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Here to light it up, set the world on fire - Maria Fernandez de Ayala [Terminé] | | | Sujet: Here to light it up, set the world on fire - Maria Fernandez de Ayala [Terminé] Mer 7 Oct 2020 - 0:15 Maria Fernandez de Ayala | OC MAISON : Ursirre ANNÉE : 10ème année OPTIONS / CURSUS UNIVERSITAIRE : Sports et Jeux magiques MOTIVATION : Grande sportive et passionnée de Quidditch elle serait un atout précieux en tant que poursuiveuse de l'équipe d'Ursirre ! ANIMAL DE COMPAGNIE : / BAGUETTE : Bois de Cyprès, Dent de Chupacabra, 28.8 cm, légèrement élastique. PATRONUS : Un Colibri ODEUR DE L'AMORTENTIA : Chocolat, Sueur, Chlore. REFLET DANS LE MIROIR DU RISÉD : Elle même, sur un estrade, un podium ou un ring, qui sait ? Autour d'elle un foule qui l'acclame. Elle vient de gagner quelque chose de très important. ÉPOUVANTARD : Un putain de chupacabra Elle-même sombrant dans la folie à cause de son don. FAMILLE : / MATIÈRE FAVORITE : Fitness Magique MATIÈRE LA MOINS AIMÉE : Alchimie
Maria F. de Ayala — Original Character 20 ans | Sang-mêlé | Femme | Mexicaine
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« Gonna break rules And hearts in twos 'Cause that's what the baddest do» NOM : Fernandez de Ayala PRÉNOM : Maria Izel SURNOM : Marianita, Huitzillin par sa famille maternelle DATE ET LIEU DE NAISSANCE : 3 Avril 2002, Pachuca, Mexique LANGUES PARLÉES: Espagnol, Anglais, Náhuatl DON : Voyance YEUX : Noirs et en amande CHEVEUX : Noirs, mi longs et très bouclés TAILLE : 1m58 POIDS : 59kg Liste des headcanons Elle est passionnée par les sports de combat depuis des années. — Elle aime tout particulièrement le catch, qu’elle suit depuis toute petite avec son père à la télévision. — C’est cette passion qui lui a fait commencé la boxe très tôt. — On la voit souvent se déplacer en skate dans l'école. — Elle parle fort, et rit encore plus fort. — Maria est allergique à la poussière. — Elle ne danse pas super bien. — Elle ne sait pas nager non plus et elle n’a jamais voulu apprendre depuis un incident plus jeune. — En 5ème année, on a essayé de lui apprendre à jouer de la guitare. Elle a abandonné au bout de trois cours. — Sa voix grave et profonde en fait une conteuse assez douée. — Elle est somnambule et il n’est pas rare de la croiser en pyjama dans les couloirs. À une époque, c’était tellement fréquent qu'il fallait même l’attacher à son lit. — Son deuxième prénom, Izel, signifie “Unique” en Náhuatl. Sa mère préfère ce nom et l’utilise systématiquement à la place de Maria. — Le reste de sa famille maternelle préfère la surnommer “Huitzillin” depuis qu’elle a découvert son patronus: c’est un moyen de se moquer gentiment de son côté un peu masculin et un peu brute. — Vivant principalement au Mexique, elle parle par défaut un Espagnol mexicain mais quand il faut (ou quand elle veut imiter son père), elle peut totalement parler (ou imiter) un espagnol plus européen. — Elle s’est déjà cassé le bras quatre fois, une des deux jambes deux fois et la clavicule une fois. — On peut dire qu’elle a presque son lit à l'infirmerie attitré. — L’écran de son téléphone est constamment fissuré, elle ne prend même plus la peine de le réparer. — Elle a la mauvaise habitude de prédire des choses randoms et d’en informer tout le monde. — Goultard Barbaren était l’un de ses catcheurs préférés en grandissant. — Sa tolérance à la nourriture épicée est légendaire.
Côté joueurPSEUDO : Nirosia AVATAR : Georgi Geogiev et Julio Cesar (pour le moment) COMMENT AS-TU TROUVÉ LE FORUM ? : J'ai tapé "forum de clowns" dans la barre de recherche et c'était le premier résultat. UN PETIT MOT : Contente de ressortir ma mexicaine préférée <3 CODE DU RÈGLEMENT : (à envoyer par MP) Physique On ne va pas se mentir, Maria a un physique quelque peu atypique. Elle est loin de ressembler au top model habituel, pourtant cela ne l'empêche pas d'avoir son charme bien à elle..
Il est déjà difficile de louper la masse capillaire que la jeune mexicaine arbore : d’épaisses et soyeuses boucles noires (cadeau de son père), qu’elle a portées très longs pendant des années avant de les couper au niveau de ses épaules lors de son entrée en cursus universitaire. Ces derniers sont souvent attachés en queue-de-cheval ou en doubles chignons dès qu’elle doit faire du sport ou quelque chose d’un peu physique en général. Ces boucles encadrent un visage assez petit, à la peau mate, très expressif. En effet, Maria possède des yeux d’un noir d’encre, en amande, cerclés de longs cils tout aussi sombres. Ils sont surmontés d’une paire de sourcils noirs, très animés. Ses lèvres sont relativement fines et elles s’étirent souvent dans un joli sourire. Et puis, puisqu’il faut bien en parler, Maria a un nez.. Assez imposant. Aquilin, proéminent, impossible de le manquer. Pourtant, il donne à son visage un air parfois royal, qui est accentué par sa mâchoire bien définie et un port de tête très digne. (résultat d’années de remarques du côté maternel, on ne va pas se mentir)
Sinon, ce que l’on remarque aussi rapidement chez elle, c’est sa taille. 1M58, c’est vrai que même pour une fille ce n’est pas très grand, mais elle compense ce manque désespérant de centimètres par du muscle. Épaules larges, bras aux muscles saillants, le ventre et les jambes fermes (qui a parlé de six pack?), elle est l’exemple même de l’expression « Petite, mais puissante ». De ce corps taillé par la pratique régulière du sport, il faut bien l’avouer : sa poitrine en pâtit. Pas que la jeune femme en ait vraiment quelque chose à faire de toute façon. Elle a par contre hérité des hanches maternelles, très larges ainsi que de son fessier, assez imposant diront nous. Pour en parler dans des termes un peu plus familier : elle a une silhouette en forme de poire.
Du genre sportive depuis sa plus tendre enfance, casse-cou même, les années ne l'ont pas épargnées et des cicatrices plus ou moins impressionnantes sillonnent certaines parties de son anatomie : genoux, phalanges, tibias, coudes, avants-bras, et même à certains endroits, ses flancs. Sur son crâne, enfoui entre ses boucles sombres, se cache une grosse cicatrice datant d'une très mauvaise chute en skateboard lors de sa troisième année. Tandis que son sourcil droit lui, est barré d'une fine marque, souvenir d'une arcade ouverte lors d'un match de boxe un peu trop intense.
Maria est toujours en mouvement, c'est plus fort qu'elle. Elle se déplace toujours avec une assurance certaine dans chacun de ses pas, comme si elle maîtrisait tout. Comme si elle n’avait peur de rien (ce qui n’est pas totalement faux après tout). De même, sa voix, grave pour une femme de son âge, un peu rocailleuse même, transpire une confiance en elle-même. Elle n’hésite pas sur ses mots, ne bafouille que rarement. Probablement car elle a tendance à dire clairement ce qu’elle pense.
Niveau vestimentaire, on peut dire qu’elle aime ce qui est confortable et qu’elle a aussi un penchant certain pour tout ce qui est coloré ou à motifs. Les salopettes, longues ou courtes constituent une partie importante de sa garde-robe et elles sont souvent couplés avec des t-shirts ou des chemises colorées ou imprimées. Les baskets sont ses chaussures de prédilection, après tout, elle privilégie le confort. Dans les situations dans lesquelles la jeune femme doit bien s’habiller, elle troque souvent ses salopettes pour des combinaisons un peu plus élégantes ou quand il fait plus chaud, des ensembles de petits hauts et de jupes longues, toujours aux motifs bariolées, on ne se refait pas. Ses baskets habituelles sont également remplacées par des talons, mais jamais rien de trop haut.
Elle ne se maquille que rarement, considérant cela comme une perte de temps en général, de plus au vu de son cursus sportif, elle est amenée à suer régulièrement ce qui ne donne pas le meilleur des mélanges, soyons honnêtes. Mais il peut lui arriver de porter de temps en temps un trait d’eye-liner ou un peu de rouge à lèvre quand l’envie lui prend. Pour les soirées, elle demande souvent à ses amies de la maquiller, ne se trouvant pas particulièrement douée dans ce domaine.
Du côté de l’uniforme, disons que ce n’est pas le grand amour entre lui et Maria. Elle n’est ni fan de la jupe des filles, surtout celle d’hivers, ni du pantalon… Un poil trop juste au niveau du fessier. Elle alterne donc souvent les deux, en fonction de son humeur, mais n’est jamais totalement satisfaite. Régulièrement abîmé, l’uniforme est toujours assez mal portés : chemise qui ressort un peu, veste froissée, veston mal boutonné.. Elle a désormais l’habitude de se prendre des remarques de la part du corps enseignant.
Depuis son entrée en cursus universitaire, la Mexicaine a fait monter sa pierre bleue dans un collier tout simple, qu’elle porte quasiment tout le temps. Il rejoint les deux bracelets ornés de turquoises qu’elle porte à chaque poignet depuis ses quatorze ans, cadeau de sa famille maternelle : il s’agit de catalyseurs qui lui permettent de garder un certain contrôle sur son don de voyance. Caractère
Le moins que l’on puisse dire c’est que Maria a un caractère entier: la demie-mesure, elle ne connaît pas et les concessions, ce n'est pas son truc. Comme elle est constamment en mouvement, toujours en action, cela ne surprendra personne d’apprendre qu’elle est du genre à aller droit au but quand elle discute et se montre généralement brut de décoffrage, surtout dans des situations qui mériteraient pourtant un peu de tact. Pourtant, malgré cette franchise brute, elle n’en demeure pas moins quelqu’un avec qui il est bon d’être son ami : chaleureuse envers ses proches, naturellement joyeuse au quotidien, elle est sympathique avec les gens qu’elle rencontre.
Casse-cou, une fois qu’elle a décidé de faire quelque chose, elle s’y tient, que ce soit une bonne idée ou non d’ailleurs… Cette détermination à toute épreuve peut s'avérer être une bénédiction comme une malédiction selon ses lubies du moment, mais elle fait de la jeune mexicaine quelqu’un sur lequel on peut compter quand il le faut. De plus, sa détermination de fer sert particulièrement bien le côté de sa personnalité qui est ambitieux. En résumé : pour elle, l’abandon n’est même pas une option, elle s'entêtera toujours à continuer ce qu’elle a en tête, quoi qu’il arrive.
Fougueuse, Maria est également le genre d’amie qui vous entraîne dans des situations impossibles, loufoques et parfois même, il faut bien le dire, dangereuses. Mais elle n’a pas froid aux yeux la Mexicaine, oh non, loin de là ! Courageuse à toute heure, le risque elle l’aime et l’adrénaline, encore plus. Ce n’est pas quelques écorchures qui lui font peur !
Cependant, il faut se méfier. Car si elle est amicale la plupart du temps, vous ne voulez pas vous retrouver face à elle si vous lui avez fait du mal, et encore moins si vous en avez fait à l’un de ses proches : colérique et rancunière, elle vous fera payer vos actes au centuple si cela permet d'apaiser son ressenti envers vous. Histoire
Maria Izel Fernandez de Ayala naît le 3 avril 2002 dans l’hôpital moldu de la ville mexicaine de Pachuca. Fille d’un père espagnol non-mage elle descend du côté de sa mère d’une lignée de sorciers nahuas connus pour leur don de voyance très puissant.
Ses premières années sont relativement calmes, on peut dire qu’elle a une vie normale pour une jeune sorcière. Elle est proche de sa mère et de ce côté de sa famille et son père, bien qu’il ne parle jamais de la sienne qui est resté en Espagne, la gâte comme pas possible. C’est d’ailleurs grâce à lui qu’elle développe très tôt un goût pour les sports de combat, l’un de ses premiers souvenirs y est lié : elle-même, sur les épaules de son père devant un match entre deux luchador. Leurs masques colorés resteront gravés dans sa mémoire pour très longtemps.
Le premier grand événement marquant de sa vie arrive quand elle a à peine six ans. Aujourd’hui encore elle se souvient parfaitement de cette journée, le 30 juillet. Une journée chaude, passée à jouer dehors dans le jardin de ses cousins. Sur le chemin du retour, la petite tient la main de sa mère. Tout est paisible quand soudain elle a un flash. Ses yeux prennent pendant un très bref instant une teinte dorée. Sa première vision.
C’est encore flou, ça ne dure qu’une fraction de seconde.
Sa mère est bien entendu la première au courant, il faut dire qu’elle l’avait vu venir elle aussi… Tout comme le reste de la famille maternelle qui est extrêmement heureuse de constater que le don ancestral vient d’être passé une fois de plus à la nouvelle génération. L’instant est court mais c’est assez pour changer drastiquement ses habitudes de vie.
En fait, elle a accepté sa condition avec tellement de facilité qu’elle arrive même à prédire ses premières manifestations magiques (celles qui n’étaient pas liées à la voyance). Un matin lors de sa septième année, elle se lève et pendant son trajet entre la chambre et la cuisine : une vision. Sa réaction ? Un bâillement, elle retrouve ensuite ses parents devant leurs petits-déjeuners puis elle leur annonce le plus normalement du monde que cet après-midi elle va faire léviter le hamster de la classe sans faire exprès. Aucune panique, vraiment aucune.
Du coup, on peut dire que tout va bien dans sa vie à cette époque…
Bon, pas tout à fait, c’est vrai. Mais ça n’a rien à voir avec elle, c’est une “affaire de grands” comme disent ses parents. Qu’elle est “un peu trop jeune pour comprendre”. Trop jeune ou pas, cela ne l'empêche pas de les entendre se disputer souvent. Trop souvent. C’est devenue une habitude et c’est le problème principal dans sa vie à cette époque. Pour fuir cet environnement qui devient un peu plus insoutenable chaque jour, la jeune fille se met à passer de plus en plus de temps en dehors de la maison. Elle joue au foot avec les autres gamins du quartier, va dormir un soir chez une amie, un autre chez un cousin.. Et cela à n’en plus finir. La maison n’est plus aussi accueillante à cette période.
Cela dure deux ans. Deux ans avant que ses parents ne se rendent compte que s’acharner à rester ensemble n’est pas la bonne solution. Ils divorcent donc quand Maria a huit ans. La plupart des enfants vivaient mal un divorce. Deux ans, avant que ses parents ne se rendent compte que s’acharner à rester ensemble n’est pas la bonne solution. Bon d’accord, c’est un peu bizarre au début mais ne plus avoir à supporter les cris continuels est un véritable bol d’air frais dans sa vie.
À partir de ce moment, elle se met à vivre avec sa mère la plupart du temps et fait régulièrement le voyage de Pachuca dans l’Hidalgo jusqu’à Merida dans le Yucatán, là où son père s’est installé peu après la rupture. Les deux villes étant éloignées, elle ne peut pas faire le voyage tous les jours mais heureusement, les portoloins existent et quand elle a l’occasion de bouger, cela ne lui prend pas des heures. Dans le pire des cas elle doit prendre un bus magique, ce qui réduit grandement le temps de trajet. Autre petit bonus : désormais elle a un estomac en acier, pas un trajet secoué, pas une montagne russe, pas même un transplanage ne peut lui faire rendre ses tripes. Le calme est de nouveau de retour à la maison. Dans celle de sa mère comme dans cette de son père. Elle respire. La vie reprend, à Merida la jeune mexicaine se fait des nouveaux amis, qu’elle voit principalement pendant les vacances. Tout est simple de nouveau.
Une année passe, puis deux. Ses pouvoirs de voyances deviennent eux, de plus en plus puissants. Il lui arrive d’avoir du mal à les contrôler mais d’après sa mère c’est normal. C’est “un petit handicape à supporter en échange d’un don extraordinaire”. À chaque fois qu’elle lui répète ces mots, Maria ne peut s’empêcher de faire la moue, pas convaincue pour un sou.
C’est aussi à cette époque que l’hôtel que son père gère à Merida marche comme jamais il n’a marché, au point où il peut se permettre d’en ouvrir un autre. En d’autres termes, le paternel a un peu d’argent de côté maintenant et il est bien décidé à envoyer sa fille dans une bonne école, internationale de préférence. Tout d’abord sceptique, elle y réfléchit longuement. Peut-être qu’Ilukaan n’est pas une si mauvaise idée. Après tout à cette époque elle envisage déjà une carrière internationale dans le sport et un anglais parfait lui ouvrirait certainement de nombreuses portes. Même sa mère ne peut qu’approuver.
L’année de ses onze ans elle entre donc à Ilukaan. C’est étrange et excitant à la fois comme environnement. Le mal du pays n’est que bref et rapidement elle apprend à se débrouiller en anglais. Maria se fait des amis, de très bon amis même. Peut-être qu’elle n’est pas la meilleure des élèves (sauf en divination et en astronomie duh), ni la plus appliquée, mais elle aime sa nouvelle vie.
Par contre avec les années arrive la puberté et le moins que l’on puisse dire c’est que ce n’est pas une partie de plaisir pour la jeune fille. Oh, bien sûr il y a les problèmes habituels: les boutons, les seins qui poussent, les poils … Mais elle a la mauvaise surprise de constater que son don semble aussi agité que ses hormones. Et ce n'est pas simple tous le jours de jongler entre les cours, les changements physiques, mentaux et les trois ou quatres grosses visions qui lui viennent dans la journée et qui lui pompent toute son énergie. Aussi, sa famille maternelle lui confie deux bracelets magiques ornés de turquoises, des catalyseurs. Depuis qu’elle les porte les visions sont nettement moins puissantes et beaucoup moins régulières.
Une fois le contrôle repris à ce niveau-là, se pose rapidement la question de l’avenir. Que faire après les études ? Ce n’est pas un choix très difficile après tout elle avait toujours été très douée en sport, moldus comme les sorciers, c’est plus qu’une passion. Bouger, toujours, voilà quelque chose qui lui plaît. Le cursus Sport et Fitness magique est donc une évidence.
Aujourd’hui pourtant, elle ne sait toujours pas quelle route prendre en terme de sport. Certes, elle est douée en Quidditch c’est certain. Mais elle pratique la boxe depuis des années et elle est forte, assez pour passer professionnel dans les années qui viennent. Et puis il y a un autre rêve. Plus fantasque mais tout aussi physique: le catch. Son père adorerait, sans le moindre doute. Mais elle n’est pas certaine de ce qu’elle veut et il va bientôt falloir choisir.
| | | | Sujet: Re: Here to light it up, set the world on fire - Maria Fernandez de Ayala [Terminé] Mer 7 Oct 2020 - 20:19 Oooooh GG pour le QC ! Maria a l'air si cool omggg, très hâte de la voir validée ! Bon courage pour ta fiche surtout <3 | | | | Sujet: Re: Here to light it up, set the world on fire - Maria Fernandez de Ayala [Terminé] Jeu 8 Oct 2020 - 15:50 Merci Jelila <3
Hâte de ramener une Ursirre de plus au dortoir des filles! Il faut que les deux aient un lien !! | | Neil A. Josten Ursirre | Image du profil : ϟ Œuvre : All for the game
ϟ Parchemins : 159
ϟ Gallions : 191
ϟ Âge (RP) : 16 ans
ϟ Maison : Ursirre
ϟ Année scolaire : 6ème année
ϟ Titre(s) : Capitaine et Poursuiveur
ϟ Baguette : Bois de mélèze avec un coeur en crin de sombral, 22 cm, épaisse mais étrangement flexible
ϟ Malle : Elixir du gnome
Mélange mutant
ϟ Autres comptes : Lélio Murphy - Nazar A. Petrov - Firmin A. Dubois - Min-Ji Bang |
| Image du profil : ϟ Œuvre : All for the game
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ϟ Autres comptes : Lélio Murphy - Nazar A. Petrov - Firmin A. Dubois - Min-Ji Bang | Sujet: Re: Here to light it up, set the world on fire - Maria Fernandez de Ayala [Terminé] Dim 11 Oct 2020 - 23:58 <3 (c) emry-stars-art | | Vincent Leroy Ex-Directeur | Image du profil : Comment appelle-t-on un chat qui chante?
Chat-kira.
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ϟ Âge (RP) : 51 ans
ϟ Année scolaire : PNJ
ϟ Titre(s) : Ancien Directeur d'Ilukaan — PNJ
ϟ Don : Être plus fab que toi
ϟ Baguette : Vigne, coeur en plume d'oiseau tonnerre, 30,45 centimètres. Avec un joli strap dessus.
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| Image du profil : Comment appelle-t-on un chat qui chante?
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| Sujet: Re: Here to light it up, set the world on fire - Maria Fernandez de Ayala [Terminé] Lun 12 Oct 2020 - 19:37 MARIAAA MARIAAAA MARIAAAAA Une boxeuse de plus, ouiiiii. Bientôt un club sur Ilukaan, qui sait. En tout cas, je l'aime beaucoup, je suis super contente de la revoir parmi nous ! Elle est vraiment cool, j'adore son style (et ses cheveux). Il n'y a plus qu'à espérer qu'elle n'ait pas un coup de voyance pendant un match de quidditch, ça va faire mal sinon. Des besos, amuse-toi bien Bienvenue à Ilukaan ! Validation Accompagnée par d'autres nouveaux élèves, tu es appelée par le directeur à t'avancer au centre du Dôme. Scrutée par les élèves et étudiants, tu regardes alors ton reflet dans la fontaine qui va décider de ton sort. D'abord voyant ta sale tête dans l'eau, tu remarques que le reflet semble se changer peu à peu jusqu'à prendre la forme d'un ours. Tu es d'autant plus surprise quand l'animal commence à pousser un cri dans toute la salle. Tout le monde se met soudainement à t'applaudir, tandis que le directeur s'approche de toi avec un saphir brut qu'il met autour de ton cou. "Bienvenue à Ursirre !" → Te voilà validé(e), tu peux désormais poster dans tous les recoins du forum, RP-Post ainsi que RPCB. → N'hésite pas à voir la chambre qui t'a été attribuée. → Si ton personnage est en cursus universitaire, il peut postuler pour avoir un job d'étudiant. → Crée dès maintenant un topic pour récapituler les relations de ton personnage. Tu peux également acquérir un portable ou bien créer un blog. → N'hésite pas à faire une demande de RP pour trouver un partenaire d'écriture ! → Enfin, amuse-toi bien sur le forum, n'hésite pas à en parler autour de toi et à voter régulièrement aux TS ! | | | | Sujet: Re: Here to light it up, set the world on fire - Maria Fernandez de Ayala [Terminé]
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