Tu te souviens quand tu as décidé de te rendre de toi-même vers cet endroit, tes yeux s’étaient posés sur ce bâtiment que jamais tu ne manquais de remarquer dans cet endroit magique où tu faisais tes études.
Un Escape Game, souvent passais-tu par ici mais rarement tu t’arrêtais, tu appréciais peu de passer du temps avec autrui, avec d’autres personnes et pour être honnête tu n’étais pas un grand fan de ce genre d’interactions.

Tu avais pourtant décidé de t’y arrêter en cette journée, tu désirais t’occuper, voire même de t’amuser sans personne pour te dicter tes actions.
En tout transparence tu n’aimais que très peu passer du temps avec d’autres personnes tu étais du genre à t’occuper avec un piano ou un instrument à cordes frotté sans te soucier du regard des autres.

Pourtant cette fois-ci tu t’étais arrêté et tu étais entré dans ce bâtiment où tant d’autres étudiants adoraient passer du temps, où beaucoup s’amusaient quand aucun cours ne se présentait à eux.
En comptant sur ta présence unique, Neah, tu comptais jouer sans aucune aide, sans personne pour commander tes faits et gestes, sans personne pour jouer en équipe, c’était bien une chose dont tu avais une sainte horreur.
Neah, tu détestais autrui férocement.
Sans personne tu te sentais bien, sans personne tu te sentais dans un endroit où tu appartenais, où tu étais accepté, après tout, n’était-on pas mieux servis que par soi-même ?
Embêté tu étais quand tu as découvert que ce maudit propriétaire du bâtiment avait décidé de te mettre en équipe avec une personne de ton bâtiment d’éducation.
Sincèrement maudit tu t’es pensé quand tu as découvert que ce jeu que tu désirais faire t’interdisait de t'exprimer, t’interdisait de faire usage de ta voix, ta si magnifique voix qui ne sortait que rarement pour exprimer de charmantes idées mais davantage pour sortir des remarques de vipères et de personne peu sympathiques, tu ne connaissais même pas cette personne avec qui tu étais en équipe.

Mais peut-être pouvais-tu t’en servir à ton avantage, toi pour qui coopérer était un pur défi, une idée si ardue à envisager que jamais cette dernière ne parvenait à ton cerveau et tes neurones.
Ire, tu devais empêcher cette ire de monter dans ta tête quand tu te rendis compte que cet homme prenait des décisions avant que tu ne puisses en prendre, cet homme né avant toi en tout impression, tu étais de jure moins âgé que cette personne, aucun doute sur cette question.
Et que faire quand cet homme te mis à cette évidence pourtant évidente, cette personne s’attendait à ce que tu aides, ce que tu comptais faire bien entendu puisque tu n’avais pas d’autre choix que de participer à ce jeu maudit sans aucun moyen de communiquer ; cette idée que de désirer jouer ici était définitivement une mauvaise idée pensais-tu.
Un peu comme de désirer te promener dehors en un jour de mauvais temps, tu en venais presque à regretter que de t’aventurer dans cet endroit, tu en venais presque à t’imaginer cette pièce en arène où tu te devais de résoudre cette foutue énigme, même mieux, tu te sentais presque paresseux en cet instant.
Xénarthre, voici un mot qui correspondait bien à ta situation, mais tu ne devais pas t’y attarder, tu devais te hâter, ainsi, dès cette énigme terminée tu pourrais retourner vaquer à tes occupations que tu appréciais davantage à cette espèce d’erreur de parcours en cet après-midi avec ce magnifique astre de feu qui réchauffait tout ce pays d’Amérique.

Que faire avec ce code étais-tu encore en train de penser… quand soudain tu te mis à vider comme ton comparse, tu te mis à chercher comme cet homme, tu te mis à observer comme cette personne, tu devais trouver de quoi t’échapper, sortir rapidement de cet endroit avec ou sans cette aide avec qui jamais tu ne communiqueras puisque tu ne pouvais prononcer de mots, tu ne pouvais t’exprimer, tu ne connaissais même pas son nom.
Un petit peu de recherche après tu compris comment craquer ce maudit code, comment résoudre tout ce à quoi ce charabia correspondait, sûrement était-ce votre premier pas vers une sortie prochaine.
En un instant tu t’asseyais sur cette surface dure de bois sous tes pieds pour commencer à déchiffrer ce code… code qui ne se transcrivait pas en chiffre mais en mot.

Mots que tu ne pouvais pas prononcer, pas exprimer à ton comparse, mots qui restait coincés derrières ta bouche fermée sans que tu ne puisses ne serait-ce qu’ouvrir pour une seconde, pour un son.
Ombre se fit sur ton visage quand tu remarquas ceci, ton cœur rata un battement, ton sang ne fit qu’un tour, ceci était une très mauvaise boutade que tu n’appréciais pas du tout, tu détestais cette situation.
Impatient tu te remis fermement sur tes pieds et t’avanças vers cet homme pour regarder ce coffre et ce code que tu devais donner, tu avais parfaitement compris ce maudit code mais tu ne pouvais communiquer cette réponse pourtant si évidente.

Evidente effectivement, ce n’était qu’un mot, un putain de mot.
Tu avais déjà connu des choses ardues mais cette dernière était presque trop fumeuse pur que tu puisses t’en sortir sans détruire cette pièce que tu commençais à détester de toute ton âme.
Pourtant quand tu penses un court instant à cette réponse si évidente tu te fis comme remarque que peut-être pouvais-tu mimer à cet homme de quoi craquer ce code.
Oui, tu étais dans ce groupe de théâtre dans tes études, tu étais doué dans tout ce qui était artistique et tu étais doué en dramaturgie.
Un peu trop parfois, toi qui détestais autrui tu savais si aisément mentir et faire croire des choses pourtant si en-dehors de ce que tu étais au fond.
Rien qu’une petite devinette et vous pourriez sortir pensais-tu.
Tout serait bien qui se terminerait bien.
Aussi tu te mis à pointer ton doigt vers ce soffite pour exprimer ce fait que tu avais une idée et tu posas ce coffre sur une surface proche de toi.
Neah, tu ne pouvais pas attendre de sortir.
Tu en avais déjà marre.

Tu n’avais que rarement peur des autres, voire même jamais, tu n’étais pas du genre à être effrayé par ces humains miséreux qui t’entouraient.
Un peu imbu de toi-même certains te pensaient et pourtant tu avais juste une méprise infinie des autres, tu détestais devoir avoir affaire avec ces autres personnes qui étaient autour de toi, que tu te devais de supporter tandis que tu abhorrais ces présences dérangeantes à tes côtés.

Neah, tu étais toi-même insignifiant et un bien piètre être humain, pas mieux qu’eux, tu n’avais en vérité jamais eu une forte opinion de toi comme beaucoup pensait, tu te sentais moindre comparé à ton frère et pourtant tu continuais avec cet air suffisant à montrer cette face hideuse de toi-même.

Etais-tu masochiste ?
Sûrement, aucun doute que tu étais ainsi avec toi-même à te torturer ton esprit pourtant si vif, si futé ; mais trêve de ces pensées assassines à ton égard tu te devais de sortir de cet endroit fermé et maudit d’un sort qui t’empêchais d’user de tes capacités d’orateur, bien que souvent cette bouche te servait davantage à injurier qu’à chanter et dire du bien d’autrui.

Rien ni personne ne t’empêcherait de sortir de cet endroit, et c’était même une certitude que cet homme était une aide précieuse à cette sortie tant désirée, cette personne avait à ton regard ce même objectif que toi, une sortie aussi rapide qu’efficace de cet endroit qui vous gardait fermé tous deux.
Impétueux tu étais Neah, et pourtant tu arrivais à te contenir, à te retenir de t’énerver et te tout casser autour de toi, tu t’en étonnais toi-même.
Etonné de tes propres actions en cet instant tu participais presque en t’amusant à ce jeu qui pourtant t’aurais mis dans une ire profonde en d’autres circonstances, tu acceptas cette boîte tendue par cette autre personne, cette autre personne qui étais concentré sur une équation de mathématique qui dépassait tes capacité, tu avais beau être un génie dans beaucoup de domaines et te démerder en maths tu n’étais pas pour autant étonnamment bon dans ce domaine à ta grande honte et ton profond désavantage.
Neah tu n’aimais pas ceci de te sentir inférieur pour une raison stupide, aussi infime que cet espère d’équation mais ceci n’était pas ta mission mais était-ce à Moon de résoudre ceci, ton énigme était tout autre puisque ton énigme concernait cette boîte qui trônait dans des fines mains de pianiste.

Qu’importe tes pensées, tu devais ouvrir cette foutue boîte, résoudre cette putain d’énigme et te barrer d’ici pour retourner au sein de ton bâtiment d’étude pour retourner dans ton dortoir ou tout autre endroit qui n’était pas cette maudite pièce d’énigme où tu étais enfermé sans aucun moyen de communication ne serait-ce que basique.

Un peu, beaucoup, énormément frustré tu étais pas cette situation tandis que ton regard et que tes yeux se fixaient sur cette boîte en boîte qui était une mauvaise imitation de boîte ancienne, son bois était de mauvaise facture, tu avais presque une impression de boutique de premier choix tandis que ta peau en tâtait sa texture imparfaite et sous ta peau douce.
Non, tu n’aimais pas cette boîte et si tu t’écoutais tu tenterais de briser cette dernière contre un mur ou bien cette surface dure faite aussi de bois sous tes pieds pour en récupérer son contenu mais tu ne pouvais agir ainsi donc tu te décidas à prendre un petit moment pour penser avant de commencer à faire bouger son cadenas pour en percer son code et donc en récupérer son contenu.

Fatigué tu étais de cette maudite situation mais jamais, ô grand jamais tu ne montrerais cette fatigue et cet état d’esprit, tu ne montrerais jamais cette face de toi à autrui, tu ne connaissais pas cette personne, que de vision et c’était une raison qui rendait tout ceci très sûr à tes yeux, de ne pas montrer ta perte de patience.
Ou bien te pourrais peut-être exprimer que tu en avais déjà marre… non, tu ne pouvais faire ceci, tu désirais t’amuser, t’occuper et si c’était ainsi et bien tu serais avec une autre personne pour partager ce moment d’occupation.
Une tentative de code tu te devais de faire.
Tu savais que tu devais craquer ce code, sans aucun doute cette pièce n’avait pas tant d’énigme que ça à vaincre pour en sortir, si tu n’avais aucun moyen de communiquer avec cette autre personne c’était certain que c’était votre barrage définitif.
Un unique code ne pouvait portant pas être une réponse, forcément te disais-tu, que cette pièce devait renfermer autre chose qui vous empêcher d’en sortir, deux codes sûrement, que vous devriez communiquer sans pour autant exprimer des idées autrement que par des geste sou des mimes.

Impatient tu commençais à devenir tandis que tu tentais d’écrire ton mort dans ce maudit cadenas.
Neah tu maudissais beaucoup de choses, tu maudissais ta propre vie avec à ton idée beaucoup de raison, tu passais cette frustration dans ta musique, ta tristesse rendait ton art magnifique, maudit artiste que tu étais, tu mettais ta haine, ta frustration, ton ire dans tes faits et gestes, beaucoup d’ennemis tu te faisais, peu d’amis tu gardais.
Secouer ce coffre tu désirais tandis que son cadenas résistait un peu à tes doigts qui s‘agitaient dessus pour tenter d’en trouver son code qui devait être formé par un unique mot que tu pensais avoir trouvé.
Et pourtant, de base tu désirais tout tenter en mettant des mots au hasard en espérant que tout s’ouvre parce que tu pensais sincèrement avoir trouver son code, tu étais confus, ce coffre refusait de s’ouvrir parce que tu t’étais trompé ou bien ce coffre se refusait à toi parce que son cadenas éprouvait une petite résistance ?
Cadenas que tu commençais à détester de toute ton âme et que tu désirais casser, briser avec toute cette force dont tu pouvais faire preuve dans tes accès d’ire.
Tu commençais à perdre patience Neah, ta patience était souvent restreinte et ta réputation te suivait aisément.
Et pourtant, tu aimerais parfois que toute ces choses soient différentes

Ton cœur manqua un battement quand tu ne trouvas pas une bonne réponse à cette énigme.
Un brin d’énervement et d’exaspération se fit sentir en toi, cette sensation montait et montait et montait au fond de ton être, de ton corps physique, tu sentais une sensation que tu n’appréciais pas dans ton ventre, dans ton corps et tu désirais que cette sensation parte.

Neah tu devais te concentrer, ce n’était pas un putain de mot qui devait te stopper dans cette putain de pièce sur cette putain d’énigme ; et voici que ton beau phrasé partait… que tu en perdait des mots si éduqués.

Enervement tu devais faire partir, respirer tu devais.
S’en était trop pour toi et tes nerfs Neah, toi qui désirais changer tes idées, t’occuper, t’amuser, tout sauf te retrouver coincé dans une pièce avec une personne que tu ne connaissais ni d’Adam, ni d’Ève, ni de personne.

En vérité tu n’étais pas une personne très patiente, ta réputation te précédait et tu en étais conscient, toute personne raisonnée dans ce bâtiment d’étude était au courant de cette terreur que tu étais, davantage quand ta patience te quittait doucement mais sûrement ; pourtant tu désirais contenir ton agacement en cette journée avec cette personne.
Neah tu ne pouvais pas t’exprimer mais quiconque pouvait voir ton agacement et ta frustration quand tu frappas ce putain de coffre avec une force insoupçonnée et pour tenter d’en briser son bois ce qui fût un échec quand son bois ne céda pas.

Rien qu’un instant pour reprendre ta respiration tu avais besoin avant d’observer un peu cette autre personne qui te paraissait posée, qui arrivait à appréhender cette situation que vous étiez en train de vivre tous deux et même pas tu ne pouvais t’exprimer à cet égard.
Impatient tu étais, tu n’étais pas un archétype de patience mais si ton frère était au courant de cette situation où tu t’étais mis sans aide et comme un grand Mana te dirait de respirer sans t’énerver et d’appréhender, ce frère que tu avais étais un vrai ange tandis que tu étais un vrai démon.
En addition Neah, bien souvent ta réputation, cette réputation tu ne pouvais t’empêcher d’en addition ses dires, personnes ne te connaissait sous de bons augures, une terreur tu étais, un enfer à vivre pour beaucoup, même pour tes proches.
Neah, un connard profond tu étais.

Sympathie tu n’engrangeais pas, mais trêve de pensées obscures tu te devais de résoudre cette énigme qui tournait autant en rond qu’un poisson dans son aquarium.
Un peu frustré tu t’approchas de Moon avec une espèce d’espoir que vous puissiez vous faire sortir de cette pièce et de trouver une réponse à cette énigme.
Pourtant, peut après t’être approché de Moon tu eus une idée et te pencha sur ce foutu coffre qui commençait à te rendre fou
Epuisé tu devenais face à cette situation que tu n’avais pour rien désiré
Rien qu’un instant tu te permis de reprendre une bouffée d’oxygène avant de te pencher de nouveau sur ton coffre.
Impatient tu devenais mais tu devinais que ce mot n’était pas bien grand, c’était même un mot court d’environ cinq caractères, 5 miséreux caractères que tu pouvais trouver sans aucuns soucis si tu y pensais un petit instant, tu étais davantage futé qu’un maudit coffre de bois inerte.
Un instant après tu te concentras sur cette boîte en bois ouvragée, objectivement c’était une charmante boîte en bois fabriquée en chêne que tu tenais entre tes mains Neah, tu possédais presque une boîte identique dans ta chambre au manoir chez ta mère.
Rien qu’un instant après tu te mis à tourner ces caractères qui servaient é écrire un mot sur ce cadenas sur sa face avant.

Accio.

Magie, cette boîte s’ouvrir en un instant dès que tu terminas de tourner ces petits écrous marqués des caractères d’écriture ; évidemment, Accio, bien entendu que ce ne pouvait être que cette unique réponse.
On pouvait voir un fin sourire apparaître sur ton beau visage tandis que tu te tournais vers Moon pour montrer ce nouveau indice qui trônait fièrement entre tes fins doigts de pianiste ; tu n’oserais admettre ceci mais tu te sentais un peu fier de toi d’avoir enfin trouvé sans aucun moyen de t’exprimer.
Indice qui pourrait vous aider à sortir de cette pièce, aucun doute que cette épreuve au fond était une épreuve de d’entraide, vous ne pouviez pas discuter, aucun besoin de corser davantage cette situation où vous vous étiez mis tous deux.

Mais davantage tu pensais, davantage ton cerveau te confirmait qu’effectivement tu ne devais pas avoir beaucoup d’énigmes dans cette pièce.
Aphone était ton énigme majeure, sur comment transmettre une information sans pour autant pouvoir communiquer avec cette autre personne mais jusqu’à présent toi et Moon avaient pu continuer sans trop de soucis votre recherche d’indices.
Impatient tu t’approchas donc de Moon ton indice toujours dans ta main.
Si tu tentais d’observer cet objet avec attention ceci ne s’apparentait à rien de ta connaissance, cet objet ne s’apparentait pas à un objet pour ouvrir des verrous, rien.

Au fur et à mesure que tu progressais sur cette épreuve avec Moon tu avais ce sentiment de t’enfoncer dans une situation prie que précédemment.
Un peu frustré mais moins qu’au début tu posas ton indice sur une surface proche de vous deux pour regarder ce que Moon faisait.

Foutue pièce, foutue énigme, foutue idée que tu as eu de désirer te rendre dans cet endroit pour faire cette énigme de merde qui t’avais enfermé toi et ton comparse dans cette pièce.
On aurait pu penser que toi et Moon vous auriez pu faire connaissance mais même pas, aucun moyen dans ces conditions
Neah tu désirais sortir mais davantage tu passais du temps avec Moon, davantage tu étais curieux à son sujet, comme toi, cette personne n’était pas adorée des autres membres de ton bâtiment d’éducation.
Décidé à faire sa connaissance tu commençais à devenir.

Tu sentais venir une fin à cette énigme, non pas une énigme mais une épreuve que tu t’étais imposé de toi-même sans aucune aide, aucune.
Une fin était bienvenue pour que tu puisses enfin sortir de cette pièce et retourner vaquer à tes occupations que tu avais tendance à faire pour t’occuper comme jouer du piano, tu adorais ceci, tu aimais ceci davantage que tout autre chose sur cette Terre, dans cet univers toi qui avait tant d’appréhension à côtoyer autrui.

Sans attendre davantage avec cet objet fabriqué à partir de métaux qui t’étaient inconnus tu t’approchas de cet autre jeune homme avec qui tu faisais cette chose que d’autres nommaient un « jeu », tu devenais hésitant à oser nommer cette activité de cette manière avec ce temps qui passait avec vous dans cette pièce fermée.
Après un instant de courte pensée tu observas cette pièce qui trônait presque fièrement dans ta main.
Instantanément tu refermas tes doigts autour de cet objet et tu observas ce que faisait cet autre personne avec qui tu étais coincé dans cette maudite pièce, aucune doute que toi et Moon étiez sur une bonne voie pour sortir de cet endroit que tu abhorrais.
Sans cérémonie aucune, tu te mis à penser à une fin pour cette énigme, en soit, toi et Moon étiez bientôt sortis, bientôt pourrais-tu retourner à tes activités Neah et cet instant n’auras été qu’une erreur, une parenthèse fermée pour toujours.

Jamais tu n’aurais envisagé ceci, cette stupide aventure qui t’embêtait davantage que ta raison ne pouvait envisager, toi qui avais juste désiré t’occuper un après-midi, un instant tandis que tu avais une pause bien méritée, tu aurais pu te rendre dans une pièce pour jouer une douce musique mais tu avais préféré te faire avoir à ce piège stupide, tu t’y étais même jeté de toi-même comme un grand !
En un instant, un tout petit espace de temps tu étais passé par divers émotions, tantôt joie d’avoir trouvé ce code, tantôt énervement, agacement, tes émotions de tous ces jours passés parce que tu ne savais pas être heureux, tu ne savais pas comment faire mais pourtant tu devais avouer que ce moment passé avec cet autre jeune homme t’avais amusé, t’avais changé tes idées.

Même avec toute ta patience tu n’avais pu empêcher des moments d’égarement face à ton sang qui montait un peu trop aisément dans tes veines, jusque dans ta tête mais tu ne pouvais nier que tu t’en étais assez bien sorti, tu avais tenté de briser ce maudit coffre à tes pieds une unique fois toi qui avait pourtant tendant à briser des objets dès qu’une chose ne se dirigeait pas dans ton sens, si Tyki était ici avec toi tu te doutait que ce dernier serait fier de toi, fier que tu aies été maître de tes nerfs durant cette partie d’Escape Game.
Et pourtant tu savais que tu partais d’une grande distance, une énorme distance même.

Déterminé tu t’approchas donc de Moon comme précisé précédemment pour observer à ses côtés ce nouveau coffre incrusté d’insignes d’un oiseau, créature des cieux, un pygargue, un bien étrange signe sur ce coffre dans cette pièce tu te dis mais quoi que cette situation en fût cet oiseau ne t’empêcherait pas de sortir toi et cette autre personne avec qui tu étais enfermé entre ces quatre murs dans cette pièce.
Et bien décidé à t’échapper de cet endroit tu approchas ton beau visage davantage du coffre, tes magnifiques yeux dorés fixèrent cet oiseau qui te regardait en retour.
Tu n'aimais pas ça, tu n’aimais pas quand on te regardait en retour, tu détestais ceci, cet oiseau te mettait dans un mauvais état d’esprit.
Espoir tu avais de ne pas à avoir à faire des mathématiques, tu n’aimais pas vraiment cette matière et bien que tu sois bon, très bon et futé cette matière n’étais pas vraiment une personne à même, tu avais honte d’admettre une défaite de cet acabit.
Sans attendre davantage tu repris ton objets servant à ouvrir des serrures dans ta main pour en observer toute ses coutures avant de tâter doucement ce coffre de tes doigts fins.
Tes mains touchaient cette surface embossée de fioritures et de cet insigne d’oiseau qui trônait fièrement sur sa surface de bois et d’acier.
Et après un moment, après que Moon ait inséré ces deux indices dans ces deux fentes, tu n’avais qu’à trouver ce code et s’en était fini de cette épreuve.

Jamais tu ne retournerais dans cet endroit, tu t’en fis une promesse profonde et incrustée dans ton être pour ne jamais te retrouver à nouveau dans une situation identique.
Et tandis que tu tâtonnais cette surface du bout de tes doigts de pianiste tu finis pas rencontrer des chiffres et nombres dans cette incrustation d’acier.

Décidément, cette pièce regorgeait de secret… ce qui était tout de même un but pour cet endroit qui vous gardait captif toi et Moon mais cacher un code dans une incrustation était une chose que tu n’attendais pas mais qui pourtant pouvait être à prévoir pour une énigme de ce type.
Et après un instant tu commenças à tourner ce mécanisme qui te gardait toi et Moon d’une sortie prochaine, doucement tes doigts s’agitaient sur ce code, ce cadenas qui bientôt te permettrait de sortir de cet endroit avec cette autre personne.
Tu n'avais qu’une envie, cette envie était de t’échapper et de t’enfermer dans une pièce avec un piano pour pouvoir jouer de ta musique tant aimée, t’enfermer dans cet espace, dans ton propre espace interne et fermer tes yeux dorés sans avoir à communiquer avec autrui.
Effectivement tu avais, avec cette journée, eu bien assez d’interaction pour au moins ta semaine, tu ne désirais pas avoir à davantage d’imposer ceci.
Sympathique tu n’étais pas et tu avais pris sur toi pendant tout cet après-midi pour ne pas t’énerver et tout envoyer chier sans aucune cérémonie.
Tu approchais enfin de ton objectif, doucement tes doigts s’activaient sur ce mécanisme avec concentration.
Et soudain, soudain ce cadenas céda et ce coffre d’acier s’ouvrit enfin sur cet objet prompt à ouvrir cette porte !

Même si tu avais désiré que cette horreur d’après-midi se termine rapidement tu ne pouvais nier que tu avais apprécier former une équipe avec Moon bien que tu ne connusses pas cet homme avant ce jeu, tu ne connaissais Moon que de vue et de nom pour son ancien poste de président.
On ne pouvait quand même pas nier que tu étais rassuré.
Neah enfin tu pouvais retourner vaquer à tes occupations, tu voyais enfin une issue à cette situation d’Enfer où tu étais sans aucun doute forcé de faire fonctionner tes capacités humaines et communautaires, chose que tu détestais par-dessus tout, moins tu avais affaire à autrui mieux tu te portais.

Etre enfermé dans cette pièce sans pouvoir discuter avait quand même été un petit peu dur par certains moments où toi et Moon aviez besoin de vous exprimer pour transmettre des idées mais tu t’en étais sorti en fin de compte.
Tu t’en sortais toujours contre toute attente, tu étais une personne bien hautaine et pourtant tu te sortais toujours des situations où tu finissais par te retrouver contre ton gré ou non.
Restait juste à retourner au sein de ton bâtiment d’étude voir même de ta chambre, tu avais donné assez de capacité pour communiquer avec d’autres personnes pour toute une journée voire même une semaine entière.
Etre enfermé dans un endroit inconnu ne te dérangeais d’ordinaire pas mais avec une personne que tu ne connaissais ni d’Adam, ni d’Eve était une tout autre affaire et tu te surprenais toi-même d’avoir surmontée cette épreuve sans briser quoi que ce soit.

Si tu devais te montrer honnête cependant, tu ne pouvais nier que tu avais quand même apprécier ce moment.
Inapte à apprécier autrui tu savais quand même remarquer des moments à partager avec d’autres personnes que tu étais en capacité d’apprécier, cette épreuve d’énigme, tu avais aimé, jouer des partitions, tu aimais, te promener dans de grands champs en été, tu aimais beaucoup.

Tu étais une personne incomprise Neah, jamais personne n’avait été en capacité de te cerner outre ton jumeau et jusqu’à ce que tu avais rencontré une certaine autre personne, mais tu n’avais pas ces personnes qui arrivaient à entrer dans tes pensées, tu n’aimais pas cette sensation, tu n’aimais pas être compris.
Ou bien dans une autre hypothèse tu en avais peur toi qui te targuais de n’avoir peur de rien ni personne.
Un peu sans penser tu pris ta fuite de cet endroit maudit dès que cette porte était ouverte, tu ne désirais davantage avoir affaire à d’autres personnes, tu préférais prendre ta retraire.
Toi et Moon n’avait pas échangé un unique mot durant cette épreuve ce n’étais pas maintenant que tu voudrais commencer à discuter avec, sans doute Moon n’avait jamais entendu ta douce voix et sans doute que jamais ce dernier ne pourrait en entendre ces douces sonorités.

Peu de personnes dans ton bâtiment d’étude avaient eu cette occasion de passer autant de temps avec toi Neah, à œuvrer de cette manière en groupe avec toi sans que ce ne soit forcé par un professeur dans une matière dont tu n’avais rien à faire, Moon était une des rares personnes à avoir partagé un espace fermé avec toi sans avoir peur, sans te craindre et tu en étais presque curieusement étonné.
Ou bien tu fuyais ces autres personnes ou bien ces dernières te fuyais, quoi que cette situation fût tu n’avais pas souvent cette occasion de rencontrer d’autres personnes.
Un peu aisément en cette fin de jeu tu te perdais dans tes pensées, souvent même tu t’y perdais pour éviter d’avoir affaire à ces autres personnes qui pouvaient te coûter une énergie que tu ne désirais pas donner.
Vraiment Neah, tu étais une personne avec des capacités humaines proches des capacités humaines d’une huître.
A comprendre comment tu avais fini par te trouver une personne qui soit en capacité de t’aimer tandis que tu étais en incapacité de dire un aisé « je t’aime » étais un mystère mais en fin de compte, même si tu ne savais comment dire ces mots tu en pensais chacun des trois dans ta tête.
Incapacité d’avoir des conversations ou d’apprécier une présence à tes côtés tu avais pourtant très bien surmonté tout ceci en cette journée aux côtés de Moon, tu t’étais très bien démerdé dans cette pièce fermée sans aucun moyen de t’exprimer.
Tu avais surmonté une épreuve, tu en étais conscient même si ton visage gardait cette expression fermée que tu abordais toujours.

Et tu savais que ton frère, Mana, serait fier de toi, tu entendais déjà sa voix dans ton esprit crier de joie, être heureux que tu eu été en capacité de résoudre cette énigme avec une autre personne sans que ça ne finisse en meurtre.
Tu savais aussi que Tyki serait heureux que tu aies pu faire cette énigme, que sans doute ce dernier serait surpris que pour commencer tu te sois rendu dans un endroit comme ceci.
Rien que ta venue dans cet endroit était surprenante ans aucun doute.
Et tandis que tu pensais tu marchais en direction du dortoir de ta maison en espérant très, très fortement que Karkat ne soit pas présent, tu honnissais sa présence.

Dire que tu devais partager ta chambre avec cette autre personne était une vraie torture pour toi.
Ire était en effet un sentiment qui te définissais dans une perfection presque effrayante Neah.
Fier, presque fier de toi tu étais d’avoir réussi à passer une journée sans te disputer avec personne, d’avoir géré cette énigme sans rien briser dans cette pièce fermée.
Ferais-tu à nouveau ce genre d’activité cependant... c’était une question digne d’être posée et tu en connaissais déjà une réponse ferme, jamais, non, non tu n’en referais pas ou bien,, peut-être si Tyki venait à t’y pousser, peut être voudrais-tu contenter ses envies toi qui rarement faisais ceci.
Et tandis que tu t’échappais de cet endroit d’énigme, de cette escape game comme beaucoup d’étudiants disaient, tu te sentais te détendre
Rien qu’un instant tu désirais te reposer, vider ton esprit, ne penser à rien et surtout pas à ce que tu venais de vivre, trop de sentiments étaient présents dans tes pensées, tes idées étaient confuses.
En un instant tu en avais marre, en un autre tu n’étais qu’ire tandis qu’un instant après tu avais été fier de toi, chose qui n’arrivait que rarement ces derniers temps.
Neah, tu avais subit tant d’émotions en toi en cet après-midi que tout ce que tu désirais étais de te vider ta tête, n’avoir aucune pensées.
Tu désirais te rendre dans un premier temps dans ta chambre afin de te changer avant de te rendre dans cette pièce où trônait ce magnifique piano qui n’attendait que toi, et si une autre personne aurait pour projet d’en jouer, tu n’hésiterais pas.

Jamais tu ne ferais d’activité qui te demanderaient trop de capacités humains tu te décidas, tu étais épuisé de cet effort.
Et tu n’aimais pas ça en toute objectivité.


Pourtant, bien que tu n’aimes pas, une partie au fond de toi avais apprécié cette expérience, mais sans attendre tu réprimas cette maudite voix qui résonnait, qui te disais qu’au fond tu avais apprécié ne serait-ce qu’un peu.
Rentrer dans ton dortoir tu désirais et tu ne tarderais pas, ce bâtiment de jeu maudit disparaissait derrière ton être.
Et tandis que tu marchais ton esprit divaguait.
Fier, tu étais fier d’avoir réussi cette énigme.
Et sans aucun doute tu irais en discuter avec Tyki, tu irais, sans pour autant parraître trop joyeux, dire au jeune homme comment tu avais réussi cette énigme en étant en équipe avec une autre personne et que tu n’avais rien cassé.
Rien ni personne ne serais t’en capacité de te prendre cette soudaine fierté que tu avais en toi, si tout au début avait paru ardu, tu t’en étais sorti, tu avais réussi et tu étais content de toi.
Espérais-tu que ton amant te croit… sans aucun doute,
Restait juste à en discuter avec ce dernier, à conter cette énigme que tu ne conterais pas, te connaissant tu résumerais ceci en un nombre court de mots.
Aussi, tu commenças à marcher rapidement pour te dépêcher, jouer du piano pouvait attendre un peu, tu devais d’abord voir ton compagnon pour discuter avec ce dernier.
Ivre de ta victoire sur cette énigme et ta non-habitude à être en groupe.
Si ces derniers temps tu avais été triste, tu sentais sur ton visage un petit rayon de cet astre doré et chaud te rendre un peu de joie dans ton cœur de pierre.