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Konan Lalare - Terminée | | | Sujet: Konan Lalare - Terminée Jeu 9 Mar 2023 - 0:14 Konan Lalare
Naruto | | Identité | LALARE Konan 17 ans Nigérienne Anglais/Français 20/02/2006 à Agadez (Niger) Yeux noisettes, cheveux bleus/violet (noirs au naturel) 161,1cm 99.87 lb |
Who am I...? Konan est une sorcière sang-pure appartenant à la maison Ursirre et en 6ème. Elle est inscrite aux options étude des runes et divination Elle ne possède aucun don. Elle n'occupe aucun poste.
Sa baguette est faite de bois d'orme, avec un cœur en plume de phénix, d'une longueur de 26.4cm, raide. Elle n'a pas d'animal de compagnie.
Son patronus est un phénix. L'odeur de son Amortentia est composée de terre humide, rose et musc. Son reflet dans le miroir du Riséd est d'être aux côtés de ses frères d'adoption. Son Épouvantard prend la forme d'une boîte étroite, sombre, l'aspirant en même temps que tout son air.
Elle a deux frères à peine plus âgés (Nagato et Yahiko) présents à Ilukaan. Sa matière favorite est celle des potions et la matière qu'elle aime le moins est défense contre les forces du mal.
Derrière l'écranPseudo & pronoms : LolySouhaites-tu être parrainé·e ? Non - explications iciAvatar : Konan (naruto)Code du règlement : [MP au staff]Comment as-tu trouvé le forum ? Top siteUn petit mot ? La fluidité des textes du règlement et des annexes, rend le tout très agréable à lire, merci :) headcanons Adore "recycler" les papiers qui tombent malencontreusement entres ses doigts en origamis. Bon ok, c'est un toc quasi-impossible à réfréner. • Pacifique de nature, mais s'exerce activement au krav-maga. Elle réagit au quart de tour en cas d'agression physique pour neutraliser sa cible. Les testicules de ses frères pourraient témoigner de son efficacité. • Elle offre toujours son temps libre en priorité à ses frères, les faisant passer avant ses propres besoins ou intérêts. • Effrayée par la solitude, elle est très dépendante d'une présence réconfortante pour se sentir bien. Elle reste rarement longtemps réellement seule. • A contrario, avec son calme et son détachement, elle peut paraître comme invisible aux yeux du monde au milieu d'une foule et s'y sentir parfaitement à son aise. • Même si elle paraît solitaire; à tort, en s'isolant toujours des groupes, Konan adore avoir de la vie autour d'elle. C'est comme une sorte de bruit blanc qui l'aide à se concentrer sur ses idées. Voilà pourquoi elle est rarement attentive aux conversations -et régulièrement rappeler à l'ordre. • Elle n'aime pas spécialement lire, mais pas non plus gaspiller du papier pour ses origamis. Donc elle s'oblige à dévorer des ouvrages avant de les transformer en art. • Ça la rend toujours anxieuse et mal à l'aise quand elle doit parler de ses parents ou bien les voir. Car elle éprouve de la culpabilité à ne pas se sentir liée à eux et préférer offrir son affection à son père d'adoption. • Elle ne croit pas en l'héroïsme désintéressé. • Son esprit rêveur peut lui donner un air absent ou snob. Ce n'est pas rare qu'elle ignore les autres... Pas forcément volontairement. • Elle déteste le surnom "d'Ange" que lui ont donné ses frères. Même si c'est avec une forme d'affection, c'est avant tout pour se moquer des félicitations qu'elle reçoit de leur père sur sa conduite plutôt exemplaire ; à ses yeux. • Elle lit sans se cacher, les romans olé olé que son tuteur et père adoptif écrit. Bien que les trouvant ridicules, elle ne peut nier qu'elle apprécie les stratagèmes ridicules de drague inscrits là-dedans. Ou encore la description ringarde de l'acte qui ne manque jamais de la passionner et de la faire sourire, voire rire. Cela lui a valu parfois quelques regards désabusés dans les lieux publics... Dont elle n'a que faire. Bien sûr, à l'académie, elle essaie de se faire plus discrète. • Elle a teint ses cheveux en bleus/violets suite d'une énième bêtise avec ses frères. • Son piercing à la lèvre inférieure n'était pas volontaire ; il sert à cacher la trace d'un incident, suite à une blague de Yahiko qui l'a littéralement "hameçonnée" avec une canne à pêche... Une sombre histoire de friandises. • Si elle ne sort jamais sans son fard à paupières foncé sur les yeux, c'est parce que Yahiko avait l'habitude de la comparer à un têtard à cause de ses yeux saillants... • La rose en papier qu'elle aime ajouter à sa coiffure tous les jours, est la représentation du premier origami qu'elle a réussie. • Konan est un prénom de garçon, qui lui a été volontairement attribué. Sa mère voulait absolument que son enfant s'appelle ainsi. Il s'infini s'élever, intelligent, guerrier. Dérivé du nom "kun" signifiant "seigneur". Résultat ? Sa fille aime la terre ferme, trop réfléchir lui donne la migraine, en plus de bafouer son humeur... Et c'est une pacifique convaincue. Bon, certes, elle a un côté princesse à ses heures... Tout n'a pas été perdu. « Les conflits sont réglés par des conflits. Et on y cherche un instant de paix. » « Les roses poussent parmi les épines.» Sa peau pâle a toujours tranché avec son affection pour les couleurs sombres. Son teint a souvent l’air maladif et son rituel de beauté n’est pas là pour arranger l’affaire. Il est plus surprenant de croiser Konan sans fard à paupières, qu’avec son smoky sombre. Et cela, quel que soit l'horaire de la journée. Pour autant, ce n’est pas non plus impossible. Noirs à l’origine, ses cheveux se déclinent aux fils des saisons entres des teintes de bleu et de violet. Une autre habitude héritait d’une farce d’Yahiko à son égard. (Il a remplacé son shampoing par une potion colorante et pour couper court à son plaisir, Konan a juré adorer son nouveau look…) Plutôt élancée, sa taille reste néanmoins dans la moyenne. Une hauteur pas suffisante à son goût, vu qu’elle raffole des talons hauts. Son look est assez invariable, simple et sombre. Elle préfère les robes (mi-longue ou plutôt longue) ouvertes sur des pantalons legging et affectionne les manteaux ou capes larges. Hormis son piercing à la lèvre inférieure, Konan n’a pas spécialement de signe distinctif. Ses cheveux sont naturellement raides et elle aime garder leur longueur au niveau des épaules, ainsi que les coiffer d’un demi-chignon orné d’une rose en papier.
Son sérieux est ce qui la définit le mieux. Tantôt, on l’en félicite, tantôt, on le lui reproche. En fait, sa compagnie n’est pas spécialement désagréable, mais elle n’a rien de spécialement agréable non plus. La plupart du temps, elle se contente d’écouter dans le calme olympien qui la caractérise. Elle donne l’impression de ne pas avoir grand-chose à faire de ce qu’il se passe autour d’elle. Ce qui la rend difficilement abordable quand Nagato et Yahiko ne sont pas là pour créer l’ouverture, voire assez antipathique. Ce n’est pas vraiment son genre non plus, de collaborer avec un tiers -hormis ses frères, ou participer à quoi que ce soit sans y être conviée. Pour autant, elle ne refuse jamais son aide, ni son attention aux plus audacieux qui ont été capables de simplement les lui demander. Elle peut se mêler de ce qui ne la regarde pas, si elle juge qu’une situation mérite son concours. Son côté altruiste est très prononcé chez elle.
Konan est sûre d’elle, et par la même occasion de ses décisions ou actions. Il est très difficile de la faire dévier d’idée, néanmoins, face à une logique implacable lui parlant, elle peut faire subitement volte de face. C’est une créature étrange, difficile à comprendre qui ne se livre pas facilement. Elle n’a pas pour habitude de se justifier, ne sent pas affectée non plus par les punitions. Que cela soit une sanction ou simplement la bouder en représailles comme aime lui faire Yahiko, n’a pas grand effet. Si une situation la dérange, elle l’ignore tout simplement. Argumenter ou chercher un compromis en cas de désaccord ou conflit ne la gêne nullement, c’est souvent la forme de communication où elle met le plus d'efforts. Bien qu’elle soit rancunière dans le fond, elle fait toujours passer son bon sens en priorité, et ainsi ne prolonge jamais inutilement les conflits ou autres.
D’une nature calme et réfléchie, Konan préfère l’analyse à l’action. Les passe-temps solitaires et les lieux calmes (mais pas trop), lui conviennent à merveille. Comme elle assimile facilement les informations, apprendre est quelque chose de divertissant selon elle. Aussi étudier n’est pas une corvée, même si elle n’aime au fond, pas spécialement lire (parce qu’elle ne peut rien faire d’autres à côté, et surtout parce qu’elle préfère avoir quelqu’un pour lui enseigner, comme avec Jiraya son père adoptif.). Elle n’aime pas être le centre de l’attention, mais déteste aussi être isolée. Loyale et empathique, Konan est quelqu’un sur qui on peut compter en toutes circonstances, particulièrement quand on fait partie de ses proches. Elle fait toujours passer les besoins des autres avant les siens, ainsi que les intérêts de ses êtres chers.
« L'humanité a transformer jusqu'à ses "mots" en arme... .» À l'heure de manger, Konan restait toujours pensive un petit instant avant de s'attaquer aux mets. Comme dans une sorte de rituel, son esprit se dérobait à la réalité, cherchant à sonder son âme. Aujourd'hui, son assiette était bien remplie et elle pouvait manger en paix, mais il n'en avait pas toujours été de même. Ironiquement, c'est quand elle vivait dans la maison la plus riche, celle de ses géniteurs ; que sa nourriture avait été restreinte et ses repas une convocation au tribunal parental. Pour son bien qu'on lui avait dit. Ces moments de la journée lui rappelaient toujours à quel point elle était reconnaissante envers l'univers pour avoir mis Jyraya, son père adoptif sur sa route.
Avec lui, chaque repas avait été une fête, et même la plus ridicule patate devenait succulente. Cet écrivain parfois sans le sou avait peiné à élever trois marmots, dont il n'était ni le père, ni le parent de près ou de loin au final. Juste un ami proche des familles. Il n'avait même pas eu l'idée de demander une rétribution monétaire à ses "amis" pour le service de garde qu'il offrait. Durant sa première bouchée, elle avait toujours une pensée pour cet homme, son père, le vrai, celui de son cœur. Comment pouvait-il être à la fois si bête et admirable ? Un mystère qu'elle ne percerait sûrement jamais, mais la fille était heureuse qu'il fût, ce qu'il était.
Un idiot bien intentionné, valait cent fois mieux qu'un génie à la conviction erronée.
C'était ce qu'il lui avait appris. Ça et aussi des tas d'autres choses. Autant sang pur, et de grandes lignées, fut-elle, Konan n'avait pas été mieux traitée que les sang-mêlés de la fratrie recueillie par ce vieux fou. Tous avaient un point commun, ils étaient une gêne dans les projets de leurs géniteurs. Cette fille-là n'aurait pas pour autant déversé sa haine comme le faisait Yahiko, un de ses frères adopté ; vis à vis de ses parents. Elle avait naturellement, peser deux poids en deux mesures et comprit par une logique étrange qu'elle ne valait pas son galon d'or face à leur façon de vivre. Elle ne blâmait pas ses géniteurs pour cet abandon. Qui n’en était pas un selon les adultes. Ainsi, cette "garde" confiée à Jyraya, elle la voyait comme l'opportunité d'une meilleure vie qui lui avait été offerte. Même qu’elle leur en était reconnaissante, d’avoir ainsi, mis fin à sa solitude à leurs côtés.
Elle remarqua bien vite, à travers ses aînés, que la passion était quelque chose de dangereux. Capable de dévorer les âmes et les entrailles de ceux qu'elle consumait. Il suffisait de voir tout le mal que se donnait Jyraya pour pas-grand-chose en retour. Aussi, les rares fois où elle rencontrait sa mère ou son père, elle pouvait lire dans leurs yeux, entendre dans la chaleur de leur tonalité, à quel point ils étaient dépendants de leur raison de vivre, leur travail humanitaire en Afrique. Ironique, pensait très fort Konan en grandissant. Ces "héros", ces "saints"... Tous deux descendants, de ceux qui jadis étaient des "démons français coloniaux", dans le Niger qui l’avait vu naître, lors d’une énième mission du couple médical.
Trop réfléchir lui donnait mal au crâne, parce qu'elle poussait souvent ses réflexions trop loin. Cette forme d'intelligence que lui enviaient ses frères, était plutôt un fardeau à son goût. Alors elle se contenta de suivre les courants autour d'elle. Pestant avec Yahiko de n'être relié qu'au second plan pour eux. Philosophant avec Nagato qui lui n'avait plus la chance d'avoir les siens vivants, alors qu’il n’avait même pas atteint sa première décennie. Mais ce qu'elle en pensait vraiment ?...
En fait, elle s'en foutait. Une triste réalité faisait qu'elle ne se rappelait qu'à peine de sa famille et de leur vie en commun. Tout ce qu’elle en savait lui était romancé par Jyraya, ou eux-mêmes. Elle avait du mal à prendre au sérieux leurs morales et idéaux du haut de ses yeux d’enfant-aujourd’hui encore ceci dit. De ce qu’elle en comprenait, c’étaient les plus “civilisés”, soit disant; qui avait le “devoir”, qui sonnait comme un “droit”; de montrer le “bon chemin” aux autres, qu’ils disaient leurs égaux… Mais traiter au final, d’une certaine façon, inférieurement. Pour autant, elle n’essayait pas d’en débattre avec eux, prendre son mal en patience et attendre lui paraissait une facilité acceptable. Ses souvenirs, comme “chiper” dans les marchés avec ses amis d’enfance à Agadez lui manquait un peu quand elle les voyait. Tout comme le plaisir de marcher pied nu ou de n’avoir que faire de ce que l’on portait sur le dos. Elle aimait la simplicité de cette vie, tout simplement parce qu’elle était trop jeune pour en comprendre toute la désolation associée. Là-bas, les histoires de magie et les cultes autour la faisaient se sentir à sa place. Jamais elle n’oublierait ses vrais-faux sorciers et leurs habitudes loufoques.
Inévitablement, il y avait toujours eu à un moment ses parents pour la brider. À croire qu’ils ne réapparaissent que pour interdire, exiger ou punir. Bien sûr que c’était pour son bien, encore une fois, mais elle jugeait, que de la même façon qu’elle ne pouvait être leur fille que quand cela l’arrangeait… Il devrait en être de même pour eux. Ne pas les voir, ni en parler l'arrangeait un peu. Faire bonne figure pour faire plaisir à Jyraya commençait à la lasser un peu, mais elle lui devait bien ça. Il était ce qu'il représentait le mieux la figure parentale à ses yeux. Elle avait appris de lui, grandi avec lui, capturer son temps et voler autant d'affection dont elle en avait eu besoin. Au final, Konan savait que sa famille d'origine n'aurait jamais été capable de lui donner le quart de l'enfance qu'elle avait eu avec lui... Et ses frères de mauvaise, enfin plutôt bonne fortune.
Même dans les pires conditions, ils avaient toujours été heureux ensembles et c'était largement suffisant pour que cet enfant ne s'attarde pas sur des détails fâcheux. D'autant plus que le glas des onze ans sonnait bien assez vite à leur porte. Comment pourrait-elle oublier leur départ, elle, cette fille si calme et réservée, qui s'était agrippée à ses frères comme une sangsue à un morceau de chair. Jamais, en tant d'années de vie commune, Konan n'avait montré tant d'émotions. Elle, d’ordinaire semblant si détachée de tout. Si Yahiko aimait la charrier encore sur cette scène-là ; celle où elle déchirait sa chemise à force de le tirer pour le retenir de partir, un filet de morve s'agitant sous ses narines... Nagato était plus clément et ne manquait jamais de rappeler en représailles, à quel point le charieur avait pleuré toutes les larmes de son corps tout le long du trajet, ainsi que la première semaine.
Si Jyraya riait toujours de bon cœur devant leurs frasques ou chamailleries, il ne commentait jamais. Tendrement, il avait bien essayé de rassurer la cadette qu'elle les rejoindrait sûrement l'année d'après. Konan avait maudit le monde entier pour être née quelques mois en retard d'eux. Et ce fut ainsi que pour la première fois depuis six longues années, que le trio infernal se séparait. Même si on lui avait juré que les choses ne changeraient pas pour si peu, tout au contraire, cela avait tout chamboulé. Dans une banlieue du Manitoba où vivait l'écrivain à ce moment-là, Konan n'avait jamais ressenti le besoin de tisser de nouveaux liens avec qui que ce soit. Déjà, parce que le travail de son tuteur faisait qu'ils déménageaient souvent, mais en plus, le trio solide qu'elle composait avec ses frères acceptait difficilement les nouvelles têtes. Ils se suffisaient à eux-mêmes.
Ainsi, du jour au lendemain, la fille se retrouva bien seule. Et elle, d'ordinaire si confiante, se sentit comme suffoquer en mettant un pied dehors le lendemain de leur départ. Ce ne fut qu'à cet instant qu'elle comprit vraiment que leurs ombres ne planaient plus derrière elle. Cette sensation chaleureuse et réconfortante se changeait en un frisson désagréable. Un vide troublant l’emparait. Pourtant, ne voulant pas perdre la face devant le regard interrogateur de son père adoptif, elle décidait tout de même d'enchaîner les pas, la tête haute, l'allure déterminée. Bien vite, ceci dit, l'assurance la quitta au fur et à mesure qu'elle croisait les regards des passants. Konan ne se souvenait pas, y avoir ne serait-ce qu'une fois prêté attention jusque-là. Peut-être un brin paranoïaque, elle eut l'impression qu'on l'épiait et que certains murmures inaudibles la ciblaient cruellement.
Son cœur se serra, tout comme sa main sur la lanière de sa bandoulière d’école. Et la journée ne s'améliora pas, bien au contraire. Très vite, sa solitude la frappa de plein fouet au moment où tous les groupes d'enfants se rassemblèrent à la pause. Elle en reconnaissait bien quelques-uns, mais jusqu'ici, la fille n'avait eu à faire aucun effort de socialisation. Yahiko avait un don pour sympathiser rapidement et attirer les gens vers lui. Forcément, cela impactait sur les deux autres. Les jours suivants ne furent pas mieux et Konan restait là avec un malaise évident, seule au milieu des autres qui se rassemblaient. Elle s'étonna de se sentir bien pire encore en se retrouvant réellement seule dans le calme. Pour éviter les brimades, la fille commença à se faire discrète. C'était que ses gardes du corps n'étaient plus là et qu'ils avaient été, avouons-le, de sacrés garnements quand ils étaient tous les trois ensembles. De bonnes guerres, pensait-elle pour se consoler, et comme le temps lui parut long, elle trouva un peu par hasard un passe-temps à l'approche de la Saint-Valentin. Une rose en papier faite dans un atelier scolaire lui dévoila une passion pour l'origami.
L'affaire d'une année, n'est-ce pas ?
Ah si, seulement cela avait pu être aussi simple. Elle avait bien commencé à comprendre dès les premières vacances, au retour de ses frères, que leurs liens se défaisaient pour se refaire différents. Les deux garçons étaient plus proches et au bout de six mois, elle était de moins en moins incluse dans leurs actes complices durant leur présence à la maison. D'une certaine façon, Konan n'arrivait pas à leur en vouloir totalement, elle aussi avait quelque peu changer. Leurs farces ne l’amusaient plus vraiment ou autant du moins.
Elle fut quelque peu rassurée quand son tour pour Ilukkan arriva. Maintenant, qu'ils seraient réunis tout le temps, comme avant les choses allaient se remettre en ordre. Ce ne fut que sur le pas du départ, qu'elle réalisa à quel point son père adoptif avait redoublé d'efforts et d'attention pour ne pas qu'elle ne se sent trop seule. Elle prit cela pour un du compensateur pour l'attitude des deux autres, sans pour autant omettre de lui en être reconnaissante. C'était donc avec aplomb qu'elle était prête à récupérer sa place et ses habitudes.
Sur place, son petit orgueil se piqua en découvrant, que tandis qu'elle était restée seule dans son coin, ses frères avaient qu'en à eux, ouvert un grand panel d'amitiés. Quelque peu désabusée, elle découvrit leur nouveau groupe varié. Elle n'était même plus la seule fille. Et bien que tous fassent beaucoup d'effort pour l'intégrer, cette petite à peine arrivée... Le courant peinait à passer. L'amertume la chatouillait dangereusement pendant qu'elle faisait plus office d'acte de présence que d'une réelle participation. Tout ça pour quelques brides d'attentions de ses frères de temps à autre. La jalousie la piqua au vif à chaque fois qu'ils étalaient leurs complicités sous ses yeux et il ne lui fallut pas bien longtemps pour comprendre, qu'elle n'avait pas spécialement envie d'être la pièce rajoutée.
Pour autant, elle ne pouvait pas chouiner sa condition à ses frères. Yahiko allait se faire un plaisir de la charrier et cela n'allait en rien arranger son cas. Se plaindre à Jyraya lui offrirait un réconfort rapide et efficace, mais il y avait de grandes chances qu'il leur en touche un mot... Ce qui la ramenait vers le premier scénario. Sa considération s'attardait sur Nagato, pouvait-elle seulement lui faire confiance pour ne rien répéter à l'autre imbécile ? Lui et elle, avaient toujours su se comprendre en quelques regards. Il était fort à parier qu'il eut déjà compris ce qui la tracassait d'ailleurs.
Alors que par acquit de conscience, elle lorgnait sur les lignes des nouvelles du journal qui finirait en origami, la réponse à sa question fut affirmative. Nagato s'échappa, un beau jour, discrètement du lot pour la rejoindre à l'écart. De toutes ses forces, Konan tenta bien de plonger toute son attention dans cette histoire de désaccord face aux taxes des matériaux technologiques moldus… Mais le sujet ne fut pas assez transcendant pour la sauver de l'insistance de son frère. Ainsi, la résistance de sa cadette flancha très vite et elle se sentit réellement revivre alors qu'il la serrait contre lui en riant doucement. Elle se mit à table aussi rapidement que le débit de ses mots crachait autant de reproches, de complaintes que d'affection. Impassible, le plus sage du groupe se contenta de lui tapoter la tête de temps à autre. Les regards noirs de la plus jeune ne le dissuadaient pas de continuer et il ponctuait simplement sa visite d'un conseil avisé.
Si leurs nouvelles connaissances ne l'intéressaient pas, elle n'était pas obligée de les fréquenter tout le temps, après tout, il lui assura que lui aussi avait des amis qu'il voyait sans Yahiko. Et vice-versa. Il posait ça avec un naturel déconcertant. Comme si le cocon ne pouvait pas être éternel, mais leur lien fraternel en revanche lui serait toujours au-dessus de tout. Par brimades gentilles, il lui suggéra aussi d'abandonner la lecture des actualités, qui faisait à son sens trop sérieux pour leur âge. Ah si, seulement, il savait à quel point ce passe-temps de pillage de papier trahissait son anxiété et le besoin de l’apaiser. Dérangée par l'issue, Konan préféra de loin consacrer son temps aux études ou passes temps solitaires. Opportuniste ou de mauvaise foi, elle se contenta de leurs disponibilités. Et le temps, continuait à lui paraître bien long avec cette façon de penser…
Sa seconde année avait commencé aussi mal que la première. L’esprit de plus en plus absent, Konan ne semblait reconnecter ses fils que pour les courts moments assumés par sa fratrie. Le premier trimestre était à peine entamé, quand toujours par principe, elle s’attardait sans conviction sur les nouvelles servant de berceau à son art. À la différence que Blesses & Hexes, ou du moins leur journaliste, la prenait aux tripes avec son article vedette mettant en avant un sondage. Elle sauta naturellement, sans même sans rendre compte sur la rubrique politique pour poursuivre son investigation. Le sujet lui parlait particulièrement étrangement, il éveillait en elle, à la fois toute la magie de ses jeunes années, mais aussi tous les malaises qu’elle y avait ressenti. Racisme, corruptions, mais aussi diplomatie et idéaux qui déférelaient dans une lutte acharnée pour convaincre une majorité de leurs raisonnements. Difficile pour elle de dire encore, à qui elle s'identifiait le plus, sa seule conviction était que rentrer en conflit pour se faire entendre n’était pas très productif lors des débats. Au moins, tous les politiciens avaient, espérons le ; la même ambition : rendre le monde meilleur, tout du moins, à l’image de leur fantasme du meilleur.
Nagato la charriait encore quand il la surprit une fois de plus le nez dans un article relatant des élections. La grimace de sa petite sœur avait au moins eu le don d’égayer son humeur et sûrement en remerciement, il s’accorda un moment plus mature pour discuter d’un sujet que la fille prenait définitivement trop au sérieux. Pour autant, ni lui, ni Yahiko lui avait donné tort. À vrai dire, la nouvelle et ce qu’elle présageait, inquiétaient tous les étudiants, des plus jeunes, au plus âgés. Et ces dernières étaient bien fondées malheureusement.
Plusieurs années s'enchaînaient, l’habitude avait fait s’évaporer la frustration des premiers jours de son arrivée à Ilukaan. Konan avait fini par apprécier sa relative solitude. Ces moments bien à elle. Même que parfois, comme aujourd’hui, la fille se surprenait à soupirer d’agacement quand son frère Yahiko lui sortait le nez de son livre pour lui tendre une vidéo numérique. La fuite sur les pratiques du ministre dans les années 40 passionnait les foules. Elle ne put pas s’empêcher de faire le rapprochement avec la sinistre guerre raciste qui avait frappé le monde moldu à cette même époque. Leur père aimait bien lire les livres historiques moldus relatant ces histoires-là. Un travail de mémoire, pour apprendre des erreurs et ne jamais les reproduire. Konan, particulièrement sensible pour une raison ou une autre à ce genre d'affaires, avait donc suivi ses traces de lecture. Elle avait beau être une sang-pure, sourire poliment quand sa mère lui parlait fièrement de leur lignée. La réalité était qu’elle n’avait jamais compris en quoi ce détail avait son importance. Que ce soit avec ses amis moldus au Niger ou ses frères de sang-mêlés, la seule chose qui variait était leurs personnalités.
Plus le temps la rapprochait de l’âge adulte et plus Konan commençait à se dire qu’elle avait eu une chance incroyable dans la vie. On l’avait accepté pour ce qu’elle était, ou du moins en montrer ; au sein des moldus durant sa vie parmi eux. Cela malgré la différence de leur couleur de peau, la culture tranchante de ses parents et de la région. Au-delà de ses origines coupables et toutes les particularités qui la rendaient si à part elle avait été Konan, seulement la Konan amicale et fidèle pour ses amis, mais pour ses frères aussi. Eux ces sangs “gâchés” résonnant des lèvres de sa génitrice. Cela amusait toujours la fille d’associer le fait que Nagato était meilleur qu’elle en tout point au niveau scolaire, mais aussi à quel point le charisme naturel de Yahiko la rendait inexistante. Elle en tout cas, trouvait la recette de leur création plutôt efficace, quelle qu’elle fut. Il n’y avait là, aucun gachi.
Sa perplexité face au monde et son avenir lui minaient le moral. Ce soir-là, le sujet tournait sur la politique, les révélations, les arrestations et autres scandales. Konan eut bien du mal à ne pas rougir de honte face à ses frères, quand ses parents n’eurent aucun scrupule, lors de cette visite festive ; à affirmer leur position sur la place des sang-purs dans le monde magique. S’ils dénigraient les sang-mêlés, c’était encore pire quand ils parlaient des moldus ou plus tabou encore, des sorciers nés moldus. La fille les trouva bien hypocrites de s’affirmer supérieurs ainsi et à contrario multiplier les “bonnes actions charitables” à côté. Elle n’arrivait toujours pas à définir ce qui clochait chez eux, mais pour la première fois, du haut de ses seize ans, elle osa ne plus rester de marbre.
-” Il est temps que vous la fermiez maintenant.”
Comme une voix mystique sortie de l’au-delà, sa simple suggestion mit fin immédiatement au bras de fer courtois que s'étaient lancé les sangs-purs à table. Le tout sous les yeux de ses frères trop patients à son goût. Jiraya, lui-même sang-pur, essayait en vain de raisonner ses amis de toujours. Sans froisser personne bien sûr. Mais Konan était lasse de ces jeux-là. Même si elle croyait en la diplomatie, elle ne pensait pas que des attaques gratuites envers ses frères ou amis devraient rester impunis au nom d’une soi-disant paix.
- ”Tu n’es même pas capable d’assumer le plus primaire des instincts en étant une bonne mère. Et pourtant, tu juges avec tant de facilité tes pairs.”
Parce que pour Konan, il n’y avait aucune différence de ce genre, valable pour cataloguer l’humanité dans un ordre de supériorité. Après la surprise, l’incompréhension et l’assimilation de la scène, se fut la toute première fois que la jeune fille sentit s’écraser sur sa joue cette pression indélicate. La gifle furieuse l’emportait dans l’élan dans les bras de son frère qui la rattrapa, choqué. Le silence fut lourd, contrairement à ce que l’on aurait pu croire, sa mère se pensait trop digne pour faire une scène. Et sa fille, trop fière pour montrer un quelconque signe de réaction. Les deux hommes adultes de la pièce s'étaient relevés, prêts à les séparer ou on ne sait quoi d’autre. Mais simplement, mère et fille se toisaient, avec cet air hautain et impénétrable, ce stoïcisme qu’elles avaient définitivement en commun.
- ”Ma pauvre enfant” Lui glissa sa mère avec autant de mépris qu’une réelle compassion. Et la chair de sa chair n’eut pour ultime échange avec elle qu’une vérité, la sienne : “ Je suis plus riche que vous ne pourrez jamais l’être chère mère.”
Aussi dignement que possible, le duo d’invités décidaient de prendre congé. Divisé entre réprimander sa fille ou consoler sa femme, son géniteur s’était contenté de la snober. Bien sûr, Jyraya était un peu prise dans le même dilemme. Il ordonna aux garçons de rester avec leur sœur et emboîta le pas de ses amis pour arranger les choses. Le rire bruyant de Yahiko résonnait bien vite, plus discret, Nagato n’était pas en reste pour exprimer son admiration. Et combien même leur père était d’accord avec sa pensée, il condamnait pour autant sa façon de l’exprimer. Ce n’était pas en devenant agressive, qu’elle convaincra autrui. Sa punition n’eut le droit qu’à une exception de sortie, celle de la manifestation de mai à Bloombery.
Cela lui avait coûté tout de même une longue lettre d’excuses, écrite à ses parents pour son attitude et non pas son raisonnement. Mais tout de même, l’action lui restait en travers de la gorge. Pour autant, elle n’était pas encore consciente à quel point, ce qui n’était qu’un détail pour elle, avait une importance malsaine pour d’autres. La fin de sa 5éme année se ponctua avec beaucoup d’agitations et surtout un sentiment très amer après les agressions envers les nés-moldus à l’Ilukan. Incapable de comprendre ce genre de raisonnement, elle avait bien sûr pris parti, tout comme ses frères ; pour ceux qu’elle considérait comme victime de cette violence gratuite. Pour autant, ses engueulades avec ses pairs commençaient à l’user bien plus que de raison…
Elle osa espérer un peu de répit pour sa 6éme année.
(c) Ilukaan | | Owen Knight The King | Image du profil : ϟ Œuvre : Windbreaker
ϟ Parchemins : 1722
ϟ Gallions : 979
ϟ Âge (RP) : 22 ans
ϟ Maison : Lupy
ϟ Année scolaire : 12ème année
ϟ Don : //
ϟ Baguette : Baguette d' If, cœur en écaille de basilic, longueur de 38 cm, solide et épaisse.
ϟ Cursus : Sports et Jeux magiques, spécialité Cyclisme
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ϟ Autres comptes : Moon-Lee Jung → Julie Lefevre → Aryu Jyubei → Jessica Diaz → Jun Han → Akali J. Tethi → Yelena Ivanova → Tian Fang | Sujet: Re: Konan Lalare - Terminée Jeu 9 Mar 2023 - 0:57 OMG BIENVENUE KANON. Hâte de voir ton perso ! En plus un perso que je kiff bien donc hâte de voir ce que ça va donner ! | | Lian Xie Cervirald | Image du profil : To me, the one basking in infinite glory is you; the one fallen from grace is also you.
What matters is you and not the state of you.
ϟ Œuvre : TGCF || Heaven's Official Blessing
ϟ Parchemins : 113
ϟ Gallions : 85
ϟ Âge (RP) : 22 ans
ϟ Maison : Cervirald
ϟ Année scolaire : 12ème année
ϟ Titre(s) : Attrapeur dans l'équipe de Cervirald
ϟ Don : /
ϟ Baguette : Bois de pêcher • Plume de fenghuang • 30.15cm • Assez souple
ϟ Cursus : Auror et Défense magique
ϟ Malle : /
ϟ Autres comptes : Francis Bonnefoy, Lucifer Hellborn, Tom M. Riddle, Respen Enneiros, Phoenix Wright |
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ϟ Autres comptes : Francis Bonnefoy, Lucifer Hellborn, Tom M. Riddle, Respen Enneiros, Phoenix Wright | Sujet: Re: Konan Lalare - Terminée Jeu 9 Mar 2023 - 9:46 Bienvenue Konan ! Je suis Aly, celle qui s'occupera de ta fiche ! Je suis une (ancienne ?) très grande fan de Naruto je serai donc celle qui corrigera ta fiche. N'hésite pas à me contacter si tu as la moindre question. Sache que j'ai hésité à jouer Deidara pendant très longtemps. Qui sait si je le ferai pas un jour :D En tout cas j'adore l'Akatsuki ! Je n'ai pas encore lu ton histoire mais j'avoue être très curieuse de l'origine nigérienne de Konan. Par ailleurs j'en profite pour te dire que tu as écris plusieurs fois "Kanon" à la place de "Konan" (dans les infos principales, le titre de fiche et j'imagine dans l'histoire) attention J'espère que tu te plairas par ici ! Bonne continuation de fiche ;) — He said: There's no banquet in this world that doesn't come to an end. | | Kainé Doherty Strixyst | Image du profil : It's okay. You're not the only voice in my life anymore. I've spent time with others.
ϟ Œuvre : NieR
ϟ Parchemins : 254
ϟ Gallions : 440
ϟ Âge (RP) : vingt-trois ans.
ϟ Maison : Strixyst
ϟ Année scolaire : 13ème année
ϟ Titre(s) : /
ϟ Don : /
ϟ Baguette : bois de noisetier, ventricule de dragon – 25 centimètres – très rigide.
ϟ Cursus : Sciences occultes.
ϟ Autres comptes : Arthur Kirkland — Belphegor Hellborn — Hajime Hinata — Tamaki Suoh — Razor Hrodwulf — Franziska von Karma — Goro Akechi |
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ϟ Autres comptes : Arthur Kirkland — Belphegor Hellborn — Hajime Hinata — Tamaki Suoh — Razor Hrodwulf — Franziska von Karma — Goro Akechi | Sujet: Re: Konan Lalare - Terminée Jeu 9 Mar 2023 - 11:04 Weeeh, bienvenue ! Hésite pas si t'as des questions ! (on te laissera bien entre les mains d'Aly va ) | | | | Sujet: Re: Konan Lalare - Terminée Jeu 9 Mar 2023 - 16:42 Salut et merci pour l'accueil :)
La raccrocher au contexte est un exercice plutôt amusant, je m'en remets à tes précieux conseils Aly ! J'ai hâte de vous rencontrer tous à l'occasion, à bientôt !
Ps: J'ai corrigé mon inversion du a et du o (5 fois en tout, ce boulet xD) | | | | Sujet: Re: Konan Lalare - Terminée Jeu 9 Mar 2023 - 20:06 Bienvenue ! Bon courage pour le reste de ta fiche, en espérant que tu te plairas parmi nous ! | | Ema McKay Ursirre | Image du profil : STAND UP FOR WHAT YOU BELIEVE IN EVEN IF IT MEANS STANDING ALONE
ϟ Œuvre : Original Character
ϟ Parchemins : 322
ϟ Gallions : 465
ϟ Âge (RP) : 19 ans
ϟ Maison : Ursirre
ϟ Année scolaire : 9ème année
ϟ Titre(s) : Secrétaire du conseil
ϟ Baguette : bois d’érable - ventricule de dragon - 24cm, fine et souple
ϟ Cursus : Communications & Littératures sorcières
ϟ Malle : ✻ Des livres ;
✻ Un porte-bonheur japonais ;
✻ Des photographies, principalement de sa mère ;
✻ Un camée décoré décoré d'un chardon, offert par sa mère ;
✻ Un bout de tissu tout abimé qui lui servait de doudou ;
✻ Un tas de lettres dans lesquelles elle adresse à sa mère ;
✻ Une épingle à cheveux en forme de renard, offerte par Yumeko
✻ Un elixir du gnome ;
✻ Son téléphone |
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ϟ Baguette : bois d’érable - ventricule de dragon - 24cm, fine et souple
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ϟ Malle : ✻ Des livres ;
✻ Un porte-bonheur japonais ;
✻ Des photographies, principalement de sa mère ;
✻ Un camée décoré décoré d'un chardon, offert par sa mère ;
✻ Un bout de tissu tout abimé qui lui servait de doudou ;
✻ Un tas de lettres dans lesquelles elle adresse à sa mère ;
✻ Une épingle à cheveux en forme de renard, offerte par Yumeko
✻ Un elixir du gnome ;
✻ Son téléphone | Sujet: Re: Konan Lalare - Terminée Jeu 9 Mar 2023 - 20:31 Bienvenue parmi nous ! J'espère que tu te plairas ici !
J'ai toujours apprécié Konan, j'ai hâte de voir l'adaptation que tu nous feras ! :)
(Une nouvelle Ursirre, ça fait plaisir :p ! On pourra trouver un lien facilement héhé !) Ema vous toise en #51a3ad | | | | Sujet: Re: Konan Lalare - Terminée Jeu 9 Mar 2023 - 23:25 Salut ! Merci à vous deux :) faire partie de la même maison devrait aider eh eh ! J'espère que ça collera pour l'adaptation, j'ai fait de mon mieux XD j'en profite pour signaler que ma prez est terminée, ou du moins prête à l'inspection Merci d'avance Aly, ou plutôt, bon courage xD Biz ;) | | | | Sujet: Re: Konan Lalare - Terminée Sam 11 Mar 2023 - 15:51 Quelle jolie dame... Bienvenue | | Vincent Leroy Ex-Directeur | Image du profil : Comment appelle-t-on un chat qui chante?
Chat-kira.
ϟ Œuvre : Original Character
ϟ Parchemins : 1709
ϟ Gallions : +infini
ϟ Âge (RP) : 51 ans
ϟ Année scolaire : PNJ
ϟ Titre(s) : Ancien Directeur d'Ilukaan — PNJ
ϟ Don : Être plus fab que toi
ϟ Baguette : Vigne, coeur en plume d'oiseau tonnerre, 30,45 centimètres. Avec un joli strap dessus.
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Chat-kira.
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| Sujet: Re: Konan Lalare - Terminée Mer 22 Mar 2023 - 10:11 Coucou Konan ! Pardonne moi pour le retard concernant la correction de ta fiche, mais c'est bon elle est lue ! (pour ma défense tu ne l'as pas mis dans le sujet des fiches terminées huhuhu ) Du coup, alors, c'est tout bon de mon côté mais je dois quand même souligner quelque chose d'important pour le futur. Tu as cité avec détails des personnages canon liés à la vie de Konan (soit Nagato, Yahiko et Jiraya). Ce qui est normal quand on connait l'oeuvre et la relation qu'elle a avec ces derniers. Cela étant, si jamais ces derniers sont un jour joué sur Ilukaan, il faut savoir qu'ils n'ont pas forcément l'obligation de suivre ton histoire (ni même les ascendances que tu leur as donné, etc etccc). Auquel cas, il sera nécessaire de discuter avec eux autour d'une histoire commune/de modifier ton histoire si celle-ci est différente. Ainsi, tu pourras totalement créer des scénarios pour ces perso pour leur donner une piste de réflexion autour de ton histoire, mais encore une fois ils n'ont pas l'obligation de la suivre. Voilà tu es prévenue sur ce point là J'ai trouvé ça très curieux de l'avoir fait nigérienne en tout cas. Cela ne me dérange pas (je trouve ça même plutôt cool car on n'a pas grand monde de ce coin là), je suis juste curieuse du choix ? (une envie particulière ?) BON en tout cas je te valide et je t'envoie le lien du discord par MP ! Bienvenue à Ilukaan ! Validation Bienvenue chez les Ursirre Accompagnée par d'autres nouveaux élèves, tu es appelée par le directeur à t'avancer au centre du Dôme. Scrutée par les élèves et étudiants, tu regardes alors ton reflet dans la fontaine qui va décider de ton sort. D'abord voyant ta sale tête dans l'eau, tu remarques que le reflet semble se changer peu à peu jusqu'à prendre la forme d'un ours. Tu es d'autant plus surprise quand l'animal commence à pousser un cri dans toute la salle. Tout le monde se met soudainement à t'applaudir, tandis que le directeur s'approche de toi avec un saphir brute qu'il met autour de ton cou. "Bienvenue à Ursirre !" ⇢ Te voilà validé, tu peux désormais poster dans tous les recoins du forum, RP-Post ainsi que RPCB. ⇢ N'hésite pas à voir la chambre qui t'a été attribuée. ⇢ Si ton personnage est en cursus universitaire, il peut postuler pour avoir un job d'étudiant. ⇢ Crée dès maintenant un topic pour récapituler les relations de ton personnage. Tu peux également acquérir un portable ou bien créer un blog. ⇢ N'hésite pas à faire une demande de RP pour trouver un partenaire d'écriture ! ⇢ Enfin, amuse-toi bien sur le forum, n'hésite pas à en parler autour de toi et à voter régulièrement aux TS ! | | | | Sujet: Re: Konan Lalare - Terminée
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