Physique
(Liste ou description rédigée sont acceptées !)
Edward ne fait pas vieux, pour la simple et bonne raison qu'il ne l'est pas. Il fait même d'ailleurs un peu plus jeune, sûrement à cause de sa carrure. C'est un homme d'une taille raisonnable, haut sur patte. Malgré sa passion pour le sucre, il ne semble pas prendre de poids. Si vous le voyiez nu, vous pourriez sans aucun mal voir ses côtes et sa colonne vertébrale.
Son visage est angulaire et long, d'une forme légèrement ovale. Il possède des pommettes osseuses, lui donnant un air fort peut courtois. Son teint est pâle, mais il n'est pas non plus blanc comme un linge, fort heureusement. Lorsque l'on voit sa face pour la première fois, l'on sait vite que sa physionomie n'est pas celle de la joie et de l'énergie. Il semble toujours prit de mépris ou de mélancolie. Le sourire est si rare chez lui... Ses cheveux en batailles encadrent son visage, lisse et roux, ils descendent en cascade rousse jusqu'en dessous de ses reins. Il aime a les coiffé en tresses, mais n'a généralement pas le courage de descendre jusqu'en bas. Les raisons de pareille longueur ? La flemme de les couper. Ils sont souvent sec, car les lavés prend beaucoup trop de temps pour qu'il  ne s'applique.
Ses yeux sont fins, verts et lui donnent un air fatigué. Malgré cela, ils ont une certaine lueur qui ne s'active que rarement. Sa bouche est mince, légèrement pincée. Son nez est certainement la pièce maîtresse de son visage, crochu, cassé et immense, il prend beaucoup de place et beaucoup de complexe.
Sa peau est couverte de tâches de rousseur, éclaboussant ses joues si pâles d'un peu de couleur.
Cette tête est posée sur un cou maigre et sur des épaules minces, petites et tout sauf large; il a ce que l'on appelle une carrure d'enfant. Son physique ne lui donne aucune prestance naturel, la seule chose intimidante est son air sombre et surtout, son agressivité palpable.
Ses mains sont fines et ses doigts : longs. Elles sont étrangement douces. Ses jambes sont minces, deux petits bâtons droits et longs. Quant à sa démarche, elle est vive et aérienne, mais n'a rien de très majestueux.

Caractère
Edward est un homme d'apparence froid et distant. Il ne parle que très peu avec les autres, semble haïr tout ce qui vit autours de lui. Il sait qu'il fait peur à la plupart des élèves, d'autant plus que sa façon très - trop - franche de faire cours peut parfois - toujours - être intimidante. Il s'exprime clairement, en articulant, avec une voix forte et qui porte. Il n'a pas la langue dans sa poche et ne se retient jamais pour être d'une cinglante franchise. Oui, car Edward n'aime pas mentir, il a du mal à le faire et généralement il préférera éviter tel ou tel sujet plutôt que d'inventer une excuse à deux balles. Pourtant, lorsqu'il ne parle pas et qu'il se ballade simplement, il peut être d'une incroyable discrétion - et ce malgré sa chevelure rousse.
On pourrait penser qu'il est dur d'avoir sa confiance, mais bien qu'il ait déjà été trahit, il continue à ne douter que très peu des gens. Son instinct est plutôt bien développer malgré tout. En soit, il ne hait réellement personne, c'est surtout de l'indifférence ou une timidité assez mal exprimée. Il n'y a qu'une personne en se monde pour qui il voue une haine sans fin et non dissimulée : Balthazar qu'il aime a appeler Balbâtar dans son dos. Ce petit fils de Gargouille qui n'a eut de cesse de lui volé... Un peu tout en fait.
Edward est assez introverti, il ne parle que très peu de lui même et de son passé, déteste d'ailleurs les questions trop personnelles qui le mettent bien mal à l'aise. Il n'aime pas cette sensation, d'ailleurs, Edward aime avoir le contrôle des situations, l'instabilité il déteste ça. C'est un homme très consciencieux, il pense toujours à tout et sait très bien s'organiser et prévoir des choses. Il n'a pas toujours été comme ça, mais de nombreuses années l'ont formé.
Le professeur n'est pas non plus du genre à se laisser faire. Quel que soit la personne au dessus de lui - ou qui tente de le soumettre - il ne se laissera jamais faire.
Il remettra toujours en question l'autorité en place, jusqu'à ce que celle-ci convienne parfaitement à ses exigences. C'est un homme dynamique qui, tout en aimant le calme, n'aime pas l'oisiveté. Il aime être occupé et faire des choses qui à son sens sont utiles. Il n'aime pas non plus le conformisme Ministériel et a tendance à encourager les élèves qui sortent un peu des clous et essaye de se poser des questions moins conformes.
C'est aussi un homme qui a de grave problèmes impulsivité. Il restera pendant de long moment sous un calme froid, comme eau qui dort, et lorsque son point de rupture est atteint, il éclate.
Son ambition est aussi une caractéristique que beaucoup remarquent. Il convoite depuis toujours le poste de Directeur, c'est d'ailleurs sans aucun doute pour cela qu'il est toujours mal à l'aise face à lui.

Histoire

Edward est né un jour de pluie. Voilà qui est plutôt banal, mais il faut toujours commencé une bonne histoire par une note tragique.
Le père d'Edward était un fils de sang pur, cracmol que son grand-père avait décidé de renier. Cela ne l'avait pas empêcher de s'intégrer chez les moldus et de rencontrer une superbe jeune fille - Marie  Mézières - qui lui donna un premier fils du nom d'Henri. Ce ne fut pas un sorcier. Pourtant, à peine deux ans après, Marie retomba enceinte et donna naissance à un petit rouquin : Edward.
Celui-ci débuta sa vie un peu difficilement, étant donné que son frère, jaloux de l'amour et l'attention que lui donnait sa mère, lui mena la vie dure. Edward adorait son frère.
Il faisait tout pour lui et pour quoi je vous prit ? Des insultes. Mais au bout de quelques années le petit Henri se calma, bien qu'il resta toujours d'un caractère taciturne. Sûrement car, alors qu'Edward approchait les quatre ans, sa mère redonna naissance, mais cette fois-ci à une fille : Hannah. Le rouquin l'adora et s'en occupa énormément, foutant un peu la paix à Henri.
En 1990, alors qu'Edward avait le vénérable âge de 5 ans et demi, apparurent chez lui les premiers signe de la magie. Rien de bien impressionnant, il lui arrivait de faire tomber son verre sans le toucher ou bien de faire disparaître certains de ses jouets. Son père compris très vite de quoi il s'agissait et dut tout expliqué à Marie et ses enfants. Tous le prirent plutôt bien, enfin... Tous sauf Henri qui se mit a éprouver une jalousie sans bornes envers son petit frère.
La relation entre Edward et son frère se détériora, tandis que celle avec Hannah s'améliora. La petite était ravie d'avoir un frère " magicien " et  adorait jouer avec lui. Ils avaient une relation si fusionnelle qu'Henri passait le plus clair de son temps seul.
En 1996, il reçu sa lettre pour Poudlard, faisant la fierté de son père et de sa mère. Henri lui fit bien payé cela, le soir même Edward s'endormit dans son lit, mais se réveilla dans sa piscine. Événement assez traumatisant pour que le rouquin ne puisse plus approcher l'eau sans paniqué
Il éprouva d'ailleurs beaucoup de frustration à l'idée que son frère lui fasse payer des choses qu'il ne comprenait pas. Comme il cherchait toujours à se rapprocher de lui, il se laissa souvent marché dessus par lui.

Né dans une famille aisé, il n'eut aucun mal a se fournir ce dont il avait besoin. Il fut admis à Serdaigle et entama ses études dans une bonne atmosphère. Tous les jours, Hannah lui envoyait des lettres et une fois par mois, Henri lui envoyait des boules puantes.
Ce fut d'ailleurs ainsi qu'il fit la connaissance de Balthazar Knight. Assit sur le banc de sa maison, il ouvrit sa lettre, s'attendant une fois de plus à découvrir la puanteur horrible des petites boules. Et comme d'habitude, il jeta la lettre le plus loin possible de lui et celle-ci atteri sur un camarade gryffondor. Il s'énerva immédiatement et s'empara du col d'Edward qui, habitué aux saute d'humeur de son frère, ne réagit pas. Cela sembla frustré le gosse car il se mit à hurler et il fallut que des septièmes années les séparent. Ou plutôt décroche Balthazar de lui.
Quelques jours plus tard, le gryffondor revint l'embêter, Edward ne réagit pas plus et tenta de l'ignorer. Et c'est ainsi que Balthazar Knight se mit a stigmatisé le rouquin.

Mit à part ces embrouilles qui, soit dit en passant, frustrèrent beaucoup Edward, ses années à Poudlard se passèrent plutôt bien. Évidemment, dès qu'il se voyait fort en quelque chose, le gryffondor revenait lui voler les honneurs.
Un jour, alors qu'Edward et lui furent en cinquième année, pour un cours commun d'histoire de la magie, le hasard les mirent en groupe ensemble. Ils durent faire un exposé et travaillèrent étrangement bien tous les deux.
Cela dit, Edward commença à se sentir enfermé, que ça soit à Poudlard à cause de Balthazar ou chez lui. Dès sa troisième année, son frère commença à ne simplement plus lui parlé, son père voulant se montré plus juste fut plus dur avec lui et le peu de réconfort qu'il eut fut avec sa sœur. Il chercha donc un moyen de fuir. Un vrai moyen. Pouvoir sortir de chez lui sans être vu, pouvoir se libérer des règles qui lui semblaient trop oppressante.
En clair, il n'avait plus envie d'être lui, plus envie d'être un être humain. C'était un besoin vital, une besoin de fuite qui ne pouvait plus attendre. Il chercha longuement un moyen pour y parvenir et découvrit les animagus. L'entreprise lui paru longue, mais lui donna envie. C'était exactement ce qu'il cherchait. Il commença alors à chercher à en devenir un.
L'affaire fut bien complexe, déjà il lui fallait trouver quel animal convenait le mieux et... Disons que son aversion pour ces bêtes le mettaient dans l’embarras. Il chercha donc parmi ceux qui étaient discrets car bien qu'il en souffre, on ne pouvait lui enlever son côté " invisible. "
Ni les souris, ni les rats ne convenir. Il chercha plus gros et cela lui prit presque un an pour trouver ce qui lui conviendrait le mieux. Mais à force de recherche - ou il mit presque de côté ses études - il trouva : La harpie féroce.
Vint alors le moment où il dut apprendre la métamorphose. Ce fut sûrement le plus long car il ne parvint à maîtriser cela qu'après ses études.

En cinquième année, il atteint son point de rupture : Son frère était plus insupportable que jamais, il ne pouvait plus voir sa sœur partie en internat et son père en devenait odieux. A l'école, Balthazar s'était fait des amis avec qui il aimait humilié Edward qui se mit à se rebeller un peu contre eux.
Il trouva alors un exutoire temporaire : le vol. Être dans les airs sur un balais le fit se sentir mieux et il se donna le goût du sport. Malheureusement, il n'était pas très fort en cette matière et commença donc à s'entraîner.
La même année, pour un cours commun d'histoire de la magie, le hasard les mirent en groupe ensemble. Balthazar et Edward durent faire un exposé et travaillèrent étrangement bien tous les deux.

En 2004, il finit sa septième année et passe au cursus supérieur. Ayant beaucoup travailler sa maîtrise du balais, il s'orienta plus vers quelque chose de sportif. Il rejoignit alors le cursus universitaire " sport et jeux magiques ". Il passa une année avant de se réorienté. Pourquoi ? Et bien parce que Balthazar l'avait suivit et l'avait dépassé. Frustré, il se rabattit vers l'Histoire et la Culture magique qui, au final, le convint bien mieux.
C'est cette même année, en fin, qu'il réussit enfin à maîtriser l'animagus. Bien sûr, il avait faillit abandonner et avait eut des moments de relâchement. Mais cela lui permit de mieux accepter cette réorientation et de se sentir un peu mieux au quotidien. Il découvrit que ne plus être vraiment lui, même pour quelques heures, le ravissait. Et puis... Pouvoir volé sans règles fut encore plus plaisant, lui qui avait du mal à les accepter.
Il fit la connaissance d’Éléonore là-bas, il noua une amitié puis une relation amoureuse très fort. Ils restèrent ensemble bien longtemps et même après leurs prise de fonction en tant que professeur à Ilukaan - suivit par ce fourbe de Balthazar.
En 2014, l'année de leurs prise de fonctions, Edward et Éléonore devinrent parents par accidents. Ils décidèrent de garder l'enfant et restèrent ensemble deux ans après.
Ce fut donc en 2016 que Balthazar réussit à séduire sa compagne pour la lui volé. Edward sentit sa haine envers lui et sa frustration augmenté d'un cran. Comme fréquemment, il disparu pendant quelques jours, changé en harpie. Il avait besoin de faire une pause et quitté son statut d'humain lui fit du bien.
Depuis cela, cependant, il coule des années relativement tranquille sous les ordre de son directeur visionnaire et bien que celui-ci l’insupporte, il doit reconnaître que la modernisation de l'école a du bon.