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ILUKAAN est un forum MULTIFANDOM dans l'univers d'Harry Potter.
Ilukaan est une école de magie internationale se situant en Nouvelle-Écosse au Canada.
L'histoire se déroule en 2024, mélangeant magie et technologie.
Vous pouvez jouer des personnages de manga/anime, jeux vidéos, films d'animation, dessins animés, romans jeunesse ou encore un OC.
L'intrigue se fait à la fois en RPCB et RP-POST.
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Cariño, pintas en color ~ Antonio F. Carriedo
Invité
Invité
Anonymous
Sujet: Cariño, pintas en color ~ Antonio F. Carriedo
Jeu 25 Juin 2020 - 18:43
                    
Antonio F. Carriedo | Canon
MAISON : Ursirre
ANNÉE : 10ème année
CURSUS UNIVERSITAIRE : Botanique approfondie et horticulture
ANIMAL DE COMPAGNIE : XX
BAGUETTE : Bois de séquoia, coeur en crin de licorne, 25 centimètre
PATRONUS : Une abeille (incroyable)
ODEUR DE L'AMORTENTIA : Mon premier est l’odeur de la crème solaire, celle qu’il s’étalait sur les bras, le dos et le visage quand il était petit. Mon deuxième est celle de la terre sèche qu’il avait souvent sous les pieds après ses heures de balade. Mon dernier est le souvenir d’un été lointain, l’odeur du sable chaud.
REFLET DANS LE MIROIR DU RISÉD : Il est diplomé, accroché aux bras de Gilbert et Francis
ÉPOUVANTARD : La perte totale de sa sanité. Il se voit, tremblant, mains sur les oreilles, ongles plantés dans ses tempes. Perdu dans une folie sans limite qui lui ferait perdre la raison.
FAMILLE : Son frère jumeaux
MATIÈRE FAVORITE : Sport et anatomie
MATIÈRE LA MOINS AIMÉE : Métamorphose
Antonio F. Carriedo

— Axis power Hetalia

20 ansNé moldu(joli) Jeune hommeEspagnol
« Everybody wants to rule the world! »

NOM : Fernandèz Carriedo
PRÉNOM : Antonio
SURNOM : Tonio, adorait être appelé Chico del Sol quand il était plus petit, et aime toujours autant être appelé « Sunshine ».
DATE ET LIEU DE NAISSANCE : 12 Février 2000, près de Valdemossa, en Espagne
LANGUES PARLÉES: Espagnol (langue maternelle), anglais (bonne maitrise en grande partie grâce à Charlotte bien qu’il garde un bon accent), français et allemand (bonnes bases, on se demande pourquoi), italien (piètre)
DON : Aucun (à part celui de draguer plus vite que son ombre?)
YEUX : Vert pomme
CHEVEUX : Chatains clair
TAILLE : 1 mètre 72
POIDS : 72.6 kilogrammes

Liste des headcanons
ENFP — Très bon apnéiste, parce qu’il finit souvent sous l’eau — N’a jamais vraiment senti la douleur (vous pouvez lui tirer les cheveux par exemple, il sentira pas vraiment) — Il donne des surnoms que personne ne comprend, genre Cuajada (pour Francis), Pichoncito (pour Gilbert), et bien d’autres — Il joue de la guitare sèche, et il lui a donné un petit nom « Lola » — Bisexuel — Caresser les cheveux de Francis pour l’emmerder, c’est sa passion de tous les jours — Il adore être appelé Boss, dans certaines situations —  Luciano et lui peuvent être fiers d’avoir les deux plus jolis fessiers de l’école — Fan de télénovelas — Il danse très bien avec des talons hauts — Il prend des douches si chaudes qu’il en ressort rouge et que beaucoup se plaignent de la salle, transformée en véritable sauna — Il a voulu demander sports magiques, mais a finalement décidé de partir en botanique — Il ADORE les ragots et les histoires d’amours, et prend toujours les drama très au sérieux  — Genre il se sent impliqué dans les histoires — Il rit très fort — Il n’aime pas le beurre — Par contre il adore la mayonnaise et le ketchup (qu’il mélange toujours) (il est la honte de sa famille pour ça…) — En général, Antonio n’a pas de groupe favori ou de chanteur préféré — Enfin, à part Shakira, mais ça c’est tous les latinos — Il n’aime pas les films dramatiques, ça le fait pleurer et le met dans tout ses états — Par contre il adore les comédies, les comédies musicales mais surtout les films d’animations — Son réveil, c’est « Hips don’t lie » de Shakira — Sa theme song par excellence est  « Cariño » de The Marías — Il a une incisive cassée sur la partie supérieur de sa dentition - Il a toujours une carte de uno "reverse" sur lui, au cas où....

Côté joueur
PSEUDO : Sofia ou Tonio, j’m’en fiche <3
AVATAR : xx (mais psst, l'avatar à côté là, c'est Sahelière qui l'a fait~
COMMENT AS-TU TROUVÉ LE FORUM ? : DC de Sofia
UN PETIT MOT : Un poquititititititititito loco
CODE DU RÈGLEMENT : (à envoyer par MP)
Physique
« Suavemente, bésame, que quiero sentir tus labios besándome otra vez ! »
C’est au soleil que sa peau brûle et fonce. Elle fait ressortir ses yeux comme deux émeraudes fondues dans du marbre. Sa tête, empli de poil mi longs qui s'ondulent avec le temps, sont de la couleur des chataigniers. Son sourire possède une fossette, et ses dents blanches, pour celles de devant, sont légèrement écartées d’un espace. Ses lèvres sont gerçées, et ils les humidifient d'un simple coup de langue (Ô dieu seul sait combien de fois il s'est fait reprimander par Francis... Celui-ci lui a même offert plusieurs baumes à lèvres, mais il les perd à chaque fois, ou n'y pense jamais!) Un corps bien sculpté et une tête bien remplie.
Ses deux longues mains fortes à la paume clair sont ornées de cicatrice dû à ses mésaventures de botaniste. Un dos ondulant et un fessier bien rond. De belles gambettes poilues qu'il adore rallonger de talons aiguilles. Ses deux oreilles sont percées de toute petites pierre rouges. Elles lui ont été offertes par Francis lors de l'anniversaire de ses 14 ans et depuis il ne les retire pas ! Auparavant, Antonio portait une jolie croix en or autour du cou, une chaine de famille qui s'offrait de père en fils. Seulement, lors du départ de Lovino, pour que celui-ci ne l'oublie pas, il la lui a offerte et lui a fait promettre de la lui rendre le jour où ils se reverraient. Cependant, Antonio n'eu pas la force de la récuperer lorsqu'ils se sont retrouvés à Ilukaan (à vrai dire il était trop occupé à se dire qu’il l’avait gardé toute ces années, c’est déjà assez fou comme ça). Une voix qui en ravi plus d'un et d'une. Il adore chanter et danser car ça, il sait faire. D'ailleurs, il n'est pas étonnant d'apprendre qu'il s'est inscrit au club de danse. Son corps athéltique et généreux lui permet de danser énergiquement ou gracieusement, et de s’adapter au genre. Au niveau vestimentaire, Antonio est assez simple. Hors l'uniforme, ses vêtements modestes sont souvent la combinaison d'une chemise ample en toiles légère, laçée sur le devant, et d'un pantalon noir et moulant. Il adore porter des talonettes.

Caractère
« But I would walk 500 miles, and I would walk 500 more just to be the man who walks a thousand miles to fall down at your door ! »
Un petit rayon de soleil. Si optimiste ! Si doux et ravissant. Eclatant de joie et de couleur. Le bonheur semble lui être venu comme une évidence. Passionné et rieur, bavard sans l'être de trop. Et quand quelque chose ne va pas, c'est à lui qu'il faut se confier. Il vous noiera sous les caresses de ses mots et de ses mains, vous couvrira de « Cariño » et de douceur, vous emplira d'une sorte d'euphorie hallucinante. « Antonio », c'est comme un souvenir de l'été dernier, quand le soleil était à son zénith, et que vous étiez restés dans la piscine jusqu'au couché, lorsque les rires emplissaient le jardin d'une agréable et dynamique mélodie. Comme un souvenir sucré qui retrousse le nez et faire rire à gorge deployée. Aucune idée ne lui paraitra idiote ou illogique. Son enthousiasme pousse ses amis au meilleur d'eux-même. Il n'est pas étonnant que lorsque l'un d'eux se sent mal, il se tourne vers Antonio, car tout le monde le sait, il est de très bon conseil. Et il les fera toujours rire. Un sacré bout-en-train ce Tonio ! Et ce qu'il peut-être attachant ! Car il n'est jamais de mauvaise humeur. Et s'il l'est, il ne le montrera pas, et aura simplement cette mine frustrée. Cependant, à son arrivée à Ilukaan, Antonio n'était pas un garçon si ouvert à certaines choses telle que l'homosexualité, ou bien la transidentitée. Il apprit grâce à ses plus proches amis que l'ouverture d'esprit était très importante ici, et ainsi Antonio commença à s'accepter comme il était (en partie grâce à Francis d'ailleurs). Ah, ce qu'il adore faire la fête, celle où tout le monde se perd dans les éclats et les cris, celle ou la passion prend le dessus sur la timidité, celle ou l'on ouvre son cœur et sa gueule. Et seul un Antonio comme lui peut supporter ses jours maussades. Parfois l'ennuie et les questions le frappent. Parfois, ce sont ses cauchemars qui lui tordent l'estomac. Ses peurs. Le marchand de sable qui l'enroule dans de sombres vagues. Ah, ce qu'il est bon d'avoir Antonio à ses côtés. Un Antonio fidèle, loyal, jamais malaroit dans ses dires, et qui vise toujours juste, droit dans le mille. Quoi que parfois un peu trop ambitieux (dans son souhait de rendre le monde meilleurs), ses professeurs pensent sûrement d’Antonio qu’il est un jeune homme perfectionniste et qui sait qui il est, et ce qu’il vaut.

Histoire

C’est ici, dans cette grande ferme d’Espagne, non loin de Valdemossa, que notre petit Antonio nait. Rien de bien riche par ici, mise à part peut-être les plantations de tomates ; le revenu principal de la grande famille Fernandèz-Carriedo.  C’est ici même, dans cette baignoire, que le tout petit poussa son premier cri, juste après celui de son frère jumeaux, né quelques minutes avant.
A sa naissance, Antonio était un bon bébé. Le choix risqué de l’accouchement à la maison a toujours été une tradition dans cette famille. Tant, que Antonio n’apprit qu’à l’âge de 8 ans qu’il était possible d’accoucher dans un hôpital ! Le jour de leur naissance, donc, il y avait un très grand soleil, malgré le mois de l’année assez frai.

Bébé Antonio avait déjà la peau assez mate le jour de sa naissance, et ses cheveux, bien que peu proéminents, étaient déjà d’une couleur brun clair. Aussitôt fut-il tout propre qu’on lui passa autour du cou le collier appartenant auparavant à son aïeul décédé. Une simple croix chrétienne en or, peut-être le bien à la valeur la plus haute dans cette maison. On en fit de même avec son frère, mais celle-là appartenant à l’arrière grand mère.
D’ailleurs, très tôt, Antonio commença à sourire, et à rire. C’est aussi pour cela que sa mère le surnomma « Chico del Sol », et qu’au fur et à mesure, toute la famille l’appela ainsi.

La famille Fernandèz Carriedo est composée de deux « enfants », Antonio et son frère. Ses parents sont là aussi, mais pas que ! Les oncles et tantes, de quelconque côté de la famille, sont présent aussi, et les grands-parents de même, évidemment. Au total, ils sont douze, mais vu que la ferme, aussi pauvre soit-elle, est grande, tout allait bien. La vie en communauté, Antonio sait donc ce que c’est.

Les premiers mots qui sortirent de sa bouche furent « mama » et « tomate », choses pas étonnantes, vu qu’elles étaient les deux « choses » les plus présentes dans sa vie de bambin. Après tout, sa mère lui donna le sein pendant un long moment, et Antonio s’accrochait souvent à elle pour tout et rien. Pour les tomates, il suffisait de le voir trottiner dans les plans, pieds nus, avec son petit chapeau de paille sur la tête, pour comprendre. Une fois, il s’y était même perdu tant les plans de tomates étaient plus grands que lui ! Mais on le retrouva une petite heure après, endormi au milieu des fruits rouges, chapeau sur la tête, orteils en éventails.

Antonio ne mit d’ailleurs pas très longtemps pour parler et trottiner. Sitôt qu’il eu aqcuérit ces deux compétences, il était devenu le petit pipelet de la famille. Il a toujours adoré parler, tant, que ses parents se sont demander si l’envoyer à la troupe des petits théâtreux n’était pas une très bonne idée.

Parlons un peu de sa famille. La mère d’Antonio se nomme Laia Fernandèz. Elle est une femme moldue au sourire immense, malgré ses deux dents de devant légèrement espacées (problème dentaire dont hérita Antonio d’ailleurs). Ses cheveux sont noirs et sa peau est un peu plus mate que celle d’Antonio. Quand il était petit, il s’amusait à compter les grains de beautés sur sa peau, tant ils étaient nombreux. Quant à son père, Ruben Carriedo, il est un homme petit et large, aux bras fort et au menton marqué. Il porte la barbe, et Antonio ne l’a d’ailleurs jamais vu sans. Ses yeux sont aussi vert que ceux de son fils, et son sourire égal celui de la mère.

Les grands-parents, du côté de son père, se nomment Rafael et Alma Carriedo. Ils sont silencieux, mais très aimants. Longtemps, ils ont travaillés à la ferme, et lorsqu’il fut temps pour eux de prendre le repos, ils léguèrent le travail et la ferme à leurs enfants. Et du côté de la mère, ils se nomment Luis et Carmen Fernandèz, très bons amis aux grands-parents Carriedo. Luis est un homme au sang-chaud, s’emportant rapidement. Mais cela n’enlève en rien les fous rires qu’il est capable d’avoir. Par exemple, une fois, à table lorsqu’Antonio affirmait avoir vu une énorme baleine volante, à la plage (il en est toujours persuadé!). Laia raconte souvent que son service durant la guerre d’Espagne l’a complètement rendu strict et froid, mais que c’est juste un moyen de cacher ses émotions. Mais là où ça se gâte, c’est du côté de Carmen. La vieille femme a un caractère… changeant. Elle n’a jamais été méchante avec Antonio, cependant avec Laia, ce n’était pas la même histoire. La mère a d’ailleurs un jour laissé fuiter une information importante à propos de Carmen. Celle-ci souffre d’une maladie moldue nommée la bipolarité. A l’époque, Carmen avait de nombreuses crises. C’est d’ailleurs lorsqu’il apprit que cette maladie pouvait être héréditaire qu’Antonio commença à avoir peur. Voici l’histoire de son épouvantard, la peur de perdre sa sanité. Car lorsqu’Antonio fut assez grand, sa mère lui raconta l’enfer qu’avait été la vie à la maison avec Carmen. N’ayant que sa tête pour imaginer cela, Antonio commença à avoir très peur de l’idée même de perdre ses capacités de raisonnement, de reflexions… La perte de la sanité.  Certains cauchemars commençèrent.

A la maison, Antonio a toujours été entouré d’animaux. Que ce soit les vaches du pré d’à côté, les cochons de la ferme voisine, les chats qui venaient se nicher chez eux les nuits d’été, ou bien sa tortue. Oui, Antonio a une tortue depuis tout petit, qu’il a nommé ironiquement « Tortuga ».

A l'anniversaire des 8 ans des jumeaux, on offrit une guitare toute neuve à Antonio. Ce cadeau avait coûté très cher et Antonio en prit très grand soin. Ils lui ont offert juste après qu’Antonio soit rentré de chez les voisins. Il avait passé sa journée les pieds nus, pour aider au foulage du raisin. Pieds encore collants, il a trébuché en entrant dans le salon lorsqu’il a vu sa belle guitare sèche sur la table.

L'été de ses neuf ans fut chamboulé par l'arrivé d'un enfant dans sa vie. Non pas un nouveau frère, ou sœur, cependant. Ce jour d’Août, Antonio ne l'oubliera sûrement jamais. Il était sur l'unes des plages cachées de Valdemossa, assit fesses dans le sable, et le regard fixé sur l'horizon. Cela lui arrivait parfois, de se perdre dans ses pensées et de sombrer dans un sommeil amplement ou non mérité. Mais ce jour-là, le sommeil ne vint pas car au loin, il n'entendit plus les vagues, mais les pleurs d'un enfant. Alors Antonio se redressa immédiatement, et chercha la source inquiétante de ce bruit. Inquiétante, car très peu de gens connaissaient cette minuscule plage perdue.
L'horizon était défait de toutes plantations, alors il n'eut aucun mal à voir au loin une petit tête brune marcher, seul, dans sa direction, les bras devant le visage. Et il ne fallu pas longtemps pour que les grande jambes d'Antonio ne rejoigne l'enfant. Il articula un « Hola », car le petit aurait put être espagnol, au vu de ses cheveux. Mais lorsque celui-ci s'arrêta de marcher et qu'il découvrit son visage crispé, Antonio comprit qu'entrer en contact avec l'enfant ne serait pas chose aisée.
Cet enfant s'appelait Lovino, et il était perdu. Antonio comprit de lui même qu'il devait être en vacance avec sa famille, au vu de sa non-compréhension de la langue espagnole. Ce fut donc avec difficulté qu'Antonio et Lovino réussirent à communiquer. Par des gestes, des moues, des regards. Antonio apprit ce jour là une quantitée astronomique de gros-mots italien (oui car il ne fut pas compliqué de comprendre que le petit était italien). Et après l'avoir rassuré de son mieux, il se mirent en route. La quête vers le lieux où se trouvaient les parents de Lovino fut longue et bavarde. Antonio tentait de lui arracher quelques informations, comme « résides-tu dans un hôtel ou une villa ? » ou bien « quel âge as-tu ? ».
Après de longues heures à chercher, Lovino sembla plus à l'aise devant un certains hotel entourés de personnes qui semblaient chercher quelque chose... ou quelqu'un. « Lovino ! » avait hurlé une dame, affolée, qui accourut proche de l'enfant. Et voilà que Lovino retrouva son chez-soi. On remercia Antonio, mais celui-ci trouvait son acte évident. Alors il se contenta de rire. On lui proposa de manger avec eux au barbecue de l'hôtel, et évidemment il accepta ! Ce fut un moyen pour lui de rencontrer la famille Vargas, et de rester un peu plus avec Lovino. Mais aussi d'entrer dans un hôtel luxueux, chose qu'il n'avait jamais eu l'opportunité de voir jusqu'à maintenant.
Le repas se passa très bien. Beaucoup de touristes parlaient de bonnes bases d'espagnols, mais c'est d'ailleurs ce jour-ci qu'Antonio comprit que son impossiblité à parler anglais était un handicap. Vers 22h, (car les recherches avaient durées 7 bonnes heures), Antonio remercia les gérants de l'hôtel pour l'avoir inviter après ce geste qu'ils jugeaient comme « héroïque ». Mais avant de partir pour rejoindre sa petite ferme (qui n'étaient d'ailleurs plus qu'à une bonne heure de route d'ici, tant ils s'étaient éloignés de la plage), les parents Vargas proposèrent à Antonio de revoir Lovino pour jouer dehors. Chose qu'Antonio accepta avec joie.

Et c'est ainsi qu'il rentra chez lui, la tête pleine de rire et de chanson (dommage qu'il n'ai pas eu sa guitare ce soir là!), les mains dans les poches et le sourire grandissant à ses lèvres. Et deux jours plus tard, Antonio ré-emprunta ce chemin-ci, pour retourner voir Lovino sur la plage. Au début de ces journées-ci, Lovino et Antonio flanaient. Ils marchaient sur la plage, trempaient les pieds (enfin seulement pour Antonio, car Lovino refusait), tentaient de discuter. C'était assez bizarre, car ils étaient comme deux enfants qui se devaient de devenir amis car leurs parents discutaient sans cesse. Sauf que là, les parents n'avaient pas grand chose à voir avec ça.

Au bout d'un temps, le deuxième jour, après avoir englouti deux bons sandwichs (fait de deux tranches de pain de mie, de tomates coupées, de vinaigre et d'olives), Antonio décida de se mettre à danser. Il avait emmené sa guitare et cela intriguait surement Lovino sans vraiment que ça ai l'air évident. Et les choses vinrent naturellement. 2 heures plus tard, Antonio apprenait au plus jeune les pas de danse basique qu'il avait apprit de sa grand-mère. Alors ils étaient là comme deux idiots, mains dans la mains. L'espagnol tentait de faire tourner l'italien, parfois mais celui-ci s'embrouillait les pinceaux et tombait sur les fesses.

Bref, tout cela avait duré un mois entier, et ce fut un mois inoubliable pour Antonio qui s'était prit d'affection pour Lovino. Il était comme son élève sur certains points (bien que Lovino ne l'acceptait pas), et c'est d'ailleurs ainsi qu'il apprit à comprendre (et non à parler) l'italien. La douceur des journées et soirées d'été qu'ils passèrent ensembles restèrent dans sa tête comme des biscuits qu'il dégustait lorsqu'il se sentait mal. C'était presque un rien. C'était deux enfants au bord de l'eau, pieds nus, qui apprenaient à rire ensemble, danser ensembles. Antonio effaca d'ailleurs de sa mémoire les crises du plus jeune, et ne retint que le bon.

Mais l'été s'achéva, et les Vargas rentrèrent chez eux, en Italie. Mais avant le départ du plus petit, lors de leur dernier jour, Antonio se mit à genoux pour être à la hauteur du plus petit et ainsi, ôta la chaine autour de son cou. Et il lui offrit, le faisant promettre de lui rendre le jour où ils se reverraient. C'était un moyen de se rassurer, de se dire qu'un jour, il pourrait revoir sa petite tête brûlée. Mais c'est ici qu'Antonio perdi la trace de Lovino.

Et les mois d'après ne furent pas de tout repos, croyez-moi. Tout d’abord les colères de son père, qu'il dû accepter, lorsqu'il lui annonça avoir perdu sa chaine en nangeant. Mais fin Août, sa mère lui annonça avec réserve, que leur famille du nord de l'Espagne viendrait habiter à la ferme quelques temps. Les raisons étaient si horribles qu'Antonio les acceuilla évidemment à bras grands ouverts (même s’il n’avait pas le choix, hein). Leur maison avait tout simplement prit feu. Cependant tout ne sembla pas se passer comme prévu. Cette famille lointaine, du côté de son grand-père paternel, était composé d'un vieux monsieur (frère de son grand-père paternel), mais aussi de deux jolies jeunes dames fraichement divorcées, et de quatres adorables enfants (10, 6, 2 et un an et demi). Le monde déjà présent à la maison devaient s’accommoder à la présence de sept personnes supplémentaires. Au début, ce n'était pas si désagréable que ça. Antonio, qui partageait déjà sa chambre avec son frère, du la partager avec les deux plus grands enfants de la famille lointaine, ainsi qu'une des deux dames. Le gamin de 6 ans n'était pas un problème, cependant, celui de 10...

Les premières semaines semblaient à présent sans fin. Avec la chaleur, on étouffait aisément entre les murs de la vieille ferme, et les cris incessants des plus petits commençaient à avoir des effets très mauvais sur l'ambiance générale. C'était souvent qu'Antonio et son frère finissaient par dormir dans le jardin, sur le sol frai de la terasse improvisée. Mais plus les semaines défilaient, plus le temps paraissait long à passer. Et le gamin de dix ans devenait de plus en plus insupportable. Chose notable, il ne se lavait pas, et avait l'incroyable facultée de sentir aussi fort que les écuries des voisins. Il était désagréable avec tout le monde et manquait de respect à la mère d'Antonio.

Un jour d'Octobre, alors que les cours avaient repris depuis peu, Antonio rentra accompagné de son frère. Les enfants de la famille lointaine n'allaient pas à l'école et ils passaient donc la journée à la ferme sans réels yeux pour veiller sur eux (les deux bonnes-femmes occupées à prendre soin des plus petits, ou à aider les parents dans les champs). Lorsqu'il ouvrit la porte, tout était beaucoup trop calme pour que cela soit réel. Et Antonio avait un mauvais préssentiment. Sans savoir pourquoi, ses jambes se mirent directement en route vers le salon et ce qu'il put y voir lui glaça le sang. Les deux plus grands enfants étaient assit au milieu de la pièce, et entre eux se trouvaient Tortuga, sur le dos de sa coquille, se débattant pour revenir sur ses pattes. Sa tête semblait être serrée autour d'un morceau de tissus attaché en un nœud. Elle semblait souffrir, et avoir si peur. Sans aucune attente, il accouru proche d'elle pour la liberer des deux espèces de tyrans. Il la remit sur ses pattes et la déposa sur ses genoux, après s'être assit à terre. Il semblait rassuré, mais bon dieu ce qu'il ne l'était pas. Pour la toute première fois de sa vie, le sang lui montait à la tête, les larmes lui montaient aux yeux, et la moutarde lui montait au nez. Il allait exploser. Et ses membres tremblaient, mais ses gestes ne furent pas hésitants lorsqu'il empoigna le gamin de dix ans par le col et qu'il fit coller leurs front l'un à l'autre. Les quelques secondes suivant se geste furent silencieuses, mais d'un coup, d'un seul, Antonio hurla. Pas un mot en particulier, non, il ne dit rien. Il hurla juste, les yeux plantés dans ceux de son « cousin éloigné ». Et tout éclata autour de lui. Les vieilles vitrines en verre, les cadres photos (heureusement pas les fênetres). Le monde sembla se stopper un dixième de seconde, et alors qu'Antonio aurait souhaiter passer à tabac le garçon en face de lui, ses parents arrivèrent à ce moment-ci, et il tomba dans les pommes.

Lorsqu'il se réveilla, il faisait déjà nuit noire, et la maison était secouée de léger blabla que pouvait entendre le jeune homme, du haut de sa chambre où il dormait étrangement seul. Tortuga était à ses côtés et il ne pu s'empêcher d'en sourire. Elle allait bien. Et cela lui tira une ou deux larmes. Mais bien vite il se redressa et ressentit un long fourmillement le long de ses doigts et de sa nuque. Il parvint à marcher, faisant craquer le bois sous ses pieds, et descendit l'escalier bancale. Toute la famille était là, mais manquait à l'appel la famille éloignée. Il y avait aussi trois hommes qu'il n'avait jamais vu auaparavant, et ceux-ci se tenaient devant la porte. Et lorsqu'Antonio fut à la vue de tous, les discussions céssèrent, et il devint le cenre de l'attention. Il avait Tortuga entre les mains, et celle-ci semblait agitée, ce qui l'inquiéta.

« Petit, approche. » Murmurra son père. Antonio s'appocha donc, et son frère récupéra la tortue. Deux mains se posèrent sur ses épaules, celles de son père qui le regarda dans les yeux. « Ces hommes sont... Du... » « Ministère de la magie. » Intterompit l'un des hommes. Antonio fronça les sourcils, sans comprendre. « Quoi ?... » Bafouillait Antonio. La père semblait avoir du mal. Il marmonna dans sa barbe quelques instant avant de simplement chuchoter. « Je sais que tu vas avoir du mal à y croire, Antonio, mais tu es un sorcier. »

Cette phrase marqua un tournant de sa vie. Un tournant immense. Giganteste, en fait.
Suite à cette soirée, il apprit aussi que sa famille lointaine avait été oublietté (c'était un mot étrange pour dire qu'on leur avait effacé la mémoire). Il apprit aussi que juste avant de s'être évanouit, sa colère avait cassé les vitrines et les cadres du salon, et que quelques minutes après cet incident, trois hommes du ministère de la magie était venus toquer à la porte.
Il fallut vivre avec, ensuite. La famille avait été renvoyé chez eux, où des amis les logèrent. Et la vie redevint à peu près la même qu'avant. Antonio se promit de ne plus jamais s'énerver, car l'évènement avait légèrement traumatisé sa mère et son père -même lui, en fait, car il assimila cette crise de colère par une perte de la raison. Et peu de temps après, son frère aussi découvrit ses pouvoirs magiques, et voilà qu'il n'était plus seul. Ces deux événements pourtant inimaginables et bouleversants pour les parents, devinrent rapidement le sujet de toutes les questions et hâtes de ceux-ci. Ils voyaient tout cela de très bon augure pour la vie de leurs fils, comme un signe que leur faisait Dieu. Antonio aussi le voyait ainsi, une bénédiction, une chance que lui donnait Dieu.

Ils durent donc décider de l'école où irait Antonio et son frère à la rentrée de leurs 11 ans. La plus proche, Beauxbâtons, semblait plutôt correct aux premiers abords, mais les parents refusèrent, de peur que les deux frangins ne se sentent pas à leur place. Ils tombèrent sur l'école d'Ilukaan qui remplit tous les souhaits, à part celui, évidemment, de l'éloignement. Un autre détails dérangeait aussi Antonio. Alors que Beauxbatons était connu pour acceuillir des enfants parlant français, espagnol, portuguais et italien (et même d'autres langues), Ilukaan était une école à la langue anglaise. Alors il fut décidé de trouver un corrrespondant à Antonio, pour qu’il puisse s’améliorer. Il prit donc contact par missive avec une jeune femme du nom de Charlotte Vacker, une belge qui se débrouillait très bien en anglais. C'était un peu tard pour s'y mettre, mais vous connaissez le dicton. C'était assez bancale, et Antonio se sentait désolé pour elle. Elle avait dû s'en voir pour comprendre ce qu'Antonio essayait de dire. Néanmoint cela permit au jeune homme de s'améliorer dans la compréhension.

Les jours passèrent, et après l'obtention de leurs baguettes, vint le temps des au revoir. Et ceux-ci furent très dur pour Antonio. Mais le pire fut de laisser Tortuga derrière. Lui qui avait passé tant d'années avec elle, allait devoir lui dire au revoir chaques années, et la voire grandir sans lui. Car oui, quelle fut le choc lorsque sa mère lui dit « Les animaux exotiques ne sont pas autorisés à ton école, cuajada... » et qu'il avait répondu « mais Tortuga n'est pas un animal exotique, mama... ». Et du coup, il passa la nuit d'avant son départ, dans le jardin, avec sa tortue.

Ses premiers pas à Ilukaan se firent tremblants. D'une dû au stress, mais aussi dû à la nuit qu'il avait passé sans dormir. Tout ça, c'était neuf pour lui. Pendant un long moment, sa baguette ne lui avait semblé être qu'un bout de bois inanimé ! Alors, le ventre babrouillé, la gorgée serrée et le sourire crispé, il s'était avançé pour obtenir le nom de la maison qui l'acceuillerait durant de longues années. Antonio fut admit à Ursirre. Et tout étonné, il se recula, et bouscula le prochain élève à passer. Cela va sans dire qu'il était loin d'imaginer que ce jeune homme aux cheveux mi longs et blonds deviendrait l'un de ses deux meilleurs amis.  S'ajoutant à eux deux, Gilbert, un garçon plus agité que Francis et Antonio. Il avait passé un long moment à le regarder droit dans les yeux, étonnement, après qu'il ai annoncé que lui et son frère étaient les premiers et seuls sorciers de sa famille.
Mais ces trois là surent évoluer ensembles, au fur et à mesure ses années et ce malgré leurs différences! D'ailleurs, bien vite ils devinrent un petit groupe assez connu dans l'école pour être de véritables bout-en-train. Des clowns ! Une bétise à faire ? S'il ne s'y lançaient pas tous les trois tête baissés, l'un d'entre eux s'en acquittait, et les deux autres finissaient par jouer l'avocat du diable.
Ces années furent secouées de pas mal d'embrouilles. Tout d'abord, c'est en troisième année qu'Antonio retrouva Lovino. Lui aussi avait été envoyé ici, dans ce monde magique, bien loin de leur plage. Mais le petit garçon avait bien grandit et avait laissé place à un jeune homme froid et distant, qui ne souhaitait même pas lui adresser la parole... Francis s'engagea dans une relation avec un jeune homme au nom d'Arthur, qui ne semblait pas vraiment l'apprécier. Luciano, qu'Antonio rencontra en quatrième année, eu énormément de problème sentimental avec un certain Alfred. Et a chaque fois, comme pour chaque embrouille qui incluait ses amis, Antonio fût là pour l'aider. Le mettre devant un bon telenovelas, avec un gros pot de confiture de lait et une grosse cuillère. « Et non mais, Maria aurait du quitter Fernando pour sortir avec Juan avant de tomber enceinte de Pedro... » « Bah j'aurais quand même préféré la voir sortir avec Javier, je sais pas j'ai l'impression qu'elle a un meilleur feeling qu'avec Juan. »
Une épaule sur laquelle pleurer pour Luciano, une voix rassurante pour Francis, une oreille attentive pour Gilbert. Antonio était une véritable mère pour ces trois là. Et se faire passer après eux état une chose simple. Cependant, lorsque Luciano sorti avec Lovino récemment, cela fut plus dur à avaler. Il était évidemment au courant que cette relation était pansement, mais pour lui qui avait dû suer sang et eau pour que Lovino daigne lui adresser la parole... C'était quelque peu douloureux, mais il accepta, et comme à son habitude se contenta d'aider à la remise en place du bonheur.

            
Invité
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Anonymous
Sujet: Re: Cariño, pintas en color ~ Antonio F. Carriedo
Jeu 25 Juin 2020 - 18:51
                    
'Tonio ♥ Content de te voir parmi nous ♥♥
J'ai hâte d'avoir un lien avec Lance, OBLIGE.

Des besos ♥
            
Invité
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Anonymous
Sujet: Re: Cariño, pintas en color ~ Antonio F. Carriedo
Jeu 25 Juin 2020 - 19:09
                    
Je serais passé sur le compte de Gil, mais j’ai la flemme...
Contente de le voir enfin sur le fow! J’attend ce Rp Tinder sorcier avec impatience :D
Bon courage pour la validation et BFT BFT BFT BFT!
            
Invité
Invité
Anonymous
Sujet: Re: Cariño, pintas en color ~ Antonio F. Carriedo
Jeu 25 Juin 2020 - 19:24
                    
Lance, c'est avec plaisir que j'ai appris que cet idiot d'espagnol avait été mit dans la même maison que toi- Et même si ça n'avait pas été le cas, évidemment qu'ils nous faut un bon lien! brows
Besooooos ~

Je comprends la flemme, et j'attends ce rp Tinder aussi avec grande impatience... J'espère qu'on réussira à trouver quelqu'un pour notre très cher Gilbert ~ lenny face
BFT BFT BFT BFT BFT <3
            
Francis Bonnefoy
Cervirald
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Cariño, pintas en color ~ Antonio F. Carriedo 630bacaf282141ddea37c4feb0872571
Emportés par la foule qui nous traîne
Nous entraîne
Écrasés l'un contre l'autre
Nous ne formons qu'un seul corps
Et le flot sans effort
Nous pousse, enchaînés l'un et l'autre
Et nous laisse tous deux
Épanouis, enivrés et heureux

ϟ Œuvre : Axis Powers Hetalia
ϟ Parchemins : 711
ϟ Gallions : 172
ϟ Fiche :
ϟ Relations :

ϟ Âge (RP) : 24 ans
ϟ Maison : Cervirald
ϟ Année scolaire : 14ème année
ϟ Titre(s) : /
ϟ Don : /
ϟ Baguette : Bois de charme — 29,5cm — Cheveu de vélane — Flexible
ϟ Cursus : Potions approfondies
ϟ Malle : Jeune pousse

ϟ Autres comptes : Lucifer Hellborn, Tom M. Riddle, Lian Xie, Respen Enneiros, Phoenix Wright
Francis Bonnefoy
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Cariño, pintas en color ~ Antonio F. Carriedo 630bacaf282141ddea37c4feb0872571
Emportés par la foule qui nous traîne
Nous entraîne
Écrasés l'un contre l'autre
Nous ne formons qu'un seul corps
Et le flot sans effort
Nous pousse, enchaînés l'un et l'autre
Et nous laisse tous deux
Épanouis, enivrés et heureux

ϟ Œuvre : Axis Powers Hetalia
ϟ Parchemins : 711
ϟ Gallions : 172
ϟ Fiche :
ϟ Relations :

ϟ Âge (RP) : 24 ans
ϟ Maison : Cervirald
ϟ Année scolaire : 14ème année
ϟ Titre(s) : /
ϟ Don : /
ϟ Baguette : Bois de charme — 29,5cm — Cheveu de vélane — Flexible
ϟ Cursus : Potions approfondies
ϟ Malle : Jeune pousse

ϟ Autres comptes : Lucifer Hellborn, Tom M. Riddle, Lian Xie, Respen Enneiros, Phoenix Wright
Sujet: Re: Cariño, pintas en color ~ Antonio F. Carriedo
Jeu 25 Juin 2020 - 21:30
                    
salsa tequila corazon cerveza muy bueno




De la part des potos:
            
Invité
Invité
Anonymous
Sujet: Re: Cariño, pintas en color ~ Antonio F. Carriedo
Jeu 25 Juin 2020 - 22:04
                    
Yeeeeees le meilleur boule d'Ilukaan ! brows

Grave hâte de te voir rp en Tonio, cariño blobaww
            
Arthur Kirkland
Lupy
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Cariño, pintas en color ~ Antonio F. Carriedo 01b0b4d6c056793661de7911b6394e34
Beware of my grumpy hissing.

ϟ Œuvre : Axis Powers Hetalia
ϟ Parchemins : 729
ϟ Gallions : 549
ϟ Relations : I won't miss anybody.

ϟ Âge (RP) : Vingt-deux ans.
ϟ Maison : Lupy
ϟ Année scolaire : 12ème année
ϟ Titre(s) : /
ϟ Don : Fourchelang.
ϟ Baguette : Bois de noyer, crins de licorne – 30 centimètres – Assez rigide.
ϟ Cursus : Justice Magique
ϟ Malle : Un carnet dans lequel il note ses observations quotidiennes ▬ un casque-écouteurs moldu ▬ un kit de broderie ▬ de nombreux romans d'horreur et policiers.
ACHATS :
- Larmes d'hermaphrodite.
- Potion démange.

ϟ Autres comptes : Belphegor Hellborn — Kainé Doherty — Hajime Hinata — Tamaki Suoh — Razor Hrodwulf — Franziska von Karma — Goro Akechi
Arthur Kirkland
Image du profil : Cariño, pintas en color ~ Antonio F. Carriedo Czgg
Cariño, pintas en color ~ Antonio F. Carriedo 01b0b4d6c056793661de7911b6394e34
Beware of my grumpy hissing.

ϟ Œuvre : Axis Powers Hetalia
ϟ Parchemins : 729
ϟ Gallions : 549
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ϟ Âge (RP) : Vingt-deux ans.
ϟ Maison : Lupy
ϟ Année scolaire : 12ème année
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ϟ Don : Fourchelang.
ϟ Baguette : Bois de noyer, crins de licorne – 30 centimètres – Assez rigide.
ϟ Cursus : Justice Magique
ϟ Malle : Un carnet dans lequel il note ses observations quotidiennes ▬ un casque-écouteurs moldu ▬ un kit de broderie ▬ de nombreux romans d'horreur et policiers.
ACHATS :
- Larmes d'hermaphrodite.
- Potion démange.

ϟ Autres comptes : Belphegor Hellborn — Kainé Doherty — Hajime Hinata — Tamaki Suoh — Razor Hrodwulf — Franziska von Karma — Goro Akechi
Sujet: Re: Cariño, pintas en color ~ Antonio F. Carriedo
Ven 26 Juin 2020 - 13:18
                    
LA BAGARRE !!!!!!!!!

Cariño, pintas en color ~ Antonio F. Carriedo Tenor




Résumé du RP Duel, merci Griselda ♥:

Merci Kikki ☆:
            
Invité
Invité
Anonymous
Sujet: Re: Cariño, pintas en color ~ Antonio F. Carriedo
Ven 26 Juin 2020 - 16:02
                    
Je n'ai qu'une chose à dire
ehhhhehhehe
            
Invité
Invité
Anonymous
Sujet: Re: Cariño, pintas en color ~ Antonio F. Carriedo
Sam 27 Juin 2020 - 11:59
                    
Francis > Muy bien Francis, Cuajada lenny face

Lukas > Hehehe hâte de pouvoir développer un lien avec toi Norge brows

Arthur > BASTON BASTON BASTON!!! uzhuzhgueug

Lovino > Je pense que c'est la bonne réaction à avoir wigglebrows
            
Vincent Leroy
Ex-Directeur
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Cariño, pintas en color ~ Antonio F. Carriedo Giphy.gif?cid=790b761108e1a83549324e2d696a8fad756854bd3893cdd4&amp;rid=giphy
Comment appelle-t-on un chat qui chante?
Chat-kira.

ϟ Œuvre : Original Character
ϟ Parchemins : 1709
ϟ Gallions : +infini
ϟ Fiche : Ici
ϟ Âge (RP) : 51 ans
ϟ Année scolaire : PNJ
ϟ Titre(s) : Ancien Directeur d'Ilukaan — PNJ
ϟ Don : Être plus fab que toi
ϟ Baguette : Vigne, coeur en plume d'oiseau tonnerre, 30,45 centimètres. Avec un joli strap dessus.
Vincent Leroy
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ϟ Parchemins : 1709
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Sujet: Re: Cariño, pintas en color ~ Antonio F. Carriedo
Mar 30 Juin 2020 - 23:22
                    
Anto est parmi nous, la fiesta (ou la siesta) peut enfin commencer !

Message du staff
Bienvenue à Ilukaan !
Validation

Accompagné par d'autres nouveaux élèves, tu es appelé par le directeur à t'avancer au centre du Dôme. Scruté par les élèves et étudiants, tu regardes alors ton reflet dans la fontaine qui va décider de ton sort. D'abord voyant ta sale tête dans l'eau, tu remarques que le reflet semble se changer peu à peu jusqu'à prendre la forme d'un ours.  Tu es d'autant plus surpris quand l'animal commence à pousser un cri dans toute la salle. Tout le monde se met soudainement à t'applaudir, tandis que le directeur s'approche de toi avec un saphir brut qu'il met autour de ton cou.

"Bienvenue à Ursirre !"

→ Te voilà validé, tu peux désormais poster dans tous les recoins du forum, RP-Post ainsi que RPCB.

→ N'hésite pas à voir la chambre qui t'a été attribuée.

→ Si ton personnage est en cursus universitaire, il peut postuler pour avoir un job d'étudiant.

→ Crée dès maintenant un topic pour récapituler les relations de ton personnage. Tu peux également acquérir un portable ou bien créer un blog.

→ N'hésite pas à faire une demande de RP pour trouver un partenaire d'écriture !

→ Enfin, amuse-toi bien sur le forum,  n'hésite pas à en parler autour de toi et à voter régulièrement aux TS !

            
Contenu sponsorisé
Sujet: Re: Cariño, pintas en color ~ Antonio F. Carriedo
                    
            
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