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ILUKAAN est un forum MULTIFANDOM dans l'univers d'Harry Potter.
Ilukaan est une école de magie internationale se situant en Nouvelle-Écosse au Canada.
L'histoire se déroule en 2024, mélangeant magie et technologie.
Vous pouvez jouer des personnages de manga/anime, jeux vidéos, films d'animation, dessins animés, romans jeunesse ou encore un OC.
L'intrigue se fait à la fois en RPCB et RP-POST.
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"I made a whole secret book of poems expressing my love for you." - Elliott Lavallée
Invité
Invité
Anonymous
Sujet: "I made a whole secret book of poems expressing my love for you." - Elliott Lavallée
Lun 27 Mar 2023 - 1:55
                    
Elliott Lavallée


Stardew Valley
Identité
Lavallée
Elliott
22 ans
Canadien
Anglais & Français
4 octobre 2001 à Saguenay, au Canada
Yeux verts et cheveux roux
1m83 pour 70 kilos
Who am I...?

Elliott est un sorcier sang-pur appartenant à la maison Strixyst et en 11e année. Il suit le cursus Communication & Littérature Sorcière. Il ne possède aucun don. Il n'occupe aucun poste.

Sa baguette est faite de charme, avec un cœur en plume d'occamy, d'une longueur de 29cm, rude et inflexible. Son animal de compagnie est un corbeau nommé Veritas.

Son patronus est un boa. L'odeur de son Amortentia est composé de livre neuf, homard cuisiné et de goémon. Son reflet dans le miroir du Riséd est lui, tenant un de ses livres avec un bandeau publicitaire « best-seller ». Son Épouvantard prend la forme de un de ses bullies des premières années, grand et costaud.

Il n'a pas de famille présente à Ilukaan. Sa matière favorite est Littérature et la matière qu'il aime le moins est Communication.
Derrière l'écran
Pseudo & pronoms :
Tigroseille / il
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Avatar : par 03tofuCode du règlement : [MP au staff]Comment as-tu trouvé le forum ?
Topsites !
Un petit mot ?
You deserve the best.
headcanons
MBTI : inspirateur. - Balance ascendant bélier. - Deux heures et treize minutes par jour pour l’hygiène. - Mais il ne considère pas son mode de vie sain pour autant. - Boit trop de café et mange trop mal pour ça. - huit à dix-mille pas par jour, facile. - Voix de stentor. - Fait de loooongues phrases raffinées. - Ça en agace beaucoup. - Aime peindre des papillons avec la technique d’école primaire. - Vous savez quand vous peignez une moitié puis vous pliez la feuille en 2 pour imprimer l’autre. - C’est son animal préféré d’ailleurs. - Pro des petits déjeuners. - Bibliophile compulsif. - Donne des surnoms affectueux à ses proches. - Se soucie constamment des autres. - Urbain qui fantasme la campagne x 1000. - Pourtant il déteste se salir. - Écrivain hyper-productif. - Ses proches sont souvent les personnages de ses histoires. - Tendance aux sortilèges pour faire le travail à sa place. - Il trouve ça super cosy. - Discipliné. - Charmeur. - Tient à ses cheveux plus que tout. - Hypnotisé par le spectacle de l’océan, mais aussi du feu et des orages. - Boursier, et tant mieux, il n’aimerait pas devoir travailler. - Souvent désargenté, du coup. - Sensible aux odeurs. - Masseur hors pair. - Plat préféré : homard thermidor. - Non il n’a pas des goûts de luxe, à peine. - Adore la bière, mais celles de bobos genre NEIPA. - Sa préférée est la Pumpkin Ale. - Il est capable d’en boire 9L en une seule grosse soirée. - Peut-être qu’il a un léger problème de boisson. - Evidemment grand fan de fleurs. - A longuement étudié leur langage. - Pourrait passer son temps sur la plage. - C'est l'endroit le plus beau du monde à ses yeux. - S’habille façon XIXe siècle. - Facilement qualifié d’excentrique, mais aime cette étiquette. - Il fait ce qu’il faut pour que ça ne bascule pas dans l’uncanny valley, nonobstant. - Grand lecteur de Lovecraft. - Recherche une muse. - Pan. - Adore nourrir les canards. - Avec el famoso pain, ce qui est tout sauf indiqué. - Mais c'est un très bon et cultivé propriétaire de plantes. - Fèves tonka. - Fait son propre shampoing à base de gingembre. - Quatre brosses à cheveux différentes. - Des malles sous son lit remplies de livres, son bien le plus précieux. - Il ne rentre jamais chez sa famille, alors tout ce qu’il possède est à Ilukaan. - Valeur cardinale : l’esthétisme. - Excellent danseur. - Bien plus audacieux une fois ivre. - Ne parle jamais des Lavallée. - Malgré tout, ses rapports avec eux sont apaisés, car ils sont aussi inexistants que possible. - Possède un violon et un synthétiseur pliable. - En prend grand soin car s’il casse ces instruments il mettra des années à pouvoir se les repayer, surtout le violon. - Adore être entouré de végétation quand il travaille. - Apple addict, mais n’a pas renouvelé son parc électronique depuis des années. - Passionné de pêche. - La solitude ne semble pas le déranger. - C'est juste une façade. - N’hésite pas à couper court à une relation qu’il juge néfaste. - PAL (pile à lire) plus grande que lui. - PAC (pile à écrire) de bonne taille également. - Juge très sévère de ses écrits. - Mais ne rechigne pas à les faire lire à d’autres. - Toujours attiré vers les artistes. - Adore aller chez le dentiste, répugne l’idée de ne pas avoir des dents parfaites. - A parfois envie d’abandonner ses études, mais se sent coincé. - Aime écrire des lettres et les fait livrer par son corbeau. - Bascule parfois dans l’edginess, effectivement. - Amateur de poésie britannique. - Impossible de discerner ce qu’est vraiment la personnalité d’Elliott parce qu’il aime se mettre en scène et se créer un personnage. - Jamais intrusif, mais toujours très gentil. - Quand on sort des sujets le concernant, il est philosophe et optimiste. - Peut dérouler les compliments pour n’importe qui, toujours sincèrement. - Pas très à l’aise avec les jeunes. - Ni avec certains hommes. - Déplore que « les gens ne lisent plus ». - Serait certainement lecteur du Figaro en France. -  A une carte de l’église de Satan dans son portefeuille. - Et un titre de noblesse écossais délivré par Higlandtitles. - Parce que : l’esthétisme. - Panier percé. - Toujours discrètement parfumé. - A été bully ses premières années. - Plutôt bon duelliste, par la force des choses. - Rechigne à se faire des réseaux sociaux pour acquérir une communauté. - Pourtant ça l’aiderait à aller de l’avant et il le sait. - Possède un éventail en plumes de canard. - Ainsi qu'une machine à écrire. - L'utilise rarement, parce que ça reste moins pratique que l'ordinateur. - Il est de très bonne compagnie. - Regrette l'absence de forêt à Bloombury. - Sensible aux changements de météo. - Souvent nostalgique, mais c'est un mood qu'il apprécie sans l'avouer. - Un peu écolo. - Pas trop d'egotrip. - Du cœur en tout.
« I hope you've come to think of this place as  ''home''. »
« I'll admit... it takes me several hours each morning to make my hair look this good. »
Elliott semble sortir tout droit de ce qu'on appelle, avec suffisance, un « roman de gare ». Drôle, pour quelqu'un souhaitant vivre de sa plume. Cette appellation renvoie à toutes ces fictions, souvent romantiques, vendues dans les kiosques des endroits de forte affluence et mettant en scène de beaux jeunes hommes et femmes dans des aventures sensuelles et parfois dramatiques. Voilà d'où semble extrait Elliott, toute sa personne, depuis sa chevelure jusqu'aux nuances de son caractère. Tout son être respire le héros ringard et fade, ce qu'on ne veut plus lire, plus voir dans les films, et pourtant le voilà, parmi les Hommes, et sa réalité change tout. On n'a pas le même rapport face à une fiction et à une vraie personne, heureusement, et on pourrait s'étonner de la diversité de réaction provoquée par un être semblant aussi unilatérale.

C'est vrai que son apparence est presque improbable, si on ne se trouvait pas dans une des écoles les plus hétéroclites d'un monde sorcier peuplé d'originaux. La première chose qui attire l'attention, et c'est voulu, ce sont ses longs cheveux oscillant entre roux et blond, descendant bas, à mi-dos, et d'une vigueur remarquable. La lumière rebondit sur les longues cascades d'une crinière que beaucoup envient, tant elle semble douce au toucher et robuste face aux ravages des angoisses et du temps. Pourtant, peu seraient prêts à payer le prix de cette beauté, le prix du temps, des produits, de la délicatesse pour prendre soin semaine après semaine, démêler ce qui devient, après une seule nuit de sommeil agité, un sac de nœuds aussi fourni qu'un filet de pêche. Elliott est immensément fier de ses cheveux, comme un dothraki qui serait né en Angleterre, et lui annoncer que des poux circulent dans l'école est le moyen le plus sûr d'admirer la Terreur avec un grand T sur son anguleux visage.

Des sourcils épais, mais taillés avec soin, surmontent de petits yeux verts qui vous scrutent et semblent sourire de concert avec leur propriétaire. Car Elliott est lumineux comme garçon, même quand personne ne le regarde, car des belles images peuplent ses pensées en permanence, renouvelées à chaque nouvelle rencontre, à chaque nouvel événement de sa journée, ou bien entretenues comme un feu de cheminée par une imagination sans borne. Elliott est charmant, on ne peut pas le nier, car il a réussit à entretenir son physique agréable, mais qui ne l'est jamais trop pour ne pas basculer vers l'inquiétant, le trop charmeur qu'il en paraît dangereux, vers une présence trop écrasante. Plutôt grand, le pas altier, les vêtements raffinés, on pourrait le croire de la même espèce que ces sangs-purs qui se donnent une image de supériorité, mais pas du tout, on a plutôt l'impression d'être en face d'une créature provenant d'un monde fabuleux où tout le monde agirait ainsi, où tout sentirait la rose et serait mu par de nobles intentions. Il n'est jamais intimidant, surtout grâce à ses habits qui frôlent parfois le ridicule et à ses manières délicates, dédramatisant le portrait d'une jeune homme qui, tout entier tourné vers une certaine séduction, pourrait vite repousser ses pairs.

Car Elliott aime séduire, seulement c'est au sens large du terme. C'est un charmeur, bien sûr, et il ne crachera jamais sur une compagnie sentimentale et charnelle, mais ça va plus loin que ça. Le jeune homme aime plaire, sur tous les plans, dans chaque aspect de sa personne. Il aime être agréable aux yeux et à l'esprit des autres. Voilà pourquoi il fait attention à tout, au moindre détail de son apparence, à son haleine, le nœud de sa cravate, les plis de son uniforme, la blancheur de ses dents, sa façon de marcher, sa manière d'aborder les gens, de réagir quand on le salue, il se consacre tout entier à mettre en scène une respectabilité totale et ça fonctionne, la plupart du temps. La grane partie de ceux qui n'apprécient pas Elliott, et il y en a beaucoup évidemment, se sont décidés sur lui au premier coup d'oeil, à la première impression, car son corps est un véritable livre ouvert, il vous apprend tout ce qu'il faut savoir sur lui pour vous dresser un avis aussi rapidement que possible.

Elliott n'est pas du genre à faire le mystérieux, l'intriguant, à appâter le chaland par la promesse de vices cachés ou de passions étranges, non. En voyant ce garçon, vous voyez un homme séduisant, qui sort d'une troupe de théâtre victorienne, a l'air de déclamer des poèmes au clair de la lune, d'appeler l'élue de son cœur sa « muse » et c'est totalement ce qu'il est, il ne vous ment pas sur la marchandise ! Il a choisi d'apparaître ainsi au monde, parce qu'il a bien compris que cela constituait un filtre à l'entrée pour ceux qui viennent à sa rencontre. Si vous venez discuter avec Elliott c'est que vous avez conscience des informations communiquées par son accoutrement, ses cheveux lumineux et son sourire de joli garçon et que ça vous convient. Il assume parfaitement le personnage qu'il incarne et n'exprimera jamais de honte à le jouer devant vous. Attendez-vous à entendre un « Bonjour, c'est un plaisir de te rencontrer. » d'une voix grave et chaude, et même ça vous l'aurez anticipé. Quelque part, Elliott fait du bien à voir, parce qu'on ne peut pas mieux incarner l'antithèse de l'expression « l'habit ne fait pas le moine ». Il est terriblement sincère, limpide, incapable de cacher quoique ce soit.

Le mot qui apparaît immédiatement dans notre esprit quand on voit Elliott, comme l'éclosion d'un pissenlit sur les coups de midi, c'est "charmant". C'est un concentré de « Grandson material », le gendre parfait, celui qui peut être exposé des semaines entières à sa famille sans que jamais un mot ne soit prononcé à son encontre. Et cette première impression se vérifie vite. Le jeune homme ne ménage pas ses efforts pour inspirer la sympathie la plus douce, paraître honorable sans être inapprochable et il déploie même une forme d'attirance sage et inoffensive, donnant envie de le côtoyer sans y aller à reculons par peur de prendre trop de risques. Et comme pour son apparence, les premières impressions que l'on a d'Elliott se révèlent souvent vraies. C'est un gentil garçon, un bavard agréable, cultivé, doux, peut-être un peu précieux et jugeur sur les bords, mais on passe rarement un mauvais moment en sa compagnie. Il se donne les moyens pour ça, prenant beaucoup sur lui pour être aussi agréable que possible, ne souhaitant pas imposer aux autres sa mauvaise humeur du moment, ou des émotions trop personnelles qui incommoderait ses camarades.

Mais ça, c'est le traitement pour ses connaissances, l'apparence de la première impression, essentielle de son point de vue, mais limitée. On en apprend plus sur lui rapidement, car il n'est pas timide sur ce qui l'intéresse dans la vie : l'art, l'écriture, la recherche du beau. Il est vrai que les conversations qui sortent de cette large sphère artistique peuvent l'ennuyer, bien que sa politesse l'empêchera de vous fausser compagnie. Il n'aime pas parler de lui quand c'est négatif, par contre il se révèle une merveilleuse oreille pour ses proches et dispense conseils sollicités et marques d'affection quand c'est nécessaire. Il vit pour écrire des histoires, jouer de la musique, mais aussi consommer toutes ces formes d'art qu'il affectionnent, entretenir son imagination, baigner tout entier dans une vaste mer d'idées et de beauté. C'est ainsi qu'il se sent bien, qu'il trouve du sens à son existence et qu'il donne de la valeur aux choses et aux gens. Sans surprise donc, Elliott créé, il écrit, plus précisément. Des fictions dans lesquelles il infuse autant d'éléments de son environnement que de son imagination qui n'est pas non plus débridée et ultra fertile, mais qui lui permet de mettre au point des récits de bonne facture. Il est particulièrement friand de mettre en scène ses proches, voire même des gens qu'il connaît beaucoup moins, en guise de protagonistes dans ses œuvres. C'est un créatif enthousiaste, très critique envers ses travaux, parfois trop, mais heureux de les partager et de contempler le travail des autres artistes avec qui il s'entend généralement bien.

Voilà pour la partie création, mais en fait pour bien cerner Elliott il faut se rappeler qu'il semble tout droit sortir du XIXe siècle et ce jusqu'au bout : c'est un pur romantique, au sens littéraire, philosophique et populaire du terme. Au sens littéraire car, comme les auteurs de ce mouvement, il accorde une grande importance à l'épique, la grandiloquence des événements qu'il décrit, et met en avant les sentiments et émotions fortes de ses personnages ; au sens philosophique, car comme les créatifs romantiques, il embrasse un style de vie brûlant, pas encore sulfureux car il est souvent mesuré et prudent, mais on a quand même affaire à un homme qui aime boire, bien fêter ce qui doit l'être, sortir avec du monde, aimer, éprouver la vie pour toujours nourrir son cerveau de nouvelles idées et expériences ; enfin, il est romantique au sens populaire, car les sentiments amoureux occupent une place centrale chez lui. Ce n'est pas un coureur de jupons, ça non, il se déclare rarement et, quand il le fait, c'est dans l'espoir de relations longues, belles et riches, moins que pour le frisson de l'instant. C'est plutôt qu'Elliott, en bonne figure Shakespearienne, adore la sensation de tomber amoureux, prend beaucoup de temps pour chérir ces sentiments, les coucher sur le papier, les laisser l'imprégner et, peu importe l'issu de ces potentielles romances, il ne cessera jamais de laisser son cœur ouvert pour éprouver autant de passions qu'il peut en produire, toujours heureux de ressentir de l'amour pour quelqu'un.

Elliott ne se déclare donc pas à la moindre étincelle qui pétille dans sa cervelle, mais il n'est pas timide et si les sentiments persistent, s'il sent que la personne est dans de bonnes dispositions, que ça ne la fera pas souffrir ou mettra mal à l'aise, que lui est prêt et que ça pourrait donner de bonnes choses, peu importe si ça débouche sur une relation longue ou pas, il n'hésite pas à se livrer. Et souvent, ça s'accompagne, ou se précède, de jolis poèmes un peu vieux jeux, de petites attentions, de signes avant-coureurs pour tâter le terrain, éviter un refus trop rude face à une déclaration trop inattendue, et tout simplement profiter de ce temps béni où les sentiments couvent et grandissent. C'est un romantique, quoi, de la tête au pied.

Ce tableau pourrait paraître totalement positif si, comme tout un chacun, le cerveau d'Elliott ne nourrissait pas, pour lui, des habitudes plus dommageables, plus tristes, plus sombres. Certaines sont d'une modeste gravité comme un penchant pour l'alcool qui pourrait devenir inquiétant dans le futur, mais d'autres rangent parfois le jeune homme dans la catégorie, là aussi très éculée, des artistes torturés. Torturé par tout ce qu'il y a de plus courant : la peur d'être médiocre, de ne jamais pouvoir vivre de sa plume -son rêve-, de ne jamais trouver son public, de perdre l'inspiration. Des démons qui rôdent autour de nombreux écrivains, le tourmentent régulièrement, mais peuvent être combattus pour peu qu'Elliott garde les pieds sur terre, soit bien entouré et qu'il prenne soin de lui.

De plus, il faut évoquer le cas de sa famille. Elliott a été cultivé dans le terreau d'une bonne lignée de sang-purs canadiens d'origine française et qui voyait en leur fils unique le digne héritier qui suivrait leurs traces de juristes, avocats, juges au ministère de la magie. Le mot « terreau », n'est ici pas innocent car, tout comme le véritable terreau, c'est plein de bons nutriments, mais ça reste artificiel, ce n'est efficace qu'à court-terme et ça a de très néfastes effets à long-terme. Car, voyant qu'après ses premières années à Ilukaan, leur rejeton souhaitait devenir écrivain plutôt que suivre le chemin tout tracé pour lui, sa famille l'a tout simplement abandonné, retiré tout financement, déshérité. De cet événement traumatisant, Elliott a surtout récupéré du négatif : il n'a jamais d'argent, angoisse toujours à ce propos -sans pour autant sauter le pas et trouver un job, par peur de souffrir physiquement, mentalement, de ne plus avoir le temps d'écrire ou de rater ses études- et garde au fond de son esprit cette disgrâce familiale comme une marque honteuse qui le suivra à jamais et qui le fait parfois déprimer pendant de longues périodes. Cela a également motivé une peur, parfois panique, de la solitude qui le pousse à aller vers les autres, tout en ayant un hobbie, l'écriture, qui le pousse à rester en solitaire de longs moments. Il est même parfois tiraillé entre cette envie d'écrire et la peur d'être abandonné par le reste de l'humanité.

En bref, Elliott est surtout un garçon charmant, agréable à côtoyer, créatif, poétique, mais aussi angoissé, terrifié par la solitude et son personnage de dandy victorien ne plaît pas à tout le monde, mais il s'accommode de tout ceci, la plupart du temps et s'estime plutôt heureux et positif pour les gens qui l'entourent et la société.
« I write in hopes of connecting with others through time and space... »

Je suis écrivain, je peux bien vous raconter mes aventures moi-même. Tout d'abord, je suis né près du lac Saint-Jean, l'un des plus célèbres du Québec, au Canada. Ma famille, les sangs-purs Lavallée, y possède quelques propriétés pour passer des vacances, voire leur vie entière, loin de l'agitation urbaine. Quelque-chose qui me fait bien rire aujourd'hui, quand j'y pense, car leur fortune s'est construite au ministère de la magie, au cœur de la vie fourmillante de la capitale canadienne. Parfois on accuse les anciens ruraux de renier leurs racines en s'installant en ville, ici c'est l'inverse. De toute manière, je n'allais pas rester près du magnifique lac Saint-Jean très longtemps, à mon grand regret. Le hasard a fait que j'étais l’aîné des petits-enfants du patriarche de la famille : Victorien Lavallée et que, à ce titre, il se réservait le droit de diriger mon éducation pour que je devienne le futur fleuron de la famille. Et cette famille a, depuis toujours, une spécialité particulière qui a fait sa richesse, son prestige et sa respectabilité infernale : la loi, la justice. Des avocats, des juges, des cabinets de conseil, voilà les postes qu'aiment à occuper mes proches et nos ancêtres avant eux pour continuer de construire le solide édifice qu'est notre réputation. Autant vous dire qu'aux jours d'aujourd'hui, ma famille a plus que quelque-chose à voir avec ce qui trouble notre pays...

Mais nous n'en sommes pas encore là. En 2006 je vais sur mes cinq ans et, avant même que j'en ai de claires souvenirs, je me retrouve dans un pensionnat sorcier dans la grande couronne de Montréal, loin de mes parents, entouré d'autres jeunes garçons et filles de bonnes familles. Le but était de nous éduquer avec fermeté, très tôt, pour prendre de l'avance une fois dans une école de magie. Un autre objectif était de nous initier à des valeurs, des traditions dont les vieilles maisons sont toujours friandes, raison pour laquelle on avait très tôt de rébarbatifs cours d'histoire sur la construction de l'état canadien sorcier, ses grandes figures, leurs exploits, et on avait même des jeux consistant à incarner lesdits illustres personnages pour s'imprégner de leur façon de pensée. Ce n'est que bien plus tard que je me rendis compte que, dans ce pensionnat, on n'éduquait que des sangs-purs et on apprenait à ne respecter véritablement que le sang-pur. Les autres étaient bien mignons, mais ne pourraient pas mener le pays très loin.

Et durant mes jeunes années passées là-bas, je vois surtout l'enceinte immense de notre prison, les maîtres sévères, le personnel froid, et je dois bien avouer que j'en sors chaque année, pour les vacances, un peu plus à son image. Je deviens aseptisé, académique, distant, une version de moi-même qui est, encore aujourd'hui, souffleuse d'idées nauséabondes et que je dois recouvrir toujours plus de terre pour qu'elle repose dans les tréfonds de mon âme. Mais à ce moment, ma famille ne pourrait pas être plus fière de moi. Mon père, Jacob, est avocat et me regarde avec des étoiles dans les yeux, m'imaginant reprendre sa suite et, pour dire toute la vérité, c'est bel et bien ce que je voulais faire à l'époque. La seule entorse que je fis alors à la voie tracée devant moi, mais qui emplit quand même mes parents de joie, c'était de vouloir jouer d'un instrument de musique. On m'inscrivit donc auprès d'un professeur de musique qui venait donner des leçons régulières au pensionnat. Nous étions toujours dans le cadre stricte et limitant de ce dernier, mais allez savoir pourquoi, pendant ces cours je me sentais un peu plus libre, un peu moins "Lavallée".

Je ne me sentais pas proche de mes semblables à l'époque, qu'ils soient sorciers ou moldus, et me suis donc réfugié à corps perdu dans le complexe apprentissage du violon, mais aussi dans la littérature, là aussi avec la bénédiction paternelle qui y voyait un cerveau littéraire en pleine expansion, parfait pour digérer ensuite les complexes textes juridiques qui garniraient mes études de droit. Après, et ça je l'ai durement appris, il était tout sauf heureux d'apprendre que je lisais des genres aussi barbares que la fantaisie ou la science-fiction et j'étais même interdit d'emprunter lesdits livres à la bibliothèque Père-Ambroise de Montréal, sur ordre du directeur de mon pensionnat. Malheureusement pour papa, j'arrivais vers mes neuf ans et j'étais un peu moins heureux de me plier à toutes les invectives qu'on m'imposait. La vie au pensionnat commençait à me peser et, à force d'entendre parler du futur endroit où j'étudierais, je brûlais de plus en plus d'impatience.

Ilukaan. Peu de mes camarades de pensionnat étaient destinés à s'y rendre, on lui préférait Beauxbâtons ou une autre école encore plus lointaine et exotique, pour que jeunesse se forme à l'étranger. Les Lavallée, eux, avaient au moins le mérite de ne pas aimer l'expatriation, et voulaient que j'aille dans l'école de magie nationale. Et vu ce que j'en entendais et ce que j'apprenais dessus en allant sur internet... Ça semblait être le paradis. De vastes bâtiments, la plage proche, une bien plus grande liberté que tout ce que j'avais connu... Les deux dernières années de pensionnat me parurent presque comme une éternité à subir avant d'accéder à la félicité. Et pendant tout ce temps, je multipliais les incartades en secret, lisant tout ce qui me passait sous la main et usant de mon violon pour jouer des mélodies loin de la musique savante. Je contestais avec ce que j'avais sous la main, et déjà avec de l'art.

Enfin, le jour tant attendu, mon entrée à Ilukaan. Je pense que ce jour restera gravé dans ma mémoire, j'avais l'impression que tous mes organes s'étaient changés en cœurs battant trois fois trop vite et ce toute la journée. J'en tremblais presque, savourant de ne plus jamais avoir à passer une nuit d'enfer de plus dans ce sombre pensionnat, plus jamais, c'était terminé. J'avais désormais ma chambre dans une maison magnifique au milieu d'un campus qui me semblait presque infini. C'est précisément là que j'ai commencé à écrire, durant la première année. D'abord, j'ai passé de longues heures dans la bibliothèque d'Ilukaan à dévorer tous les romans qui s'y trouvaient, vu que -seul avantage de mes terribles années enfermées- j'étais un bon élève sans trop d'efforts. Je dois bien avouer que mes premiers essais à l'écrit étaient tout sauf glorieux ou montrables, donc je n'en dirais pas plus, mais je prenais déjà l'habitude d'y inclure les gens que je connaissais en guise de personnages. J'ai toujours fait ça, affirmant que les êtres humains sont d'une complexité remarquable et n'obéissent à aucun archétype de fiction puisqu'ils existent bel et bien, ce que je trouve idéal pour garnir de bonnes histoires.

Et, en réalité, mes premiers temps à Ilukaan ont surtout été garnis par tous ces arts avec lesquels je jonglais durant mon temps libre. Un peu de violon par ci, d'écriture par là, je m'étais aussi mis au piano puisqu'il y en avait d'accessible à l'école. J'adorais ça, vraiment j'ai un très tendre souvenir de cette période. Malheureusement, c'était aussi des années de harcèlement, où de nombreux élèves profitaient de ma gentillesse, certains diraient de ma faiblesse de caractère, pour me tourmenter, me faire d'horribles farces, parfois même me frapper. Ces élèves sont encore là aujourd'hui et même si certains ont achevé leurs études ou se sont assagis, je ne peux toujours pas être tranquille en leur présence, c'est plus fort que moi. J'avais également peu d'amis à cette époque et même si créer m'occupait suffisamment l'esprit, la solitude me pesait de plus en plus en voyant tous les autres se créer des groupes, vivre leurs premiers amours, lier des liens solides, et être écarté de tout ça. Mais, dans l'ensemble, je ne peux pas dire que ça allait mal.

C'est vers la fin de mon premier cycle que ça s'est gâté. Après ma cinquième année, mes parents ont recommencé à avoir une forte implication dans le futur de mes études. Jusqu'ici, leur rapporter de bons bulletins suffisait, et ils m'avaient laissé m'inscrire dans les options de divination et d'arts sans sourciller puisqu'aucune des autres ne leur semblait utile à mon avenir. Mais maintenant que la fin du premier cycle approchait, il fallait penser aux études supérieures et là un seul choix m'était offert : Justice Magique. On ne peut pas dire que j'étais pris par surprise, mais je reconnais avoir soigneusement mis ce problème de côté, profitant de l'insouciance qui m'était offerte durant les cinq dernières années. Et me voilà acculé, un horizon bloqué par le mur des études supérieures, la fin de ma joie et le début du chemin tracé par les miens depuis le jour de ma naissance.

La sixième et la septième année furent donc pénibles à traverser, même si je faisais de mon mieux pour rassurer mes parents, ainsi que mon grand-père, car ils n'exigeaient pas simplement que je me rende dans le cursus de leur choix, mais que je sois heureux de le faire. Alors je souriais, lors des repas, et ils me regardaient avec une fierté non-dissimulée tandis que je devenais toujours plus grand, plus élégant, plus assuré dans mes mots et mes gestes. En effet, m'étant préparé à suivre docilement les ordres, j'avais pris des cours particuliers d'éloquence, domaine dans lequel j'accusais un large retard, ainsi que du théâtre où j'avais tout le loisir de mettre en pratique ces exercices tout en touchant à une nouvelle forme d'art de laquelle je suis presque tombé amoureux. C'était un doux pansement sur une angoisse énorme qui me rongeait le cerveau.

L'instant fatidique arriva. Quelques semaines avant de prononcer mes vœux pour le cursus supérieur, j'étais tellement dévoré par le stress et la déprime que je n'en dormais plus et je n'arrivais même plus à donner le change à ma famille qui s'enquérissait timidement de mon état. Je ne peux pas dire qu'ils me maltraitaient, ce serait mentir, et ils ne savaient rien de tout le mal qu'ils me faisaient. Pourtant, petit à petit j'avais nourris une certaine détestation envers eux, pestant, jurant à chaque fois qu'ils me revenaient à l'esprit, c'est-à-dire très régulièrement. Je me sentais piégé, sans aucun contrôle sur mon destin alors que je savais pertinemment ce que je voulais faire de ma vie : écrire !

Le jour des vœux, j'ai eu l'impression de trahir mon clan entier en un seul petit choix opéré sur un ordinateur. Pas de Justice Magique pour moi, j'irais en Communication & Littératures Sorcières, ou en Arts Magiques, mais je voyais dans le premier choix une meilleure porte de sortie si mes écrits venaient à ne jamais marcher. Je piétinais déjà mon assurance d'un doux futur de prospérité et de fierté familiale, je ne comptais pas achever de me saborder en allant dans une filière aussi risquée juste pour le plaisir. Je n'ai jamais vraiment dit à mes parents que j'avais fait ce choix, laissant passer le reste de l'année, puis l'été, sans leur en toucher un seul mot, terrifié par leur réaction. Malheureusement, ils finirent par l'apprendre peu de temps avant mon départ pour Ilukaan et ces derniers jours furent les plus terribles que j'ai jamais vécu. Hurlements dans toute la maison, pleurs de ma mère, rage de mon grand-père, menaces de déshéritage, d'expulsion, mais ils savaient que c'était trop tard pour faire machine arrière, que je change de cursus. Tout du moins, ils savaient que moi seul pouvait réclamer cette réorientation et que je ne le ferais jamais. J'avais perdu énormément de poids, de cheveux et je suis revenu à Ilukaan dans un état misérable. Mais, au moins, j'étais là où je voulais être, même si je ne respirais que le regret de ma décision durant les premiers jours.

Et les conséquences de celle-ci n'étaient pas là pour m'arranger. Dans les faits, ma famille m'envoyait toujours de l'argent pour subvenir à mes besoins, mais moins qu'avant, prétextant qu'un futur avocat aurait eu besoin de plus, pas moi, et puis je me prenais toujours quantité de reproches, de remarques passives-agressives et je redoutais le retour durant les vacances au moins autant que lorsqu'ils étaient encore remplis d'espoir à mon sujet. Après un Noël aussi catastrophique que l'été passé, j'ai dû prendre une décision pour ne plus avoir à subir tout ça et j'ai coupé les ponts avec ma famille. Ce serait mentir qu'affirmer que c'était facile. Les Lavallée étaient tout pour moi, ils m'avaient modelé, construit, entretenu et, même si ça peut paraître étonnant, ils m'avaient aimé à leur manière. J'avais été le centre de leur monde et ils avaient toujours été le centre du mien. Tout ce que j'avais fait c'était pour eux, tout ce à quoi je m'étais plié c'était pour eux, tout ce qui me motivait c'était eux, leur fierté, leurs encouragements. Sans leur appui, même déformé par leur horrible déception, je me sentais vidé, abandonné, livré à moi-même. La huitième année fut pénible, surtout que, refusant désormais leur soutien financier, j'ai dû envoyer en urgence une demande d'aide auprès de l'Etat et de l'école afin de devenir boursier pour financer mes études. Depuis ce jour, je vis avec une somme dérisoire, mais au moins je suis libre et c'est une situation que je chéris de plus en plus à mesure que ce moment charnière de ma vie s'éloigne. Et puis c'est à cette période que j'ai adopté Véritas, dans un élan mélodramatique dont j'ai un peu honte maintenant, mais j'aime mon corbeau et il est parfait pour livrer des jolies lettres.

Et, comme on dit toujours, pas de nouvelles, bonne nouvelle. Cela fait presque trois ans que je suis en cursus de littérature et je m'y sens si bien que plus aucun regret ne m'habite quant à ce choix. J'ai fait le bon, j'en ai assumé toutes les conséquences et je n'ai plus qu'à profiter du temps qu'il me reste à Ilukaan. Mon rêve de me dédier à l'écriture et de publier mes histoires n'a maintenant plus aucun obstacle et la tranquillité que ça m'apporte vaut tout l'or du monde. J'ai encore des difficultés, comme tout un chacun, mais je suis bien entouré et je profite de tout ce qui se présente à moi comme pour diluer un peu plus l'amertume passée de mon cœur sortant d'années de pensionnat et de rigidité sentimentale. J'ai parfois l'impression d'être un nouveau-né devant tout apprendre, mais je pense ne pas trop mal m'en tirer avec mes frères en humanité. Du reste, je suis heureux, toujours un peu angoissé, mais ça ça ne partira jamais je pense. Et je fais tout mon possible pour que mes proches soient heureux également.
(c) Ilukaan
            
Lian Xie
Cervirald
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To me, the one basking in infinite glory is you; the one fallen from grace is also you.
What matters is you and not the state of you.

ϟ Œuvre : TGCF || Heaven's Official Blessing
ϟ Parchemins : 113
ϟ Gallions : 85
ϟ Fiche : ❀❀❀
ϟ Relations : ❀❀❀

ϟ Âge (RP) : 22 ans
ϟ Maison : Cervirald
ϟ Année scolaire : 12ème année
ϟ Titre(s) : Attrapeur dans l'équipe de Cervirald
ϟ Don : /
ϟ Baguette : Bois de pêcher • Plume de fenghuang • 30.15cm • Assez souple
ϟ Cursus : Auror et Défense magique
ϟ Malle : /

ϟ Autres comptes : Francis Bonnefoy, Lucifer Hellborn, Tom M. Riddle, Respen Enneiros, Phoenix Wright
Lian Xie
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Sujet: Re: "I made a whole secret book of poems expressing my love for you." - Elliott Lavallée
Lun 27 Mar 2023 - 11:24
                    
ELLIOOOOOTTTT


"I made a whole secret book of poems expressing my love for you." - Elliott Lavallée RobMPfSDpP7oV0VZCyIwfQsDQ4I

— He said:
There's no banquet in this world that doesn't come to an end.
            
Gen Asagiri
Le roi des rats
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ϟ Œuvre : Dr. Stone
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ϟ Gallions : 787
ϟ Fiche : The rat is back
ϟ Relations : Popular boy

ϟ Âge (RP) : 24 ans
ϟ Maison : Ursirre
ϟ Année scolaire : 14ème année
ϟ Baguette : Baguette en bois de cornouiller, avec un cœur en cheveux de Vélane, d'une longueur de 35cm, très souple
ϟ Cursus : Psychomagie
ϟ Malle : -Un paquet de cartes
-Une bouteille de coca
-Un livre sur le langage des fleurs
-Un carnet déjà à moitié remplis d'idées en vrac
-Une petite trousse de maquillage
-Une dizaine de dés accompagnés d'un gobelet pour les mélanger
-Un sachet de baies de goji, les préférées de son lapin
-Une photo de lui avec Bob et Anya
-La carte des baroudeurs
-Elixir du Gnome

Gen Asagiri
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Sujet: Re: "I made a whole secret book of poems expressing my love for you." - Elliott Lavallée
Lun 27 Mar 2023 - 13:54
                    
J'allais te féliciter pour l'arrivée d'Elliot mais VAS Y T'AS DEUX STRIXYST ET MOI J'EN AI AUCUN, JE TE CASSE LA GUEULE POUR TE VOLER TES COMPTES, 1V1 GARE DU NORD JE T'ATTENDS


Gen vous raconte des mensonges en #cfa0e9.

Les cadeaux:
            
Invité
Invité
Anonymous
Sujet: Re: "I made a whole secret book of poems expressing my love for you." - Elliott Lavallée
Mar 28 Mar 2023 - 3:47
                    
Ellioooooott omg trop contente de le voir sur Ilu, j’aime beaucoup l’adaptation que tu en as fait ! Très hâte de le voir validé 😊
            
Invité
Invité
Anonymous
Sujet: Re: "I made a whole secret book of poems expressing my love for you." - Elliott Lavallée
Mar 28 Mar 2023 - 10:29
                    
Merci Jelila, je suis content si mon adaptation satisfait son monde. **

Ramène-toi Gen lô. Bagarre !
            
Lélio Murphy
Lupy
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ϟ Œuvre : OC
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ϟ Gallions : 125
ϟ Âge (RP) : 19 ans
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ϟ Année scolaire : 8ème année
ϟ Baguette : Bois de sycomore avec un cœur en ventricule de Snallygaster, 33cm, plutôt souple
ϟ Cursus : Arts magiques spécialité 'Beaux-arts'
ϟ Autres comptes : Nazar A. Petrov - Firmin A. Dubois - Neil A. Josten - Min-Ji Bang
Lélio Murphy
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Sujet: Re: "I made a whole secret book of poems expressing my love for you." - Elliott Lavallée
Mar 28 Mar 2023 - 13:39
                    
Avec un nom de famille pareil, j'espère qu'il a un membre de sa famille qui s'appelle Dana.

Sinon bienvenue à ce nouveau compte !
            
Invité
Invité
Anonymous
Sujet: Re: "I made a whole secret book of poems expressing my love for you." - Elliott Lavallée
Mar 28 Mar 2023 - 14:24
                    
Peut-être un futur scénario !

Merci beaucoup ! ♥
            
Invité
Invité
Anonymous
Sujet: Re: "I made a whole secret book of poems expressing my love for you." - Elliott Lavallée
Mar 28 Mar 2023 - 16:32
                    
DU STARDEW VALLEY QUELLE EXCELLENTE IDEE!! En plus avec Elliott...
Rebienvenue 💜
            
Vincent Leroy
Ex-Directeur
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Comment appelle-t-on un chat qui chante?
Chat-kira.

ϟ Œuvre : Original Character
ϟ Parchemins : 1709
ϟ Gallions : +infini
ϟ Fiche : Ici
ϟ Âge (RP) : 51 ans
ϟ Année scolaire : PNJ
ϟ Titre(s) : Ancien Directeur d'Ilukaan — PNJ
ϟ Don : Être plus fab que toi
ϟ Baguette : Vigne, coeur en plume d'oiseau tonnerre, 30,45 centimètres. Avec un joli strap dessus.
Vincent Leroy
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Sujet: Re: "I made a whole secret book of poems expressing my love for you." - Elliott Lavallée
Lun 3 Avr 2023 - 21:09
                    
Une fiche super bien écrite qui est bien agréable à lire, et du peu que je connais du personnage, tu te l'es très bien approprié pour en faire un perso super intéressant !

Bon QC !


Validation
Bienvenue chez les Strixyst
Accompagné par d'autres nouveaux élèves, tu es appelé par le directeur à t'avancer au centre du Dôme. Scruté par les élèves et étudiants, tu regardes alors ton reflet dans la fontaine qui va décider de ton sort. D'abord voyant ta sale tête dans l'eau, tu remarques que le reflet semble se changer peu à peu jusqu'à prendre la forme d'une chouette.  Tu es d'autant plus surpris quand l'animal commence à pousser un cri dans toute la salle. Tout le monde se met soudainement à t'applaudir, tandis que le directeur s'approche de toi avec une améthyste brute qu'il met autour de ton cou.

"Bienvenue à Strixyst !"

⇢ Te voilà validé, tu peux désormais poster dans tous les recoins du forum, RP-Post ainsi que RPCB.

⇢ N'hésite pas à voir la chambre qui t'a été attribuée.

⇢ Si ton personnage est en cursus universitaire, il peut postuler pour avoir un job d'étudiant.

⇢ Crée dès maintenant un topic pour récapituler les relations de ton personnage. Tu peux également acquérir un portable ou bien créer un blog.

⇢ N'hésite pas à faire une demande de RP pour trouver un partenaire d'écriture !

⇢ Enfin, amuse-toi bien sur le forum,  n'hésite pas à en parler autour de toi et à voter régulièrement aux TS !
            
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Sujet: Re: "I made a whole secret book of poems expressing my love for you." - Elliott Lavallée
                    
            
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