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Hafið þið séð steinrunnið tröll ? Présentation d'Ásla PÁLLDOTTIR [Terminé] | | | Sujet: Hafið þið séð steinrunnið tröll ? Présentation d'Ásla PÁLLDOTTIR [Terminé] Dim 11 Oct 2020 - 15:40 Ásla PÁLLDOTTIR | OC MAISON : Strixyst ANNÉE : 1ère année OPTIONS : / MOTIVATION : Pas concernée ANIMAL DE COMPAGNIE : Un petit écureuil de Corée du nom de Ratatosk. En arrivant au Canada, à la sortie de l'aéroport, un inconnu me l'a confié dans une petite boite en carton. Avant d'avoir le temps de réaliser et de découvrir ce que la boite contenait, l'homme m'a fait un très beau sourire avant de prendre le premier taxi venu. Au début, le petit animal ne semblait pas trop m'apprécier et me jouait beaucoup de mauvais tours, jusqu'à me mettre dans des mauvais draps. Mais depuis peu, il commence à se rapprocher de moi et ne me quitte pas d'une semelle. Souvent, quand il le peut, il se cache sous mon bonnet, ou sous mon écharpe. Sinon, il aura tendance à se faufiler dans les petites poches de l'uniforme. Il est très craintif des humains et préférera toujours être en hauteur. De lui même, il n'ira que très rarement sur le sol ; ce sera le cas que si la situation le lui oblige, ou que de la nourriture y est présente. Il ne se laissera pas facilement toucher et pourrait mordre si on le lui oblige. Il a aussi un petit côté kleptomane qui fait qu'il faudra avoir tendance à surveiller ses affaires s'il est dans les parages. Ásla se retrouve souvent avec des objets sous son oreiller et a peur qu'un jour on la traite de voleuse. Le lendemain, elle essayera toujours de retrouver les propriétaires de ces objets disparus. Souvent, en tendant l'oreille, ce n'est pas bien difficile. BAGUETTE : Bois de cèdre, corne de Jackalope utilisée comme ramure pour le coeur de sa baguette magique. Petite taille : 20,32 mm. Une forme de bois de cerf, à l'extrémité : PATRONUS : Un morse ODEUR DE L'AMORTENTIA : L’air de la mer, l’écorce de bois, la noisette REFLET DANS LE MIROIR DU RISÉD : Le reflet de mon père présent pour la remise des diplômes. ÉPOUVANTARD : Chute de cendres d’une éruption volcanique, asphyxie. FAMILLE : Pas de famille présente à l’école. MATIÈRE FAVORITE : Défense contre les forces du Mal MATIÈRE LA MOINS AIMÉE : Vol et sport Ásla Pálldottir — Original Character 11 ans | inconnue | Féminin | Islandaise |
« Nous menons une guerre contre la nature, si nous la gagnons nous sommes perdus » NOM : PÁLLDOTTIR PRÉNOM : Ásla SURNOM : Bébé phoque DATE ET LIEU DE NAISSANCE : 12 mai 2009, à Hólmavík en Islande. LANGUES PARLÉES: Islandais, anglais, danois. DON : Petite humaine sans dons YEUX : Gris à la lumière, noirs dans l’ombre. Il arrive parfois d’y entrevoir un léger reflet bleu. CHEVEUX : Roux foncés pouvant avoir une couleur intense quand le soleil est très présent. TAILLE : 150 centimètres POIDS : 38 kilogrammes. Liste des headcanons Jamais sans sa lyre — se sent en harmonie avec les animaux à cornes — préfère sentir le chien mouillé plutôt que la transpiration humaine — a une ouïe très fine — n’a presque jamais froid — la chaleur lui est insupportable — A côtoyé dans sa vie un rapport de 100 moutons pour 1 humain — Se déplaçait en cheval, la voiture, ne connaît pas — Pas tactile pour un sou — est intriguée par la lycanthropie — les forces de la nature l’impressionne — la technologie lui est inconnue — est souvent en introspection — droite dans ses bottes — ne se laisse pas facilement décontenancer — attend beaucoup de la magie — vit avec la peur d’être un jour trop faible pour protéger un être cher — essayera toujours de se surpasser sans tenir compte de ses limites — restera pourtant une élève dans la moyenne — aime l’ordre et la justice — se sent submergée par la ville, et inondée par la population. Côté joueurPSEUDO : Ásla PÁLLDOTTIR AVATAR : Image deviantart : https://www.deviantart.com/tuyetdinhsinhvat/art/little-girl-276514404 COMMENT AS-TU TROUVÉ LE FORUM ? : En me baladant de top sites en top sites. UN PETIT MOT : Je connais l'univers de mes très vieux souvenirs d'enfance, alors je peux être un peu perdue / à côté parfois ! N'hésitez pas à me le dire. CODE DU RÈGLEMENT : C'est fait ! PhysiqueÁsla Pálldottir est une jeune fille de petite taille, de nature très fine et avec quelques traits nordiques. Ainsi, elle a hérité d’une peau particulièrement blanche, fragile aux coups de soleils, et qui contraste avec ses cheveux roux foncés tirant vers le rouge. Ses yeux étaient d’un bleu turquoise très clair, qui s’est peu à peu décliné en gris vitreux, particuliers mais dont elle n’en garde aucune honte. Au contraire, ce serait peut-être sa fierté, car c’est ce qui la relie à son père. Elle apprend peu à peu à supporter la présence de robes et de jupes, n’étant pas habituée à ces vêtements à cause de l’environnement glacé qui ne s’y prêtait pas. Elle aime l’hiver pour pouvoir se couvrir davantage, porter des vêtements plus longs, et apprécier le contact d’une bonne paire de moufles. Les bijoux qu’elle aura ne se porteront que s’ils ont un intérêt magique, préférant toujours opter vers l’utilité. Elle a une tache de naissance noire, au niveau de la cheville droite, ce qui lui a valu le surnom de bébé phoque par sa mère, à cause de sa forme allongée. Côté forme physique, elle est plutôt rapide et agile, avec de bon réflexes, mais d’un autre côté, elle n’a ni l'endurance, ni une réelle force. Caractère Ásla est un peu comme un volcan caché sous une couche de glace. Son tempérament est vif, ses pensées fusent, mais elle a une certaine froideur extérieure, qui peut laisser croire au premier abord qu’elle est à peine plus réfléchie qu’une huître en hibernation, et qu’elle n’est pas blessée quand on l’attaque. Il s’agit juste d’une personne difficile à déchiffrer quand on ne la connaît pas. Pour cette raison, elle préfèrera une atmosphère sans parole, qui pour elle est source d’apaisement et de réassurance. Elle se sentira davantage comprise par les animaux qui lui semblent plus instinctifs et proches de son comportement actuel, que par les humains avec qui elle risque d’être facilement maladroite. Tout est très nouveau pour elle, et elle aura besoin de temps pour s’adapter, avant de s’avancer d’elle même vers les autres. Elle ne comprend pas le fonctionnement d’objets très simples, comme les lampes électriques (elle en était encore à la lampe à huile), ou encore, tout ce qui peut fonctionner avec une pile. Ne parlons même pas de systèmes plus complexes comme les ordinateurs ou les ascenseurs. Un peu naïvement, découvrant les deux univers au même moment, elle aura tendance à confondre la technologie avec ce qui s’apparente à de la magie. Plus tard, elle aimerait allier ses connaissances en la magie pour pallier sa faiblesse physique, et être capable de l’utiliser pour protéger. En l’état actuel des choses, elle devrait déjà apprendre à se servir de sa baguette magique sans s’envoyer une décharge électrique, et comprendre un peu plus le monde dans lequel elle s’est retrouvée. Depuis qu’elle a appris que l’existence des loups garous n’était pas une légende urbaine, elle espère en trouver un, se disant qu’il serait aussi proche de l’humain que de l’animal, qu’elle le comprendrait peut-être mieux qu’un être humain. Ainsi, elle n’arrête pas de se documenter à ce sujet, empruntant des livres, et essayant d’user de stratagèmes pour en démasquer un parmis les élèves. HistoireAoût 2014. 5 ans et demi. L’âge d’une petite fille qui se compte encore sur les doigts d’une main. Elle tourne son visage vers un cadre en bois posé sur l’étagère de la cuisine. Elle le connaît bien. Sur celui-ci, la photographie d’un jeune homme, grand, mince, une barbe fine et bien taillée, ses cheveux noirs de jais cachant à moitié ses yeux empreints de mélancolie. Un regard sombre, sans couleur ; cet homme, c’est Páll, mon père. Il est absent de la maison, une petite maison en bois modeste, convenant pour les familles sans réels revenus. Marlín, ma mère, est une femme seule, forgée par la solitude et aussi robuste que les moutons de nos régions. Elle en élève sur plusieurs hectars, en compagnie de chevaux de toutes les robes possibles et inimaginables, et il faut dire, la nature ne manque pas pour les héberger. Ceux-ci vivent en liberté l’été, et passent l’hiver à l’abris du froid mordant de l’Islande. Mon regard restant fixé sur cette image, Marlín s’approche de moi et pose sa main sur mon épaule, comme pour me sortir de mes pensées. Elle range le cadre dans un tiroir et me dit de sa voix douce de maman : - "Ton papa est loin. C'est pour ton bien qu’il a dû partir, sa différence ne doit pas te perturber. Je veux que tu vives une vie de petite fille, loin des dangers".Je la regarde sans comprendre, les histoires des parents me semblent être différents de ceux des enfants. Plus durs, incompréhensibles, d’une tristesse feinte. Ce père que je n’ai jamais connu, ne me manque pas. Pourtant, quelque part, j’ai cette envie irrésistible de lui ressembler, de le rencontrer. Voyant mon regard perdu, elle hésite quelque temps avant de fouiller dans une armoire et de sortir un objet enveloppé d’un tissu fin, sous une pile de vêtements. Elle me le tend, je m’en empare, et pendant que je le déballe, j’entends sa voix : - "C’est pour toi, j’ai promis à ton père de te la donner quand tu serais assez grande. C’est une lyre, un cadeau de lui. Mes yeux s’illuminèrent, je n’ai jamais vu un tel objet, fait de bois, et de cordes. J’ose pincer l’une d’entre elles, et un son s’en échappe. J’y reste captivée, et je m’y perds pendant des heures, avant de comprendre le fonctionnement. Il devient mon objet fétiche, que j’emporte où que j’aille. J’ai l’impression d’y ressentir une présence, d’entendre la voix de ce parent que je ne connais pas, à travers ces cordes qui vibrent. Quand je regarde par la fenêtre, je peux apercevoir les champs de blé et d’avoine, qui s’étendent à perte de vue. Aucune parcelle n’est cloisonnée, et lorsque je suis dehors avec ma mère qui me tient la main, j’ai un sentiment de liberté et de danger qui me submerge. J’ai appris à mes dépends que la nature pouvait être autant fascinante que terrifiante. Mai 2019, c’est le jour de mon anniversaire, bientôt 10 ans ! Pour l’occasion, je me rends avec Marlín à la péninsule de Snæfell. Le chemin est long, rude, mais le résultat en vaut la chandelle. Je suis à dos d’une gentille jument du nom d’Ástrún, qui a la robe beige et le crin blanc, tandis que ma mère est sur un cheval noir que je ne connais pas bien. Quand on arrive enfin, le soleil commence à se coucher. Je vais chercher des brindilles et des feuilles mortes en espérant faire un feu, le vent du nord étant absent. J’observe ma mère, attendant un signe pour comprendre pourquoi nous avions faits ce chemin, pour se retrouver face à l’océan, près de ce qu’il me semblait être une immense colline déserte. Quand soudain, le ciel se fissura pour laisser place à des couleurs vives, étincelantes, allant du vert émeraude, au bleu saphir. Je reste là, toute la soirée à les regarder, jusqu’à n’en pas dormir. Pendant ce temps, Marlín est entrain de monter la tente, puis m’invite à y rentrer après un repas léger. Mais me voilà bien incapable de décocher mon regard du ciel. - “Je vois que aimes regarder les aurores boréales, mais attention parce qu’il y a une contrepartie. Ce que tu ne sais pas, c’est qu’à chaque fois que tu les regardes, elles capturent une parcelle de la couleur de tes yeux, de toi, et de chaque animal aux alentours. Elle marqua une pause. Si tu les observes trop, ton regard sera de plus en plus terne”. Je revis alors l’image de mon père, seul homme dans ma vie que j’ai eu l’occasion de voir, et possédant des iris aussi noirs. Lui aussi, devait se perdre dans les étoiles, un point commun que j’ai de lui, sans même le savoir. De mon air innocent, j’ai répondu sans ciller : - “Si elles m’en prennent, c’est qu’elles en ont besoin pour continuer à scintiller de toutes ces belles couleurs dans le ciel, alors je ne cesserai jamais de les regarder”. Ai-je fini par conclure, sûre de moi. Je trouvais ce spectacle si merveilleux, qu’il me rappelait sans cesse que ce qui me semblait être de la magie, pouvait être doux et lumineux.
Le lendemain, avide d’exploration, je suis montée sur le cheval noir pour m’entraîner à me balader avec lui, toujours sous la vue de ma mère, qui tenait un livre entre ses mains. Les écoles n’existaient pas à proximité de là où nous vivions. Ma scolarité était exclusivement faite à distance, et je me déplaçais que très rarement pour passer des examens en fin d’année. Marlín était mon seul repère éducatif, et elle prenait ce travail très au sérieux, feuilletant mes manuels scolaires jusqu’à la dernière page. Soudain, un bruit strident accompagné d’autres bruits sourds se sont faits entendre. Effrayé, le cheval s’est cabré en poussant un hennissement et a détalé au galop. J’ai tenté de me maintenir comme je le pouvais sur l’animal en m’agrippant à ses longs poils, pendant une partie du trajet, persuadée que ma vie était en jeu. Puis finalement, l’équidé a pris un brusque virage, et je suis tombée dans un fossé. J’ai vu le cheval s’éloigner, mes yeux se sont fermés, j’ai perdu connaissance. J’ai ouvert peu à peu les yeux, les bruits ont dû me sortir de ma torpeur, ils étaient toujours là, je n’ai pas dû être évanouie longtemps. J’ai tenté tant bien que mal de me redresser, non sans tituber, puis j’ai continué mon trajet, à pas lents, jusqu’à apercevoir non loin de là, une petite cabane en bois. Je commençais à suffoquer, à chercher mon air. Au loin, je voyais de la fumer arriver, sans comprendre davantage, je me suis aventurée vers la cabane, clôturant les portes et les issues avec du linge mouillé pour que l’air pollué extérieur ne rentre pas à l’intérieur, comme Marlín me l’a appris. J’ai essayé de me remémorer le reste de ses conseils, en vain, puis, je n’ai pas osé sortir de cette pièce. Il arrive que j’entende des chocs sur le toit, très bref, j’ai juste peur, je me suis cachée sous une planche en bois, et j’ai attendu, encore, et encore. Trois jours sont passés, sans manger, sans boire. Mes mains sont devenues violettes par le froid, j’arrive à peine à bouger, mon air n’est que buée. Soudain, on toque à la porte. Des humains discutent derrière, pour finalement dire : “ouvrez, on compte à trois”. J’hésite à répondre, je me recroqueville encore plus dans mon coin, je suis affaiblie. Ils fracassent la porte, non sans violence, je crie. Comprenant que je suis une petite fille seule, ils se calment, et disent aux personnes derrières elles “c’est bon, on l’a trouvée”. L’un s’approche de moi, et essaye de prendre une voix rassurante ““ne t’en fais pas, on est là pour te sortir de là, on ne te veut pas de mal”. Il me tend la main, je la prends. J’essaye de me lever, mais je retombe au sol aussitôt. Finalement, on me prend dans les bras. Quand je suis sortie malgré moi de la cabane, j’ai vu alors l’extérieur pour la première fois. Tout n’est que désolation. Le sol et le bâtiment est recouvert d’une cendre noirâtre de plusieurs centimètres, mais le plus impressionnant, est de voir le nombre de petits oiseaux sans vie qui tapissent le sol. Cette vision d’horreur face à moi était de trop, j’ai refermé mes yeux pour sombrer de nouveau. Tant et si bien que même aujourd’hui, je ne suis pas capable de dire si ce que j’ai vu était bien réel, ou si je l’ai imaginé, transformé. Plus tard, j’ai su que ce que j’ai vécu était les conséquences de l’éruption d’un système volcanique non loin de là : le Ljósufjöll. La nature peut être impitoyable. Quand j’ai ouvert les yeux, j’étais allongée sur mon lit, recouverte de plusieurs couvertures, une bouillotte sur la tête. J’ai essayé de me redresser, et j’ai eu des vertiges. Ma mère était là et m’a veillé tout ce temps. Elle m’a dit de ne pas trop bouger, que j’avais une forte fièvre, et que j’étais restée endormie pendant deux jours entiers. Elle s’est mise à pleurer à chaudes larmes en face de moi, ce qui m’a surprise, je ne l’ai jamais vu verser de larmes, c’est une mère qui sait enfouir ses émotions au plus profond d’elle même. Instinctivement, je me suis inquiétée pour elle, et je lui ai chuchoté que j’allais bien. Elle s’est transformée en fontaine encore plus, j’ai essayé de comprendre, j’ai été arrêtée par une quinte de toux. Plusieurs jours sont passés, et j’ai commencé à aller mieux. J’ai bu des aliments liquides pendant un bon moment, des soupes, et maintenant, j’ai pu passer à du solide. Quand elle a estimé que j’allais suffisamment bien, elle m’a entraîné dans sa chambre, et elle m’a dit qu’il fallait qu’on ait une discussion toutes les deux. Je l’ai regardé dans les yeux, sans comprendre. Elle a commencé : - "Il fallait que je te parle… Je suis désolée de ce qu’il t’est arrivé, je n’ai pas été assez réactive, j’aurais dû me mettre directement à ta poursuite, j’ai perdu rapidement ta trace. Quand j’ai cru t’avoir retrouvé, ce n’était que le cheval, seul, perdu dans la nature, et effrayé. Mais toi, tu n’étais nulle part. Il faut que tu saches que depuis que tu as été portée disparue, je n’ai jamais cessé de te chercher. J'ai même cru à ta mort.. Les jours passaient et.. je perdais espoir de te retrouver. L’Islande peut être impitoyable. Je n’aurais pas dû t’emmener dans un endroit si dangereux." Elle s’est tue, le regard dans le vide, comme éteinte. Sa voix a commencé à trembler. - "Il n y a pas que ça, je t’ai caché des choses, je n’ai pas été complètement sincère avec toi. Je l’ai fait, car je pensais que c’était pour te protéger, mais j’ai vu ces derniers jours que tu as été en danger, malgré ma protection. J’ai failli à mon devoir. Páll avait raison. Je te laisse alors ce choix, que j’aurais dû te laisser depuis bien longtemps. Celui de pouvoir assurer ta protection. Et même si autour, on te malmène à cause de ça, au moins, tu pourras te défendre et défendre ceux que tu aimes. Ma tête commence à tourner, je ne comprends absolument pas où ma mère veut en venir, cela doit se voir sur mon visage, je fronce les sourcils, j’essaye de comprendre, mais tout m’échappe. J’ai envie de lui dire, ne t’en fais pas, ce n’est pas grave, ce n’est pas de ta faute, mais je sais qu’elle ne m’écouterait pas. C’est un accident gravé dans son coeur. J’ai envie de prendre la parole mais elle m’interrompt : - "J’ai beaucoup de choses à t’avouer, mais je dois tout t’expliquer pour que tu comprennes. D’abord, c’est de ma faute si Páll n’est plus là. Je ne voulais pas t’imposer une vie de sorcière. Dans ces petits villages, où tout se sait, j’aurais voulue naître normale. Ton père n’était pas de cet avis, après une violente dispute, il est parti, et il n’est plus jamais revenu. Je recevais des lettres de lui parfois. Il m’en écrivait pour chacun de tes anniversaires. Il y en a même une pour toi. Elle alla la chercher dans un coffre qu’elle fermait à clef, dans sa chambre, pour me la donner. Tu dois te sentir trahie, mais sache que je l’ai fait pour toi …”Elle me confia alors ce qu’était véritablement la magie, et le fait d’être une sorcière, et ce que cela impliquait. Elle m’a dit aussi qu’elle recevait également des prospectus et lettres de diverses écoles, pour l’année prochaine dans le but d’intégrer une école de magie. Marlín a voulu me cacher mes origines magiques, en espérant que les autres enfants, voir adultes, ne me prennent pas pour le diable, comme ça a été le cas pour elle étant petite. Je lui en ai voulu, mais j’ai compris. Je lui en veux encore, de m’avoir retiré mon père, qui était prêt à m’en apprendre tellement. Elle m’a avoué qu’il a cessé de lui écrire à mes 7 ans, sans savoir exactement ce qu’il était advenu de lui. Tout ce qu’elle pouvait savoir, c’est qu’il ne se trouvait pas dans l’école actuelle de magie en Islande. Elle m’a alors conseillé de regarder les prospectus des différentes écoles, et de choisir celle que je préférais. Peut-être trouverais-je mon père, me suis-je dit secrètement. J’ai finalement opté pour le Canada qui propose également une bourse pour les étudiants précaires. Le trajet pour y aller, en avion, a duré presqu’une journée entière, le temps d’aller en cheval jusqu’à la capitale, puis le vol, et enfin, me rendre à l’école de magie. Presque toutes les économies ont été misent pour me permettre d‘y aller. Je sais que des sacrifices ont été faits, je n’ai pas le droit de ne pas saisir cette chance. Sur le trajet, j’ai ouvert la lettre que mon père m’a écrit, je voulais être seule pour la lire : | | Francis Bonnefoy Cervirald | Image du profil : Emportés par la foule qui nous traîne
Nous entraîne
Écrasés l'un contre l'autre
Nous ne formons qu'un seul corps
Et le flot sans effort
Nous pousse, enchaînés l'un et l'autre
Et nous laisse tous deux
Épanouis, enivrés et heureux
ϟ Œuvre : Axis Powers Hetalia
ϟ Parchemins : 711
ϟ Gallions : 172
ϟ Âge (RP) : 24 ans
ϟ Maison : Cervirald
ϟ Année scolaire : 14ème année
ϟ Titre(s) : /
ϟ Don : /
ϟ Baguette : Bois de charme — 29,5cm — Cheveu de vélane — Flexible
ϟ Cursus : Potions approfondies
ϟ Malle : Jeune pousse
ϟ Autres comptes : Lucifer Hellborn, Tom M. Riddle, Lian Xie, Respen Enneiros, Phoenix Wright |
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Et nous laisse tous deux
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ϟ Cursus : Potions approfondies
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ϟ Autres comptes : Lucifer Hellborn, Tom M. Riddle, Lian Xie, Respen Enneiros, Phoenix Wright | Sujet: Re: Hafið þið séð steinrunnið tröll ? Présentation d'Ásla PÁLLDOTTIR [Terminé] Dim 11 Oct 2020 - 16:34 Bienvenue !!! - De la part des potos:
- De moi à moi:
- Merci Lance !:
- Merci Mads !:
- Merci Luciano !:
| | | | Sujet: Re: Hafið þið séð steinrunnið tröll ? Présentation d'Ásla PÁLLDOTTIR [Terminé] Dim 11 Oct 2020 - 17:27 Bienvenue ici! | | | | Sujet: Re: Hafið þið séð steinrunnið tröll ? Présentation d'Ásla PÁLLDOTTIR [Terminé] Dim 11 Oct 2020 - 17:37 Merci beaucoup !
J'ai modifié l'avatar / comme demandé. // Je vais envoyer le code pour le règlement et s'il y a quoi que ce soit d'autre, je reste attentive. | | | | Sujet: Re: Hafið þið séð steinrunnið tröll ? Présentation d'Ásla PÁLLDOTTIR [Terminé] Dim 11 Oct 2020 - 18:57 Bonjour collègue de première année~ Je peux lire ta fiche qu'en diagonale pour le moment mais Asla a l'air toute mignonne, la pauvre pitchoune a l'air perdue entre tout ce monde et la technologie. Je te taxerais bien un petit lien entre elle et Allister quand tu seras validée~ Bon courage pour ta validation! | | | | Sujet: Re: Hafið þið séð steinrunnið tröll ? Présentation d'Ásla PÁLLDOTTIR [Terminé] Dim 11 Oct 2020 - 19:44 Coucou camarade ! J'ai lu ta fiche et je suis très partante pour un lien avec ton personnage, je pense qu'ils pourraient bien s'entendre, peut-être voir pour une approche amicale si ça te tente ? Dès validation, c'est OK pour moi ! | | | | Sujet: Re: Hafið þið séð steinrunnið tröll ? Présentation d'Ásla PÁLLDOTTIR [Terminé] Sam 17 Oct 2020 - 10:31 Heeeeeey camarade nordique !
Ásla est si mignonne, clairement Lukas va avoir du mal à ne pas faire le Big Bro avec elle ;^; Bon courage pour la valid' ! | | Vincent Leroy Ex-Directeur | Image du profil : Comment appelle-t-on un chat qui chante?
Chat-kira.
ϟ Œuvre : Original Character
ϟ Parchemins : 1709
ϟ Gallions : +infini
ϟ Âge (RP) : 51 ans
ϟ Année scolaire : PNJ
ϟ Titre(s) : Ancien Directeur d'Ilukaan — PNJ
ϟ Don : Être plus fab que toi
ϟ Baguette : Vigne, coeur en plume d'oiseau tonnerre, 30,45 centimètres. Avec un joli strap dessus.
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| Sujet: Re: Hafið þið séð steinrunnið tröll ? Présentation d'Ásla PÁLLDOTTIR [Terminé] Lun 19 Oct 2020 - 21:22 Bienvenue sur le forum ! Navrée pour le petit délai de validation, mais j'arrive avec de bonnes nouvelles : je valide ta fiche ! Ravie d'avoir une nouvelle première année (c'est rare !) et si mignonne en plus :D Amuse-toi bien sur le forum~ Bienvenue à Ilukaan ! Validation Accompagnée par d'autres nouveaux élèves, tu es appelée par le directeur à t'avancer au centre du Dôme. Scrutée par les élèves et étudiants, tu regardes alors ton reflet dans la fontaine qui va décider de ton sort. D'abord voyant ta sale tête dans l'eau, tu remarques que le reflet semble se changer peu à peu jusqu'à prendre la forme d'une chouette. Tu es d'autant plus surprise quand l'animal commence à pousser un cri dans toute la salle. Tout le monde se met soudainement à t'applaudir, tandis que le directeur s'approche de toi avec une améthyste brute qu'il met autour de ton cou. "Bienvenue à Strixyst !" → Te voilà validée, tu peux désormais poster dans tous les recoins du forum, RP-Post ainsi que RPCB. → N'hésite pas à voir la chambre qui t'a été attribuée. → Si ton personnage est en cursus universitaire, il peut postuler pour avoir un job d'étudiant. → Crée dès maintenant un topic pour récapituler les relations de ton personnage. Tu peux également acquérir un portable ou bien créer un blog. → N'hésite pas à faire une demande de RP pour trouver un partenaire d'écriture ! → Enfin, amuse-toi bien sur le forum, n'hésite pas à en parler autour de toi et à voter régulièrement aux TS ! | | | | Sujet: Re: Hafið þið séð steinrunnið tröll ? Présentation d'Ásla PÁLLDOTTIR [Terminé]
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