ILUKAAN est un forum MULTIFANDOM dans l'univers d'Harry Potter. Ilukaan est une école de magie internationale se situant en Nouvelle-Écosse au Canada. L'histoire se déroule en 2024, mélangeant magie et technologie. Vous pouvez jouer des personnages de manga/anime, jeux vidéos, films d'animation, dessins animés, romans jeunesse ou encore un OC. L'intrigue se fait à la fois en RPCB et RP-POST.
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ϟ Baguette : Bois de sycomore, coeur en plume de phoenix, 32 centimètres, légèrement souple et fine.
ϟ Cursus : Economie du monde magique
ϟ Malle : - Polynectar
ϟ Autres comptes : Arthur Kirkland — Belphegor Hellborn — Kainé Doherty — Hajime Hinata — Razor Hrodwulf — Franziska von Karma — Goro Akechi
Sujet: Drama King ♛ | Jeu 12 Mai 2022 - 16:09
Tamaki Suoh
Ouran High School Host Club
Identité
Suoh ; de Grantaine. Tamaki ; René, Richard (Tama, Lord, King, Baron et autres sobriquets de royauté - ses préférés). Dix-neuf ans. Japonais (origines franco-japonaises). Français, japonais, anglais et bases de chinois. 8 avril 2005 (Paris, France). Yeux bleus, cheveux blonds. 1m83 & 70kg
Who am I...?
Tamaki est un sorcier de sang-mêlé appartenant à la maison Strixyst et en 9ème année. Il est inscrit au cursus Economie du monde magique. Il ne possède aucun don. Il n'occupe aucun poste.
Sa baguette est faite de sycomore, avec un cœur en plume de phoenix, d'une longueur de 32 centimètres, légèrement souple et fine. Il n'a pas d'animal de compagnie.
Son patronus est un castor. L'odeur de son Amortentia est composée de café, de viennoiseries et de roses. Son reflet dans le miroir du Riséd est sa mère en bonne santé et souriante. Son Épouvantard prend la forme de cette dernière sur son lit de mort.
Il n'a pas de famille présente à Ilukaan. Sa matière favorite est l’études des moldus et la matière qu'il aime le moins est l’Histoire de la magie.
Derrière l'écran Pseudo & pronoms : Asahi, Alex (elle/la)Souhaites-tu être parrainé·e ? bruhAvatar : Tamaki - OHSHS Code du règlement : pwet pwetComment as-tu trouvé le forum ? *chomp*Un petit mot ? Encore un Strixyst, j’en némar. (et merci à Yuutan pour l'ava )
headcanons
Né dans le monde moldu, élevé dans celui-ci, puis dans celui sorcier • Son père est un sang-pur japonais, et sa mère une moldue française • De ce fait, il s’intéresse énormément à la culture moldue • Habitué à vivre dans le grand luxe • Pour la réputation de sa famille, il a été officiellement déclaré sang-pur • Il s’est toutefois énormément relâché sur la prestance donnée par les Suoh depuis son arrivée à Ilukaan • Il considère sans problème l’école comme sa seconde maison • Et les Strixyst comme une seconde famille • Dans ce délire parfois trop poussé, il aime se considérer comme le père • … alors qu’il est souvent très puéril et même pas pris au sérieux. • Il est admiratif des moldus, ces pauvres non-magiques qui doivent se servir de leurs mains, quoi qu’il arrive ! • Il sait jouer du piano • Il sait pleurer sur commande • Chez lui, il a une chienne Golden Retriever du nom d’Antoinette • Il adore se déguiser ou se cosplayer • Il a un faible pour les roses • Il aime regarder des émissions culturelles, même des jeux télévisés • Il a l’esprit ouvert, et en même temps, peut être maladroit avec la commu LGBT+ • Friand des réseaux sociaux - parfois un peu trop • Il sait faire des photos montages et c’est parfois assez convaincant • Il a encore son ours en peluche • Il n’a aucune notion d’espace vital • Il est très superstitieux • Il évite le bâtiment administratif le plus possible pour ne pas avoir à croiser les fantômes.
« I’m me before I’m a Suoh. »
« A little water never hurt anyone... besides, people always say I'm dripping with good looks. »
Une version de la réputation de Tamaki se base entièrement sur le physique - enfin presque. Mais très honnêtement, pourrait-on blâmer les admirateurs pour ça ? S’il y a bien une personne sur Terre qui vous dirait qu’il n’y a aucun mal, et même, que c’est absolument normal de peiner à décrocher le regard de sa silhouette, c’est bien évidemment Tamaki lui-même. Mais personne ne veut partir sur une description ultra-personnelle de ses atouts physiques, car tout le monde a mieux à faire que ça.
Tamaki se distingue par sa grande taille, dépassant le mètre 80, ainsi que sa silhouette svelte, pas particulièrement musclée sous ses vêtements - malgré ses 70 kilos, uniquement dûs à sa grandeur. Il possède tout de même une certaine endurance, mais pas forcément autant de force. Malgré son nom, son vécu et son gène japonais, il ne ressemble absolument pas à l’idée qu’on se fait d’un asiatique. Toute l’apparence a été tirée de la mère, française pure souche qu’elle est. Ainsi, il possède une blondeur claire et à tendance à paraître plus brune en hiver, mais toujours flamboyante une fois les beaux jours revenus. Il a toujours eu les cheveux courts et particulièrement lisses, ainsi faciles à coiffer en des occasions plus aptes à l’élégance. Deux orbes bleues en guise d’yeux, parfois à reflets violets (c’est de famille, paraît-il). À défaut de dire que Tamaki est « très beau », on peut au moins dire sans risques qu’il nourrit le cliché du personnage français. Car au final, il n’a que la chance de ne pas être désagréable à regarder, ainsi que l’effort de se rendre beau. Car Tamaki est coquet, ça va de soi.
L’on s’attendrait alors à ce que pour couvrir cette peau relativement blanche, il possède une garde-robes absolument extravagante. Eh bien, étonnamment, non. Certes, ses vêtements sont de marque, mais il ne claque pas son argent dans le tape-à-l’oeil. Il est même plus moderne que fashion victim. Ce qui ne veut pas dire pour autant qu’il n’a pas en sa possession des vestons et costumes à ne plus savoir quoi en faire - la plupart ne sont même pas dans sa chambre à Ilukaan, autrement il n’y aurait plus de place pour ses colocataires. Lui arrive de mettre un bijou de temps à autre, qu’il aille de la boucle d’oreille à la chaîne à la cheville - en or, naturellement. Ah ça, Tamaki est coquet, mais avec modération… quelques fois. Le fait est qu’il peut passer du temps à choisir sa tenue ne serait-ce que pour correspondre à la sortie ou à ceux qui l’accompagnent. Il ne voudrait pas gêner ceux qui n’ont pas de quoi se payer une montre de luxe, allons bon… En tout cas, les jours de fêtes, on peut clairement compter sur son sens de l’esthétique. Et il ne le garde pas que pour lui-même : il est prêt à venir en aide à toute âme qui a besoin de conseils ! N’est-il pas charitable ?
Il n’a rien contre le violet, mais s’il avait pu, il aurait choisi la maison Lupy… rien que pour le rouge. Surtout avec cette cape ! Il avait éprouvé un certain dégoût à ne pas pouvoir en profiter lorsque les uniformes ont été changés… Mais le violet lui va plutôt bien aussi, non ? « Tout » lui va bien, qu’il dirait… Il porte tout de même le sien avec fierté, faisant au mieux pour être présentable en semaine. Lui est arrivé d’y ajouter une broche lorsqu’il est d’humeur joviale, et il prévoit d’en faire de même avec sa pierre de maison lorsque celle-ci sera entièrement polie. Toute occasion à montrer non pas juste sa beauté, mais également celle de ses possessions, est bonne à prendre après tout, n’est-ce pas ?
Si Tamaki a physiquement tout hérité de sa mère, il tire caractériellement beaucoup de son père. Une autre version de sa réputation - la plus connue - est cette espèce de séducteur un peu vieux jeu qui, aujourd’hui, ressemble davantage à un jeu d’acteur issu d’une telenovelas. Il est ainsi avec la gente féminine, mais conserve une facette de cette personnalité pour celle masculine. Pas de drague ou de jeu de séduction, mais plutôt un oeil observateur. Trop observateur… et pas mal intrusif, aussi. À défaut de simplement draguer - ce qui est purement flatteur et pas spécialement en perspective d’un coup de coeur - il a la facile tendance à chercher la moindre beauté chez les autres. Hommes comme femmes. Hors de question qu’il y ait du gâchis sous ses yeux. Tout potentiel à développer sera, souvent par la force de sa volonté, chouchouté comme il se doit. Et autant dire qu’il aime y mettre le paquet ; il est facile de le motiver, dans ces cas-là. Ce qui est plutôt ironique quand on voit son tableau des priorités… qui a tendance à mélanger les choses véritablement sérieuses avec les plus futiles, comme des passions passagères.
Ce qui résulte, aux yeux de beaucoup, en une personne à priori intelligente et douée, mais rarement prise au sérieuse. Tamaki est aussi naïf que malin et marche au sang chaud. Le fait est qu’il a trop souvent la tête grosse comme un ballon, vantard et trop habitué à son luxe malgré ses nombreuses années déjà passées sur le campus. En dehors de la richesse, il reste toutefois ce garçon parfois puéril, parfois courageux, parfois peureux, parfois futé… mais laquelle de ces facettes ressortira la première est souvent inattendue. Quand on le connaît bien, cependant, il n’y a rien de plus facile que de le provoquer. Il a une gestion des émotions assez semblable à celle d’un enfant : aussitôt agacé, aussitôt consolé. Il peut s’avérer très docile lorsqu’on le chouchoute. Ce qui fait donc de lui également une cible très facile pour l’énerver ou le déprimer - généralement de passage.
Toutefois, derrière cette gestion caractérielle chaotique, se trouve un jeune homme étonnamment sérieux dans ses études - lorsque la situation l’exige, surtout - ainsi qu’une personne attentive aux sentiments de ses proches. Plus ou moins traité comme le vilain petit canard dans sa propre maison, Tamaki a une très forte affection pour tout ce qui touche à la famille. Ses amis ? Des frères et soeurs. Ses protégés ? Des fils et des filles. Aussi puéril peut-il être, et bien qu’il ne fasse pas du tout partie des plus vieux, il aime se considérer comme une sorte de figure paternelle au sein de son groupe ; qui peut s’étendre aussi bien au cercle d’amis comme à la maison Strixyst. C’est bien simple : dès qu’il accepte quelqu’un, il se sent presque obligé d’attribuer un rôle supplémentaire. Ah, ça, donner des rôles et des titres, quoi que ça veut dire, Tamaki en est friand… Il est persuadé d’en savoir large sur certains types de personnes, alors que beaucoup cassent ses idées toutes façonnées plus pour avoir la paix que pour son propre bien. Cette idée de la famille est souvent associée à toutes sortes d’imitations qu’il aime reproduire en fonction de ce qu’il a vu et entendu. Même en dehors du cercle « familial », Tamaki est facilement fasciné par les types de vie qui ne correspondent pas au sien.
Il est loin, mais alors très loin de prendre les moldus et né-moldus de haut. Au contraire, même, ces derniers l’impressionnent. Pour autant, il est tout aussi maladroit dans sa façon de s’exprimer envers eux. Lui qui n’a connu que luxe et richesse depuis la naissance, il trouve courageux que certains se contentent de ce qu’il estime comme « peu ». Le dépaysement lui paraît parfois aussi dingue que fascinant, à tel point qu’il a plus tendance à vexer qu’à flatter… Mais il n’y a point à douter que ses compliments sont véritablement des compliments. De son point de vue, en tout cas… Mais il est toujours possible de le critiquer en retour, et le blond est clairement sensible à ce genre de piques qui lui crèvent facilement l’ego. Toutefois, ça ne le détournera pas de l’objectif à prendre soin des gens qu’il aime : même s’il est votre victime préférée, vous ne baisserez que temporairement dans son estime. Et ce qui compte pour lui, c’est que vous vous sentez bien dans votre peau.
« It's not everyday God creates a perfect person like me, beautiful both inside and out. »
Le nom complet de Tamaki est bien trop long… Qui s’appelle comme ça ? Et vas-y que j’te mélange japonais et français, que j’te rajoute un nom de domaine bien pompeux comme « de Grantaine », qu’en plus je fasse partie d’une famille de sang-purs pas forcément puissante, mais plutôt riche... - très riche.
Officiellement, la vie du jeune héritier avait toujours été affreusement bien gâtée. Les Suoh étaient fiers de leur patrimoine, aussi bien financier que génétique. Quasiment que des sorciers de grandes lignées, peu de sang-mêlés, et bien évidemment : aucun sang moldu. Bien sûr, l’on dira aujourd’hui qu’il est compliqué de ne pas avoir un minimum de moldu qui traine quelque part dans les gènes, famille éloignée ou non, mais les Suoh étaient plutôt prudents là-dessus. Leur nom n’était pas spécialement connu « de par le monde », mais d’autres familles du même genre pouvaient les connaître - de loin en particulier. La richesse faisait leur nom alors que la tête de la famille, elle, ne faisait que passer de génération en génération les rênes d’une entreprise japonaise magique qui gérait aussi bien dans le financement que l’éducation - on trouvait bien des banques Suoh, mais pas des écoles, cependant. Tout cela, un jour, Tamaki allait en hériter.
Enfin… il doit en hériter. Il devrait. Si tout se passe bien… Mais normalement, ça se fera comme ça. C’est plutôt compliqué. Le fait est que sa grand-mère, Shizue, tenait encore un grand rôle de matriarche…
- Grand-mère, vous êtes rentrée ! Bon retou- - Ne me touche pas.
… en plus de détester profondément son petit-fils, qu’elle jugeait ne jamais pouvoir être apte à totalement reprendre la main. Mais Tamaki ne lui en tenait pas rigueur. Il y avait des choses qu’il pouvait trouver injustes, encore aujourd’hui, mais jamais il n’en a voulu à personne. C’était juste des gens qui aimaient des trucs, que d’autres n’aimaient pas, et sans aller dans le détail, ça s’arrêtait vraiment là. Yuzuru, son père, avait par exemple bien dérogé à la règle (qui n’existait pas) en s'amourachant d’une moldu durant un voyage d’affaires.
De cette union désapprouvée naquit leur fils unique. Né toutefois sur le sol parisien, il hérita aussi bien de noms japonais que français, mais les deux parents se mirent d’accord de faire de « Tamaki » son premier prénom. Tamaki qui, durant ses cinq premières années, vécut avec sa mère aimante et courageuse ; Yuzuru était reparti au Japon, mais rendait régulièrement visite à son petit bout de famille grâce au système de portoloins.
Puis, un matin comme un autre, la mère demanda à son fils :
- Tamaki… Tu serais triste, si tu ne voyais plus maman ?
Le petit garçon ne comprenait pas vraiment la question - autant par faute de sa signification qu’à cause de son jeune âge. Le fait est que sa famille maternelle était endettée, et Anne-Sophie, sa mère, n’y échappait pas. Et parce qu’elle avait également une santé fragile, beaucoup de son argent passait régulièrement dans des médicaments, consultations et autres soins nécessaires à son confort, incluant celui de son jeune fils pour qu’elle puisse s’en occuper. Mais allait forcément arriver un jour où Tamaki finirait lui aussi par souffrir de ce manque de moyens : quid de sa santé, mais également de ses études, son épanouissement… ? Yuzuru n’ayant pas d’autre enfant, cette problématique trouva sa solution dans une autre problématique…
Les Suoh avaient, quoi qu’il en coûte, besoin d’un héritier. Et quand bien même Shizue refusait de considérer Anne-Sophie - surtout pas - ou ce sang-mêlé comme membres de la famille, le Franco-japonais était le seul candidat techniquement possible pour recevoir le flambeau un jour futur. Ce pourquoi elle trouva bon de proposer un marché qui arrangerait les deux partis : Anne-Sophie serait à l’abri du besoin, à condition de laisser son enfant rejoindre sa famille paternelle, sans que l’un ne puisse rendre visite à l’autre. Il serait mentir de prétendre que la Française a vendu son fils sans aucun remord, ni épisode dépressif, mais elle n’avait pas vraiment le choix. Son seul réconfort fut au moins de savoir que le jeune sang-mêlé n’aurait rien à craindre dans l’immense manoir que Yuzuru lui avait décrit durant ses visites. Shizue tenait toutefois absolument à ce que « l’héritier » coupe les ponts avec sa mère, histoire de se rattacher davantage aux sang-purs plutôt qu’au monde moldu - un manque qui allait de toute évidence se manifester d’une manière ou d’une autre.
Mais du haut de ses cinq ans, Tamaki fut immédiatement d’abord plongé dans un cadre plus riche, plus noble et plus clinquant. Il voyait désormais beaucoup plus son père, tout comme il voyait au quotidien beaucoup d’autres personnes… Les années passant, il prit l’habitude des précepteurs pour l’enseignement, des domestiques pour son linge comme son ménage, des cuisiniers pour ses repas… Dans son adaptation au monde sorcier comme au monde de la noblesse, il adopta même un chiot qu’il nomma Antoinette (qui se révéla être affectueuse au point de ne jamais l’écouter lorsqu’il la grondait de ne pas monter sur le lit). Le souvenir de sa courte vie de moldu se fit plus petit, plus discret et loin quelque part dans son esprit, mais il ne disparut toutefois jamais. Et sa mère, encore moins, bien qu’il se demande encore par moments à quel point les traits de son visage dérivent aujourd’hui des photos de l’époque qu’il avait emmené. Son père avait encore la liberté de se rendre en France, mais il limitait consciencieusement les nouvelles qu’il pouvait transmettre à son fils - ce qu’il comprenait, sans faire de chichis. Le temps passant, il vivait alors de plus en plus à l’image du reste des Suoh, avec des papiers stipulant qu’il était bien de sang-pur et conservant ainsi la réputation de leur arbre généalogique bien à l’abri des rumeurs d’illégitimité qui atteindraient d’autres familles plus importantes encore.
On entendit les aboiements d’Antoinette alerter des domestiques lorsque l’ours en peluche favori de Tamaki s’était mit à bouger tout seul et courir après l’animal, sous le regard aussi médusé que paniqué du jeune héritier. C’était vers l’âge de neuf ans que les pouvoirs de ce dernier s’étaient alors éveillés, un détail qui avait bien évidemment contrarié plus encore sa grand-mère matriarche.
- Si sa magie s’était manifesté plus tôt, il aurait pu entrer à Mahoutokoro.
C’était son excuse…
- Tout cela à cause de ce sang impur qui coule dans ses veines. J’espère que tu as bien conscience de cela, Yuzuru.
… pour appuyer encore sur des défauts qui n’en étaient pourtant pas. Et son père, heureusement, ne le voyait jamais sous cet angle. Il chérissait comme il pouvait l’enfant qu’il a eu avec la seule femme qu’il aurait voulu épouser. Vrai que chaque membre de la famille Suoh avait fait un passage obligatoire à l’école japonaise de Mahoutokoro, mais Tamaki, malgré l’autre moitié de son sang, allait être une sacrée exception. Il était certes en retard, mais il n’était pas non plus trop tard pour viser peut-être plus que la même école depuis des générations…
Ilukaan avait de nombreux avantages que Shizue tenait absolument à souligner comme pour relever le niveau de son petit-fils. Une réputation internationale, des cursus inédits, ainsi qu’une distance non-négligeable qui allait forcer le jeune garçon à se tenir éloigné de sa maison. Elle avait bien sûr tiré la grimace lorsqu’elle apprit que le directeur était un né-moldu, mais « au moins, il sera sous la responsabilité d’une personne de son niveau ». Car même pour son école, Tamaki n’aura pas été celui qui choisit. Mais au point où il en était, il se doutait déjà que suggérer Beauxbâtons n’aurait absolument pas plu à la vieille femme. Il dut donc dire au revoir à son chien, son père, ses domestiques, son petit quotidien bien chouchouté…
Bonjour Ilukaan, toi qui enferme un habitué du grand luxe dans une chambre à partager avec quatre colocataires.
Tamaki avait été bien accueilli chez les Strixyst, quoique parfois difficile à appréhender tant il paraissait ne passer qu’en touriste. Il n’était, à l’époque, pas bien familiarisé avec la technologie - il fallait le décrocher des ordinateurs de l’école - ou encore le simple principe de ranger et nettoyer sa chambre au moins pour la fin d’année afin de la libérer pour un autre quatuor… Avec le temps, une majorité d’élèves aura bien compris qu’il n’est qu’un gosse de riches certes facile à présenter à d’autres perspectives, mais tout aussi lourd à supporter à cause de ses vieilles habitudes. Beaucoup tombent encore dans le piège, face au garçon qui jouit parfois d’une réputation de séducteur - un peu vieux jeu, mais bon, il paraît que ça marche pour certains - enfin, surtout certaines. Et à défaut de n’être qu’un arrogant « sang-pur » qui ne voit pas plus loin que le bout de son nombril…
… il est tout de même un sympathique égocentrique, mais loyal type qui ne voit souvent pas plus loin que le bout de son nez.
(c) Ilukaan
YOUR TIME TO SHINE ♛
Do you think you could tell me what true strength is? I may be out of line, but hiding your true self and putting on airs doesn’t seem any different than running away to me. I would think that embracing the things you truly like and being able to enjoy them is worth more than anything. To just be yourself… I believe that’s what true strength really is.
Invité
Invité
Sujet: Re: Drama King ♛ | Jeu 12 Mai 2022 - 16:12
Y'a pas assez de place pour un autre blond sur ce forum, va-t-en
(En vrai, j'espère que ce personnage t'amusera et j'ai hâte de le voir en rp !)
Francis Bonnefoy
Cervirald
Image du profil :
Emportés par la foule qui nous traîne
Nous entraîne
Écrasés l'un contre l'autre
Nous ne formons qu'un seul corps
Et le flot sans effort
Nous pousse, enchaînés l'un et l'autre
Et nous laisse tous deux
Épanouis, enivrés et heureux
ϟ Baguette : Bois de charme — 29,5cm — Cheveu de vélane — Flexible
ϟ Cursus : Potions approfondies
ϟ Malle : Jeune pousse
ϟ Autres comptes : Lucifer Hellborn, Tom M. Riddle, Lian Xie, Respen Enneiros, Phoenix Wright
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Et nous laisse tous deux
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ϟ Titre(s) : Assistant-professeur en Histoire de la Magie
ϟ Baguette : hêtre ; ventricule de dragon ; 35 cm ; rigide
ϟ Malle : - Un porte clé dragon
- Le porte - monnaie d'Ajax (non)
- Une photo de lui et Xiao
- Une fleur qui ne fanera jamais
- Un élastique pour ses cheveux
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- Un élastique pour ses cheveux
ϟ Baguette : Bois de sycomore, coeur en plume de phoenix, 32 centimètres, légèrement souple et fine.
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Sujet: Re: Drama King ♛ | Ven 13 Mai 2022 - 12:15
Francis Bonnefoy a écrit:
Oh tiens, une copie de moi mais leader price :D
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Invité
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Sujet: Re: Drama King ♛ | Ven 13 Mai 2022 - 13:39
Félicitations Alex pour ton nouveau compte ! Strixyst le S A N G. Hâte de voir Tamaki en rp, surtout avec l'intrigue du plot !
(omg le nom de son iench)
Vincent Leroy
Ex-Directeur
Image du profil :
Comment appelle-t-on un chat qui chante?
Chat-kira.
ϟ Baguette : Vigne, coeur en plume d'oiseau tonnerre, 30,45 centimètres. Avec un joli strap dessus.
Sujet: Re: Drama King ♛ | Sam 14 Mai 2022 - 17:10
Auto-validation, j'ai tous les droits (c'est faux c'est bro qui a supervisé ma fiche) Mon quatrième Strixyst -sigh-
Validation
Bienvenue chez les Strixyst
Accompagné par d'autres nouveaux élèves, tu es appelé par le directeur à t'avancer au centre du Dôme. Scruté par les élèves et étudiants, tu regardes alors ton reflet dans la fontaine qui va décider de ton sort. D'abord voyant ta sale tête dans l'eau, tu remarques que le reflet semble se changer peu à peu jusqu'à prendre la forme d'une chouette. Tu es d'autant plus surpris quand l'animal commence à pousser un cri dans toute la salle. Tout le monde se met soudainement à t'applaudir, tandis que le directeur s'approche de toi avec une améthyste brute qu'il met autour de ton cou.
"Bienvenue à Strixyst !"
⇢ Te voilà validé, tu peux désormais poster dans tous les recoins du forum, RP-Post ainsi que RPCB.
⇢ N'hésite pas à voir la chambre qui t'a été attribuée.
⇢ Si ton personnage est en cursus universitaire, il peut postuler pour avoir un job d'étudiant.