ILUKAAN est un forum MULTIFANDOM dans l'univers d'Harry Potter. Ilukaan est une école de magie internationale se situant en Nouvelle-Écosse au Canada. L'histoire se déroule en 2024, mélangeant magie et technologie. Vous pouvez jouer des personnages de manga/anime, jeux vidéos, films d'animation, dessins animés, romans jeunesse ou encore un OC. L'intrigue se fait à la fois en RPCB et RP-POST.
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Stella by Starlight ☆ Trails that go awry are the most luminous — Ramuda
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Sujet: Stella by Starlight ☆ Trails that go awry are the most luminous — Ramuda Sam 23 Jan 2021 - 20:38
Ramuda Amemura
Hypnosis Mic : Division Rap Battle
Identité
Amemura Ramuda (Easy R) 21 ans Japonais Japonais & Anglais 14 février 2000, Shibuya, Japon Yeux bleus, cheveux roses (naturellement noirs) 1m55, 49kg
Who am I...?
Ramuda est un sorcier sang-mêlé appartenant à la maison Cervirald et en 11ème année. Iel suit le cursus Arts magiques. Iel ne possède aucun don. Iel n'occupe aucun poste.
Sa baguette est faite de noisetier, avec un cœur en crin de licorne, d'une longueur de 34cm, inflexible. Son animal de compagnie est un rat du nom de Candy Cane.
Son patronus est unara chloroptère. L'odeur de son Amortentia est composé de bonbon, de cigarette et de désinfectant d'hôpital. Son reflet dans le miroir du Riséd est les adieux de ses médecins. Son Épouvantard prend la forme de fantôme.
Il n'a pas de famille présente à Ilukaan. Sa matière favorite est la musicologie magique et la matière qu'il aime le moins est les sortilèges.
Derrière l'écran Pseudo & pronoms : Mayux - ElleSouhaites-tu être parrainé·e ? [Non] - explications iciAvatar : ...Code du règlement : [MP au staff]Comment as-tu trouvé le forum ? //Un petit mot ? Ceci est une fiche que personne ne verra jamais (update 21 janvier 2021 : ce petit message est très ironique tout à coup.)
headcanons
Rêve de devenir designer ou idol. • Bien que si on regarde sa chaîne Witchtube, on voit qu'il fait surtout du rap. • Utilise un persona mignon pour cacher sa voix grave et son cynisme. • Dit qu’il parle à ses conquêtes quand il a des appels de ses médecins. • Triche aux jeux. De chance, de cartes comme de société. • Est Witchtube et Pentagram famous sous le pseudonyme de easy R. • Fait de petits spectacles de rap de temps en temps. • Est populaire depuis un peu plus longtemps avec de vieux amis à qui il ne parle plus avec qui ils étaient connus comme The Dirty Dawg. • Toujours une sucette à la bouche car ça l’aide à moins fumer. • Il essaie d’arrêter, pour le moment il se limite seulement. • Chante pour rendre les autres heureux. • Bi très, très, TRÈS assumé. • Fait un makeover aux gens trop moches ou déprimants, qu’ils le veuillent ou non. • Garde de jolies plantes dans sa chambre. • A déjà mis des oreilles de chat et s’est roulé par terre pour des vidéos maintenant Tiktok famous. • Des fois, Ramuda range sa bouffe dans ses poches sans le réaliser. Juste. Comme ça. Et quand il réalise, bah, c’est trop tard. • Fait beaucoup de couronnes de fleurs. • Le rat est un animal sociable et l’école permet seulement un animal, alors il se balade souvent avec Candy Cane. C’est un rongeur très amical et facile à prendre. Il a un compte Pentagram où il poste des photos de ses amis avec lui dans les bras. • A un frère jumeau dont il ne parle jamais car il ne veut pas être comparé à lui, même à l’autre bout du globe. • Déteste les pois verts. • Donne des bonbons à ceux qui ébouriffent ses cheveux. • Roule les yeux à la mention du mot ministère, car non maman, non papa, il n'y travaillera pas. • Refait toujours sa teinture aux premières repousses. • Appelle les filles qu’il drague ses onee-san. • Droitier.
« THE OPTIMIST SEES THE DOUGHNUT, THE PESSIMIST SEES THE HOLE. »
« I’ll color whatever I want with Shibuya’s sound ! » — Ramuda Amemura
Difficile d’imaginer Ramuda comme autre chose qu’un jeune adolescent à première vue. 1m55, maigre comme une brindille, cheveux courts en arrière mais longs en avant rose barbe à papa et grands yeux bleus qui ressemblent à des billes ou à de gros bonbons. Son visage rond et ses grosses joues écrasables n’aident clairement pas son cas. Et tout ça, c’est sans compter son expressivité malléable, qui le laisse sourire aussi faussement que personne n’a jamais souri.
Tout ça, ce sont ses artifices. Car la réalité n’est au fond que robotique et froide, comme la personnalité qui se cache sous cet amuse-gueule sucré et coloré.
Ses vrais cheveux sont noirs. Ses vrais yeux sont bruns. Est-ce qu’une réalité peut être plus ennuyante que ça ? Ramuda n’aime pas se montrer sous son vrai jour, alors il se couvre de poudre et de fard à paupières. Pourquoi être normal lorsqu’on peut avoir les cheveux rêvés de chaque gamine de 8 ans de ce monde et des iris plus bleus que le fond d’une piscine ? Pourquoi ne pas se mettre une petite, une seule couche de mascara à chaque matin pour avoir l’air d’une poupée tout droit sortie d’une histoire de princesses ? Ses yeux sont captivants de cette façon, emprisonnés dans une cage de longs cils, et ses pommettes sont roses et hautes et bien remplies.
Il est facile de remarquer que son mensonge ne se finit pas là. Non, il va beaucoup plus loin, jusqu’à s’immiscer dans sa façon de parler, l’instrument de socialisation le plus utile à l’homme : sa voix. Elle sonne enfantine, un peu haute, bien que de toute évidence masculine. Dès qu’il ouvre la bouche, on ne le traite plus de fillette. Pourtant, lorsque le masque tombe, elle se fait grave, profonde, et puissante. Rien qui ne ressemble à son gazouillis joyeux et innocent habituel. Étonnamment, il sait chanter avec les deux. Sa façon de parler reflète aussi la voix qu'il utilise. Là où son discours est enfantin et qu'il utilise des mots mignons quand il parle de façon aiguë, il ne se gêne pas de jurer lorsqu'il reprend son ton naturel.
Ses ambitions de devenir un jour designer se voient directement lorsqu’on pose l'œil sur lui, un jour où il n’y a pas cours. Il se vêtit toujours de pièces de dernier cri, souvent fluo, aux apparences un poil decora ou lolita - ou les deux en fait, à l’exception qu’il y va un poil moins fort sur les accessoires et surtout sur les jupes. Ça ne l’empêche pas de fréquenter le Sephora tout autant que ses comparses féminines, de se faire les ongles et d’occasionnellement porter des boucles d’oreille. Il ne le fait juste pas de FAÇON féminine, du moins, pas autant que ses nombreuses amies. Pourtant, il a tout de même l’air d’une petite fée, à gambader avec énergie et à sourire d’une façon presque malicieuse.
Car oui, mignon et joyeux comme il semble être, avec ses faux sourires couverts de saccharine, il attire les amies - tout comme les amis, en réalité. Il n’a juste… Pas une esthétique à l’hétérosexualité, et ça se ressent dans son entourage, majoritairement composé d’excentriques qui acceptent de se faire une manucure matching en groupe. Il se fond bien dans toutes les occasions, a des vêtements pour chaque type de sortie ou de fête.
Bref, Ramuda Amemura fait attention à son apparence. Rarement une odeur autre que celle des sucettes qu’il a quasi constamment à sa bouche émane de lui, ou celle d’un étrange mais délicieux parfum à la gomme balloune. C'est en partie - Non, totalement par exprès, pour couvrir l'odeur des cigarettes qu'il fume occasionnellement. Personne n'est au courant de ça, car cette habitude n'est pas mignonne et contraste trop avec sa personnalité à son humble goût. Son image en prendrait un sacré coup, si ça s’apprenait, après tout. Donc, il y va à 110% au niveau de l’hygiène et fait attention à sentir le bonbon. Vaut mieux trop en faire que de se faire démasquer à ses yeux.
Rien ne contraste chez Ramuda davantage que son image et qui il est vraiment.
Lorsqu’il ouvre la bouche, on peut presque entendre le sucre qui en coule. Les mots doux, gentils, les mensonges murmurés ou chantés, toute cette joie de façade n’est que cela : une façade, qu’il garde bien haute, même en sachant que seuls les naïfs se feront berner par sa tromperie. Car il est si facile de le percer à jour, en l’observant ne serait-ce qu’avec un peu d’attention. Entre tous les bonbons qu’il donne, sa voix mielleuse et son énergie enfantine, on le confond souvent dans la rue avec un gamin de CP. Qui plus est, aucune malice ne semble faire briller ses iris ; seule une énergie intarissable et un air ouvert. Pourtant, les sous-entendus de ses mots, les menaces masquées, sont bien réelles et dévoilent sa nature profonde.
Cela va sans dire, Ramuda est gamin. Toujours habillé de fluo, avec ses cheveux roses et un sourire adorable, il joue sur sa petite taille et son air mignon pour se forger une image. Avec sa voix fluette et ses manières de bouger exagérées et expressives, c’est très clair qu’il fait semblant d’être quelqu’un qu’il n’est pas. C’est pourtant la personne qu’il aimerait être, et celle qu'il croit que les autres veulent voir.
Ça ne l'empêche pas d'être extrêmement direct et franc. Il transforme pour être populaire, mais, ayant passé la grande majorité de sa vie loin des autres, il n'a pas exactement assimilé toutes les normes sociales, et se retrouve donc sans aucun filtre lorsqu'il est l'heure de communiquer ses avis et pensées. Il lui arrive de sortir des remarques totalement inappropriées ou tout bonnement cruelles avec un grand sourire et sans réaliser sa bourde.
Toute sa vie, ses parents, sa famille, l'ont conditionné à suivre un motto : « Réussis ou meurs. » Leurs espoirs et les devoirs qu’ils écrasent sur ses épaules précéderont toujours ses envies ou besoins. Que ça lui plaise ou pas, il doit faire ce qu’il a à faire et laisser ses émotions derrière. Ses actions sont guidées par ce principe, qui a forgé en lui un sens de l’individualisme qui borde l'égoïsme.
Et voilà comment Ramuda est devenu un homme quasi robotique, qui fausse chaque mot, chaque intonation, chaque sourire, chaque rire. La colère, l’anxiété et la frustration sont les choses les plus réelles qui passent en lui, mais ce sont aussi les seules émotions qu’il s’efforce à masquer, pour tenir sa réputation. Pourtant, il ressent beaucoup de choses, à des degrés différents. Il préfère tout simplement garder ses sentiments près de son cœur.
C’est une personne qui se tient en groupe. Il parle à tout le monde avec un grand sourire, se présente aux fêtes, mais disparaît rapidement. Il déteste les gros rassemblements, malgré ce que laissent croire les apparences. Le Japonais prétend être un petit oiseau sociable, mais il a facilement des migraines, donc il s’éclipse toujours vite lors des soirées ou des grands événements. Il aime simplement le sentiment d’être aimé et avoir des regards qui admirent chacun de ses faits et gestes. Sa présence est une formalité pour lui, et aussi une occasion de se recharger émotionnellement en attirant l’attention et en faisant rire les gens autour de lui.
La solitude lui plaît beaucoup plus. Dans la vie en général, également. Il déteste plus que tout voir que quelqu’un fouine dans ses affaires, ne serait-ce que la façon dont il a fait son devoir. Plus c’est personnel, plus sa colère s’accentue. Ce qu’il déteste le plus, c’est que quelqu’un le questionne à propos de sa famille et de son passé avant de venir à Ilukaan. Il a tendance à sacrément perdre son calme à ces moments-là. Où va son argent est aussi un problème dont il n’aime pas beaucoup parler, vu ce qu’il implique.
En fait, Ramuda perd très, très facilement son calme, bien que des fois plus que d’autres. Il ne planifie pas son avenir ; c’est quelqu’un d’impulsif, qui prend des décisions de temps en temps, selon ses grés et envies. Des fois, ses envies, c’est d’attraper quelqu’un par le col, le regarder sans les yeux et lui dire sans ironie qu’il va faire des choses pas nettes à sa maman s’il ne sort pas de son champ de vision dans l’immédiat. Ça arrive à tout le monde ! Surtout à lui, en fait, car, il a beau essayer de paraître comme quelqu’un qui calcule ses coups et qui tire les ficelles dans l’ombre, il se retrouve plus souvent dans le rôle de celui qui est joué que de celui qui trompe les autres. Il n'est tout simplement pas bon pour savoir quand on le manipule et peut vite se montrer colérique ou violent quand il le réalise.
Ce n’est pas quelqu’un qui fait des choix par lui-même. En 7ème année, il n’a pas pensé une seule fois au cursus qu’il voulait, et, le jour de la remise des choix, il a tiré à pile ou face entre Arts Magiques et Sciences Sociales. L’option qu’il désirait, et celle que ses parents auraient voulu. Il aime se délester de ses choix et responsabilités autant que possible, et ne s’en prive pas. Il ne les fait que lorsque l’urgence devient capitale.
Même s’il ne pense pas à l’avenir, Ramuda est souvent préoccupé. Par des choses du futur, mais d’un futur plus proche.
Ses plus grandes peurs sont toutes par-rapport à la mort. Les fantômes battent tout, car il… Il a peur d’en devenir un lorsqu’il trépassera. Alors que Ramuda préférerait soit rester fort et vivant, soit s’éteindre en paix. L’idée de voir tout ce qu’il connaît différemment le terrifie. C’est pour la même raison qu’il cherche le plus souvent à garder un statu quo.
Si on creuse un peu plus, la raison pour laquelle il a si peur de la mort, c’est la maladie. Peu importe à quel point il essaie de s’en convaincre ou de faire croire aux autres que tout va bien, il ne va pas bien, et cet état pèse énormément sur lui. Depuis sa 8ème année, ses parents le laissent gérer ses rendez-vous seul, et, cumulé avec sa pratique, ses spectacles de rue, ses devoirs, ses réseaux sociaux et son travail… Ça fait beaucoup de pression pour quelqu’un qui est majoritairement sans soutien. Ses circonstances rendent Ramuda assez anxieux et stressé. Il a donc tendance à fatiguer vite et à empirer son état de santé - heureusement loin d'être fatal, bien que pas idéal et pesant beaucoup sur lui. Il a très conscience d’être dans un cercle vicieux et essaie tant bien que mal de s’en sortir, mais sans succès, car il ne sait pas comment s’y prendre pour demander de l’aide.
Pas qu’il en veuille plus que ça, de toute façon. L’idée de demander quelque chose aux autres ne lui vient même pas en tête très souvent, sauf lorsqu’il n’a aucune autre option. Et, même là, il n’aime pas être endetté. Ramuda a appris très tôt à se débrouiller seul, et cette envie, ou plutôt cette sensation de devoir être autonome s’est accentuée lorsqu’il a commencé à prendre en charge sa santé par lui-même.
Pourtant, il s’attache vite. Il accorde sa loyauté d’un clignement de yeux. Il a beau essayer de laisser les gens derrière lui et se prioriser, il n’y arrive clairement pas. Ramuda est quelqu’un de très salé et colérique, mais qui a une bonne âme. Les mauvaises décisions s’enchaînent pour lui, mais un peu de support et de guidance l’aident énormément dans ses dilemmes moraux. La présence de facteurs autres que lui-même le réveillent de sa stupeur égocentrique plus vite qu’un claquement de doigts.
Son amour pour la mode et son envie de se présenter sur scène viennent les deux de son amour pour les images. La réalité est moins belle que ce qui la couvre à ses yeux. À long terme, ça paie davantage d’investir dans la flatterie de son ego qu’est le regard des autres et leur admiration que de se développer en tant que personne, ou de devenir ce qu’il voudrait être. Il ne juge pas être assez fort, ne pas avoir les ressources pour changer, et n’en a absolument rien à faire, car à ses yeux, sa situation actuelle est… Convenable, bien qu’elle tienne sur un fil fragile.
Sa passion pour la musique va un peu plus loin que ça, pourtant, bien qu’elle soit enracinée dans le confort qu’il trouve aux projecteurs et à leurs mensonges. Il a remarqué, au fil du temps, que de chanter et d’interagir avec les autres… Les fait s’amuser, les fait sourire, les rend heureux. Ramuda, malgré son égocentrisme, est capable de faire preuve de générosité, et donne très souvent des sucettes, des sourires, des mots gentils, juste parce qu’il en a envie. Son choix de carrière est motivé par ce côté qu’il réprime de lui-même, et il ne l’assume même pas. Si on lui demande pourquoi il veut être idole, il dira seulement qu’il aime la popularité et l’admiration. En partie vrai, mais… Ce n’est pas tout.
S’il y a quelque chose que Ramuda n’aime pas vraiment, c’est ses obligations. Les liens du sang sont pour lui les plus forts, mais aussi ceux pour lesquels il a le plus de haine. La responsabilité est comme une chaîne à ses yeux, mais il n’y a rien qu’il déteste plus que d’être réprimé. En fait, il ne voit juste pas de monde où il peut se rebeller et arrêter d’écouter ses géniteurs, où il peut arrêter d’en avoir quelque chose à faire de leur avis, même s’il n’arrête pas de les décevoir. Déjà en étant malade, en étant petit, et ensuite en refusant de travailler au ministère comme son frère le fera sûrement. Il n’est pas capable de leur faire un doigt, car il n’a jamais considéré l’option. Ils sont trop puissants et influents pour qu’il se le permette, car il sait que sa carrière va mourir dans l'œuf s’il se met à dos ceux qui peuvent traîner son nom dans la boue. Bref, Ramuda déteste sa position dans la vie, mais il est incapable d’ouvrir ses horizons et considérer des solutions et des changements, car rien ne lui fait plus peur que l’inconnu dans un monde où il est seul contre tous.
« My shadow is still smiling I wonder who my life is for. » — Ramuda Amemura
« Here on this star frozen over by ice, I'm the only living being. Before I knew it, my research had made me stray from humanity, a useless love letter that I've forgotten who I was even writing for. » - Stella, Fling Posse
Si l’on devait deviner de quel genre de famille Ramuda est l’enfant, la première supposition d’une personne moyenne ne serait sûrement pas qu’il est le descendant de la longue lignée Amemura. Propriétaires d’une compagnie de textiles à l’ère Meiji, qui se sont liés au monde de la magie et qui ont basculé vers la politique il y a deux générations ; ceux-là. Rei Amemura, avocate, et Junichiro Amemura, employé du ministère de la magie, sont les noms de ceux qui ont donné naissance à l’adorable Ramuda.
À Ramuda, mais aussi à Phi. Phi et Ramuda Amemura étaient le nom des deux petits jumeaux nés en ce soir, celui de la Saint-Valentin de l’an 2000, certes très peu romantique pour le couple, mais chamboulant la vie de cette famille pour toujours.
Nés à Shibuya, c’est aussi là-bas que les garçons ont grandi. La fortune familiale leur a permis d’être élevés différemment de la plupart de leurs congénères. Non pas dans un simple petit appartement ni dans une maison de campagne au charme rustique, mais dans le penthouse d’un des premiers condos de la région. Là-bas, des tuteurs venaient donner des cours à Ramuda et Phi. Le premier se montrait plus apte et enthousiaste face aux leçons musicales, alors que le second apprit à lire quelques mois avant son frère et comptait avec davantage d’aisance.
Dès qu’ils furent assez vieux pour marcher, les parents des jeunes enfants exprimèrent le désir qu’ils suivent leurs pas plus tard et s’élèvent dans le monde du pouvoir. Bien que Ramuda, encore bambin, ne comprenait pas exactement de quoi il en retournait, il admirait beaucoup ses parents et comptait bien leur faire plaisir en reprenant l’affaire familiale.
Plus les années passaient, plus les leçons devenaient nombreuses et ennuyeuses. Ramuda commençait déjà à se lasser des langues et de la calligraphie à 5 ans, ce qui n’était pas super bon signe pour sa future carrière en bureau.
Justement, 5 ans. C’est cette année-là, en 2005, que Ramuda montra son premier signe de magie. Certes, personne ne fut réellement surpris vu que sa famille possédait des gènes sorciers depuis la nuit des temps. Ce fut non seulement à 5 ans, mais lors de son anniversaire de 5 ans.
Ce jour-là, en soirée, ses parents n’étaient pas à la maison. Les deux avaient été retenus au travail, sans possibilité de rentrer fêter leurs fils ; et donc, Ramuda fut… Déçu. Déçu de n’avoir eu personne pour lui souhaiter joyeux anniversaire en dehors de sa nounou et son jumeau. Déçu de ne pas avoir mangé de gâteau après son dîner ni reçu de cadeaux. Donc, en entrant dans sa chambre, submergé par son désespoir, son subconscient fit apparaître un paquet cadeau sur son lit, qu’il s’empressa, tout sourire, d’aller ouvrir ; mais l’image disparut sous son toucher. Il s’agissait d’une simple illusion, mais, ce qu’il put en retirer, c’était que lui aussi était magique.
C’était un cadeau, d’une certaine façon. Un cadeau de la vie.
Même s’il passa un anniversaire horrible et que ses parents rentrèrent minuit passé.
Le deuxième événement majeur que Ramuda vécut fut à 6 ans. Et c’est car ce fut cette année-là que les premiers symptômes se manifestèrent.
« The path is becoming cut off The days are becoming fragmented As my consciousness fades I remember those days » - Pink Iro no Ai, Ramuda Amemura
Un beau matin de juin 2006, il se mit à tousser, et, en regardant son coude, Ramuda vit du sang. Et pas juste un peu. Ses poumons brûlaient, et il perdit l’équilibre, puis s’évanouit.
À son réveil, il se retrouva à l’hôpital, et le médecin lui prescrit plusieurs tests. Ils ne savaient pas exactement d’où cette hémorragie venait. Des poumons, de son système digestif ? Ils devaient en apprendre plus sur le côté épidémiologique de son problème avant de se lancer dans un quelconque traitement. Pendant des semaines, ils cherchèrent la maladie à la source de son problème. Bien vite, une origine moldue fut écartée.
Les attaques commençaient à se montrer à une fréquence qui montait et montait. Heureusement, il n’en avait pas à chaque jour, mais maintenant qu’elles étaient là, elles ne semblaient plus vouloir partir. Du moins, pas par elles-mêmes.
Ça prit plusieurs mois, énormément de tests et la rencontre de beaucoup de spécialistes avant qu’ils réussissent à déterminer la maladie exacte dont souffrait Ramuda.
Le pronostic n’était pas exactement positif. Avec une supervision et un suivi convenables, il s’en sortirait sans trop de problèmes, mais ce n’était pas quelque chose qui se soignait. En effet, Ramuda était atteint de la maladie de Thevet, avait-on découvert. Il s'agissait d'un trouble génétique affectant son gène magique qui rendait sa magie instable. Lors d’une utilisation continue de sorts, elle s’agitait et causait des dégâts au corps de son hôte, soit, pour lui, à ses poumons. Les seules façons de lui permettre d’utiliser son don sans risquer gros, c’était du repos et des médicaments dispendieux qui ne feraient pas effet tout de suite.
Les docteurs recommandèrent de ne pas l’envoyer à Mahoutokoro, ne serait-ce que parce qu’il ne serait pas stable avant la rentrée. Il avait besoin de repos et de s’habituer à son tout nouveau traitement avant de commencer à utiliser sa magie de façon quotidienne. À contrecoeur, ses parents suivirent les conseils des docteurs à propos de Ramuda, mais cela ne les empêcha pas d’y inscrire Phi. Et donc, il y alla, laissant son frère seul à la maison avec ses professeurs, mais surtout avec lui-même. La distance permit à Ramuda de développer une forte jalousie à l’égard de son jumeau. Lui avait la chance de passer ses journées avec d’autres enfants de leur âge, de voir le monde, de voir du monde. D’être aimé et populaire, sûrement. De définitivement être l’héritier.
Car, oui, Ramuda n’était ni sourd ni aveugle. Il entendait ses parents parler dans leur chambre, tard le soir, et il savait ce qu’ils considéraient faire.
Ce manège continua jusqu’à ses 11 ans, où, sans lui demander son avis, bien évidemment, ils décidèrent de l’envoyer à Ilukaan. Parler anglais était un avantage certain pour son futur, et, en plus, l’école jouissait d’une réputation enviable à l’international depuis que Vincent Leroy en était le directeur. La meilleure institution pour leur fils, selon Rei et Junichiro.
Pas qu’il avait une autre école en tête. Tant qu’on lui permettait de partir, il était heureux. La solitude commençait à peser sur ses épaules, et il avait sacrément besoin d’un changement de paysage pour retrouver le sourire.
« I drop my drops, my magical lollipops Pick ’em up if you want ’em You never know, you might get hooked, so let’s dance One step, two step––let it take you––three and four That’s all it takes, to become mine And I’ll shower you with my sweet, sweet candy » - Drops, Ramuda Amemura
C’était sa première fois à l’école, mais Ramuda s’en sortit bien. Par peur de ne pas réussir à se faire des amis et d’être jugé par ses pairs, il observa les normes sociales parmi sa classe et s’y conforma le mieux possible. Personne ne remarqua sa supercherie et il fut très vite accepté parmi eux, non pas pour la personne qu’il était, mais pour celle qu’il paraissait être. Après quelques mois, le fait que c’était la première fois de sa vie qu’il vivait parmi des gens de son âge ne paraissait même plus du tout.
En 3ème année, il choisit arithmancie et musique et arts magiques comme cours à options. La musique, depuis son enfance, avait été une des choses qu’il préférait, alors il s’y immisça. Une bonne idée de sa part, car, à 15 ans, il rencontra trois amis avec qui il forma un groupe de rap du nom de The Dirty Dawg, avec lesquels il devint vite très connu sur Witchtube et Pentagram. C’est quelques mois après qu’ils devinrent populaires qu’il se teint les cheveux en rose pour la première fois, lorsqu’il réalisa qu’il avait fini de grandir malgré son petit mètre 55, et qu’il adopta son persona enfantin et mignon pour que sa personnalité et son apparence fonctionnent ensemble.
En 6ème année, poussé par la pression de ses pairs, il se mit à fumer et à boire lors des fêtes. De mauvaises habitudes qu’il ne perdit pas.
Sa 7ème année arriva plus vite que ce qu’il avait anticipé. Avec elle vint le choix de son cursus universitaire. Ramuda n’y avait mis aucune réflexion ; alors, le jour où les professeurs leur distribuèrent des feuilles demandant quel était leur premier choix, il joua à pile ou face. Pile, il vivrait son rêve et irait en Arts magiques pour devenir idole. Face, il accomplirait celui de ses parents et il irait en Sciences Sociales et Internationales pour suivre leurs traces.
Il tira pile.
Ses parents, lorsqu’ils eurent vent de la nouvelle, furent en colère. Très, très en colère. À l’anniversaire de ses 18 ans, comme cadeau, il eut une annonce de la part de ses parents : il s’occuperait désormais de ses propres rendez-vous médicaux, et de son assurance, et tout ce qui vient avec. Surprise !
Peu après le début de sa 8ème année, The Dirty Dawg se sépara. Cela le laissa seul, triste, et sans amis pour l’aider avec ses nombreux problèmes.
Alors, pour financer ses médicaments, ses cigarettes et se faire de l’argent de poche, il commença en parallèle avec son université à être plus actif sur Pentagram en espérant vite percer, et à travailler en plus pour être certain d’avoir un revenu stable. En ce moment, sa popularité décolle moyennement, ce qui lui suffit, mais qui rend sa vie assez difficile, vu qu’il est obligé de jongler entre ses devoirs, son job et son activité sur les réseaux. Depuis la 9ème année, il essaie d’arrêter de fumer sous recommandation de ses médecins. En plus de cela, les cigarettes c’est cher - et, ainsi, depuis ce moment, on le voit souvent avec une sucette à la fraise au bec. Après tout, c’est mignon ET pratique, non ?
« C’mon, isn’t the excitement seriously lacking? Hand me the mic if you’re gonna be slacking? Think about serious stuff another time So let’s have fun Let it go, party people, time to shine easy R! easy R! Call my name, honey That pink statement piece I love it! Love it! Totes adorbs! (tee-hee) Hope my lyrics of love are getting absorbed » - T.D.D. Legend, The Dirty Dawg
Sujet: Re: Stella by Starlight ☆ Trails that go awry are the most luminous — Ramuda Sam 23 Jan 2021 - 23:41
Ramudaaaaaaaaaa ENFIN. Moi non plus je ne le connais absolument pas mais je suis si contente de le voir arriver, vu comme tu en parlais ! Il a l'air super fun en tout cas, très très hâte de le lire en rp hihi !
Invité
Invité
Sujet: Re: Stella by Starlight ☆ Trails that go awry are the most luminous — Ramuda Dim 24 Jan 2021 - 23:03
@Baset : YES HE DID !!! Après que tu m'aies bully longuement pour le jouer
@Hajime : Tu connaissais pas Kokichi non plus quand je l'ai fait et pourtant ça a vite changé.... Tkt même pas que tu vas apprendre à connaître Ramuda très vite. ;DDD
@Dad : Catson numéro 48 est ici.... <3<3<<3 vient à mes concerts stp dadzawa....
@sushi : stop me bully toi :,((((((( mais raboule les crêpes
@Komaeda :
Do you mean ce moment:
@maman : TKT PAS TOI AUSSI TU VAS APPRENDRE À LE CONNAÎTRE !! :D <3<3<3 Contente de ouf qu'il t'intéresse !
Vincent Leroy
Ex-Directeur
Image du profil :
Comment appelle-t-on un chat qui chante?
Chat-kira.
ϟ Baguette : Vigne, coeur en plume d'oiseau tonnerre, 30,45 centimètres. Avec un joli strap dessus.
Sujet: Re: Stella by Starlight ☆ Trails that go awry are the most luminous — Ramuda Mer 27 Jan 2021 - 15:50
Ramuda :pleading_face: Encore un perso que tu m'auras fais aimé alors que j'ai pas encore touché à son oeuvre, huh- Une fois mais pas deux (si).
J'aime personnellement beaucoup le personnage et sa façon d'être, j'ai donc très hâte de le voir en jeu, on souhaite bonne chance à ce bonhomme pour gérer sa vie au milieu de cette école barge.
Bon jeu
Message du staff
Bienvenue à Ilukaan !
Validation
Accompagné par d'autres nouveaux élèves, tu es appelé par le directeur à t'avancer au centre du Dôme. Scruté par les élèves et étudiants, tu regardes alors ton reflet dans la fontaine qui va décider de ton sort. D'abord voyant ta sale tête dans l'eau, tu remarques que le reflet semble se changer peu à peu jusqu'à prendre la forme d'un caribou. Tu es d'autant plus surpris quand l'animal commence à pousser un cri dans toute la salle. Tout le monde se met soudainement à t'applaudir, tandis que le directeur s'approche de toi avec une émeraude brute qu'il met autour de ton cou.
"Bienvenue à Cervirald !"
→ Te voilà validé, tu peux désormais poster dans tous les recoins du forum, RP-Post ainsi que RPCB.
→ N'hésite pas à voir la chambre qui t'a été attribuée.
→ Si ton personnage est en cursus universitaire, il peut postuler pour avoir un job d'étudiant.
→ Crée dès maintenant un topic pour récapituler les relations de ton personnage. Tu peux également acquérir un portable ou bien créer un blog.
→ N'hésite pas à faire une demande de RP pour trouver un partenaire d'écriture !
→ Enfin, amuse-toi bien sur le forum, n'hésite pas à en parler autour de toi et à voter régulièrement aux TS !
Contenu sponsorisé
Sujet: Re: Stella by Starlight ☆ Trails that go awry are the most luminous — Ramuda