ILUKAAN est un forum MULTIFANDOM dans l'univers d'Harry Potter. Ilukaan est une école de magie internationale se situant en Nouvelle-Écosse au Canada. L'histoire se déroule en 2024, mélangeant magie et technologie. Vous pouvez jouer des personnages de manga/anime, jeux vidéos, films d'animation, dessins animés, romans jeunesse ou encore un OC. L'intrigue se fait à la fois en RPCB et RP-POST.
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It's because I'm ghosting your dreams - Oboro Shirakumo
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Sujet: It's because I'm ghosting your dreams - Oboro Shirakumo Ven 5 Mar 2021 - 15:53
Oboro Shirakumo
Boku no Hero Academia
Identité
Shirakumo Oboro (Dumboro/Boboro et autres variantes acceptées, au début de sa carrière d'Auror il se faisait appeler Loud Cloud) 33 ans Japonais Japonais (langue maternelle) Anglais, un italien un peu rustre 5 Mai 1988, à Toba, Japon Yeux bleus céruléens, Ses cheveux sont d'une teinte de châtain assez clair, il a pris l’habitude de se teindre les cheveux en un bleu clair semblable à la couleur du ciel 203cm / 93kg
Who am I...?
Oboro est un sorcier né moldu. Il ne possède aucun don. Il occupe le poste de professeur de Vol et Sport.
Sa baguette est faite de noyer noir, avec un cœur en plume de corbeau tengu, d'une longueur de 32cm, flexible. Son animal de compagnie est un chat, nommé Chat.
Son patronus est une Grue. L'odeur de son Amortentia est composé de nuages chargés de pluie, de l'odeur peu commune des draps propres des hôpitaux et du café noir qui refroidie. Son reflet dans le miroir du Riséd est lui-même assis sur un siège, une myriade de chatons sur les genoux. Quelqu’un se tient contre lui, mais son visage est tourné, et il ne parvient pas à le distinguer clairement. Il sait seulement qu'il l'aime profondément, et que sa présence est salutaire. Son Épouvantard prend la forme suivante : l’atmosphère s’assombrit, le sol se met à trembler. Des échos lointains de cris parviennent à ses oreilles, mais il est incapable d’entendre clairement ce qu’il se trame. Une fumée sombre s’approche pour tenter de le recouvrir, si noire et opaque que rien ne semble pouvoir s’en échapper. Pas même lui. Pas même sa mémoire. Rien..
Il n'a pas de famille présente à Ilukaan.
Derrière l'écran Pseudo & pronoms : Romy / Altesse bi-goût / AelSouhaites-tu être parrainé·e ? [Non] - explications iciAvatar : ...Code du règlement : [MP au staff]Comment as-tu trouvé le forum ? J'ai pop dessusUn petit mot ? Perdu
headcanons
Il est partiellement (en grande partie en fait) amnésique quant aux événements de son enfance et de son adolescence. Du coup, il fait énormément de blagues à ce sujet. — C’est le genre de prof qui encourage toujours ses élèves à se donner à fond, quel qu'en soit le but. — Et si c’est pour faire des conneries, il les encourage encore plus. — Les événements de son passé l’ont rendu claustrophobe et agoraphobe. — Il a une très belle voix, et a pris l’habitude de chanter des chansons à son chat. — Il lit le braille, et s’y entraîne régulièrement. D’ailleurs, il doit porter des lunettes régulièrement, mais les oublie constamment. — Il a peur de finir par perdre la vue un jour. — Porte des crocs non ironiquement. — Il aimerait vraiment pouvoir se rappeler de tous les événements qu’il a oubliés, ceci dit, il a fini par considérer que l’amnésie avait quand même des avantages non négligeables. — Il reste une personne très fiable, très disponible pour résoudre les problèmes de tout le monde; d’ailleurs cette volonté de se jeter sur les problèmes des autres pour éviter de résoudre les siens seraient révélateur d’une partie de sa personnalité. — Il aimerait faire plus, en tout cas c'est quelque chose qu'il dit souvent; mais le "plus" reste quelque chose d'assez flou. Sans doute a-t-il ce sentiment parce qu'il culpabilise de ne pas se souvenir de son adolescence. — Sa fleur favorite est l'hortensia, parce qu'on dirait de gros nuages colorés. — A cause de son passif, il est très à l'écoute des problèmes des autres. — Il ne sait pas s'arrêter, ce qui peut rapidement devenir extrêmement frustrant pour son entourage.
« I can remember... Your scent... »
« I'm sorry for being so miserable... And disgusting. But please, please... Don't be afraid, I'll never hurt you»
Oboro est un homme très grand et bien bâti, chose qu’il doit à de longues années à s’entraîner physiquement (dans le cadre de sa thérapie, pour tout avouer). Il aurait voulu être athlète de haut niveau (mais ligaments croisés tu connais), et aurait clairement eu les capacités de le devenir, mais le fait d’être constamment sous le feu des projecteurs l’aurait éloigné de ce qu’il aimait vraiment, enseigner. Il met donc ses gros muscles au service de la communauté.
Il a pris l’habitude de teindre ses cheveux en une nuance de bleu clair. Il a commencé à le faire très jeune, malgré les remontrances de ses parents qui n'approuvaient pas ce choix, mais c’est rapidement devenu sa signature. Il est d’ailleurs tout à fait incapable de s’imaginer retourner à sa couleur d’origine. De fait, ses cheveux sont abîmés et ont une consistance un peu sèche qui fait qu’ils tiennent tout seul en l’air. Ils ont l’air de nuages, ce qui lui a valu un de ses surnoms.
D’ailleurs, il a de grands yeux bleus, toujours rieurs. Son père possède lui aussi des mirettes claires, ce qui leur a valu de se faire traiter d’étranger et qui n’était pas bien vu sur la petite île où ils vivaient. Oboro reste très fier de ses yeux.
Il a la peau tannée, plus foncée que la plupart des japonais, du fait de son lieu d’origine.
Il a tendance à porter sur le nez un pansement, pour protéger celui-ci des lunettes de protection qu’il porte lorsqu’il s’en va faire un ptit tour sur son balais. Par force de l’habitude, il le porte presque constamment.
Une longue cicatrice coupe presque son corps en deux. Elle passe sur son visage, au niveau de son front et rejoint son oreille droite. Son œil droit est aveugle, ce qui fait qu’il porte parfois un cache-oeil (et qu’il apprécie parce que ça lui donne un air de pirate). Sa jambe droite à elle aussi subit de grosses dégradations lors de son accident. Il porte donc une prothèse qui remplace son mollet et son pied droit. Il ne le vit pas trop mal, et elle ne l’empêche pas de vivre une vie presque normale.
A cause de son état de santé, il se fatigue relativement vite. De gros efforts sur la durée lui vaudront d’être hospitalisé pour une courte période. Lui-même n’est pas vraiment tout à fait à l’écoute de ces besoins de son corps, auquel, même des années après, il n’est pas complètement habitué.
Il serait difficile de qualifier Oboro autrement que comme un magistral casse-cou, prêt à se jeter dans la gueule du loup pour ses camarades et amis, et peu conscient du danger. Du moins, il est évident que c’est cette personnalité vive et exacerbée qu’il avait avant son accident.
Tout le temps qu’il a passé à l’hôpital lui a permis de devenir un adulte beaucoup plus posé que l’adolescent turbulent qu’il n’était. Son amnésie à également joué dans les légères nuances qui se sont greffées à lui. Il agit beaucoup moins de manière inconsidérée, même si parfois les vieux réflexes jaillissent encore. Il ne supporte pas d’entendre des enfants pleurer, ou de les voir tristes. C’est peut-être aussi pour ça qu’il veut tant pouvoir travailler à Ilukaan.
Oboro reste un homme extrêmement souriant et joyeux, ses grands éclats de rire résonnant derrière lui. On peut se mettre d’accord sur le fait qu’il est très bruyant. S’il ne parle pas, il chantonne, s’il ne chantonne pas, il sifflote. Le silence le terrifie peut-être un peu plus qu’il n’aimerait l’admettre. Du moins, il ne le supporte pas quand il est seul. C’est sûrement pour ça qu’il a pris Chat avec lui, la boule de poil étant au moins aussi bruyante que lui, à miauler et ronronner partout.
Il a un peu de mal avec les petits espaces clos, ils lui rappellent relativement vite les chambres à l’hôpital, et ses rapports à ceux-ci sont assez conflictuels. De même, il essaye de ne pas trop laisser paraître cette panique qui peut facilement le saisir quand il doit faire face à des blessures graves. Il a beaucoup travaillé sur lui-même pour ne plus être aussi effrayé qu’il l’était avant.
Parfois, il fait tout de même des cauchemars. Ce ne serait pas si grave s’il ne parlait pas en dormant, mais c’est le cas. Peut-être que les gens qui passent non loin de ses endroits de siestes privilégiées peuvent l’entendre raconter des choses qui ne font pas de sens pour eux.
« Take me to the rooftop I wanna see the world when I stop breathing»
Quand il est né, ses parents savaient fort bien quel avenir se dessinait pour lui. Avec ses grands yeux clairs et sa peau déjà un peu plus foncée que celle de l’infirmière qui le tenait dans ses bras, Oboro serait pêcheur d’algue nori, comme son père, son grand-père, et comme tous les hommes de la famille Shirakumo avant lui. Oh, et on ne lui laisserait pas le choix. Les algues, c’était la subsistance de la famille. Le symbole de sa maigre prospérité économique. Et pour ses parents, c’était le choix des dieux, et on ne remettait pas en question les agissements divins.
C’est ainsi qu’il vécut pendant les premières années de sa vie, navigant sur le bateau de son père alors qu’il savait à peine marcher. La mer était devenue sa deuxième maison, et le ressac devint son quotidien. Et pourtant, lui qui ne savait ni marcher ni parler, savait que sa vie ne se ferait pas éternellement au gré des vagues. Ses ambitions étaient déjà un poil plus élevées que ce que ses parents avaient prévu pour lui.
Il se mit à grandir pour devenir un enfant déjà doué de ses mains. Un futur pêcheur prometteur, comme aimait à l’affirmer ses parents. Il su nager très vite, il faut dire que l’enfant aimait passer par-dessus en se moquant des conséquences, risquant la noyade et manquant de provoquer une crise cardiaque à son père à chaque fois qu’il se penchait au-delà du navire. Alors il lui apprit à nager, pour ne plus craindre pour la vie de son premier né à chaque fois qu’il décidait que la mer était plus agréable que le bateau.
L’enfant ne parle pas beaucoup. Il rit, par contre. Il a quelques difficultés à verbaliser comment il se sent, ce qu’il veut. Oh, il n’est pas timide, ce n’est pas le problème. Il ne se sent simplement pas à sa place, mais comment l’expliquer à ses parents ? Ce n’est pas vraiment possible, n’est-ce pas ? Alors son “mal-être” se matérialise d’une autre manière. Et un jour, alors que son père charge des algues sur le navire, l’enfant tape du pied. Il a alors six ans. Et en tapant du pied comme il le fait, il se projette en l’air -oh d’à peine quelques mètres !- et reste en lévitation un instant. Il se sent léger. Heureux. Et il flotte.
A ce moment-là, ses parents réalisent que la providence divine à peut-être changée. Leur fils ne deviendra peut-être pas pêcheur d’algues nori comme ils l’avaient imaginé. Et l’arrivée d’une lettre du ministère de la magie redirigeant vers une école spéciale ne fait que renforcer leurs craintes et leurs doutes. Oboro était un sorcier. Le premier de la famille. Malédiction, bénédiction, la limite est frêle après tout ? Comment décider si ce qui arrive à leur fils est un bienfait ou un malheur qui s’abat sur eux ?
Il intègre bien Mahoutokoro, et ses liens avec ses proches se dégradent. Et notre cher Oboro adulte ne se rappelle pas de ce qu’il se passe ensuite. Ses années d’études comptent parmi les plus floues de son existence.
Pourtant, ce sont les années les plus belles de sa vie. Il rencontre d’abord un premier ami. Son meilleur ami. Voir plus. Oh, comme il le chérit, toutes les années qu’ils passent ensemble sont rendues si douces par sa simple présence. Oboro sait qu’il a vécu quelque chose de très beau avec cette personne, mais il est incapable de se souvenir de qui il s’agit.
Disons simplement qu’il grandit en étant aimé et respecté, que ce qu’il connaît pendant ces années-là font de lui un adolescent et un adulte tellement, tellement heureux qu’il a constamment un sourire pendu aux lèvres. Il est un jeune homme très dévoué, un peu insouciant et inconscient, risquant parfois sa vie parce qu’il ne fait pas attention. Heureusement que ses camarades sont là pour le tirer des mauvais pas à chaque fois. Enfin, presque à chaque fois.
Il devient Auror, avec son meilleur ami. Et ils sont heureux, pendant un temps. Et puis tout bascule. Comment est-ce arrivé, déjà ? Il prenait le métro. Non, il était dans le métro. Une explosion. Non, ce n’était pas ça. Quelque chose s’était produit. Un incident. Une erreur humaine dans la construction. Il ne se souvient plus. Il n’avait pas posé la question. En tout cas, il s’est réveillé presque un an plus tard, défiguré, sans personne pour l’identifier. Il reste encore un an à l’hôpital, à se remettre de ses blessures. Un de ses yeux à perdu la vue, alors il a dû se mettre au braille. Il fut incapable de parler pendant de long mois, sa gorge ayant été broyée. Sa jambe droite est foutue. On le renvoie vers d’autres hôpitaux où il peut se remettre de son accident. Alors pour occuper le temps, il se met au sport. Rapidement sa nouvelle lubie prend de plus en plus de temps, mais sa convalescence reste handicapante. Et un jour, bien sûr, il tombe de son balais et on lui interdit de reprendre le sport à haut niveau.
Après cet incident, il reste hospitalisé quelques semaines avant de pouvoir sortir définitivement. Il adopte un chat, qu’il appelle Chat, et cherche à reprendre sa vie en main. Mais au départ, c’est excessivement difficile. Pendant un temps, il décide d’animer les après-midi des enfants hospitalisés, moldus comme sorciers, donnant des petites leçons de sport. C’est à ce moment-là qu’il se découvre une passion pour l’enseignement. Les sourires des enfants comblent tous les vides de son esprit. Il voyage dans plusieurs pays d’Asie toujours dans sa quête d’apporter du réconfort à des patients, mais ça aussi, devient trop difficile avec le temps. S’occuper d’enfants condamnés lui pèse énormément. Et bientôt il ne peut plus supporter la perspective de la mort constante dans son quotidien.
Après l’Asie, il se tourne vers l’Europe. Il passe un certain temps en Italie, enchaînant plusieurs années à enseigner les sports magiques. Il a l'impression de renaître. Finalement, c'est ce qu'il aime le plus faire au monde. On lui recommande finalement le Canada. Alors il attend. Il refuse le poste une fois, puis deux, et décide cette année de saisir sa chance, remplaçant un professeur qui se voit remercier. Et c’est ainsi qu’il intègre, en cours d’année 2021, Ilukaan.
(c) Ilukaan
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Sujet: Re: It's because I'm ghosting your dreams - Oboro Shirakumo Ven 5 Mar 2021 - 15:54
Je vais te tuer.
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Sujet: Re: It's because I'm ghosting your dreams - Oboro Shirakumo Ven 5 Mar 2021 - 17:01
Sujet: Re: It's because I'm ghosting your dreams - Oboro Shirakumo Lun 8 Mar 2021 - 11:16
Coucou ! Tu me pardonneras, je n'avais pas du tout vu ta fiche d'autant plus que mon emploi du temps est ultra chargé ces derniers temps (et ce, jusqu'au 22 mars). Je vais essayer de lire ta fiche au plus vite ;v;
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Sujet: Re: It's because I'm ghosting your dreams - Oboro Shirakumo Lun 8 Mar 2021 - 17:55
Je blague dadzawa me tape pas
Vincent Leroy
Ex-Directeur
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Comment appelle-t-on un chat qui chante?
Chat-kira.