ILUKAAN est un forum MULTIFANDOM dans l'univers d'Harry Potter. Ilukaan est une école de magie internationale se situant en Nouvelle-Écosse au Canada. L'histoire se déroule en 2024, mélangeant magie et technologie. Vous pouvez jouer des personnages de manga/anime, jeux vidéos, films d'animation, dessins animés, romans jeunesse ou encore un OC. L'intrigue se fait à la fois en RPCB et RP-POST.
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ϟ Baguette : Bois de Sequoia, plume de phoenix, 30cm
ϟ Cursus : Psychomagie
ϟ Malle : Potion démange
Sujet: Touch me Midas | Nagito Komaeda Mar 13 Oct 2020 - 1:51
Nagito Komaeda
Danganronpa
Identité
Komaeda Nagito 23 ans Japonais Parle l'anglais et le japonais 28/04/2001, Nagoya (Japon) Yeux gris, cheveux blanc (teint) 1m80, 65kg
Who am I...?
Nagito est un sorcier né moldu appartenant à la maison Strixyst et en 13ème année. Il suit le cursus de Psychomagie. Il possède ne possède aucun don. Il n'occupe aucun poste.
Sa baguette est faite de séquoia, avec un cœur en plume de phoenix, d'une longueur de 30 cm, souple. Il n'a pas d'animal de compagnie.
Son patronus est une luciole. L'odeur de son Amortentia est composé de barbe à papa, de feuilles de papier et de soufre. Son reflet dans le miroir du Riséd est le sien, entouré d'amis réalisant leurs rêves. Son Épouvantard prend la forme d'un avion.
Il n'a pas de famille présente à Ilukaan. Sa matière favorite est Sortilège et la matière qu'il aime le moins est l'Etude des moldus.
Derrière l'écran Pseudo & pronoms : Tega [Clara] || Elle/LaAvatar : Fiche par Absolute_Hope Avatars par AntiDX et DaamnCode du règlement : XXComment as-tu trouvé le forum ? Guess I was lucky!Un petit mot ? Big fingers in his ass.
headcanons
Malchanceux • Double fois chanceux • Chaque mal mène à un bien • Il accorde une confiance aveugle à sa chance • Voyager en avion lui fait peur • L'auto-dévalorisation s'est incarnée en un homme, Nagito Komaeda • Il n'aime pas les activités dangereuses • Il mange peu et s'exerce peu • Sommeil rapide, mais léger • Il n'aime pas les endroits bruyants et préfère le calme d'un silence confortable • Il apprécie les romans d'enquête et les escapes games • Il vous aime • Vous ne voulez pas qu'il vous aime • Réputé pour mettre tout le monde mal à l'aise • Il observe en silence et s'investit avec passion • Il aime les jolies choses et les jolies personnes, et est au contraire plutôt froid avec ceux qu'il considère comme laids • L'espoir est son maître mot, et son maître tout court • Il est attiré par les personnes talentueuses, et méprise les personnes ordinaires, lui y comprit.
« Personally, I think it shows great courage to try to understand something you don't understand. »
« The overfamiliar attitude, the friendly smile... But under that thin skin, I can feel something putrid. »
Rarement a-t-on l’occasion de voir une telle dualité dans l’apparence de quelqu’un. C’est comme de voir une poupée de porcelaine enroulée dans un sac poubelle: c’est surprenant, et il est difficile d’y trouver un sens, d’y trouver une justice.
Le premier côté que l’on remarque chez Nagito est la fameuse "porcelaine" dans cette métaphore. Une peau extrêmement pâle, typique des idoles japonaises blanchies sur photoshop, accompagnés d’yeux gris assez clairs, souvent mi-clos et sereins, qui viennent compléter l’image angélique ivoire qu’il possède au naturel. Moins naturels, mais tout aussi blancs sont ses cheveux, teint grâce à des produits sorciers qui parfois donnent une impression de reflets rosés vers les pointes des ses longues mèches ondulées. Il n’a pas réellement besoin de se coiffer, selon lui. Il affirme qu’il se réveille souvent avec cette coiffure particulière.
On le décrit parfois comme efféminé, une vérité qui se reflète dans ses manières. Ses mouvements sont souvent délicats, ses mains régulièrement levées proches de son visage, qui arbore la plupart du temps un sourire calme et optimiste. Cependant, de nombreuses choses viennent briser ce physique pourtant charmant. C’est là qu’arrive le deuxième côté de Nagito Komaeda : Le sac poubelle sur la poupée de porcelaine.
Le style vestimentaire est quelque chose d’important pour lui, et il est facile de comprendre qu’il n’a pas simplement pris des vêtements au hasard dans le premier magasin venu. Sa garde robe est travaillée, mais semble être en conflit avec sa figure pourtant douce. Rock, Grunge, Militaire. Rouge, noir, gris, kaki, brun. Longs manteaux asymétriques, chaînes au cou ou bien aux hanches. Toutes ces choses se mélangent dans des ensembles qui méritent le descriptif d’original: dur de ne pas le voir passer quand il n’est pas dans son uniforme, qu’il porte étonnamment de façon conforme et sans accessoire. Le contraste entre ses vêtements personnels et sa “tenue de travail” est plutôt impressionnant, surtout quand on s’y confronte pour la première fois. La douceur de sa capuche à fourrure blanche est, le week-end, troquée pour des ensembles sombres aux airs usés.
Une autre surprise encore est sa voix, comme un murmure constant, même quand il hausse le ton. Beaucoup évitent ses longs discours, parfois amicaux, parfois arrogants. Son faciès exprime un panel d'expressions impressionnantes, qu’il ne montre pas tant que cela à ceux qu’il ne connaît pas: provoquer sa haine et son amour est essentiel pour y avoir pleinement accès. Beaucoup disent de lui que certains de ses sourires mettent mal à l’aise, preuve d’un problème de communication assez appuyé chez lui.
Il est assez grand. Un mètre quatre-vingt, pour très peu de poids et de muscles. Le décrire comme une longue asperge ne serait pas loin de la vérité. Il rit souvent lui-même avec embarras quand on mentionne ce détail de son apparence, et admet qu’il s’est souvent cogné à des portières de voitures ou à des placards suspendus à cause de ceci.
L’amour est une chose difficile à définir, une notion très personnelle, unique à chacun. Pour la demoiselle là-bas, l’amour est un échange, des obstacles à traverser main dans la main, une entraide mutuelle et égale. Pour l’homme là-bas, l’amour est une admiration forte : c’est l’envie de devenir l’égal de la personne aimée, le besoin qu’elle nous remarque. Pour Nagito Komaeda, l’amour est très différent: un sentiment à sens unique, où l’un donne son être entier pour servir à l’autre et lui permettre d’aller plus loin, d’atteindre les plus grands sommets. Cela ne sert à rien que le sentiment soit réciproque. L’amour n’est pas égoïste. L’amour est un don, un sacrifice pour une meilleure cause.
Nagito est une personne collante, qui s’attache à vous facilement si vous lui montrez que vous êtes digne de son intérêt. Le simple fait d’être un sorcier suffit sûrement à ce qu’il vous apprécie. Si vous êtes une personne talentueuse, il sera sans aucun doute encore plus attiré par vous. Il restera auprès de vous afin de se rendre utile, motivé par cette envie de vous aider, en toute amitié. C’est ce comportement qui a tendance à provoquer la fuite de nombreuses personnes à son approche. C’est une relation bien trop étrange et rapide qu’il essaie de mettre en place parfois contre votre gré. Il vous aime, mais le montre de la manière la plus déconcertante qui soi. Heureusement pour vous: une simple demande de partir ou de se taire suffira à l’éloigner.
L’inverse peut se produire si vous ne l'intéressez pas. Les moldus et les nés-moldus sont certaines les victimes premières de ce changement de comportement. Si vous en faites partie, alors vous aurez la malchance de vous retrouver face à un Nagito parfois sec, arrogant, qui se permet la moindre réflexion insultante sans même y penser à deux fois. Ce n’est pas qu’il vous déteste, peut-être même qu’il vous apprécie. Il vous considère simplement comme naturellement inférieur, non pas à lui, mais inférieur à d’autres personnes tels que les sorciers. Il réunit d’ailleurs les sangs-mêlés et les sangs-purs dans une seule et même catégorie, et ne semble visiblement pas faire de distinction entre les deux.
Les seules véritables personnes que Nagito déteste sont ceux qui sombrent dans procrastination ou bien dans l’abandon pur et simple de leurs ambitions. Bien qu’il considère les moldus comme naturellement inférieurs aux sorciers, il est bien plus capable d’apprécier un moldu qui ne lâche rien et croit en ses rêves plutôt qu’un sorcier qui gâche son don en ne le mettant pas au service du bien. C’est ce type de personne qu’il considère réellement comme ennuyeuse et méprisable, et il ne tournera jamais autour de pot pour en faire la remarque.
Ce manque de tact particulier n’est malheureusement pas réservé à ses ennemis, mais aussi à ceux qu’il apprécie. Ses mots sont très souvent honnêtes, et bien qu’il mente parfois, ses bobards sont toujours suivis de très près par la vérité. Il admet même parfois avoir menti à voix haute sans ressentir la moindre gêne, persuadé de l’avoir fait pour quelque chose de bien: soit pour faire progresser une discussion, soit pour faire une blague.
Malheureusement pour lui, son sens de l’humour est souvent très mal reçu. Il lui arrive régulièrement de faire des blagues au mauvais moment, dans le but de détendre l'atmosphère, sans réaliser à quel point son timing est mauvais. Il peut aussi lancer des demandes particulièrement choquantes pour plaisanter, sans jamais comprendre que ce genre de farce ne passe qu’avec un public très particulier, et certainement pas avec des inconnus. Il se retrouve régulièrement embarrassé par ses échecs dans le domaine de l’humour, concluant souvent chaque mésaventure par un “Ne me prenez pas autant au sérieux !...”
A cause de son cycle de chance et de malchance, Nagito agit parfois de manière étrange, et refuse de s’adonner à des activités qu’il considère dangereuses (rollercoaster, balade en balai…) par peur d’empirer la situation seulement avec sa présence. Quand quelque chose de mauvais lui arrive, son optimisme prend souvent le dessus, car il est certain que le karma lui accordera un évènement chanceux par la suite. Il se décrit pourtant souvent comme “pessimiste”, sûrement car il voit, de ce fait, les bonnes choses qui lui arrivent comme des portes menant à de grands malheurs. A cause de cette superstition particulière, il arrive que Nagito donne l’impression d’apprécier les malheurs qui s’abattent sur lui et de craindre chaque bons moments qu’il passe, ce qui peut rendre mal à l’aise ceux qui n’arrivent pas à le comprendre.
Une autre partie inquiétante de sa personnalité est certainement la façon qu’il a de se rabaisser de façon particulièrement extrême, au point où ses commentaires semblent faux. Il se décrit régulièrement lui-même en tant que déchet et affirme n’être pas très important, ou très agréable. Il a tendance de ce fait à facilement accepter toutes les insultes qu’on peut lui lancer, et semble toujours agréablement surpris de recevoir un compliment. Il ne se défend jamais quand on lui reproche quelque chose, affirmant plutôt avec un sourire qu’il s’agit de la vérité. Ce comportement a l’avantage d’agir comme une protection: il est rarement blessé par ce qu’on peut dire de lui, et peut continuer d’apprécier une personne qui l’a insulté sans aucun ressentiment.
Vous l’aurez deviné : Nagito Komaeda est particulièrement inadapté socialement. Quand il apprécie réellement quelqu’un, il commence à paniquer sans le montrer, hanté par la peur de dire quelque chose de mal et de se faire détester. Il lui arrive parfois de préparer des sujets de conversation à l’avance, afin de pouvoir mener un dialogue sans le moindre problème. Son honnêteté se met d’ailleurs souvent en travers de son chemin, lui qui dit sans aucun filtre quand quelque chose lui déplait: il peut ainsi avouer à voix haute qu’il trouve votre tenue hideuse comme s’il parlait du beau temps, et ensuite être surpris de votre réaction négative. Ce genre de remarques ne lui semble pas déplacées, ni haineuses.
« Oh, I'm so happy I'm getting goosebumps! Everyone actually needs help from scum like me!»
Mais pourquoi est-il ainsi ? C’est bien beau d’en apprendre plus sur la manière de pensée d’un personnage, mais une personnalité ne se forge pas sans histoire, sans développement. En lisant toutes ces choses, “pourquoi” est en effet la seule question qui peut venir à l’esprit. Il est temps de remonter le temps afin de mieux comprendre.
Nagito Komaeda est né au Japon, le 28 avril 2001. Il est le fils unique d’une famille modérément aisée, plutôt superstitieuse. Sa date d’anniversaire était dès sa naissance, aux yeux de ses parents, un signe spécial. Le numéro quatre du mois d’avril, prononcé “shi” dans sa langue natale, plaçait Nagito sous le signe de la malchance et de la mort. Cependant, le numéro huit du jour de sa naissance, précédé d’un numéro deux, était le symbole d’une double chance, selon la prononciation chinoise de ceux-ci. Bien qu’à l’époque les parents de Nagito plaisantaient à ce sujet, ils gardaient au fond de leur mémoire la signification troublante de la naissance de leur fils.
Dans cette famille moldue, on connaît l'existence des sorciers depuis longtemps. Il suffit qu’un cousin épouse une demoiselle sorcière pour que le reste de la famille soit mis au courant, ainsi que mis au secret. Dès son plus jeune âge, Nagito admire l’idée de la sorcellerie: un don merveilleux, donné de naissance à ceux qui le mérite. Un pouvoir puissant, qui ne s’obtient pas, mais qui est inné. Il envie ceux nés-moldus qui ont la chance de s’élever auprès des sorciers, et qui peuvent les côtoyer chaque jour. Il rêve de voir ce monde: pas d’y participer, mais d’être un spectateur, quelqu’un capable de voir la magie avec ses deux yeux. C’est un enfant rempli d’admiration, qui demande régulièrement à la femme de son cousin de faire quelques sorts. Un petit garçon adorable comme les autres, qui rit de joie devant un bon tour de magie.
C’est sous la lumière des feux d’artifice que Nagito découvre qu’il est sorcier, à l’âge de neuf ans. C’est une réunion familiale comme les autres, pour le nouvel an, où tout se déroule à merveille jusqu’à ce que les fusées d’artifices, pourtant bien rangée dans l’entrepôt du jardin, s’allument et sortent par la cheminée, comme un vol d’oiseau parfaitement orchestré, avant d’exploser dans le ciel. C’est lui qui rit, au milieu du jardin, le sourire aux lèvres. La seule sorcière de la famille sait ce qui se déroule devant ses yeux. Nagito est un né-moldu. Quand on lui explique la situation, il n’arrive qu’à prononcer deux mots, pris par la surprise. “Quelle chance !”
Quelle chance en effet. Voila que la famille parle déjà de l’inscrire dans une école sorcière. La femme de son cousin propose Mahoukotoro, l’école de magie où elle même est allé. La décision est prise et les papiers d'inscription sont envoyé.. En attendant, ses parents demandent à Nagito de ne rien dire à personne. Il garde ce secret bien à lui, obéissant et sage. Il n’exerce sa magie que chez lui, où il s’amuse à faire voler quelques jouets, pour que son chien puisse aller les chercher. Il ne sait pas faire plus, mais prend son mal en patience: après tout, la réponse de Mahoukotoro arrivera bientôt.
Malheureusement pour lui, le cursus de Mahoukotoro commence à sept ans, et Nagito en a neuf. S'il avait été élevé dans une famille de sorcier, on lui aurait surement donné la place, et il n'aurait eu à faire à aucun retard. Cependant, sa famille moldue apparaît être un obstacle : l'enfant risque de rejoindre l'école sans connaître les première bases de la magie qui auraient dû lui être enseigné si ses pouvoirs s'étaient réveillés deux ans plus tôt. On lui conseille d'autres écoles où le cursus commence à onze ans, et bien qu'il est rassuré d'avoir un endroit où aller pour apprendre la magie, l'idée que les né-moldus sont en désavantage par rapport aux autres sorciers commence à s'engrainer dans son esprit.
Le premier accident arrive alors qu’il a dix ans. Une balle est envoyée trop loin sur le route en face de chez lui, à cause d’une mauvaise maîtrise de sa magie. Il s’agit d’une rue piétonne où les enfants s’amusent régulièrement, où les voitures roulent lentement, et où les feux tricolores sont plus souvent au rouge qu’au vert. Il n’aurait dû y avoir aucun problème. Dans une tournure d’évènement malchanceuse, un homme en état d’ébriété à trois heures de l’après-midi seulement passait par cette rue, bien plus rapidement qu’il n’aurait fallu. Le chien est fauché, devant les yeux du pauvre enfant, qui court à l’intérieur appeler ses parents. Le numéro de la plaque est pris, et la plainte est portée. Bien que le chien ait survécu, il vit désormais avec une patte boitante.
C’est au poste de police, où les parents discutent avec un officier, que Nagito trouve à côté d’une poubelle un simple billet de loterie, qu’il donne à ses parents à la sortie. Préoccupés par la santé du chien, et par le choc subi par Nagito après l’accident, ils ne le prennent que pour lui faire plaisir. Quelle chance, de tomber ainsi sur un billet gagnant ! Il n’y a pas de quoi rendre la famille riche, mais il y a bien assez pour s’offrir de belles vacances, et pouvoir se changer les idées. L’enfant fait d’ailleurs la remarque : au final, peut être qu’un peu de malchance peut parfois mener à un bon karma, qui remet l’équilibre des choses en place avec un coup de chance inouï. Du blabla d'enfants, qui réchauffent le cœur de ses parents inquiets. Au moins leur fils semble penser à autre chose que l’accident. La destination est choisie : Fujisawa, reliée à la petite île touristique d’Eno-Shima, qui possède un temple où la famille souhaite prier pour le bon rétablissement de leur chien (gardé pour l’occasion par les voisins).
Le deuxième accident arrive dans l’avion. Les crashs sont rares, surtout pour un vol de seulement une heure et quelques minutes, et pourtant. L’avion commence à trembler, les passagers hurlent. Le commandant de bord demande à tout le monde de garder son calme. Nagito s’imagine tomber dans le vide. Cette expérience, cette malchance, le marque énormément, et lui donne une peur des transports aériens pour le reste de sa vie. Le crash est violent, mais résulte en seulement une dizaine de blessés, et une vieille personne morte d’une crise cardiaque. Bien que lui et ses parents s’en sortent indemne, il est dur d’oublier une telle secousse, une telle chute. Quand Nagito est sorti de l’avion par les autorités venus les sauver, il maudit sa malchance. Pour la première fois, ses parents le prennent au sérieux. Les jours suivants sont marqués par une plongée profonde dans les superstitions. Bien qu’adultes, les deux sont aussi marqués par l’accident, et commencent à avoir peur de la présence de Nagito dans leur maison. Les visites aux temples sont quotidiennes, pour “sauver leurs fils de ce cycle infernal”. La chance d’être sorcier. La malchance de l’accident de voiture. La chance de la loterie. La malchance de l’avion. Ils souhaitent sortir leur petit, qu’ils aiment profondément, de cette situation.
Cette chance est-elle vrai, fausse ? Est-elle une malédiction, un type de magie précis ? Aucune réponse n’est trouvée: il s’agit juste d’un simple hasard, d’une simple suite d'événements provoquée par le destin. Nagito semble simplement être la triste cible de ces circonstances. Mais à vivre avec des parents rendus si superstitieux par sa faute, il devient convaincu, tout comme eux, que son karma est ainsi: tout ce qui lui arrive de bien résultera en quelque chose de mauvais, et inversement. Cette idée prend racine dans sa tête, et ne part pas. A voir ses parents craindre le prochain tournant, il se convainc d'être un moins que rien, que l’on aurait préféré ne pas connaître. Malgré l’amour que ses parents lui portent, ceux-ci prennent la dure décision d’annuler son inscription au Japon, afin de l’envoyer plus loin, à Ilukaan, qui possède une excellente réputation. Là-bas, Nagito n’apporterait plus le malheur, mais pourrait aussi se faire aider par des sorciers compétents, qui pourraient sauver son fils.
Arrivé à Ilukaan, Nagito voit l’école comme une continuation de son cycle. Quelle chance, d’atteindre enfin son rêve, entourés par les sorciers d’une des meilleures écoles, lui, ce moins que rien qui n’a que pour mérite d’avoir eu la chance d’être né sorcier !... Il va pouvoir évoluer avec eux, vivre à leur côté. L’idée le remplit de joie. La cérémonie de répartition le place dans la maison Stryxist, où il évolue "sans problème" selon son point de vue. Les deux premières années sont très agréables, et tout le monde semble l'apprécier. Il parle encore très mal anglais, et étrangement, les japonais sont les premiers à commencer à l'esquiver.
Il possède peu d'ami, et est généralement vu comme quelqu'un d'étrange. Assez rapidement après son acquisition de la langue anglaise, sa réputation devient un mélange de bon et de mauvais. Certains le décrivent comme gentil et sympathique, là où d'autre disent ne pas vouloir s'en approcher de trop près. Il est conscient de ces avis extérieur, mais semble s'en satisfaire.
Tous semblent surpris quand il finit par rejoindre le cursus de Psychomagie à sa huitième année. Nagito a développé à Ilukaan une passion pour les passions. Voir les membres de club pratiquer leurs activités le rend très heureux en tant que simple spectateur. Il refuse de rejoindre le moindre club, et choisit simplement d'aider ceux qui le demande dès qu'il peut. C'est de là que germe son idée de devenir un conseiller d'orientation. L'idée de guider les autres vers ce qu'ils font de mieux le satisfait énormément, et c'est ainsi qu'il justifie son choix de cursus, bien qu'il ne soit particulièrement doué socialement parlant.
ϟ Baguette : Vigne, coeur en plume d'oiseau tonnerre, 30,45 centimètres. Avec un joli strap dessus.
Sujet: Re: Touch me Midas | Nagito Komaeda Mar 13 Oct 2020 - 22:01
Sorry but you're not allowed in here cuz Nagito is forbidden at school.
:DDDD
Allez profite, sale simpeuse
Message du staff
Bienvenue à Ilukaan !
Validation
Accompagné par d'autres nouveaux élèves, tu es appelé par le directeur à t'avancer au centre du Dôme. Scruté par les élèves et étudiants, tu regardes alors ton reflet dans la fontaine qui va décider de ton sort. D'abord voyant ta sale tête dans l'eau, tu remarques que le reflet semble se changer peu à peu jusqu'à prendre la forme d'une chouette. Tu es d'autant plus surpris quand l'animal commence à pousser un cri dans toute la salle. Tout le monde se met soudainement à t'applaudir, tandis que le directeur s'approche de toi avec une améthyste brute qu'il met autour de ton cou.
"Bienvenue à Strixyst !"
→ Te voilà validé, tu peux désormais poster dans tous les recoins du forum, RP-Post ainsi que RPCB.
→ N'hésite pas à voir la chambre qui t'a été attribuée.
→ Si ton personnage est en cursus universitaire, il peut postuler pour avoir un job d'étudiant.
→ Crée dès maintenant un topic pour récapituler les relations de ton personnage. Tu peux également acquérir un portable ou bien créer un blog.
→ N'hésite pas à faire une demande de RP pour trouver un partenaire d'écriture !
→ Enfin, amuse-toi bien sur le forum, n'hésite pas à en parler autour de toi et à voter régulièrement aux TS !