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"YEAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAH" | PRESENTATION D'HIZASHI YAMADA [terminé] | | | Sujet: "YEAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAH" | PRESENTATION D'HIZASHI YAMADA [terminé] Sam 14 Nov - 10:42 Hizashi Yamada | Canon POSTE : Professeur d’Anglais DIRECTION DE MAISON : Non non non non. Surtout pas. Jamais. ANIMAL DE COMPAGNIE : Non, pas pour l'instant. BAGUETTE : Sycomore, plume d’oiseau tonnerre, 34 centimètres, souple. PATRONUS : Une jolie Calopsitte élégante ODEUR DE L'AMORTENTIA : Tout d’abord, tu adores l’odeur du cuir. Tout simplement parce que tu as l’habitude de porter tes « vieilles » vestes en cuir et qu’elles te rappellent de bons souvenirs. Ensuite, la menthe poivrée. Tu n’as pas vraiment d’explication, c’est juste comme ça, tu adores cette odeur. Et enfin, à ton grand malheur, l’odeur du café noir et sans sucre. C’est assez précis, n’est-ce pas ? REFLET DANS LE MIROIR DU RISÉD : Beaucoup de personnes (dont toi), auraient pensé t’y voir seul, au centre du dancefloor, dansant comme si c’était ta dernière heure. Mais ton inconscient en dit long sur tes désirs cachés. Une famille. Oui, voilà ce que représente ton miroir du Risèd. Toi, et trois autres personnes sans visage, sans apparence, mais qui semble être la famille que tu t’es créée. La famille dont tu rêverais; ton être aimé et vos enfants. ÉPOUVANTARD : Tout le monde, je dis bien, tout le monde est au courant de ta phobie. Oui, celle qui te fait faire des cauchemars, celle qui t’empêche de sortir dans les jardins au printemps venu, et celle qui te fait perdre toute raison. Les insectes. Bon dieu, même ce mot te mets dans tous tes états. Alors il n’est pas compliqué d’imaginer ton épouvantard. Tu es là, simplement debout, quand tout à coup, une horde d’insectes tous plus dégueulasses les uns que les autres se mettent à grimper sur tes jambes. Tu as beau te secouer dans tous les sens, il n’y a rien à y faire ; tu es piégé. Et te voilà enseveli sous des tonnes d’araignées, de cafards, d’abeilles, de sauterelles, de mille-pattes et de vers. FAMILLE : Aucune.
Hizashi Yamada — My Hero Academia 32 ans | Sang-mêlé | Masculin | Japonais |
«FUCK THAT SHIT, LET’S START A RIOT YEAAAAAAAAAAAH.» NOM : Yamada PRÉNOM : Hizashi SURNOM : Present Mic (son alias d’animateur radio), Mic, Grande gueule DATE ET LIEU DE NAISSANCE : 7 Juillet 1988, Tokyo, Japon. LANGUES PARLÉES: Japonais, anglais (bilingue) et des bases merdiques en français. DON : No no no no... YEUX : Vert pomme. CHEVEUX : Châtains à la base, décolorés puis colorés en blonds, longs, parfois bien étrangement coiffés, parfois simplement attachés, ou lâches. TAILLE : 1m85 POIDS : 71 kg Liste des headcanons ESFP – Déficience auditive - Groupe sanguin B – Bisexuel - Aime la pizza hawaïenne — Cheveux blancs à cause du stress – Teintes des cheveux toutes les deux semaines — Entomophobique (phobie des insectes) — Réveil ? Mambo Number°5 ultra fort + vibreur de ouf - TDAH — Métier de cœur : animateur radio, ou commentateur — Voix qui porte, intensifiée par son audition — Gueule tout le temps — Possède pleins de grains de beautés sur le corps — Adooore la malbouffe — Mcdonalds dans son coeur – Mais mange healthy (du mieux qu’il peux) – Rap, et danse très bien – Colorie ses tatouages quand il s’ennuie – Homme urbain, déteste la campagne – N’est pas du tout du matin (ne l’emmerdez pas avant son jus d’orange + sa douche) – Ne s’embête pas à genrer les vêtements, il porte ce qui lui chante – Adore l’émission « Les magiciennes du shopping », il ne rate jamais les épisodes de la semaine entre 16h45 et 18h40 (sauf exception cours, alors il rattrape en replay) – Animateur radio, il est seul dans son studio, pour une raison simple : il danse sans faire attention aux choses/personnes l’entourant – Il déteste faire cours en salle basique, c’est pour ça qu’il est RAVI de donner ses cours en Amphithéâtre - Il note ses élèves avec des autocollants, il trouve ça plus sympa - Des étoiles souriantes pour les bonnes notes, deux étoiles souriantes et des confettis pour les très bonnes notes, des étoiles tristes pour les mauvaises notes - Lorsqu'il ne se sent pas bien il mets sa musique à fond dans son casque et danse seul dans sa chambre à en tomber par terre d'épuisement après - Il a la peau très froide - Possède une énorme collection de lunettes de différentes tailles/couleurs/formes - Adore le poulet frit - Il avait une chaine witchtube, dans laquelle il faisait des vlogs (elle est maintenant inutilisée mais les vidéos y sont encore) - Grande connaissance musicale - Pour s'empêcher d'avoir toujours quelque chose dans les mains, il mets souvent celles-ci dans ses poches et en gratte le fond. Ses fond de poches sont donc souvent (toujours) abîmés et la couture fini par céder - Son premier concert à été celui de Radiohead à Saitama au Japon, en Octobre 2008. Ça a été sa façon à lui de dire Adieu à son pays de natal - Il a posé pour un magazine pour hommes gay en lingerie féminine en 2010 - askip il était un très bon modèle Côté joueurPSEUDO : Sofia / Clouds AVATAR : (si c'est un OC) COMMENT AS-TU TROUVÉ LE FORUM ? : Bruh, c’est mon 4ème compte, j’suis un vieux maintenant. UN PETIT MOT : U READY ???????????? CODE DU RÈGLEMENT : (à envoyer par MP) PhysiqueComment passer à tes côtés sans te remarquer ? Pas aisément en tout cas. Tout (et quand je dis tout, ce n’est pas une hyperbole) chez-toi est remarquable. Je veux dire, regarde toi ! Du haut de tes un mètre quatre-vingt-cinq… Commençons par l’aspect général de ton corps. Je pourrais facilement assumer que tu es une asperge. Dans le sens où tu es « grand » et que tu es plutôt fin bien qu’assez musclé. En fait, voilà, devine quoi ! Quand on te regarde habiller, on a vraiment pas la même impression de toi que lorsque tu es nu (vraiment pas). Ta peau, d’une couleur plutôt bronzée et tachetée de grains de beauté (dû à tes excessives heures d’expositions au soleil) est encrée de part et d’autre par de nombreux tatouages à de nombreuse significations et provenances. Mais tu restes étrangement plutôt silencieux à ce sujet, sûrement parce que tu en as fait pas mal sur des coups de tête. Ils sont là, partant du cou, roulant autour de ta nuque, allant vers tes épaules, ton torse et tes bras. Tu en as évidemment aussi sur les jambes et un grand dans le dos. - Les tatouages grave bg:
Oh, prochain point et pas des moindres ; ta chevelure de princesse (ou de perruche, les avis divergent). Ceux-ci, d’une couleur blonde sont si longs que tu peux en faire ce que tu veux. Ai-je dis que tes cheveux étaient blonds? Je me suis peut-être un peu trop avancé. À vrai dire tes cheveux ont plus l’air jaune synthétique que blond naturel. Une explication à ça ; depuis assez jeune (adolescence) tes périodes de stress te procurent… Des cheveux blancs. Donc, tu teins ta tignasse pour ne pas avoir à faire face à la vérité ; tu vieillis ! Ce n'est pas grave, beaucoup font ça après tout. Fini de parler couleur, nous voici à leurs longueurs. Comment dire, tes cheveux sont si longs que tu peux en faire ce que tu veux. Ils atteignent ton nombril je dirais- bon d’accords sûrement ai-je un peu exagéré sur le « si longs ». Enfin, ce qui est sur c’est que cette longueur « raisonnable » te permet de faire tout plein de coiffures. Chignons, queue de cheval basse ou haute. Tes amis de Mahoutokoro, en dernière année, t’avait même, une fois, fait des coupes de « filles », comme des petites couettes. Ah, ça, ça te rend nostalgique n’est-ce pas? Restons dans la nostalgie vu que nous y sommes si bien lotis. Il a quelques années, lorsque tu étais encore animateur radio à temps plein, tu coiffais tes cheveux d’une manière assez originale. À l’image de ta chère Calopsitte élégante (qui n’était que ton patronus, à l’époque). Vous savez exactement de quelle coupe je veux parler. Juste au-dessus de tes yeux, il y a tes sourcils excessivement petits (on ne dira rien à propos du fait que ce n’est pas toi qui les rases par choix, mais qu’ils sont comment ça génétiquement, je suppose?). Oui, petits et fins. Et du coup, en dessous, tes yeux, vert pomme, grands et légèrement penchés sur les côtés. Aussi, tu as des cils assez longs, c’est marrant ça, cependant, parce qu’aucun de tes parents n’a de longs cils comme les tiens. Tu portes d'ailleurs des lunettes de repos (en vrai tu les portes surtout pour le style), et lorsque ce ne sont pas des lunettes de repos, ce sont tes lunettes de soleil. En soit tu as presque toujours quelque chose de poser sur ton nez légèrement pointu et droit. Oh, toi, tu as un sourire de chafouin. On dirait que tu cherches toujours la merde. Ou alors, tu as l’air totalement bête, quand celui-ci s’accentue. Voilà en fait, quand tu souris, Hizashi, tu as l’air stupide ou alors c’est que tu caches quelque chose. Par dessus tes lèvres fines et souriantes, on peux apercevoir une petite moustache. Celle-ci te définis pas mal et te démarque des autres, pour sur. Tu l’adores, ta moustache (sûrement parce que c’est l’un de seuls endroits où tu es poilu ?). Ce ne sont que quelques poils de part et d’autre du dessus de tes lèvres, que tu « coiffes » d’un coup de doigts, mais voilà, sans elle, ce n’est pas toi. En complément de tes tatouages, tu possèdes de « nombreux » piercings, mais la plus part se trouvent simplement à tes oreilles. Tu as un industriel, hélix, rook, deux au lobe, et un anti tragus. Les autres se trouvent à ta langue, à ton nombril et à tes tétons. Ton style vestimentaire s’approche de quelque chose que seul toi peut comprendre. En fait, ça dépend des jours. Tu aimes beaucoup les perfecto (en fait, tant que ta veste est en cuir, ça va pour toi). Tu adores les bracelets, eux aussi en cuir. Tu en porte pas mal à ton poignet ; des fins, des épais. Tous t’ont été offerts par des amis de voyages que tu as perdus de vue. Alors tu y tiens énormément. Évidemment tu adores les colliers aussi, en chaîne ou plus raffinés. En fait voilà, parfois tu sembles être très superficiel mais la plus part de tes bijoux sont des souvenirs précieux. Tu portes aussi, souvent, du vernis à ongle, bien que ceux-ci soient toujours coupés au ras de tes doigts. Est-ce que, hors de tes perfecto (souvent noir, parfois rouge) tu es très tape-à-l’œil ? Oh, totalement. Quand on te remarque dans la rue, ça t’éclate. Jeans ? Toujours moulants et resserrés à la taille par une ceinture. Parfois en simili, parfois en simple jean. Souvent troués, mais toujours près du corps. Ou alors, à l’exact opposé, des jogging baggy. Tes t-shirt, parfois col V ou col simple, souvent moulant, parfois normaux ou crop-top, mais presque toujours à l’effigie de tes groupes préférés. Et tes bottes, nous n’oublieront pas tes bottes. Tes sacrées bottes de motard. Parce que oui Hizashi, avant tout tu as l’âme d’un motard. Toi, te balader en voiture ? En train ? En balais ? Que nenni. Tu as ta moto, adaptable au monde moldu et au monde magique. Et ça c’est un atout. Caractère
En général, il n’est pas compliqué de t’analyser de la tête aux pieds, Hizashi. Tu es si souriant, si excentrique, si excité, toujours, tout le temps. Alors, oui, les gens ont cramés que tu es un bout-en-train. Au delà de ça même, tu es incroyablement passionné. La musique, la scène, mais surtout la radio ne sont pas tes hobbies. Elles sont tes passions, et tes passions, tu les vis. Elles font parties de toi et ce n’est pas pour rien que tu les as encré dans ta peau. Mais, tu es si, si dramatique, si théâtrale. Tu exagères toujours tout. Et le fait que tu sois quelqu’un d’impressionnable n’y arrange rien ! Tu es toujours obligé d’être en mouvement, comme si tu étais sur des ressorts. On te le reproche souvent. Tu es trop, beaucoup trop intense. Quand tu rencontres quelqu’un, il suffit que celle-ci te parle en retour pour qu’elle soit ton ami, comme ceux de longues dates. Alors oui, parfois, comme pour les personnes te ressemblants, c’est une qualité. Mais parfois tu tombes sur des personnes qui te font bien comprendre que non, elles ne sont pas tes amis, car oui, en effet, tu ne les connaît que depuis deux minutes. Oui voilà, en fait, souvent, tu prends trop tes aises… Mais soit, on ne peux pas plaire à tout le monde. Cela va de mèche avec ton aspect égocentrique, tiré par tes traits excentriques. Tu n'es pas égoïste, mais parfois tu peux sembler l'être, à force de trop de blabla, de trop de comportements "m'as-tu vus". Alors que dire. Que reste t-il, lorsque l’on mets de côté ta jovialité, ta convivialité ? Un idiot qui s’énerve peut-être trop rapidement au lieu de réfléchir calmement ? Oui, ça, ça fait parti de ton côté impulsif, et c’est cadeau. Tu tiens ça de ton TDAH, félicitation !
Il faut mettre un peu de contexte. Parce que tu peux parfois agir différemment selon les jours, les moments. En cours, par exemple, tu es quelqu’un d’appliqué, qui a envie de faire réussir ses élèves. Si bien que ceux-ci sont la plus part du temps assez « jeunes ». Il ne faut pas t’en vouloir, mais parfois tu oublies qu’ils le sont. Non pas que tu les engueules comme s’ils étaient des grands, non (de toute façon en général, tu n’aimes pas incendier les gens) ! Non, c’est plutôt… Que parfois tu leurs parles comme s’il étaient plus âgés. Alors que la plus part des mots que tu dis leurs échappent. C’est pour ça que tu n’es pas le meilleur avec les petits enfants, tu as tendance à les voir comme des adultes sur certains points. Dans quelques cas, ce n’est pas plus mal. Cela assure respect et comportement correct de ta part. Cela mit de côté, tu es un professeur prenant très à cœur ton métier. Tes élèves savent qu’ils peuvent compter sur toi en quelconque cas. Tu sais que tu serais le premier dans le bureau du Directeur si un élève était victime de moquerie, et ce, que cet élève soit le tiens ou non. Tu sais ce que c’est de subir sans pouvoir en parler. Tes premières années à Mahoutokoro t’ont bien fait comprendre que sans adultes sur qui compter, il est difficile de s’en sortir. C’est pour ça que tu te porteras volontaire pour protéger n’importe quel élève dans le besoin. De plus, tes élèves savent qu’ils peuvent venir te demander conseil (sur quelque sujet que ce soit) à tout moment de la journée, et que tu les aideras du mieux que tu le puisses. Chose notable, tu as deux alarmes te prévenant avant tes cours, pour ne pas oublier de t’y rendre. D’ailleurs tu adores donner cours en Amphithéâtre, cela te rappel un peu les pièces que tu joues avec la Troupe, et cela te permet de pouvoir parler fort autant que tu le veuilles.
Avec tes collègues, tu es un poil plus survolté qu’avec tes élèves. Ils auront sûrement une image de toi très réaliste ; l’image d’un homme dans la trentaine qui ne prend jamais de repos. Du matin, ton visage caché derrière un verre de jus d’orange (et ce, malgré tes nuits courtes), au soir penché sur les devoirs, en passant par la pause de midi durant laquelle tu manges debout (en marchant parfois, pour apaiser tes impatiences). S’ils ont déjà eu l’occasion d’avoir des soirées à tes côtés, ils ont pus se rendre compte que tu n’avais pas de bouton OFF. Tu es capable de danser, parler et chanter/gueuler jusqu’à si tard. Tu es là pour tes collègues, tout comme tu l’es pour tes élèves. Tu aimerais que ceux-ci voient en toi un bon ami, quelqu’un en qui ils pourraient avoir confiance, et se confier si le besoin les démange. Au fond, mise à part ton incapacité à te rappeler de tes réunions, tes collègues doivent avoir une image plutôt positive de toi.
Avec la troupe, car oui, tu y es inscris, tu es un comédien plein de talent qui a trop prit l’habitude d’être au devant de la scène. Alors évidemment, ça, c’était durant tes premières semaines. Au bout d’un temps, tu as compris qu’en tant que membre adulte de ce club, tu devais te montrer plus sage. Accepter que les élèves aient de meilleurs rôles que toi, accepter que tu ne sois (hélas) pas le meilleur. Et finalement, ces petits bout de temps passés avec eux sont devenus un véritable plaisir. Les voir s’améliorer te comble de jour en jour un peu plus, et tu en es devenus aussi proche d’eux que de tes propres élèves.
Tes Listeners, ceux qui écoutent ta Radio, t’adorent. Tu les nommes d’ailleurs « Dear listeners ». Ils sont fan de la musique que tu passes, mais aussi de ta personnalité. De manière général, lorsque tu t’occupes de ta Radio (les week end, à par exception), tu danses et chantes en enclenchant la musique et en l’écoutant avec eux.
Histoire
Lorsque tu es né, Hizashi, tu as fait parlé de toi. C’est vrai que, à la toute base, tu n’aurais pas du être aussi… original. Je veux dire, regarde tes parents. Une infirmière et un homme d’affaire qui n’était même pas là pour l’accouchement. Tout ce qu’il y a de plus banal, surtout dans un pays comme le Japon. C’est sûrement pour cela que tu t’es forgé, au fur et à mesure des années, une personnalité unique. Ton premier cri donna le ton. Tu avais un cri plus aiguë, plus fort que les autres nouveaux-nés. Et les premiers jours de ta vie, tu empêchas beaucoup de monde de dormir. Tu créas même des acouphènes à tes parents et aux infirmières.
Je ne vais pas dire que tu étais un enfant compliqué car tout enfant l’est à sa propre manière. Mais toi c’était tout particulier. On te diagnostiqua, tout petit, comme étant un enfant atteint d’un trouble du déficit de l’attention avec hyperactivité. Ce n’était pas très étonnant pour tout le monde. Toi par contre tu peinais à comprendre ce que c’était ce « truc ». Il est vrai que tu étais toujours actif. Tu sautais de partout, tout le temps. Tu ne pouvais pas passer deux secondes sans avoir un truc dans tes mains (et tout y passait, des jouets, aux rallonges électriques). Tu piquais des crises. Tu passais ton temps à créer, avec tes crayons de couleurs, des histoires inimaginables. Tu passais tes matins entiers à raconter tes épopées nocturnes toutes plus folles les unes que les autres. Et tu parlais, tu parlais si fort Hizashi. Mais était-ce vraiment la preuve que tu étais un enfant hyperactif ? D’après toi tous les enfants étaient comme ça ! Oh tu ne tardas pas à te rendre compte qu’en effet tu étais unique en ton genre.
Ai-je déjà parlé du fait que tes parents étaient tous deux sorciers ? Non, sûrement pas, parce que ce n’est pas la première chose qui sautent aux yeux quand on les voit. Ils étaient d’un banal hallucinant. Et c’est peu dire ! Ils n’utilisaient même plus la magie et avaient décidés de vivre comme de simples moldus. Sauf que voilà. Tu avais 7 ans tout pile lorsque tu as fait voler ton xylophone et que tu en as jouer, sans même le toucher. Alors tu étais si fier de toi, tu sautillais, impatient de voir la réaction de tes parents. Et ce n’était pas qu’ils furent déçus, mais plutôt inquiets. Eux, ils auraient préférés que tu ne connaisses rien à ce monde. Ils auraient préférés garder leur petite vie de moldu traqnuille. Mais non. Il n’en fut pas ainsi. A tes 8 ans alors, en 1996, on t’intégra à Mahoutokoro. Tu étais tellement excité quand tu as mis la première fois pied là bas. Et puis ta baguette ! Tu étais si fier d’elle. Tu l’agitais dans tous les sens, et parfois tu faisais des bêtises sans le vouloir. Mais bon, tu étais comme ça n’est-ce pas, Hizashi ?
Tu as mis aucun temps à te faire des amis. Tu étais un petit rayon de soleil dans ta classe, mais pas le petit rayon de soleil trop mignon, non. Plutôt celui qui emmenait des chocolats pour tous le monde, celui qui faisait des blagues et qui finissait puni, celui qui parlait trop fort et qui interrompait les cours de sortilèges alors que tu tentais juste de dire la formule correctement.
Et il ne t’a vraiment pas fallut longtemps pour rencontrer deux élèves, dont un plus en particulier. Lui, il était calme. Il n’était pas le moindre du monde comme toi et c’est ça qui t’as fait t’accrocher à lui comme à une bouée de secours. L’autre garçon était comme toi, énergique. Alors vous deux vous êtes devenus les petits rayons de soleil de l’endormi, le menant peu à peu à s’ouvrir à vous. Et ça a été long mais il a fini par le faire. Et le jour où c’est arrivé, il a pleuré, et tu as sauté de joie. Parce que tu avais fini par découvrir qui il était vraiment ; Shôta Aizawa, un garçon calme, réservé et avec son propre caractère.
Tu as passé des années incroyables avec ces deux garçons. Tu as continué à faire des conneries sans vraiment le vouloir. Tu finissais souvent dans le bureau du directeur de l’école. Et des fois tu te disais qu’honnêtement tu méritais d’être viré. Mais à première vu ton TDAH était une excuse à tout. Tu n’as jamais comprit comment cela pouvait l’être, pour être tout à fait honnête.
Tu avais tout d’un petit américain ; et pourtant, tu vivais bel et bien dans un immeuble à 6 étages, d’un des quartiers calmes de Tokyo. Radio portable à tes côtés, jouant du Pink Floyd, les mains dans la vaisselle, un sourire aux lèvres, et les cheveux loin, loin d’être d’un brun typiquement asiatique.
« Hey !! Teacher !! Leave them kids alooone !! » Chantonnais-tu au rythme de l’eau coulant sur ton poignet, alors que tu agitais frénétiquement l’éponge contre l’assiette.
Hizashi, tu n’as jamais été un gamin lambda, surtout pour un enfant Japonais en 2003. Tu as 15 ans, et ton sourire ne décolle jamais de tes lèvres. Et tu tapes du pied contre le sol, alors que d’un coup, le téléphone de la maison sonne. Ton regard vert se dirige vers l’entrée, de là où le son s’échappe. Et avec la rapidité d’un lionceau plein d’énergie, tu t’élances dans le couloir.
« Hey ? » Ta mère au bout du fil. Elle voudrait que tu descendes pour l’aider à porter les courses. Elle arrivera dans 5 minutes au pied de l’immeuble sans ascenseur. Après avoir raccroché, tu accours à la cuisine, et embarque ta radio dans ta chambre. Tu ôtes tes pantoufles, non sans manquer de tomber par maladresses. « Don’t stop me now » de Queen se met à jouer sur la station radio américano-japonaise que tu adores. Mais tu jettes un regard par ta fenêtre. La voiture de ta mère n’est pas encore là, tu peux écouter ce groupe tranquillement.
Freddie Mercury, c’est un peu ton idole. Il a assumé sa bisexualité en 1974, et tu n’étais même pas né ! Tu aimerais avoir son courage, sans pour autant mourir si jeune. N’empêche que là, tu air guitar, en chantant à tue tête.
« Yeah, I'm a rocket ship on my way to Mars !! On a collision course, I am a satellite I'm out of control !! I am a sex machine ready to reload, like an atom bomb about to oh oh oh oh ooooooooooh explode !!!! » En même temps, tu enfiles ton jogging violet pâle, et tu gardes ton débardeur noir sur toi. Il fait froid dehors, mais tu mettras ta veste.
N’empêche qu’au bout d’un moment, alors que tu cherchais tes palladium rose, tu entrevois du haut de ta fenêtre, la voiture de ta mère. Et de peur que, de si bas, elle entende cette chanson, tu appuies avec empressement sur la radio, en une grimace. Tant pis, tu la finiras à cappella.
Tu trouves tes palladium roses, et tu les enfiles, optant plutôt pour Mambo n°5. Ton accent est plutôt bon pour un petit japonais. Tu adores parler en anglais, tu aimes bien plus cette langue que celle qui t’as été assignée à la naissance. D’un côté tu aurais adoré être né aux US. Mais de l’autre, tu te dis que sans le Japon, tu n’aurais pas rencontré tes deux meilleurs amis à Mahoutokoro, alors tu te dis que ce n’est pas si grave. Tu as la vie devant toi, tu sais que tu finiras par y aller, là-bas, où le soleil cogne contre le sable chaud de Long Beach.
«A little bit of Monica in my life, a little bit of Erica by my side, A little bit of Rita is all I need, A little bit of Tina is what I see, A little bit of Sandra in the sun, A little bit of Mary all night long, A little bit of Jessica, here I am~ » Tu actionnes tes mains en un finger gun assumé alors que tu sembles laisser ton fessier tomber au sol pour faire tes lacets rapidement « A little bit of you makes me your man !~ » Et enfin, tu enfiles ta veste. c’est une veste en jean, aux manches et à la capuche en coton. Tu l’adores, elle et ta veste Teddy, aussi (celle que porte les joueurs de baseball dans tes films préférés!!). Tu te sens tellement américain quand tu les enfiles.
Suite à ça, tu cours à l’entrée, et tu ouvres la porte avec tes clés moldues. Et dans les allées, dans les escaliers dans lesquels tu cours, tu révises ton anglais en continuant la chanson, te reprenant lorsque ton accent n’était pas bon, bloquant sur quelconques paroles, n’étant plus sûr de toi. Lorsque tu arrives, en bas, ta mère te donne trois gros sacs de courses que tu prends sans problèmes. Ta mère te regarde, comme à son habitude, avec son air fatigué d’infirmière de nuit, et son regard pétillant d’amusement quand elle te voit te trémousser.
Évidemment, quand tu montes, ta mère te demande directement d’aller te laver les mains. Chose que tu fais. Tu files dans la salle de bain, et tu les laves comme ta mère te l’avait apprit, quand tu étais encore tout petit. Tu perds ton regard, rapidement, dans ton reflet. Le temps d’une seconde, les mots de ton ami Shôta te reviennent en tête. Et là tu te poses cette question à laquelle tu n’as jamais eu de réponse.
« Ça ferait quoi, si j’étais une fille ? »
Mais tu es si naïf que tu ne sais même pas à quoi ressemble une fille nue. Alors tu ne peux rien imaginer, mis à part une poitrine sous ta veste, et des cheveux plus longs que les tiens, toujours en pétard. Tu te rends compte que tu vois mal, car il manque tes lunettes sur le bout de ton nez, alors tu cesses tes pensées. Sûrement que, de toute façon, tu n’auras jamais de réponse à ta question.
Ce n’est qu’à ta dernière année à Mahoutokoro que tu voulus assumer ra bisexualité. Mais tu n’y arrivas pas. Tu avais essayé avec tes amis, mais impossible de laisser sortir un seul mot. Toi tu n’as pas eu le courage que ton ami avait eu il y a quelques années. Les premières personnes qui t’ont entendus le dire furent tes parents ; mais pour ça il fallut attendre encore quelques temps. Lorsque tu eu fini tes années à Mahoutokoro tu te mis à travailler (dans le monde moldu) au service d’un magasin de vente d’instruments de musique.
Eh oui, tu étais bisexuel. Rien de bien incroyable pour le monde des années 2020 en Europe et Amérique du Nord. Mais pour le Japon, dans le début des années 2000, c’était un peu plus délicat. Alors ouais, tes parents t’ont en quelque sorte foutu à la porte. Mais au moins tu étais fixé. Tu avais 20 ans alors, tu as pu largement te débrouiller sans leur aide. Et ce fut plus comme une libération qu’autre chose pour toi. Et là, on ouvre la porte sur une fraction assez particulière de ta vie. C’est à ce moment que tu es devenu le vrai toi.
Aah, les années 2008. Tatouages, piercing, mode, musique, et alcool. Je trouve que ça résume pas mal la vie que tu as passé durant ces temps-ci. Oh tu as beaucoup voyager aussi. Les premières années, tu es pas mal resté au Japon, puis tu es parti en France puis en Amérique. Tu avais déjà perdu de vu tes deux amis, mais tu avais cette façon de penser qui te disais que si vous étiez fait pour vous revoir, vous vous reverrez. Et tu en étais convaincu. Alors tu ne te posais pas trop de questions. Tu as fais énormément de rencontre. Certaines sont devenues des amis de voyage, d’autres des amants, d’autres des personnes que tu préférerais ne plus jamais croiser. Et, bien des fois, tu t’es repassée la cassette de « comment tu avais faire pour rencontré cette personne en particulier». Un festival de musique, en France. Un style très hippie. Tu ne te rappelles même pas du nom de la ville accueillante. Tu sais juste que tu as passé des journées à dormir dans une tente les soirs de pluie et à la belle étoile lors les nuits sèches. Combien de temps ? Tu ne sais pas. Une éternité et le temps d’un souffle contre ta peau sûrement. La nuit, vous allumiez des bougies. Ils étaient tout différents de toi. Tous si calmes (sous drogue), la tête dans les nuages, philosophant sur le monde de maintenant. Et ce n’est qu’en te détachant du groupe que tu pu remarquer qu’ils n’étaient pas tous comme ça. Une femme se détachait du reste de la masse. Elle était pourtant habillée de la même manière (très peu). Et elle portait pourtant le même sourire aux lèvres. Elle, elle n’avait rien à voir avec la femme qu’on te présentait comme « l’épouse parfaite » dans ton pays. Non, elle, elle était folle. Elle était hurlante, criante, pieds dans la boue toute la journée, nue, dansante, riante à la lumière du soleil. Elle, tu l’auras courtisée des jours et des nuits durant. Et pour elle, toi, pauvre japonais stupide pourtant si baroudeur, tu seras resté bien longtemps là-bas sans bougé. Tu as passé des heures à simplement la regarder agiter ses membres dans tous les sens. A regarder la peau de ses seins rougir au soleil comme le reste de son corps libre. Quand tu as enfin pris ton courage à deux mains, que tu t’es levée pour la rejoindre au centre de la pelouse jaunit par la chaleur, elle t’a attrapé par les bras, et elle t’as fait dansé comme jamais tu ne l’avait fait avant. Et jamais tu n’as pu la toucher physiquement plus qu’elle ne l’avait mentalement fait. Elle t’avait marqué à jamais, comme le fer brûlant qu’on pouvait poser sur ta peau. Et pourtant un jour, elle a disparu. Et oui, tu savais que ça arriverait. Parce qu’elle était, tout comme toi, un électron libre. Et elle t’avait laissé t’enticher d’elle. Mais, c’était une des règles du jeu n’est-ce-pas ? Tu l’acceptas. Tu avais toujours cette stupide phrase « Si je dois la revoir, je la reverrais », si non, c’est que la vie n’avait voulu t’offrir que ces moments de pur bonheur sans suite.
Tu avais 24 ans lors de ton tout premier road trip aux États-Unis. Et tu y as lancé ta toute première radio. Il a fallut être débrouillard pour ça, car tu faisais toi même tes branchements, et ton studio était ta voiture (tu n’avais pas encore de moto à l’époque). Mais finalement, tu y parvint. On te surnommait Present Mic, et tu ne mis pas beaucoup de temps à te découvrir une nouvelle passion, et des fans. Il est vrai que tu avais de bons goûts musicaux, variés et appréciables. De plus ta voix semblait véritablement plaire à tes auditeurs chéris. Tout était parfait. Mais. Car il y a toujours un mais. La seule chose que tu avais toujours rêvé d’avoir, tu ne l’avais pas. Une vraie famille. Tu passais tes journées si seul ces temps-ci, dans ta voiture. Au départ cette solitude t’avais fais un grand bien, et puis de toute façon, tu avais tes auditeurs. Mais au bout d’un certain moment, les nuits dans un vrai lit commençaient à te manquer. Et la chaleur d’un câlin. Oh ça… Il n’était pas rare de te retrouver là, sur la banquette arrière de ta voiture, une vitre ouverte où s’était glissée ton pied, les yeux fermés, tentant de dormir, ton seul cousin dans tes bras au lieu d’être sous ta tête. C’est sûrement ces années-là qui t’ont données du mal à dormir. Plus tu grandissais moins tu dormais. Car dans ta voiture au toit défoncé le soir, tu passais plus de temps à compter les étoiles qu’à te reposer.
Tu as donc lâché ta vie de baroude pour t’installer dans un hôtel aux États-Unis. Tu es devenu sans problème le DJ de la boite de nuit juste à côté. Tu avais mit fin à ta radio. Et on t’a remarqué. « Tu leurs manque, Present Mic. » Oh ? Tu manquais à ceux qui avaient prit l’habitude d’entendre ta voix dès le matin. On t’a fait une offre. Et tu la prise. Tu avais enfin ton studio radio, et un appartement. Et ça, ça a duré jusqu’à début 2018. Jusqu’à ce que tes impatiences te reprennent et que tu ne veuilles reprendre la route. Tu as acheté une moto sorcière, et tu as abandonné ta vieille bagnole moldu. Tu es monté au Canada, en continuant au mieux que tu pouvais à gérer ta radio.
Et tu ne sais pas vraiment comment c’est arrivé. Par pur hasard sûrement ? Tu passais ton permis magique à un agent, alors que tu volais en direction du Québec. Visiblement, tu ne devais pas passer très loin de la route à emprunter pour se rendre à une certaine école de magie, Ilukaan. Car la première chose que te dit l’agent fut « Vous venez pour le poste ? ». Tu as baissé tes lunettes, pour le voir correctement (et être sûr de ce qu’il te demandait parce que, hey, tes problèmes d’auditions) et tu lui a demandé de répéter. Il a cru que tu te foutais de sa gueule et tu as fini en cellule. « Vous venez pour le poste à l’école de magie Ilukaan, Monsieur ? » Et toi, tu as dis oui. Tu étais comme ça. Impulsif. Et tu adorais l’idée de potentiellement pouvoir visiter une école nouvelle, différente à celle de Mahoutokoro. Alors il t’indiqua la route. Et tu l’as prise.
Quand tu es arrivé à Ilukaan, tu ne savais même pas à quel poste tu postulais. A première vue, l’école cherchait quelques professeurs de différentes matières. Et dans la liste de celles-ci, tu trouvas « Anglais ». Un… Professeur d’anglais dans une école de magie canadienne ? Cela attisa ta curiosité. L’idée que des élèves puissent apprendre l’anglais d’un japonais bilingue te faisait sourire. Et tu ne sais comment tu t’es retrouvé à parlé avec le Directeur. Tu appris notamment que l’école était ouverte à l’internationale et que donc, beaucoup d’élèves arrivant ici étaient loin, loin de parler correctement anglais. Et je pense sincèrement que ton excentrisme a dû plaire à Vincent.
Et tu ne sus vraiment pas comment raconté à tes collègues par la suite, lors de la rentrée 2018, comment tu avais eu le poste. La vie de professeur te plaisait. Surtout que tu pouvais continuer à gérer ta radio le week end et quand tu en avais la possibilité en semaine (le reste du temps, tu avais un apprenti qui s’en occupait très bien). Mais un peu avant la rentrée 2019, un an après ton arrivée, tu fis à nouveau la rencontre d’une personne bien particulière. Tu ne sais pas comment s’est arrivé. En plein centre de Bloomburry, tu ne faisais que de te balader, en quête d’un quelconque magasin de musique (pas que tu ne veuille y acheter quelque chose, tu aimais juste discutailler avec les vendeur, vu que toi même tu l’avais été dans ta jeunesse). Mais ce que tu trouvas, au beau milieu de la rue bouscula tout ton petit train-train quotidien. Au début tu n’étais pas sûr. Tu n’étais pas sûr de qui était là juste devant toi, à porter de main. Et c’est lui qui fit le premier pas, par un simple regard trop expressif. Et toi, tu te laissas subjuguer par les évènements. Ton vieil ami de Mahoutokoro était juste là, si différent et si ressemblant à ce qu’il avait put-être des années auparavant. Tu lui sautas dans les bras. « SHÔTA !» Comment oublier son prénom ? Comment oublier les circonstances qui l’avait mené à te le révéler ? Tu ne pus le lâcher avant une bonne minute durant laquelle vous avez été le centre de l’attention de la rue. Tu le taquina sur sa jolie barbe de quelques jours poussant sur son visage, il t’embêta sur le fait que tu n’avais pas grand-chose sur tes lèvres. Et vous avez parlé, des heures durant, assit à la table d’un café. Des années entières, des évènements à rattraper. Shôta ne t’en avait jamais voulu d’être parti si tôt, mais tu pu sentir à quelques moments un soupçon de regret, de tristesse dans sa voix. Et enfin, il te révéla la mort de votre ami d’école. Le soir même tu étais assit, les yeux humides, sur un siège de tatoueur qui ajoutait une encre à ton corps. Vous vous êtes revu le jour d’après. Tu lui as parlé de ton emploi, et en grand bougre que tu étais tu lui as dis « Pourquoi ne pas venir travailler à Ilukaan aussi ? Ils cherchent des professeurs ! Tu te rends compte comment on pourrait être trop bien ? On se verrait tous les jours et tout ! » ce à quoi il répondit par un « mmh… je sais pas. ». La discussion s’arrêta ici.
Et une seconde fois, tu ne sus comment tu t’étais retrouvé bête le jour de la rentrée 2019, lorsque tu pu le voir, assit à la table des professeurs. Depuis, vous partagez une nouvelle vie ensemble, différente et pourtant semblable à celle que vous viviez à Mahoutokoro. Et tu ne peux être plus heureux.
| | Kainé Doherty Strixyst | Image du profil : It's okay. You're not the only voice in my life anymore. I've spent time with others.
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ϟ Gallions : 440
ϟ Âge (RP) : vingt-trois ans.
ϟ Maison : Strixyst
ϟ Année scolaire : 13ème année
ϟ Titre(s) : /
ϟ Don : /
ϟ Baguette : bois de noisetier, ventricule de dragon – 25 centimètres – très rigide.
ϟ Cursus : Sciences occultes.
ϟ Autres comptes : Arthur Kirkland — Belphegor Hellborn — Hajime Hinata — Tamaki Suoh — Razor Hrodwulf — Franziska von Karma — Goro Akechi |
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ϟ Autres comptes : Arthur Kirkland — Belphegor Hellborn — Hajime Hinata — Tamaki Suoh — Razor Hrodwulf — Franziska von Karma — Goro Akechi | Sujet: Re: "YEAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAH" | PRESENTATION D'HIZASHI YAMADA [terminé] Sam 14 Nov - 11:50 YEAAAH Il va être terrible lui mdrrr je regarde pas BNHA, vraiment, mais j'ai eu tellement de retours sur lui | | | | Sujet: Re: "YEAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAH" | PRESENTATION D'HIZASHI YAMADA [terminé] Sam 14 Nov - 11:53 | | | | Sujet: Re: "YEAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAH" | PRESENTATION D'HIZASHI YAMADA [terminé] Sam 14 Nov - 12:25 Kainé > Oh oui, il est terrible. J'ai vraiment hâte de vous le faire découvrir hihihi, vous n'aurez aucuns regrets unlessShôta > Hey ya Un jour peut-être tu - spoiler... :
feras parti de ma famille cdéjàlecastkt
CAN'T WAIT NEITHER,,,,, TBH!!! | | | | Sujet: Re: "YEAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAH" | PRESENTATION D'HIZASHI YAMADA [terminé] Sam 14 Nov - 15:37 | | | | Sujet: Re: "YEAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAH" | PRESENTATION D'HIZASHI YAMADA [terminé] Sam 14 Nov - 15:47 À l'époque à cause des personnages de BNHA déjà présent j'avais envie de sortir Toshinori (ewi), vous me redonnez envie c'est terrible... Jaiduselfcontrolunpeu. En tout cas trop content·e de voir Hizashi ! Qui est un personnage que j'affectionne tout particulièrement ! | | | | Sujet: Re: "YEAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAH" | PRESENTATION D'HIZASHI YAMADA [terminé] Sam 14 Nov - 16:39 Hitoshi > YEAAAAAAAAAAAAAAAH THANKKKKKKKKKKKKKKKKKKKKKSSSSSSSSSS!!!!! COMMENT CA COMMENT CA COMMENT CA COMMENT CA COMMENT CAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA????????????????!!!!! Felibaby > ........... *GAAAAAASP* tu n'aurais jamais dû dire ça.... ... Je vais... Te spammer... De fanarts jusqu'à ce que tu cèdes sous la pression 8D non en vrai U do whatever u want MAIS saches que j'adore Toshinori alors si tu le ramène je vais sûrement hurler et crier de joie, okALSO ravi que tu apprécies!!! Hâte de pouvoir vous en montrer plus | | | | Sujet: Re: "YEAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAH" | PRESENTATION D'HIZASHI YAMADA [terminé] Dim 15 Nov - 17:48 | | Lucifer Hellborn Personnel | Image du profil : say I am lost, but I am found
say I have no power here
but have you looked around?
i run this place, this is my home
and I will build my castle with the ashes of your throne
ϟ Œuvre : Obey me! shall we date?
ϟ Parchemins : 246
ϟ Gallions : 17
ϟ Relations : my lucifer is lonely.
ϟ Âge (RP) : 27 ans
ϟ Année scolaire : Professeur
ϟ Titre(s) : Assistant-professeur en Théologie Sorcière
ϟ Don : /
ϟ Baguette : Bois de cèdre, coeur en plume d'oiseau-tonnerre, 33.55cm
ϟ Autres comptes : Francis Bonnefoy, Tom M. Riddle, Lian Xie, Respen Enneiros, Phoenix Wright |
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ϟ Autres comptes : Francis Bonnefoy, Tom M. Riddle, Lian Xie, Respen Enneiros, Phoenix Wright | Sujet: Re: "YEAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAH" | PRESENTATION D'HIZASHI YAMADA [terminé] Lun 16 Nov - 11:49 PRESENT MIIIIIIIC!!!
C'est moi qui m'occupe de ta fiche. J'essaye de la lire quand j'ai du temps dans la semaine o/ | | | | Sujet: Re: "YEAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAH" | PRESENTATION D'HIZASHI YAMADA [terminé] Lun 16 Nov - 13:25 Arriettyty > c-ce surnom Promis un jour (quand tu seras à la maison soon bb) je te montrerais ses passages pour que tu comprennes l'étendue du bordel. I ENJOYYYYYYYYYYYYYYY Lucifer > YEAAAAAAAAAAAAAAAAAAAH!!!! !!!! Ohlala ravie que ce soit toi qui t'en occupe alors Hâte de voir ce que tu en penses ! | | Vincent Leroy Ex-Directeur | Image du profil : Comment appelle-t-on un chat qui chante?
Chat-kira.
ϟ Œuvre : Original Character
ϟ Parchemins : 1709
ϟ Gallions : +infini
ϟ Âge (RP) : 51 ans
ϟ Année scolaire : PNJ
ϟ Titre(s) : Ancien Directeur d'Ilukaan — PNJ
ϟ Don : Être plus fab que toi
ϟ Baguette : Vigne, coeur en plume d'oiseau tonnerre, 30,45 centimètres. Avec un joli strap dessus.
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| Sujet: Re: "YEAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAH" | PRESENTATION D'HIZASHI YAMADA [terminé] Ven 20 Nov - 21:53 Je te l'ai déjà dis, mais je trouve Hizashi super bien décrit et construit sur cette fiche. Je connaissais pas trop le personnage, juste de loin, mais là vraiment tu m'as donné envie de super sympathiser avec. Montre nous la puissance de ta voix, allez Bon jeu à toi ! Bienvenue à Ilukaan ! Validation → Te voilà validée, tu peux désormais poster dans tous les recoins du forum, RP-Post ainsi que RPCB. → Crée dès maintenant un topic pour récapituler les relations de ton personnage. Tu peux également acquérir un portable ou bien créer un blog. → N'hésite pas à faire une demande de RP pour trouver un partenaire d'écriture ! → Enfin, amuse-toi bien sur le forum, n'hésite pas à en parler autour de toi et à voter régulièrement aux TS ! | | | | Sujet: Re: "YEAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAH" | PRESENTATION D'HIZASHI YAMADA [terminé]
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