ILUKAAN est un forum MULTIFANDOM dans l'univers d'Harry Potter.
Ilukaan est une école de magie internationale se situant en Nouvelle-Écosse au Canada.
L'histoire se déroule en 2024, mélangeant magie et technologie.
Vous pouvez jouer des personnages de manga/anime, jeux vidéos, films d'animation, dessins animés, romans jeunesse ou encore un OC.
L'intrigue se fait à la fois en RPCB et RP-POST.
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Berthold Huber | All of us still chase our dream, Underneath the canopy
Invité
Invité
Anonymous
Sujet: Berthold Huber | All of us still chase our dream, Underneath the canopy
Mar 20 Juil - 22:14
                    
Berthold Huber


進撃の巨人, L’Attaque des Titans
Identité
Huber
Berchto Bearturtle Bertholo Bertolt Bertoto Burrito Berthold (Bert/Becht pour les intimes)
19 ans
Autrichien
Allemand (Langue maternelle), Anglais, Italien
30 Décembre 2002 à Liberio, un quartier de Lienz, essentiellement peuplé de sorciers, Tyrol, Autriche
Yeux verts, cheveux noirs
204,8 centimètres
92 kilogrammes
Who am I...?
Berthold est un sorcier sang-mêlé appartenant à la maison Cervirald et en Huitième Année. Il est inscrit au cursus Éducation magique. Il ne possède aucun don. Il est d'ailleurs poursuiveur de l'équipe de Quidditch de Cervirald dont il est aussi le capitaine malgré lui.

Sa baguette est faite de saule, avec un cœur en vertèbre de géant, d'une longueur de 31 cm, moins malléable qu'elle en a l'air. Son animal de compagnie est un hibou grand-duc, répondant au nom de Goliath.

Son patronus est un éléphant, d’apparence placide et lente, mais capable de faire des ravages. L'odeur de son Amortentia est composée de celles de draps propres, senteur réconfortante et accueillante après une dure journée, celle du café fraîchement préparé, rappelant la maison, et celle de la transpiration, peu attirante pour le commun des mortels, mais qu’il ne peut s’empêcher d’apprécier, malgré lui. Son reflet dans le miroir du Riséd est lui se tenant aux côtés de ses amis d’enfance, diplômés pour signifier le succès de leur mission, ses parents derrière, dont son père, soulagé de ses maux. Son Épouvantard prend la forme d’un géant s’apprêtant à le dévorer.

Il n'a pas de famille présente à Ilukaan, mais il y a retrouvé ses amis et camarades d'enfance. Sa matière favorite est Métamorphose, tant elle est fascinante pour le jeune homme, et la matière qu'il aime le moins est la Botanique, toutes les plantes dont il s'occupe semblent manquer d'eau à chaque fois pour une raison qui lui échappe.
Derrière l'écran
Pseudo & pronoms :
Hwa, Elle/She/她
Souhaites-tu être parrainé·e ?
Non.
Avatar : BerTOLt HuberCode du règlement : [MP au staff]Comment as-tu trouvé le forum ?
Bonne question.
Un petit mot ?
J'ai pris le parti de le vieillir un peu, histoire que ça aille à mi-chemin entre les événements des saisons 1 à 3 et de la 4 et les changements de personnages qui en résultent, si ça ne convient pas, je remettrai tout en place et ferai les changements nécessaires. (comme la rentrée est bientôt, si tout va bien, je mettrai les critères adaptés pour la Huitième Année).

Et il y a peut-être quelques références aux Re:Take sur SNK. Peut-être.
headcanons
Il a la peau naturellement plus chaude que la normale, comme s’il était constamment atteint de fièvre • Atteint toujours sa cible, que ce soit pour ses sorts ou jeter un objet à la poubelle, gagne toujours des prix au tir à la carabine • D’ailleurs quand il joue aux jeux vidéos, il privilégie les personnages ayant un profil de sniper ou faisant d'importants dégâts de zone, il n'y a pas d'entre deux • Est un joueur correct aux échecs mais tend à adopter une stratégie portée sur la défense • Prend des poses improbables dans son sommeil • Paraît-il que celles-ci prédisent la météo, du moins c'est la légende et les élèves apprécient parier sur celles-ci • A un sommeil lourd mais très agité et pour cause, il est souvent la proie de cauchemars • Deux particulièrement récurrents : un homme pendu à un arbre ; et lui, semblant écorché vif et se tenant au milieu d’un champ de cadavres, les mains couvertes de sang • Fume. Il a commencé à ses 13 ans pour suivre d’autres personnes à une soirée, n’a pas su arrêter depuis • Sa consommation est toutefois raisonnée • Fait des pompes pour déstresser • Seconde place du championnat d’Autriche junior de saut en hauteur à 10 ans, champion du Tyrol à 9 ans • Il a également fait du volleyball en club • Change d’oreiller tous les six mois • Ne s’énerve pas quand on se trompe (de manière intentionnelle ou non) sur la prononciation de son prénom • Il tentera de corriger la personne mais se ravisera et abandonnera en soupirant • Grand lecteur, il a souscrit à un abonnement lui permettant d’avoir deux livres par mois • Il apprécie particulièrement les romans de dark fantasy et ceux, fictifs, inspirés ou ancrés dans un contexte historique réel • A déjà cassé une porte en tapant trop fort dans le ballon lors d'une partie de football avec ses amis • Il a mystérieusement disparu pendant plusieurs heures après cette action, redoutant les conséquences de son acte • Transpire facilement et a les mains moites • Soleil en Capricorne, Ascendant Balance, Lune en Scorpion • Saturnien, Marsien et Plutonien (aka symbolique du “Dieu de la Destruction”) • Compte s’orienter vers la filière "Éducation", ayant un bon feeling avec les plus jeunes que lui • Adore tous types de ravioles (jiaozi, gyoza, pierogis, pelmenis, empanadas, mandus, etc., vous avez compris le topo), on peut aisément considérer ça comme son plat préféré • Sait coudre et est particulièrement doué pour les activités demandant minutie et patience • C'est le Sam de son groupe, il boit peu pour pouvoir s'occuper des autres • On pourrait s'attendre à ce qu'il soit maladroit, mais ce n'est pas du tout le cas, il est très habile et maître de ses mouvements • Chaque question implique une grande réflexion de son côté avant qu'un choix soit fait (si tant est qu'un choix est fait) • Va souvent s'entraîner après les cours mais garde ces sessions secrètes au plus grand nombre. En dehors de son cercle proche, il est gêné quand on le regarde ou le surprend faire du sport • Par ailleurs, après des séances de très grande intensité, il n'est pas rare que son corps dégage de la vapeur • Effraie souvent ses camarades sans le vouloir. Il est si discret qu'on ne l'entend pas approcher et le fait de distinguer une silhouette immense dans la pénombre a de quoi faire peur • Ayant le souci du détail, il remarque souvent des particularités qui échappent à la plupart au premier coup d'œil, avant même de voir l'image globale • Préfère porter des vêtements simples et sobres parce qu'il considère qu'il ne sait pas s'habiller • Pareil pour sa coupe de cheveux, il évite les folies de peur que ça ne lui aille pas et qu'il soit ridicule • Ses premiers cours de vol étaient catastrophiques du fait d'un balai trop petit pour lui et très capricieux • Voir quelqu'un mentir ostentivement devant lui vaut au premier un regard tendu de sa part. Pour autant, il ne dévoilera pas la vérité • Aime bien se déplacer pieds nus sur le bois
« None of us really changes over time. We only become more fully what we are. »
« First impressions are always unreliable.  » — Franz Kafka
”Wow ! Il est immense, on dirait un géant ! Hé ! Quel temps il fait là-haut ?”

Les iris du garçon s’écarquillent pendant que son visage se fige dans une expression de stupeur manifeste.
Il entend souvent cette remarque, pour autant, il ne sait toujours pas comment y répondre, il reste bouche bée, alors il baisse la tête.

Face au miroir et s’apprêtant à se rhabiller après sa douche post-entraînement, il ne peut s’empêcher de s’arrêter un moment pour contempler son reflet, les échos des remarques sur sa morphologie résonnent dans sa tête, inlassablement.
Dire qu’il est grand pour son âge est en effet un euphémisme. Il n’a pas encore vingt ans qu’il frôle les deux mètres. Il n’y a nul doute qu’il les atteindra un jour ou l’autre.
Point la moindre goutte de sang de quelque créature titanesque circulant dans ses veines à sa connaissance, la génétique et la pratique de certains sports sont sans aucun doute la cause de son gigantisme.
Il n’a rien à envier aux athlètes de haut-niveau, étant lui-même bâti de manière plus que correcte. Sous son épiderme, ses muscles sont bien définis sans qu’il soit une armoire à glace. En effet, son corps est fin, svelte mais tonique et nerveux. Ses épaules larges lui donnent une silhouette “en V”, ses muscles abdominaux bien visibles, encore contractés par l’effort récent qu’il a dû fournir et qu’il recouvre d’un t-shirt simple, basique, uni.
Il est dans ses habitudes de prendre grand soin d’entretenir sa plastique et il n’y a pas de but esthétique à celui-ci. Si son corps était une machine, il fallait en prendre soin. Seul écart qu’il se permet : la nicotine, adoptée par lâcheté et dont il n’arrive pas à se défaire.
Ses longs doigts attrapent la petite boîte rectangulaire pour en sortir une cigarette, la dernière du paquet.

Il faudra que j’en rachète.

Il ne l'allume pas immédiatement, il joue habilement avec, celle-ci étant baladée habilement entre les phalanges marquées du jeune homme qui demeure pensif.
Ses mains ne dérogent pas aux proportions du reste de son corps.
Longues, fines, nerveuses, avec les veines apparentes. Ses phalanges sont légèrement marquées et ses ongles sont coupés à ras, ses doigts sont comme des fuseaux.
De nature elles tremblent légèrement quand elles ne sont occupées à rien.
Il porte la cigarette à ses lèvres et remarque que la doublure de la veste qu’il s’apprête à prendre pour sortir est légèrement décousue.
Sans quitter la petite déchirure du regard, il ouvre l’un de ses tiroirs, fouillant à tâtons, pour en sortir un petit nécessaire à couture, toujours utile pour ce genre de situations.

Contrairement à ce que l’on pourrait croire, compte tenu de leur taille et leur agitation quotidienne, ses mains sont précises dans les actions qui demandent de la dextérité et de la concentration. Elles sont efficaces, vives et surtout agiles.
L’aiguille, déjà fine, semble minuscule entre les pulpes du jeune homme, pourtant il arrive à mettre le fil dans le chat du premier coup, sans tressaillir et parvient à faire des points réguliers et sûrs pour recoudre la brèche dans le jean et ainsi s’assurer qu’il n’ait pas à recommencer de sitôt.

Le téléphone vibre près de lui, le tirant de sa contemplation. Il décroche dès les premières secondes où il entend le vrombissement.

- Ici Berthold. Oui Reiner ? Comment ?! Tu veux le faire là ? Maintenant ? Bon… D’accord. J’arrive.

Sa voix est grave, légèrement rauque. Rarement, elle s’élève, elle reste à un timbre mesuré, bégayant sous le coup de l’embarras et de la timidité. Pourtant, parfois, elle est plus forte, suivant les émotions, la gêne, notamment, accompagnée de rougissements aux joues et aux oreilles.

S’il n’était pas si grand, le jeune homme ne se ferait pas remarquer au milieu d’une foule. Sa garde-robe est composée de pièces passe-partout, faites pour toutes saisons, de couleurs sobres. Il n’a pas besoin de se faire remarquer davantage. Au quotidien, quand il n’arbore pas son uniforme (qu’il porte correctement, conformément au règlement), il tend à privilégier des chemises, pantalons, t-shirts simples, qui l’invisibiliseraient un peu, lui permettant de ne pas attirer l’attention et qui peuvent passer en toutes occasions. Bien entendu, il dispose de vêtements adaptés pour des événements ou activités particuliers, toutefois, cela reste à l’opposé de clinquant ou de tape à l'œil.

Il sort du dortoir. Sa démarche ne le démarque pas particulièrement au milieu d’une foule, il garde simplement la tête baissée, par timidité mais également pour éviter tout obstacle qui se dresserait sur sa route et qu’il ne verrait pas, pour des raisons évidentes. Ses mains sont soit fourrées dans ses poches, soit reposent contre ses cuisses, passives.

Sans accrocs, il finit par arriver à l’extérieur. Le Soleil de fin de printemps projette ses rayons sur son épiderme, pâle du fait des derniers mois passés en intérieur, à bouquiner, réviser et travailler, mais qui prend peu de temps pour se transformer en hâle chaud en cas d’exposition prolongée, à l’aune des beaux jours.
Il se dirige vers la volière, lieu où il doit retrouver son ami, l’apercevant, il lui adresse un signe avant de s’approcher.
Son visage a arboré une expression sympathique, mettant en valeur la douceur de ses traits. Il s’excuse de son léger retard, avec un petit rire gêné.
Sous les rais, il est aisé de détailler sa physionomie. Au fil du temps, les caractéristiques grotesques conférées par l’adolescence se relâchent un peu, harmonisant les différents éléments qui composent son faciès. Malgré l’âge ingrat, il n’a que peu changé depuis l’enfance. Comme le reste de son physique, son visage n’échappe pas à la règle de la longueur et de la finesse. Son visage est triangulaire, repose sur un cou ni trop épais, ni trop fin, qui laisse transparaître muscles, os et veines.
Goliath hulule, voulant attirer l’attention de son propriétaire, ce qui fut un succès. Le hibou porte une note à sa serre que le jeune homme détache délicatement pendant que le rapace repose sur son avant-bras qui ne vacille pas.

Ses yeux, déjà habituellement tendres, s'adoucissent davantage à mesure qu'ils progressent dans la lecture de la missive. Leur aspect tombant confère un air étrangement triste, mélancolique au jeune homme, même s'il n'est pas habité par ces sentiments, et ses iris rappellent une sylve de sapins : verts, sombres… Impénétrables.
Son air affable est renforcé par ses sourcils fins, souvent relevés comme s'il est constamment interloqué. Bien entendu, ceux-ci se froncent dans la concentration, la tension et la contemplation, accompagnés de rides d'expressions. Dans ces moments, il semble bien entendu plus froid, au détriment de la sympathie habituelle.
Son nez prend une place importante dans sa figure. Long, fin, l'on a compris le topo, quoiqu'imposant, il est également aquilin et s'harmonise, malgré sa taille, correctement avec le reste de son physique.

Une remarque le détache de sa lecture, le ramenant à la réalité. Une taquinerie qui a le mérite de faire teinter délicatement son visage de rose et de rouge sous l'embarras. Ses lèvres fines s'entrouvrent pour déclarer des justifications peu assurées et montrer des dents blanches, bien alignées.
Comme à son habitude, le jeune homme, sous le coup de la gêne, porte ses doigts à ses cheveux et les triture, un tic qu'il a toujours possédé et qui trahit sa confusion.
Ses mèches sont courtes, par aspect pratique. Ébouriffées, parce qu'il ne les coiffe jamais, n'ayant pas le temps et ne sachant de toutes manières pas comment procéder.
Sa chevelure est épaisse. Au milieu de cette jungle de jais, difficile de distinguer le crâne.
Il possède une pilosité que l'on pourrait qualifier de "normale", pour quelqu'un de son âge, ni trop rare, ni trop abondante, quelques poils commencent à pointer le bout de leur nez sur son menton. Toutefois, leur caractère épars et quelque peu ridicule le force à les raser, en attendant le jour où ils seront un peu plus nombreux.

D’aucuns peuvent le qualifier de “fade” pour sa discrétion, pourtant la douceur de ses traits, de ses expressions lui confèrent un certain charme.
Il est si discret.
Au milieu de son groupe, entouré de personnes qui parlent fort, se font remarquer, lui acquiesce à certains moments avec un petit sourire, tenant son verre entre ses deux mains.
Si discret que l'on ne le remarque pas malgré son physique. Il parle peu, suit les uns sans protester, opine aux propositions des autres.
Une force tranquille en somme, poussée à son paroxysme, tant dans les côtés positifs de la chose que négatifs.
Ceux sans tact diraient qu'il n'a aucune volonté, qu'il est mou.
Pourtant ils auraient raison, à plus d'un titre.
Se laisser porter par la vague, par les autres… quelle solution lâche dans sa facilité.

Il est qualifié par beaucoup comme "facile à vivre" et pour cause, il ne conteste jamais ce que disent ses pairs. N'en a-t-il pas la force ? Désire-t-il ne froisser personne ? Est-il arrangeant ?
En soi, personne ne semble vraiment connaître la réponse et lui reste mutique. Quand la question fatidique est posée, il ignore quoi répondre, mais au fond de lui, il en est parfaitement conscient et ne cherche pas à changer.

Alors il vaut mieux changer de sujet parce qu'en voulant avancer de deux pas, on en fait dix à reculons, de fait, plus personne n'interroge cet aspect de la personnalité du jeune homme, par habitude certainement, par lassitude à coup sûr.
Parce que c'est un cas désespéré.

Quand il a des doutes sur les volontés de ceux qu'il considère comme proches, il ne les discute pas. Néanmoins, il prend la parole afin de les interroger, non pas pour les mettre face à leurs propres contradictions ou erreurs, mais pour savoir si c'est réellement ce qu'elles veulent, auquel cas, il suivra en jugeant en silence, craignant les pires scénarii dans son for intérieur. Quand ces derniers surviennent dans son esprit, ils transparaissent bien sur son faciès, inquiet et anxieux. Les gouttes de sueur froide perlent dans son dos, sur son front et ses commissures s'étirent en une grimace trahissant son inconfort.

Il suivra ceux en qui il a confiance, pour qui il a du respect, pour ceux dont les qualités ne sont plus à démontrer, quoi qu'il advienne parce que s'il existe une vertu que l'on pourrait lui attribuer, c'est sa loyauté sans faille à sa famille, ses amis proches.

Un dévouement qui tiendrait presque de la dévotion profane et affective aux liens qu'il a noués et qu'il ne peut décemment laisser tomber, dans les bons comme dans les pires moments.

Les mauvaises langues le traiteraient de "toutou" dans ce cas.
Pourtant, s'il est prêt à se mettre en danger pour s'assurer de leur sécurité, c'est parce qu'il sait que la pareille lui serait rendue de leur part. Cela n'a rien d'égoïste, il ne cherche pas à se mettre en sécurité dans le giron des puissants puisque lui-même serait apte à s'autodétruire pour eux.
Cela semble extrême, mais sous la montagne endormie, peut dormir un volcan, ce dernier peut se réveiller au moindre trouble et tout engloutir sur le passage de sa lave.
Il est “simplement” à la recherche d’une cause, de quelque chose, pour laquelle il pourrait se dévouer corps et âme, qui pourrait le motiver, le bouger.

Méfiez-vous de l’eau qui dort.


Les Hommes sont des Hommes pour les Hommes et les loups ne sont que des chiots


Il est pessimiste.
Un peu.
Enfin, il a davantage tendance à voir le verre à moitié vide qu’à moitié plein. Difficile de ne pas stresser, de ne pas se faire de soucis, il envie ceux qui abordent la vie sans pensées parasites, bien qu’il ait parfois tendance à les trouver inconsidérés.
Le monde est cruel, plus il grandit, plus il le voit. L’actualité ne manque pas de le rappeler, montrant l’Homme sous ses plus vils aspects.
Toutefois, il ne juge pas les autres, il ne se le permet pas. Il ne se considère pas mieux que ses pairs, loin de là. Peut-être que s’il s’efface, s’il reste dans l’ombre, il ferait le moins de mal possible. Après tout, il se décrit lui-même comme veule.
Pour couronner le tout, il possède une piètre opinion de lui, ressassant ses défauts, comme un mantra.
Sans qu’il prenne l’initiative de changer malgré son bon-vouloir.

Il se connaît mieux que personne. Au fond de lui, il sait que sa colère, sa rage et sa fureur ne font que dormir. Il suffit simplement d’appuyer précisément là où ça fait mal.
Comme tout à chacun.
Il est humain après tout.

C'est un angoissé constant, les tracas de la vie savent le préoccuper. Il ne peut s'empêcher de s'inquiéter pour la moindre petite chose, il est amené à être hanté par les fantômes des regrets, tels des érinyes poursuivant Eschyle qui lui rappellent chaque action qu’il a fait de travers.


Pourtant, malgré tous ses défauts et cette présentation quelque peu sinistre, Berthold est loin d'être un mauvais bougre et aussi sombre qu’il ne le paraît.
Les gens de son entourage, ses amis d'enfance, sa famille peuvent témoigner, c'est une personne sympathique, facile à vivre.
Pas particulièrement timide, malgré son introversion, il parle avec beaucoup de facilité aux personnes qui l'approchent, échangeant avec plaisir sur ses centres d’intérêt, bien qu’il soit plus à même d'écouter plutôt qu'à parler, à moins qu’il ne s’agisse d’une personne qui ne le rend pas indifférent, dans ce cas, il ne peut s’empêcher de rougir, de bégayer et son embarras se sent à des mètres à la ronde.
En lui, il est aisé de trouver une oreille attentive, bienveillante, qui essaiera au maximum de trouver les mots, les gestes, pour réconforter, pour aider l’autre à se sentir mieux.
De même, il se tient disponible pour aider son prochain, notamment en offrant son aide pour du soutien aux cours, bien que sa discrétion le fasse passer en arrière-plan. Travailleur assidu, il a toujours obtenu des résultats satisfaisants aux différents cours auxquels il assiste bien que ses défauts susmentionnés n’ont pas manqué d’être remarqués et soulignés par ses professeurs.
Paradoxalement, il est capable de tout mettre en œuvre pour pousser ses proches à donner le meilleur d'eux-mêmes, s'il sent que leur potentiel n'est pas exploité à sa juste valeur, à son sens. S'ils sont au sol, il arrête sa course, revient sur ses pas, vers eux et leur tend la main.
Par la suite, il adapte sa course, se rend plus lent pour s'adapter au rythme de ses amis.
Chose qu'il est incapable de faire pour lui-même alors qu'il ne manque pas de potentiel. Toutefois, ce dernier dort en lui, il le refoule, par peur de devenir incontrôlable, de blesser ses pairs.

Du fait de sa nature, il a tendance à être attiré par les fortes personnalités. D’une certaine manière, cela amène à un bon équilibre. Sa patience à toute épreuve lui permet de supporter les actions extrêmes de ses camarades, sa prudence peut les canaliser, même quand ils sont hors d’eux ou dans un état anormal. Il les pousse à réfléchir avant d'agir, à envisager leurs actions avant de foncer tête baissée. Là où beaucoup abandonneraient par lassitude, s'énervant contre l'intéressé, il restera à ses côtés, contre vents et marées, par loyauté.
À l’inverse, les hyperactifs, les extrovertis l'ayant adopté dans leur groupe peuvent le pousser à s’affirmer quelque peu et à sortir de sa zone de confort dans laquelle il s’est enfermé, à lui faire prendre conscience de ses forces, à lui faire prendre confiance en lui et lui apprendre que toute l'énergie qu'il garde en lui, scellé, peut ne pas amener à de mauvaises extrémités...
Qu'il n'a pas à avoir peur.
Qu'il n'y a aucune fatalité, il peut sortir de l'engrenage de l'autodépréciation dans lequel il s'est enfermé seul.

Contre toute attente, au milieu de ces personnes extrêmement bruyantes et tapageuses qui couvrent tout bruit dans la pièce et dont les mouvements chaotiques trahit leur ivresse d'alcool et de satisfaction, il est heureux.
Il est à sa place.
Son verre entre les mains, son sourire s’agrandit avant de se transformer en grimace horrifiée à l'arrivée foudroyante dans son esprit de la pensée d'un séjour nocturne aux Urgences.

- Non Reiner, ne fais pas ça ! Tu vas casser la table et ton bras !
« We did everything adults would do. What went wrong? » — William Golding
C’est au crépuscule de l’année 2002, le 30 décembre, peu après minuit, que naît Berthold, fils unique d’Albert et de Beata Huber, dans l’austérité de l’hiver autrichien, caractérisant la fin du mois de décembre.

Tous deux sont sorciers, lui né-moldu, elle de sang-mêlé. Pour autant, la magie restait une composante en arrière-plan de leur vie familiale alors que Liberio, le quartier dans lequel ils habitent, abrite l’essentiel de la communauté sorcière de Lienz, voire du sud-Tyrol. La faute à l’histoire qui a toujours mis de côté les sorciers de la région, voire les regroupant pour mieux les surveiller.

Lui est ébéniste, travaillant le bois avec habileté et savoir-faire, elle possède une librairie qui a permis au fils de développer son goût pour la lecture.
Les deux commerces attirent à la fois une clientèle sorcière et parfois non-magique, proposant des produits adaptés aux deux franges de cette population, ils ne sont ni riches, ni pauvres, ils font partie de la classe moyenne, ne manquent de rien mais ne font pas d’excès non plus.

Berthold grandit donc au sein de cette enclave magique, au milieu des montagnes, non-loin de la frontière italienne, et a eu une enfance somme toute normale, heureuse même, passée entre sa famille, l’école et les autres gamins du quartier, rapprochés par les parents qui eux-mêmes s’entendaient entre eux.
Les habitants de Liberio s’accordent à le dire, Berthold a toujours été discret, malgré sa taille, toujours plus haute que la moyenne, et est considéré comme le plus discret de la bande et pourtant…
Il a été de ceux qui tentent de s’interposer dans les conflits qui éclatent souvent.

De la poignée d’enfants constituant ce groupe, des clans se sont naturellement formés et Berthold a constitué un trio avec Reiner Braun et Annie Leonhart.
Pas qu’il ne s’entendait pas avec les autres, loin de là, mais le jeune garçon s’est toujours senti plus proche de ces deux-là (et a développé un penchant pour cette dernière, d’aussi loin qu’il se souvienne).
Dire qu’ils passaient leur temps ensemble est un euphémisme. Du chemin de l’école aux virées après celle-ci et au cours des jours de repos, ils étaient toujours fourrés ensemble.

Leurs aventures étaient diverses et nombreuses. Pendant les beaux jours, ils couraient dans les rues et dans les champs pour se défier à des compétitions de vitesse ou de force, avant de se poser au pied d’un arbre dont les fruits avaient été cueillis pour se sustenter et d’écouter Berthold lire un ouvrage de sa bibliothèque.
Lorsque la météo était moins clémente, le trio s’adonnait à des activités d’exploration de caves et de greniers de leurs maisons respectives, tombant avec horreur devant un mannequin anatomique grandeur nature (donc qui les dépassait largement à l’époque), qui était la possession du grand-père maternel du brun et de se rassurer autour d’un bon goûter préparé par Beata, ou tout simplement, se réunissait autour d’un puzzle grâce auquel leur patience était mise à rude épreuve.

Ces temps étaient faits de plaisirs simples et d’insouciance.

Un jour, toute la bande de gamins de Liberio s’était retrouvée autour d’une partie de football, après l’école et Berthold, en possession de la balle tira de toutes ses forces, grisé par une volonté d’impressionner ses pairs, et surtout Annie.
Loin de se contenter de rentrer la cage de but (qui ne possédait pas de filet, c’est rien, c’est la rue), et le gardien ayant été incapable d’arrêter le ballon, celle-ci se logea dans le vitrail de la porte de la vieille Maria.

Horrifié et ayant peur des conséquences de son action, le jeune garçon profita de l’attention détournée de ses camarades de jeu (trop occupés à complimenter son tir de toute beauté) pour s’enfuir et se cacher.
Ce ne fut qu’au bout de plusieurs heures que le fils Huber fut retrouvé, caché derrière une haie.

Il faut dire qu’il était devenu nécessaire de canaliser tous ces enfants paraissant comme turbulents au sein du quartier. Malgré tout, ils étaient considérés comme particulièrement doués dans différentes activités ou possédaient une excellente condition physique qui leur permettait de viser le haut du podium en cas de compétitions sportives. Cela a donc poussé la collectivité à établir un programme de jeunes talents, affectueusement surnommée “Les Guerriers” dont la direction et la supervision avaient été confiées à Theo Magath. Le but de cette politique était d’encadrer ces gamins doués et d’exploiter leurs force et habileté au maximum. Tout au long de l’année, ils avaient droit à des entraînements réguliers, selon le sport qu’ils pratiquaient et deux fois par mois et dès l’été, ils se retrouvaient tous ensemble, qu’importe leur activité de prédilection, afin de mettre au défi leur coopération et autres qualités de groupe.

Après avoir fait un peu de volley en club, Berthold était désigné pour faire du saut en hauteur. Sa famille l’avait inscrit dans ce programme dans l’espoir qu’il prenne confiance en lui et soit plus dégourdi. Malgré lui, il voyait moins ses amis, en dehors de l’école et des réunions de groupe, mais il travaillait dur pour que ses parents soient fiers de lui.
Le programme ne tarda pas à porter ses fruits puisque le jeune garçon montra des résultats plus que satisfaisants au cours de diverses compétitions, bien qu’il n’y ait pas eu de changement majeur sur sa personnalité, ce qui le fit rentrer bredouille de ses tournois, manquant parfois une marche du podium à un cheveu.

Il y eut une éphémère épiphanie.
Au cours de l’été 2011, "les Guerriers" souffla les bougies des deux ans de son existence. Le bilan était à la hauteur voire dépassait les espérances des personnes à la tête du projet. Néanmoins, les résultats au cas par cas étaient inégaux selon les participants, ce qui ne tarda pas à casser la cohésion entre les enfants qui, au lieu de s'entraider, de se soutenir mutuellement parce qu'ils avaient un but et des couleurs communs, se tiraient dans les pieds.
Berthold n’était pas parmi les protagonistes de l’histoire dont il était question, il ne fut que spectateur impuissant des disputes, nombreuses, de l'ensemble de ces fortes personnalités qui se donnaient chacune à fond dans leurs sports respectifs. Chacun ramenait des résultats excellents et des médailles à la maison.

Sauf évidemment le fils Huber qui effleurait toujours le podium, sans jamais y arriver.
Il se retenait sciemment, il avait peur de dépasser ses limites et de s'égarer. Il craignait ne plus être le même, changer en mal.

La recherche continue de performance, de l'excellence, chez les sportifs, pouvait mener à des écueils tranchants et faire chavirer même le plus solide et accompli des athlètes.

Cela avait mené à un pied sacrifié et Marcel, aussi talentueux et prometteur était-il, tant en tant que sportif que figure du chef du groupe, ne pouvait plus contribuer au programme des Guerriers. Bien entendu, Magath était furieux et cela ne fit que renforcer les antagonismes.

Berthold n’avait pu empêcher les conséquences de cet accident. Géant silencieux qu'il était, il entendait les brimades, les reproches, même s'ils ne lui étaient pas adressés. Magath le pressait, le poussait à remplir sa part du contrait.
Si seulement il avait davantage de présence, si seulement il était capable de s’affirmer, rien de tout cela n'arriverait.
Ces regrets le hantent encore. Il ne cesse de ressasser ce qu’il devait faire.
À la place, il se comportait comme un lâche, ne savait pas su taper du pied, alors qu’il était largement en mesure de s'interposer, physiquement.
Si seulement il avait le mental nécessaire pour s'imposer mentalement et faire entendre raison aux autres...
Ainsi qu'à lui.
Enfin, il considérait ainsi la chose.

Il lui fallait travailler sur lui, même si cela était peut-être trop tard. Ses entrainements redoublèrent d'intensité, souvent il tentait de se donner de la contenance, face à son reflet dans le miroir, essayant de se motiver. Cela prit du temps et de l'énergie. Il se levait tôt, malgré lui, et se couchait tard pour arriver à son but. Il était épuisé, entièrement.

Ereinté, il se présenta aux compétitions auxquelles il était inscrit, d’importance régionale et nationale qui suivirent l’accident de Marcel, à l’automne suivant et au printemps 2012.
Il ne cessait de se poser des questions et tentait de retenir ses tremblements face à la barre qui semblait plus haute à chaque fois qu’il posait ses yeux dessus.

Je n'en suis pas capable. C'est si haut.

Ses entrailles se nouaient par un sentiment de vertige désagréable. Berthold tentait de s'auto-rappeler tout ce qu'il avait déclaré, face à son reflet au cours des semaines précédentes et prit une grande inspiration. Celle-ci était chaotique et pas aussi fluide qu'il l'aurait voulu. Peu confiant, il ne se sentait pas capable. Il se tourna vers les gradins, posant ses yeux verts à l’endroit même où se trouvaient ses camarades, prêt à leur signifier son abandon, au final.
Il les reconnut tous, ses parents, Magath, Sieg, Porco, Pieck, Marcel… Annie et Reiner… Ils étaient tous là, l'encourageant à juger par leurs bouches grandes ouvertes, bien que la clameur du stade emportait leurs paroles dans un brouhaha chaotique.
Oh qu’il aurait aimé les entendre, même l’espace d’une seconde.
Malgré tout, rien que cette vision lui insuffla une poussée d'adrénaline qui lui fit reprendre contenance, comme si ses pensées parasites n'avaient jamais occupé son esprit.

Une voix intérieure lui intima de le faire, pour eux, pour ne pas les décevoir.
Cette réflexion le poussa à décoller ses pieds du sol, à prendre son élan…
Et à sauter, le moment arrivé.

Sur le matelas, il rouvrit les yeux, fixant le plafond de béton du gymnase, haletant. Il entendit le haut-parleur valider sa performance et il ne put s’empêcher de sourire. Ses commissures étaient étirées en un rictus tordu par le trop-plein d’émotions…

Les deux compétitions s’étaient déroulées dans un schéma identique et ses prouesses lui valurent deux médailles, d’or et d’argent.
Par la suite, la vie retomba dans une sorte de routine. Contre toute attente, Berthold, en dehors de la pratique sportive, ne montra pas davantage d'assertivité qu'avant, bien au contraire. Il était plus renfermé et pour cause.

À partir de ces victoires, qu'il aurait dû savourer, dont il aurait dû être fier, il ne put s'empêcher d'avoir peur. Peur du potentiel, de la puissance éventuelle qui dormaient en lui.
Il n'en tirerait profit que pour le sport.
Il n'arriverait pas à devenir aussi impétueux que ses camarades. Si les plus habiles d'entre eux n'arrivaient pas à maîtriser l'intégralité de leur force intérieure, qu'en serait-il de lui ?
Non.
Il se retiendrait.

Entre les deux événements, ses pouvoirs magiques s’étaient éveillés et la question se posa de l’établissement dans lequel le jeune homme devait suivre sa scolarité.
Cela ne fit qu'augmenter les inquiétudes déjà nombreuses du brun. Après tout, la magie est un pouvoir lui aussi qui pouvait être incontrôlable, si ce n'est la force qui l'était le plus au monde.

Bien que la réputation de Durmstrang n’était plus à refaire, une partie de celle-ci pâtissait encore d’une mauvaise aura et le pragmatisme l’emportant quant aux réalités du monde contemporain, Beata et Albert firent le choix d’envoyer leur fils à une académie de magie en Nouvelle-Écosse, dont ils avaient entendu nombre d’échos de la part de parents du quartier ayant des enfants plus âgés. De plus, une part d’eux espérait que l’expérience de l’étranger bouscule quelque peu leur fils.
Ironie du sort, Berthold retrouva sur place nombre de ses camarades d’enfance, ce qui rendit la séparation avec son foyer qu’il aimait tant et sa famille moins amère.

Face à la fontaine, le jeune garçon ne savait quoi faire et le cri du caribou qui l’enverrait à Cervirald le fit sursauter.

Au cours de ses années d’études, l’on pouvait observer que Berthold n’avait pas réellement changé. Il restait à l’écart, silencieux, bien que bienveillant, volontairement dans l'ombre de ses amis. Il travaillait de manière plus que correcte mais son manque d’initiative n’avait pas échappé à ses professeurs et lui fit du tort dans plusieurs matières.
Il passa ses ses différents examens, chaque année avec des résultats très satisfaisants mais qui laissaient un goût amer de “pas assez malgré un potentiel important” pour le corps professoral qui essayait tant bien que mal de secouer le jeune homme, devenu célèbre dans l'établissement pour être "élève porteur de frustration". En effet, ce dernier semblait plus investi à pousser ses camarades vers le haut plutôt que lui-même.

Pour autant une part de lui désirait faire de son mieux, changer afin de remplir sa mission, de réussir ses études... Il n'était pas aveugle et sourd aux sacrifices qu'avait fait sa famille pour l'envoyer à l'étranger. Il avait remarqué l'état éreinté de son père, multipliant les commandes pour qu'il ne manque de rien, sacrifiant sa santé même au point de multiplier les rendez-vous médicaux..

Il incombait à Berthold de travailler dur, de récolter du succès malgré son tiraillement.
Et de rentrer à la maison.
(c) Ilukaan
            
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Sujet: Re: Berthold Huber | All of us still chase our dream, Underneath the canopy
Mar 20 Juil - 22:45
                    
Bien le bonsoiiiiiiiiir blblbl
            
Kaveh Heydari
Cervirald
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« Il est l'heure de s'enivrer ! Pour n'être pas les esclaves martyrisés du Temps, enivrez-vous ; enivrez-vous sans cesse ! De vin, de poésie ou de vertu, à votre guise. » ― C. Baudelaire.

ϟ Œuvre : Genshin Impact
ϟ Parchemins : 97
ϟ Gallions : 103
ϟ Âge (RP) : 23 ans
ϟ Maison : Cervirald
ϟ Année scolaire : 13ème année
ϟ Baguette : Bois de pommier ✺ Cœur élaboré à partir d’un rameau de corne de shâdhavâr ✺ Mesurant 29, 8 centimètres de long, elle est d’une finesse remarquable et d’une indéniable fragilité.
ϟ Cursus : Arts magiques, spécialité Architecture

ϟ Malle : Absolument que dalle il est fauché le frérot. 0 GALLION
Kaveh Heydari
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Sujet: Re: Berthold Huber | All of us still chase our dream, Underneath the canopy
Mar 20 Juil - 22:56
                    
B-

Bertholdt


Berutoruto

Berobero

Boruto

Bertolt

B



Kaveh

Every man is the architect of his own fortune


Kaveh rembourse ses dettes en #B83250.
            
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Invité
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Sujet: Re: Berthold Huber | All of us still chase our dream, Underneath the canopy
Mar 20 Juil - 23:49
                    
I see what you did there 👀 Curieuse d'en savoir plus sur son adaptation !
            
Invité
Invité
Anonymous
Sujet: Re: Berthold Huber | All of us still chase our dream, Underneath the canopy
Jeu 22 Juil - 19:08
                    
Merci ienb //////  (j'espère être à la hauteur de Bert ptdr, parce qu'il est grand et fait du saut en hauteur, voalà).

Et en théorie j'ai terminé par ici. ehhhhehhehe
            
Invité
Invité
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Sujet: Re: Berthold Huber | All of us still chase our dream, Underneath the canopy
Ven 23 Juil - 13:54
                    
BERTHOOOOOLD je l'aime ♥ J'adore ton adaptation, tellement hâte de le voir en rp ! Rebienvenue à toi en tout cas hihi  Berthold Huber | All of us still chase our dream, Underneath the canopy 1f495
            
Louis Amamiya
Strixyst
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Friends...? I suppose you're right.

ϟ Œuvre : CODE VEIN
ϟ Parchemins : 247
ϟ Gallions : 494
ϟ Relations : (soon)

ϟ Âge (RP) : vingt-deux ans.
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ϟ Année scolaire : 12ème année
ϟ Titre(s) : Batteur au Quidditch.
ϟ Baguette : bois de cyprès, cœur en crin de Sombral, trente-deux centimètres. Fine et très rigide.
ϟ Cursus : Médicomagie.

ϟ Malle : (vide)
Louis Amamiya
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Sujet: Re: Berthold Huber | All of us still chase our dream, Underneath the canopy
Ven 23 Juil - 14:10
                    
Rebienvenue brows

Je fais pas partie du SNK crew but he's cool. And tall. Et voala-


+to-do-life list+
we got things to carry, and these are: family, friends, hopes and dreams.
            
Invité
Invité
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Sujet: Re: Berthold Huber | All of us still chase our dream, Underneath the canopy
Ven 23 Juil - 21:11
                    
Merci ❤

Jelila : Oh c'est adorable, merci ! J'espère lui rendre justice 😭
            
Vincent Leroy
Monsieur le Directeur
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Comment appelle-t-on un chat qui chante?
Chat-kira.

ϟ Œuvre : Original Character
ϟ Parchemins : 1671
ϟ Gallions : +infini
ϟ Fiche : Ici
ϟ Âge (RP) : 50 ans
ϟ Année scolaire : Personnel
ϟ Titre(s) : Directeur d'Ilukaan — PNJ
ϟ Don : Être plus fab que toi
ϟ Baguette : Vigne, coeur en plume d'oiseau tonnerre, 30,45 centimètres. Avec un joli strap dessus.
Vincent Leroy
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Sujet: Re: Berthold Huber | All of us still chase our dream, Underneath the canopy
Mar 27 Juil - 19:27
                    
Merci pour les petits changements apportés à ta fiches!!



Validation
Bienvenue chez les Cervirald
Accompagné par d'autres nouveaux élèves, tu es appelée par le directeur à t'avancer au centre du Dôme. Scruté par les élèves et étudiants, tu regardes alors ton reflet dans la fontaine qui va décider de ton sort. D'abord voyant ta sale tête dans l'eau, tu remarques que le reflet semble se changer peu à peu jusqu'à prendre la forme d'un caribou.  Tu es d'autant plus surprise quand l'animal commence à pousser un cri dans toute la salle. Tout le monde se met soudainement à t'applaudir, tandis que le directeur s'approche de toi avec une émeraude brute qu'il met autour de ton cou.

"Bienvenue à Cervirald !"

⇢ Te voilà validé, tu peux désormais poster dans tous les recoins du forum, RP-Post ainsi que RPCB.

⇢ N'hésite pas à voir la chambre qui t'a été attribuée.

⇢ Si ton personnage est en cursus universitaire, il peut postuler pour avoir un job d'étudiant.

⇢ Crée dès maintenant un topic pour récapituler les relations de ton personnage. Tu peux également acquérir un portable ou bien créer un blog.

⇢ N'hésite pas à faire une demande de RP pour trouver un partenaire d'écriture !

⇢ Enfin, amuse-toi bien sur le forum,  n'hésite pas à en parler autour de toi et à voter régulièrement aux TS !
            
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Sujet: Re: Berthold Huber | All of us still chase our dream, Underneath the canopy
                    
            
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