ILUKAAN est un forum MULTIFANDOM dans l'univers d'Harry Potter.
Ilukaan est une école de magie internationale se situant en Nouvelle-Écosse au Canada.
L'histoire se déroule en 2024, mélangeant magie et technologie.
Vous pouvez jouer des personnages de manga/anime, jeux vidéos, films d'animation, dessins animés, romans jeunesse ou encore un OC.
L'intrigue se fait à la fois en RPCB et RP-POST.
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We are the envy of the gods above | Peter Gougnuf [Done]
Invité
Invité
Anonymous
Sujet: We are the envy of the gods above | Peter Gougnuf [Done]
Ven 21 Fév - 23:18
                    
Peter Gougnuf


OC
Identité
Gougnuf (de "gougnafier")
Peter (Pity)
22 ans
Breton (Français)
Parle français, anglais, et un peu de breton
Né le 22 février 1999 à Saint-Brieuc
Roux (feat quelques mèches blanches tmtc) aux yeux bleus
1m73 pour 64 kg
Voiceclaim (Andrew Keenan-Bolger)
Who am I...?
Peter est un sorcier sang-mêlé (élevé sang-pur) appartenant à la maison Strixyst et en 12ème année. Il suit le cursus des Sciences Occultes. Il possède le don d'être roux. Il n'occupe aucun poste.

Sa baguette est faite de pin, avec un cœur en plume de phénix, d'une longueur de 31 cm, très flexible. Son animal de compagnie est mort - lui-même.

Son patronus est un corgi. L'odeur de son Amortentia est composé de pâtée pour chien, de sueur et de thé à la verveine. Son reflet dans le miroir du Riséd est lui-même, cape au vent et chevauchant une licorne, craint et connu de tous comme étant le pire mage noir du siècle. En plissant les yeux, on pourrait remarquer un porte-bébé sur son torse. Son Épouvantard prend la forme de Poum-Poum-shhh, la "folle sans jambes".

Il n'a pas de famille présente à Ilukaan. Sa matière favorite est l'étude de la magie noire et blanche et la matière qu'il aime le moins est la divination.
Derrière l'écran
Pseudo & pronoms :
Poppy (elle/iel/ael)
Souhaites-tu être parrainé·e ?
Nope
Avatar : Zyrak de VelnnaCode du règlement : ProutComment as-tu trouvé le forum ?
Derrière un macdo
Un petit mot ?
jvm
headcanons
Il fait croire à qui veut l'entendre que c'est un vampire (parce qu'il trouve ça cool) • Crame tout aussi bien qu'eux au soleil • Il porte une prothèse dentaire pour simuler des crocs et zozote un peu à cause d'elle •  Avant ça, il utilisait des fausses dents d'Halloween, mais il a fini par arrêter à force de les avaler • Il est un grand fan de 50 Nuances de Grey et de Dawn (Twilight) • Veut soulever Jacques (Jacob) • Aussi gay que gai • Est très ouvert sur sa sexualité, et sur la sexualité tout court • Polyamoureux • Il défendra la pizza hawaïenne jusqu'à sa mort • Peut-être ou peut-être pas un furry • Joue du kazoo, un peu de cornemuse et du piano • Achève chacune de ses prestations d'un faceplant dramatique dans le clavier • Très bon cuisinier si vous aimez les expériences • A fait de la gymnastique et de la danse classique durant toute son enfance • Ferait pleurer Cristina Cordula avec son style vestimentaire • Sait parfaitement comment bien s'habiller, mais n'en a pas envie • A un tatouage "YOLO" en Comic sans MS dans le bas de son dos et le symbole de la marque Monster sur le torse • Porte parfois un vieux collier de chien • Involontairement raciste à l'égard des nés-moldus • Est toutefois passionné par leur vision des créatures et de la magie (voir Twilight) • Daddy kink • Monte les escalators à contre-sens pour montrer qui commande (aka lui) • Se soigne à la lithothérapie (la "magie des moldus") et collectionne les pierres précieuses • Est donc souvent malade • A besoin de câlins. Tout le temps. Par tout le monde • N'a jamais eu de relations durables • Dort très peu et emmerde ses camarades de chambre la nuit • Peut mettre son poing dans sa bouche (c'est pas important, mais maintenant vous savez) •  A un temps d'attention de 10 secondes quand il s'ennuie, de 2 quand ce sont des sujets sérieux (donc barbants) • Maîtrise une majorité des danses Fortnite • Si vous lui demandez d'attendre quelque part et que vous mettez trop de temps à revenir, il dansera le floss et ce sera de votre faute • A la phobie du sang et redoute les psychomages • Refuse farouchement d'enterrer le dab • A un goût très prononcé pour les mauvaises blagues qui ne font rire que lui • Fait primer son amusement sur son instinct de survie • Forme sa petite famille "de coeur" en adoptant les gens (avec ou sans leur accord, vous aviez qu'à dire oui)
« Let's get mischievous and polyamorous »
« Oh I was hit as a kid, I was good but then I quit. Everyone that tried to fix me... »
De chenille à papillon, de Poil de carotte à l’énigmatique prince de la nuit Dracula, toi aussi apprends à te métamorphoser en moins de dix années d'existence avec le rejeton rejeté de la lignée Gougnuf. Arrivé à Ilukaan avec de belles vagues rousses et de grands yeux bleus brillant d’innocence, Peter a progressivement altéré son apparence en fonction de ses nouvelles lubies : de petit rouquin à blondin ondulé, puis finalement mystérieuse créature auburn, tout pour que chacun et chacune décèle le vampire qu'il cache au plus profond de lui. Ou du moins, un dont il reproduit l'allure selon l'imaginaire des moldus, plus vaste et amusant aux goûts du concerné qui ne lésine pas sur les moyens pour atteindre son objectif. Sagement séparés par une raie au milieu, sa chevelure mêle l'orange et le blanc de sa dernière teinture, éhontément inspirée de l'un ses modèles, l'homme qu'il appelle son "papa". Ses mèches ont peu à peu repoussé jusqu'au-dessous de ses épaules pour ne pas prendre le risque de le gêner dans ses activités sportives, à l'exception de celles retombant de chaque côté de son visage par pur soucis d'esthétisme. Un vampire avec une coupe au bol ? Aussi amoureux puisse-t-il être de l'excentricité, Peter n'en est pas -encore- arrivé à ce point, et a donc préféré préserver ses vaguelettes à son passage chez le coiffeur.

Les joues du Strixyst se vantent d’une myriade de taches de rousseur, qu'il dissimule savamment chaque matin sous une fine couche de fond de teint pour ne pas trahir l'origine de la blancheur porcelaine de sa peau. Fine et fragile, elle oblige le breton à s’esquiver des rayons du soleil pour ne pas risquer de rougeurs disgracieuses, poussant parfois ce dernier à se balader sous l’ombre d’un somptueux parapluie corgi. Les ombrelles sont des accessoires vus et revus, qu’il vous dirait  – pire encore, elles ne sauraient l’amuser plus de dix secondes avec leurs motifs délicatement fleuris. Au milieu de ce cadre blafard ressort la lueur azur d’une paire de yeux bleus, mise en valeur à l’aide de quelques passages de mascara sur les cils qui les ornent.

Au grand dam de son équilibre mental et de son compte bancaire, Peter porte une prothèse adaptée à sa dentition depuis plus de deux ans, après avoir essuyé moult refus de dentistes quant à son idée de se faire limer de dents. Nul besoin de colle ou de substance quelconque pour faire tenir ses crocs factices ; toutefois, ceux-ci n’étant pas assez solides pour servir à la mastication –  moins encore pour mordre ses camarades, ce qui devrait être un soulagement pour la Terre entière –  Peter se voit ainsi forcé de les retirer lors des repas pour ne pas les abîmer. Son élocution en ressort améliorée, quand bien même le rouquin se moque éperdument de zozoter : les gens se sont suffisamment plaints de sa voix nasillarde pour se dire qu’il n’est plus à ça près. Plutôt aiguë, elle transpire d’énergie et retentit à grands éclats dans chaque pièce dans laquelle le petit vampire a le malheur de se trouver – si vous voulez préserver vos oreilles, deux solutions s’offrent à vous. Fuir ou... l’assommer, car Peter ne fermera Ô grand jamais son bec pour vos beaux yeux.

Par ailleurs, s’il me faut vous donner un nouveau conseil, il serait mieux pour vous de les protéger : la garde-robe du Stryxist pourrait rendre aveugle quiconque l’aurait dans son champ de vision. Non pas qu’il ne sache pas se créer son propre style, mais il semblerait que chaque tenue soit choisie avec réflexion pour s’assurer de faire sauter les rétines de ses camarades. Criardes et flashy, elles marient exubérance et sensualité pour enfanter du démon qu’est Peter, qui se veut sexy tout en portant un costume digne d’un clown. Et si des descriptions ne suffisent pas, disons que le sang-mêlé paraderait avec fierté dans les tenues portées par l’héroïne de Birds of Prey. En d'autres termes, le jeune Gougnuf incarne à lui seul la rencontre infortunée entre le Carnaval et Halloween que personne n’a jamais réclamée, mais que tous – hélas ! auront à regarder. Sauf Terezi, bien entendu.
En dépit de son affligeante réputation – et de sa première version –, Peter n'est pas tout à fait la plus grosse dinde de Thanksgiving, comme semblent le prétendre les racontards. Bien que son énergie et son imagination débordantes puissent être perçues comme une incapacité à entrer dans le monde adulte, la cervelle du Strixyst est bien loin de s’atrophier sous la stupidité. L’on pourrait lui reprocher de ne pas faire bon usage de cette dite intelligence, et ce ne serait pas un mensonge : car si le rouquin est rusé pour se tirer des embrouilles, difficile de ne pas le croire stupide en le voyant y plonger les deux pieds devant dès que l’occasion se présente. Assez mesquin en plus d’avoir bénéficié d’une éducation de la haute, il sait singer la noblesse d’âme pour dissimuler ses intentions (souvent inoffensives, mais presque tout le temps agaçantes) ou se faire passer pour plus innocent qu’il ne l’est, en particulier s’il vient de faire une connerie. A partir du moment où Peter commence à pavaner ses plumes tel un immense paon d’1m73 et à se montrer un tant soit peu respectable (et respectueux),  estimez simplement qu’il vient de péter votre vase préféré ou d’écrire à l’indélébile sur votre écran d’ordinateur. Ça ira plus vite pour vous comme pour lui.

Aisément perturbé par l'afflux d'informations que lui renvoie son environnement, sa concentration s'avère volage ; c'est d'ailleurs pour cela qu'il n'est pas rare de l'entendre passer du coq à l'âne et de la queue au groin au cours d'une conversation. Inutile de préciser que discuter avec lui est une épreuve que l'on n'oublie pas de sitôt. Son débit de parole est effroyablement vif et sans pauses réelles, tandis que sa cervelle de moineau surchauffe tout du long en quête de blagues et calembours à placer. Et aussi mauvais soient-ils, les filtres n'existent pas dans le monde du Peter qui est toujours fier de faire marcher sa matière grise ; vous les subirez donc avec le sourire (pour ne pas le vexer), et le seul moyen d'y mettre un terme est tout simplement de ne plus fréquenter le Strixyst. Rien de bien compliqué en théorie... si on ne prend pas en compte le fait que ce type peut se montrer pire qu'un Cognard. Une fois attaché à vous, le sorcier vous poursuivra tel un chiot en manque d’affection et peut quelquefois donner l'impression d'être émotionnellement dépendant d'autrui, à chercher constamment votre validation et votre attention. A partir de là, il sera facile d'en faire ce que vous voulez, puisque ce n'est pas un homme capable de vivre seul ; il a besoin de se sentir aimé, de distractions et d'action afin de pimenter son existence, et l'en priver reviendrait à ôter tout le bonheur qu'il ressent du fait d'être en vie. Et personne ne veut ravir ce petit bonhomme du rictus qui  décore son joli minois.

En digne imbécile heureux, le breton semble avoir banni le malheur de sa vie et tient fermement à répandre la joie sur son chemin, quand bien même elle ne serait pas voulue, ou adaptée à la situation. Votre père est mort ? Peter fera tout son possible afin de vous voir sourire, que ce soit de gré ou de force ; après tout, n'êtes-vous pas plus beau ou belle -et moins gênant(e)- ainsi ? De par cet aspect de sa personnalité, il n'est pas rare que le sorcier se fasse traiter d'insensible. Ce qui n’est pas tout à fait vrai -- mais pas entièrement faux non plus. Voyez-vous, le Strixyst n'est pas dépourvu d'empathie, mais disons qu'il ne brille pas par celle-ci. La pauvre créature fuit face aux affaires sérieuses et essaie toujours d'alléger l'ambiance à défaut de savoir comment se comporter, tel un clown ne voulant pas voir que le cirque a fait faillite. Le déni est ainsi son meilleur ami : son chien n’est pas mort – il est devenu son patronus. Son père ne le méprise pas – il en a trouvé un deuxième, de cœur, pour compenser l’échec du premier. Il n’est pas un humain ennuyeux n’ayant rien de spécial dans le monde dans lequel il se trouve – c’est un vampire, ou du moins, il s’amuse à le dire. Et peut-être à le croire, de temps en temps.  Les rêveries ont du mal à prendre fin au lever du soleil, dans l’univers distordu de Peter.

La franchise est toutefois son fer de lance : si vous faites quelque chose qui l'impressionne ou détenez des qualités qu'il envie, il sera le premier à en faire les louanges. Cela dit, n'allez pas croire qu'il vous caressera constamment dans le sens du poil. Si d'autres aspects de votre personne le dérangent, vous serez les premiers au courant. L'honnêteté n'est-elle pas la base de toutes les relations ? C'est du moins ce que Peter pense - et personne sur Terre ne peut changer ses convictions. Une mule ne ferait pas le poids face à lui : il hoche la tête et hausse les épaules, mais n'écoute jamais rien s'il estime être dans le juste. Ce qui est souvent le cas, à l'entendre. De ce fait, il peut alors se montrer de très mauvaise foi, en plus d'être mauvais perdant. Naturellement attiré par l'interdit et aussi facilement provoqué que provocant -de bien des façons *wink*-, le sorcier brave les règles avec une nonchalance déconcertante tout en riant aux éclats face aux tempéraments coléreux [si si, ça existe, j’ai vérifié] : Enervez-vous sur lui et il vous poussera à bout jusqu’à ce que la situation dégénère, à moins que vous n’ayez l’immense patience de ne pas le claquer. Ce qui serait préférable, puisque selon la situation et la relation qu’il entretient avec votre personne, le breton pourrait, disons... très mal réagir. Complètement déstabilisé par la violence crue et brute, qu’elle soit verbale ou physique, Peter peut virer du tout au tout et répliquer avec une rage le rendant méconnaissable.

N’ayant pourtant pas la carrure pour terrasser un homme à mains nues (ou une femme, Peter ne voit les genres que dans son lit), le Strixyst ne recule nullement face à l’adversité et est le premier à sauter sur le dos de quiconque aurait eu l’audace de le provoquer.  Il n’y a toutefois pas grand-chose à craindre de sa part : son poids plume le rend aisé à repousser tandis que sa prothèse l’empêche de mordre les gens… mais si un jour vous le voyez la retirer, il est possible que ce dernier ait en tête de se la jouer 100 % gobelin sur vos chevilles. Méfiance est donc de mise, en particulier si vos nerfs ont été conçus en coton. Sans être foncièrement hargneux, Peter n'aurait néanmoins pas le luxe de se proclamer bon. En dépit de ses sourires et de sa perpétuelle bonne humeur, il demeure un homme émotionnellement instable avec un certain penchant pour la manipulation (innocente, ceci dit), s'il lui arrive de découvrir des failles chez ses camarades. Faisant échos à son manque de maturité, son égoïsme l'incite souvent à délaisser les sentiments d'autrui si cela peut le distraire lors de ses périodes d’ennui.

Il faut donc rester prudent et ne jamais oublier que cet homme n'est rien de plus qu'un enfant ayant oublié de grandir. Et, comme tout bon gamin, le gougnafier se veut facilement frustré : dites-lui non une seule fois sans lui donner une explication satisfaisante et, s’il ne peut vous convaincre, il réussira au moins à vous emmerder à grands renforts de râles et de soupirs appuyés. En soi, nous pourrions comparer Peter à un grand huit : vif, bruyant et instable dans l'humeur, il rentre dans le tas et déconcerte ceux qui le fréquentent - ce pour quoi il vaut mieux s'armer de courage avant d'entrer dans sa vie.
« ... Knows that I can't change a bit. I've got no shame, got no pride, only skeletons to hide »
Mon histoire prend place dans le berceau des légendes. Je parle bien sûr de la Bretagne : On y connaît le Yeun Elez, Mona, Katell Gollet, l'Ankou, le Kouign-Amann... et bientôt - si tout se passe comme prévu - Peter Gougnuf, le plus vampirique de tous les vampires. Il faut juste attendre qu'ils inscrivent mon nom dans la liste ; vous verrez, ils le feront tôt ou tard, il faut juste s'armer de patience et tout vous coulera dans le bec. Normalement. Mais passons, ce n'est pas pour ça que l'on m'a fait venir ici : avant de parler de légende, autant commencer par poser les bases de mon histoire. On ne fait pas de pizza sans pâte, après tout !

Ma petite bouille d'ange s'est faite expulser le vingt-deux février 1999 après neuf mois de loyer non-payé dans l'utérus maternel, faisant ainsi de moi un glorieux... Poisson ! Cette information ne vous servira absolument à rien - je le sais, vous le savez, mais si j’ai l’air bizarre à vos yeux, dites-vous que c’est parce que je suis croisé truite. J’étais une jolie prise de trois kilos que pourtant personne n'avait voulu sortir des eaux, mais ma venue au monde était le kinder surprise que le Destin avait réservé à ma famille - ma propre mère comprise. J'étais le menu gratuit à récupérer avant le mois de Septembre, le 2 produits achetés, un troisième offert, la potatoes dans le sachet de frites. Bref, j'étais Peter, l'accident. Je sais : ça sonne négatif, et ça pourrait l'être si je n'avais pas appris à l'admettre, à l'accepter puis à l'embrasser. Car vous savez quoi d'autre est un accident ? Le Nutella. Et tout le monde aime le Nutella, même ceux qui disent que c'est trop gras et/ou que ça déforeste des... ben, des forêts. On ne déforeste pas des montagnes après tout. Bref. Un point pour Pity, zéro pour la vie, on reprend avant que je ne perde la pelote. Même si ma création n'était pas un désir brûlant du côté parental de la Force, pour ne pas dire qu’ils auraient dû en mettre une deuxième,  leur inclinaison vers les partis politiques de droite et leurs conflits moraux concernant l’avortement permirent au bout de mon nez de pointer comme une boule de pétanque sans trop d’encombres sur le chemin.

Et là... le choc.  Il m’a regardé, je l’ai regardé, il m’a regardé, je l’ai regardé, il est parti.  A peine étais-je sorti que mon père en avait fait de même, en beuglant presque tout aussi fort que moi que j'étais le portrait craché d'un certain Didier qui, dans des termes plus polis, était pour le moins peu fréquentable. Mais très fréquenté. J’avais à peine quelques minutes que mon existence embarrassait déjà la famille, mon talent semblait tenir de ma naissance. A sa sortie de la maternité, mon frère m'avait raconté que la tension électrisait tellement leurs conversations qu'au bout de quelque temps, ils cessèrent même de se regarder. Mais, par lassitude ou par besoin de maintenir leur réputation intacte, les deux refusèrent de divorcer, restant ensemble en dépit de cet amour qu'ils ne partageaient plus. C'était un peu comme une très mauvaise pièce de théâtre où tous les comédiens se font huer, sans que personne ne se décide à faire tomber le rideau pour sauver le peu d'estime restant de la troupe. Et même s'ils ne l'ont jamais exprimé dans ces mots, je sentis bien assez tôt que j'étais tenu pour responsable, pour toutes ces petites choses qui n'allaient plus dans la famille. Parfois, y a rien à dire, tellement l'évidence est sous notre nez.

L'idée que mon père puisse ne pas m’aimer ne m'avait jamais traversé l'esprit, gamin ;  pour moi, il était simplement un homme difficile à rendre heureux comme plein d'autres parents. Il suffisait juste de faire mieux, d'être mieux. Je voyais bien que mon frère Oscar ne pataugeait pas dans la semoule comme je le faisais, mais le sous-développement de mon cerveau m'avait guidé à la conclusion que c'était parce qu'il était de dix ans mon aîné : il devait avoir compris la technique avec le temps, tout comme je le ferais en grandissant. En attendant, cela ne m'empêcha pas de lui vouer une profonde jalousie pour toute cette attention qui n'était pas dirigée vers moi. Plus intelligent, plus grand (c'était facile à l'époque) et plus beau que moi (ça moins), il était l'Abel de mon Caïn, le Batman de mon Robin, le nuage obèse devant mon soleil... Jour et nuit, je priais tous les dieux de la Terre pour qu'une bourrasque l'éloigne de moi pour de bon, de façon à ce qu'on puisse enfin me voir. Aujourd'hui encore, je me souviens du regard débordant de fierté de mon père, le jour où il lui déclara qu'il comptait devenir Auror, tout comme lui - ce que je m'empressai de répéter pour obtenir la même réaction de sa part. Mais rien. Sa tête ne tourna même pas dans ma direction ; il était bien trop occupé à discuter des projets de mon frère pour prêter attention à moi.

Bien trop effrayé à l'idée de faire honte à ma mère et de perdre l'affection-fantôme de mon père, je fis de mon mieux jusqu'à mes dix ans - le temps qui m'avait pris à réaliser que tous mes efforts ne me menaient que vers un cul-de-sac et non vers l’acceptation rêvée de ma famille. Sous la frustration cumulée au fil des années, j'envoyais valser la danse ainsi que le piano, préférant plutôt faire voler les meubles dans toute la maison réduite contre son gré en micro-parc d’attractions. Je me sentais comme un chien enragé et blessé qui grognerait à plat ventre sur les voitures passantes, utilisant ma magie pour des conneries sans me douter qu'elle aurait pu blesser quelqu'un. Après tout, réfléchir n'a jamais été mon fort, mais à mes dix ans ? Ma cervelle était plus proche d'une purée à grumeaux que de mon solide chewing-gum actuel. Mes parents, dans leur grand savoir sur la psychologie prépubère, tentèrent pendant un temps de canaliser ces crises - à leur manière, puisque c'était la seule et la bonne - mais les cris, les gifles et les psys avaient sur moi l'effet d'un seau d'essence jeté sur un incendie.

Puis je ne sais plus trop comment ni pourquoi, un canapé vola trop loin ou trop vite ou tout court, et un jappement plaintif me fit m'étrangler sur place. Je cessai aussitôt de lutter contre Oscar qui tentait de me maîtriser, pour jeter un regard vers la source du bruit. La raison de mon effroi était relativement simple, puisque j'avais un chien, à l'époque. Un très gentil corgi que n'importe qui aurait aimé, et que j'avais appelé Terminator car il mangeait toutes ses peluches - mais là n'est pas un sujet sur lequel je tiens à m'étendre, d'autant plus qu'il n'est pas très intéressant. Bref. A ce moment-là, je n'osai ni m'approcher du canapé ni appeler son nom, par peur de n'avoir qu'un silence en retour. Sans chercher à écouter ce qu'on me disait, je m'enfuis en courant dans ma chambre, comme poursuivi par une horde de démons ; après tout, qu'est-ce qu'ils auraient bien pu m'annoncer de plus alors que je venais de balancer un trois-places sur la truffe de mon chien ? A part qu'il était mort, il n'y avait rien à dire.

Les jours qui suivirent, je ne sortais de ma chambre que dans l'unique but de combler les besoins naturels de mon corps (que je ne décrirais pas pour le bien de la poésie) voyant sans le moindre mal que mes parents, tout comme mon frère d'ordinaire si conciliant, me tenaient rancune pour cet ultime pétage de câble. Il n'y en eut pas d'autres par la suite, puisque j'avais pris pour résolution de m'isoler dans mon coin pour me cogner la tête contre les murs jusqu'à retrouver la sérénité du Bouddha. Une bonne chose pour ma famille, une mauvaise pour mes neurones, mais au moins, je ne faisais de mal à personne - ce qui semblait, selon moi, essentiel au retour d'une bonne ambiance. Mais comme toujours, j'avais vraisemblablement tort puisque rien ne s'arrangeait en dépit de mes efforts. Moi qui me plaignais du peu d'attention que m'offrait ma famille me retrouvais bien con, maintenant qu'ils n'avaient que mes derniers méfaits aux lèvres. Au final, je pris la décision de les mettre au pied du mur lorsque l'occasion se présenta.

A l'aube de mes onze ans, je demandai à rejoindre Ilukaan, une école canadienne aperçue sur un des prospectus défraîchis que mon père avait rapportés pour aider Oscar à trouver son école. Pourquoi se contenter d'un pensionnat quand on peut carrément changer de continent, après tout ? Dans l'idée de tester leur attachement à mon égard en me laissant contredire, j'alignai tous les arguments possibles et inimaginables, allant jusqu'à dire que le bleu des Beauxbâtons jurerait beaucoup trop avec la rousseur resplendissante de mes cheveux et qu'un changement de décor pouvait être bénéfique pour mon "équilibre mental", comme disaient les psys. Ni une ni deux, ils me poussèrent limite dans le portoloin avec tous mes bagages, et laissèrent ma grande-tante s'occuper du reste. J'en fus assez vexé, qu'on ne tente pas même de me retenir ou de discuter de mes projets, ne serait-ce que pour préserver les apparences d'une famille unie. Je ne voulais pas forcément qu'ils m'attrapent par la jambe en me suppliant de rester avec eux, mais au moins... quelque chose. N'importe quoi. J'ai demandé à partir, ils ont dit au revoir, et j'étais désormais chez Tata Monique, une sang-mêlée tout comme moi. Elle était déjà plus sympa qu'eux, me prêtait ses livres et me garda le temps des grandes vacances pour être prêt pour la rentrée.

Chez elle, je me découvris un profond intérêt pour la lecture moldue, même si elle arrachait certains livres de mes mains lorsqu'elle me surprenait à baver devant les pages. C'était pas pour moi, qu'elle disait la dame. Plus tard peut-être, qu'elle rajoutait la dame. Celui qui attira le plus mon attention s'appelait Dawn ; il contait la romance trépidante entre une humaine et un vampire qui brille, avec un triangle amoureux avec un loup-garou aux beaux pectoraux saillants -- bref, de la grande littérature que je pouvais lire et re-lire et re-relire sans finir avec un oeil qui dit merde à l'autre, même si c'était très hétérosexuel. Y a aucune lecture de parfaite, vous me direz. Les vampires des moldus étaient assez différents des nôtres : pour commencer, ils ne brûlaient pas au soleil et faisaient du baseball en famille, deux choses qui m'étaient impossibles de par ma condition de vilain petit canard roux. Ce fut alors le début de la Révélation. Pas le bouquin - la mienne. J'allais devenir un emo tout comme Eddie, puisqu'il était trop cool. A mon arrivée à Ilukaan, j'avais ainsi troqué mes jolies tenues princières pour un accoutrement plus proche de mes aspirations.

On me trouva bizarre dès le premier jour, mais j'étais tout de même content d'avoir choisi cette école. En dépit du nom de ma maison qui était difficile à prononcer, plus encore avec mes fausses dents, la pierre des Strixyst luisait d'une jolie teinte violacée qui inspirait mystère et grappe de raisin ; j'étais de ce fait très fier de l'exhiber à ma ceinture. Ma scolarité se passa plutôt bien par la suite en dépit de ma difficulté à rester concentré, en particulier lorsque je commençai à m'intéresser aux garçons de ma classe. Excellent en pratique, un peu boiteux en théorie, je gardai des notes relativement bonnes sans avoir à me fouler et me dirigeai vers le cursus de Sciences Occultes quand il fallut faire un choix. Ce qui m'intéressait le plus était, sans grande surprise, l'étude de la magie noire. C'était noir, c'était sombre - bref, c'était forcément cool, et en plus ça allait dissuader certains de se moquer de mes dents en plastique. De toute façon, je ne tardai pas à les remplacer après l'avoir vu, lui. Melanthios Black, aka Tonton Mentos. Vous savez qu'il est cool parce qu'il a Black comme nom de famille.

Il était un professeur de l'école (il l'est toujours, à part si on l'a viré pendant que je raconte ma vie) et n'avait pas vraiment piqué mon intérêt avant cet événement pour cette seule et unique raison. L'événement en question ? Le bougre avait baillé sans couvrir sa bouche. Plus choqué de ce que je pus y voir que par ce manque total de manières, je m'exclamai avec toute la fougue dont j'étais capable qu'il était un vampire, un vrai. Pas comme moi. Désemparé, il essaya tout d'abord de se défendre - après tout qui ne l'aurait pas fait - mais je n'étais pas dupe, que non. Ce jour-là, j'avais décidé de ne plus être con. Alliant mes trois neurones pour piéger l'animal, je battis des cils pour qu'il m'apprenne à devenir comme lui et lui proposai de me mordre, au cas où ça fonctionnerait. Naturellement, il m'envoya chier, alors à la place, je me contentai de lui demander si je pouvais dire qu'il était mon oncle, au risque que ma découverte ne s'ébruite dans les couloirs. Et là bam. Un oui. Comme quoi, il faut aller loin pour que les autres soient raisonnables. Ayant désormais un modèle vivant sous la main, je me teignis les cheveux en blonds platine pour me rapprocher au mieux de son allure, mis des lentilles rouges et puisai dans mon argent de poche pour me faire poser une prothèse, même si cette dernière me faisait encore plus zozoter que les dents en toc. Mais il faut souffrir pour être belle - dicton qui ne m'a pas empêché de yeet le tout (sauf mes dents) quand mes cheveux ont commencé à tomber en nuée et que mes yeux enchaînaient les combos en matière de kératites. Pas d'bol.

La morale de mon histoire, maintenant que vous êtes arrivés à la fin ? Toujours mettre sa main sur sa bouche, en particulier quand on est un vampire. Ou dormir pour ne pas bailler - c'est toujours bien d'avoir un bon rythme de vie, dans la... vie.
(c) Ilukaan
            
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Sujet: Re: We are the envy of the gods above | Peter Gougnuf [Done]
Ven 21 Fév - 23:29
                    
Animal de compagnie : Pâtée pour chien.
Pour qu'on s'en souvienne pour toujours.

Le retour de Peter ptn... 😭 be gay do crimes mon fils. Mais pas trop. Et arrête d'avaler les dents en plastique. Il lui reste un long chemin à parcourir avant d'être un vampire exemplaire...

En bref je l'aime et bon retour à Peter 💖 ❤ <3
            
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Sujet: Re: We are the envy of the gods above | Peter Gougnuf [Done]
Ven 21 Fév - 23:37
                    
Peter Gougnuf a écrit:
ÉPOUVANTARD : Poum-Poum-shhh, la "folle sans jambes".

Rien que le "poum poum shhh" aura servi à raviver en moi un traumatisme datant de ma plus tendre enfance.
:(

(sinon, qu'est-ce qu'il est bô ptn, j'espère que tu m'autoriseras à venir t'embêter quand j'aurai mon TC, je veux qu'ils dabbent ensemble)
            
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Sujet: Re: We are the envy of the gods above | Peter Gougnuf [Done]
Ven 21 Fév - 23:43
                    
LE RETOUR flamme
J'ai besoin d'un lien avec Lewin et Gil. Let them do SHIT together.
            
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Sujet: Re: We are the envy of the gods above | Peter Gougnuf [Done]
Sam 22 Fév - 0:47
                    
Team Eddie

Je le déteste déjà, s'il pouvait mourir ça m'arrangerait
            
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Sujet: Re: We are the envy of the gods above | Peter Gougnuf [Done]
Mar 25 Fév - 20:23
                    
LA LEGENDE LE RETOUR :o

est-ce qu'il pourra continuer a faire d'la merde avc TZ c'est la question...
            
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Sujet: Re: We are the envy of the gods above | Peter Gougnuf [Done]
Lun 20 Avr - 16:45
                    
Ta fiche est archivée le temps de ton absence !
            
Vincent Leroy
Monsieur le Directeur
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Comment appelle-t-on un chat qui chante?
Chat-kira.

ϟ Œuvre : Original Character
ϟ Parchemins : 1685
ϟ Gallions : +infini
ϟ Fiche : Ici
ϟ Âge (RP) : 50 ans
ϟ Année scolaire : Personnel
ϟ Titre(s) : Directeur d'Ilukaan — PNJ
ϟ Don : Être plus fab que toi
ϟ Baguette : Vigne, coeur en plume d'oiseau tonnerre, 30,45 centimètres. Avec un joli strap dessus.
Vincent Leroy
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Sujet: Re: We are the envy of the gods above | Peter Gougnuf [Done]
Sam 9 Mai - 22:23
                    
Message du staff
Bienvenue à Ilukaan !
Validation

Accompagné par d'autres nouveaux élèves, tu es appelé par le directeur à t'avancer au centre du Dôme. Scruté par les élèves et étudiants, tu regardes alors ton reflet dans la fontaine qui va décider de ton sort. D'abord voyant ta sale tête dans l'eau, tu remarques que le reflet semble se changer peu à peu jusqu'à prendre la forme d'une chouette.  Tu es d'autant plus surpris quand l'animal commence à pousser un cri dans toute la salle. Tout le monde se met soudainement à t'applaudir, tandis que le directeur s'approche de toi avec une améthyste brute qu'il met autour de ton cou.

"Bienvenue à Strixyst !"

→ Te voilà validé, tu peux désormais poster dans tous les recoins du forum, RP-Post ainsi que RPCB.

→ N'hésite pas à voir la chambre qui t'a été attribuée.

→ Si ton personnage est en cursus universitaire, il peut postuler pour avoir un job d'étudiant.

→ Crée dès maintenant un topic pour récapituler les relations de ton personnage. Tu peux également acquérir un portable ou bien créer un blog.

→ N'hésite pas à faire une demande de RP pour trouver un partenaire d'écriture !

→ Enfin, amuse-toi bien sur le forum,  n'hésite pas à en parler autour de toi et à voter régulièrement aux TS !

            
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Sujet: Re: We are the envy of the gods above | Peter Gougnuf [Done]
                    
            
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