulait d’avoir, ce jour-là, convaincu son petit frère d’entrer dans l’enclos des hippogriffes.
Haruka avait souvent entendu parler du fait que le cerveau tentait d’occulter ce qui le traumatisait, que beaucoup de personnes ayant subi des événements choquants s’en souvenaient au final très peu. Alors il se demandait bien pourquoi, à ce jour, il se souvenait parfaitement du visage ensanglanté d’Armand et de son air terrifié. Bien sûr qu’il avait essayé de s’interposer, et avait lui-même écopé d’une cicatrice de taille conséquente au niveau des côtes, mais sa propre blessure était une douleur moindre que celle qui avait serré ses poumons en voyant l’état de son petit frère.
Évidemment, le savon que lui avaient passé ses parents une fois les blessures traitées à l’hôpital avait été légendaire : même sa mère, d’ordinaire peu encline à hausser le ton, avait accompagné son père dans leur tirade finalement plus paniquée que réellement énervée. Pour une fois, Haruka n’avait pas pleuré. Il s’était muré dans le silence, tête baissée, si honteux qu’il avait envie de vomir.
Il avait fallu plusieurs semaines avant qu’il ne retrouve un semblant de joie de vivre, plusieurs mois avant de se remettre totalement de cet épisode. Et il s’en voulait, puisqu’il n’avait clairement pas été le plus atteint tout en étant responsable. Depuis, si Haruka a toujours une certaine tendance à se mettre dans des situations inextricables, il prend bien plus conscience de la dangerosité de certaines situations. Il se montre également extrêmement protecteur envers ses proches, en particulier les plus jeunes (parfois contre leur gré).
La décision de reprendre et développer le commerce paternel était également apparue à ce moment-là. Entre le souhait de perpétuer la tradition et d’aider les gens de manière générale, cela était apparu comme une évidence. Haruka a donc choisi son cursus en ayant espoir de développer son héritage – qui sait, peut-être même d’en faire une grande compagnie de soins et ingrédients magiques. Il souhaite mettre ses parents à l’abri et lui-même devenir le filet de sécurité de ceux à qui il tient. Peut-être même d’une famille qu’il aurait lui-même fondée, un jour ?
ϟ Autres comptes : Karkat Vantas
Nagito Komaeda
Cléonos de Pitéras
Goultard Barbaren
Stolas Goetia
Tatsuo A. Hijikata
Sujet: Re: I need to cry, baby, cry baby || Haruka Hijikata Sam 13 Jan 2024 - 23:28
Vous êtes plutôt Harupute ou Haruprout ?
Invité
Invité
Sujet: Re: I need to cry, baby, cry baby || Haruka Hijikata Sam 13 Jan 2024 - 23:30
Ying Wei
Shitty flutter
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Seeking both good and evil, observing the chaos of the world
I fought the Jianghu on my own
But I have not once betrayed my heart
Leading a carefree life, distancing from good and evil
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ϟ Baguette : Vigne, coeur en plume d'oiseau tonnerre, 30,45 centimètres. Avec un joli strap dessus.
Sujet: Re: I need to cry, baby, cry baby || Haruka Hijikata Jeu 18 Jan 2024 - 21:54
Harukaaa Trop contente qu'il soit parmi nous !!
Validation
Bienvenue chez les Lupy
Accompagné par d'autres nouveaux élèves, tu es appelé par le directeur à t'avancer au centre du Dôme. Scruté par les élèves et étudiants, tu regardes alors ton reflet dans la fontaine qui va décider de ton sort. D'abord voyant ta sale tête dans l'eau, tu remarques que le reflet semble se changer peu à peu jusqu'à prendre la forme d'un loup. Tu es d'autant plus surpris quand l'animal commence à pousser un cri dans toute la salle. Tout le monde se met soudainement à t'applaudir, tandis que le directeur s'approche de toi avec un rubis brut qu'il met autour de ton cou.
"Bienvenue à Lupy !"
⇢ Te voilà validé, tu peux désormais poster dans tous les recoins du forum, RP-Post ainsi que RPCB.
⇢ N'hésite pas à voir la chambre qui t'a été attribuée.
⇢ Si ton personnage est en cursus universitaire, il peut postuler pour avoir un job d'étudiant.