Physique

Corps, peau Elle est de taille moyenne, d'un poids moyen. Sofia possède des grains de beautés un peu de partout sur son corps. Sa peau est d'une couleur olivâtre, héritage de sa famille dont elle prend grand soin.

Pilosité Visage encadré par des sourcils épais, ainsi que par des cheveux bruns. Auparavant auburn, ses cheveux sont coupés au carré, et sa frange, coupée droite au-dessus de ses sourcils, lui donne, d'après son grand-père, un faux air de rebelle. D'ailleurs, elle a longtemps porté les cheveux longs, mais lorsqu'elle est venue habiter chez son grand-père, celui-ci lui a coupé les cheveux au carré de peur qu'elle ne se les coince dans les portes (wow).

Yeux En amande, arrondis de longs cils noirs. Mirettes filant d'un vert pistache au gris Prague selon les saisons.
Lèvres Simples à maquiller de par leurs largeurs, souvent peintes d'un rouge cinabre.
Nez Petit nez épaté qu'elle compte percer un jour.
Style vestimentaire La plus grande partie du temps, son corps est couvert de bijoux; bracelets, bagues, chaînes de chevilles, boucles d'oreilles. Sofia est une fille- non pas superficielle, mais qui tient à son apparence. Elle est passionnée par la mode moldue, et souhaiterait rendre la mode sorcière plus actuelle (enfin, c'est elle qui trouve que cette mode n'est pas moderne). En gros, cette demoiselle est une fashion-victim, mais assez spéciale. Il lui ai souvent arrivé de rencontrer des filles qui ont jugés ses goûts vestimentaire "trop". Trop quoi? Trop voyant, trop sexy, ou trop "trop". En bref; Sofia peux aisément critiquer votre style alors qu'elle même est loin de manier cet art à la perfection.

Caractère

En général, Sofia est une femme au sang chaud. Elle est fière, ambitieuse, déterminée, confiante. Ne vous y méprenez cependant pas, il lui arrive de se remettre en question, mais la plus part du temps, Sofia sait qu'elle a raison. Si elle a tord, elle le saura d'elle-même, car si quelqu'un essaie de lui faire comprendre qu'elle à tord, cela n'ira pas dans son sens. Cependant, Sofia est très mauvaise en tout ce qui est expression des sentiments, c'est ce qui explique son nombre d'amis très réduit -voir inexistant. Oh, et, elle est très mauvaise perdante. Aisément vexée. Mais elle adopte une grande politesse avec les adultes et supérieurs hiérarchiques. Elle pourrait paraître égoïste, mais en réalité la seule chose qu'elle fait est se protéger. Je ne dirais pas qu'elle est difficile d'accès, mais la possibilité que vous vous trouviez face à un mur est à prendre en compte.

Avec ses amis Comment ça des amis ? Ah oui.  Vu son aspect très solitaire, il n’est pas compliqué de comprendre que Sofia n'a pas de réels amis. Si elle vient à en avoir, ils se compteront sûrement sur les doigts de sa main, et seront très importants à ses yeux. Au point où elle pourrait les élevées au rang de famille. Sofia aura plus de facilité à s'entendre avec des personnes ayant un caractère réservé semblable au sien, ou bien avec des personnes à l'exact opposé, très ouverts. Pas d'entre deux. Si ses amis sont ouverts et enthousiastes, elle agira sûrement de manière amer et piquante avec eux, ou pour les embêter, ou parce qu'elle n'arrive pas accepter le fait qu'on puisse véritablement s’intéresser à elle.

Avec ses ennemies Concrètement, et étrangement, elle n'agira pas de manière impertinente avec eux. Elle les oubliera tout simplement. Cependant si ses ennemies essayent de la piquer au vif, elle finira sûrement par s'énerver. Et il ne faut pas l'énerver.

Avec sa famille La famille, c'est précieux, surtout quand on a pas d'amis. Sofia est agréable avec eux. Elle n'a pas les même problèmes qu'avec les collègues à l'école. Elle prend les traditions très au sérieux et est toujours douce et attentionnée, passionnée et attentive. C'est sûrement pour sa famille qu'elle n'aurait pas de mal à se jeter dans la gueule du loup.

Avec ses crush Les coups de cœurs, Sofia en aura et en a eu. Si cette personne est un ami, elle agira de façon adorable à limite du mielleux, sans le souhaiter. Si cette personne n'est pas proche d'elle, elle tentera d'obtenir son attention en mettant de côté son aspect asocial. Elle pourrait même tenter d'être plus "mignonne" et "timide", mais le naturel finira toujours par revenir au galop.

Avec la personne qu'elle aime Elle aura clairement l'habitude de refouler ses sentiments, à comparer à son attitude avec ses coups de cœurs. Devenir amie proche, voir meilleure amie avec la personne qu'elle aime est sûrement un moyen de se protéger. Elle pourrait même prendre l'habitude d'être impertinente voir amer avec cette personne, et c'est cela qui rend Sofia si particulière.

Elle se perd aisément dans ses interactions sociales. On pourrait penser d'elle qu'elle est une fille sociale et charmante, mais la réalité n'est pas la même.

Histoire
Avant sa naissance... Sofia est née de l'union entre un père grec, nommé Heol Petridis, moldu, et une mère turque nommée Beyza Yıldız, cracmolle. Beyza est une jeune femme ronde et brune, ayant passé la plus part de sa vie d'enfant en Turquie. Là-bas, elle vivait avec son père, Erdem Yıldız, sorcier de sang-mêlé et sa mère Işik Arslan, sorcière de sang-mêlée, et sang de Vélane. Heol, étant plus âgé que Beyza, il ne vivait déjà plus avec ses parents à l'époque. Ces deux âmes-soeurs se sont rencontrés pour la première fois lorsque la famille Yıldız a émigré en Grèce. Erdem est un homme qui a décidé de laisser le choix à sa fille de se marier avec l'homme de ses rêves, et ainsi, l'homme de ses rêves fut ce très cher Heol. Beyza et Heol se marient en 1999 en Grèce, entourés de leurs familles respectives. Ce fut une cérémonie modeste mais incroyablement émouvante.
Suite à ce mariage baigné d'amour, Heol et Beyza s'installent dans la petite ville balnéaire de Préveza, accompagnés des parents Yıldız.

Et, en mi Novembre 2000, Heol et Beyza s’unissent pour concevoir un petit bout de bébé, qui naîtra neuf mois plus tard, le 4 Août 2001. Peu avant la naissance de Sofia, Işik, la mère de Beyza, décède.

Son enfance Après avoir vécu cinq années avec la famille toute entière (qui se résumait à ses parents et son grand-père), la famille Yıldız subit de grosses pressions financières qui obligent Erdem à retourner vivre dans la campagne turque.
Sofia est une enfant ravissante aux traits ressemblant pour sûr à ceux de sa grand-mère. Erdem, père d'une seule fille cracmolle, espérait au plus profond de lui que sa petite-fille deviendrait une sorcière. C'était idiot, mais il n'avait jamais véritablement parlé du monde magique à sa fille, de peur de l'en rendre amer, déçue d'elle même. Alors souvent il songeait à tout ce qu'il pourrait apprendre à Sofia, conter, expliquer, sans avoir peur de la blesser... Et c'est àF ses sept ans, lorsqu'elle fut contrainte de rejoindre la Turquie pour y vivre avec son grand père, les premiers signes se manifestèrent.
La ferme dans laquelle habitait Erdem était modeste et craquante de tout coin. Le soleil entourait cette épave qu'était son habitation, et il vivait de la culture de tomates. La première fois que la magie se manifesta chez Sofia n'eu rien de spécial. Sofia était à l'école. C'était l'après midi et le soleil cognait fortement contre le sol de la cours de récréation. Tous les enfants avaient obligations de rester sous le grand arbre. Et il y avait ce petit garçon, ce petit garçon que Sofia aimait beaucoup. Le premier amour, doux et jovial. Ça n'avait pas été grand chose, mais lorsque Sofia comprit que c'était elle qui faisait bouger la branche du grand arbre, sans la toucher, pour abriter le petit garçon, tombé au soleil, elle se dit qu'elle devait en parler à son grand père. Dans tous les cas, elle n'en eu guère le choix. Dans l'heure même qui suivit cette première manifestation magique, de grands hommes et de grandes femmes débarquèrent à l'école.
"Il y a Peker, à l'école, il est trop beau mais il est tombé dans la cours, au soleil alors que les maîtresses avaient demandé de rester à l'ombre. Et j'ai eu peur pour lui alors j'ai fais bouger la branche d'arbre avec ma tête, baba." "Avec ta tête?" Répéta le grand père. "Oui, avec mon esprit, Baba! Et même qu'après, il y a des grands messieurs et des grandes madames qui sont venus à l'école et qui ont fait un truc bizarre à tout le monde, et même que ils m'ont dit que j'avais plus le droit de parler de ça à mes copains à l'école et pas aux maîtresses non plus." Et ce fut dans les quelques secondes précédents cette discussion qu'Erdem remarqua sur le pallier de la porte une lettre du Ministère lui informant de l’événement survenu un peu plus tôt.

Une grande joie prit le cœur de son grand-père. Ainsi, Erdem dit tout de ce qu'il y avait à savoir à propos du monde magique à la petite Sofia aux grands yeux amandes qui s'ouvraient avec ambition. Elle apprit tout. Le soir souvent son grand-père lui contait des histoires sur les sorciers ottoman, et leurs grandes aventures.

Vers ses huit ans, Sofia prit la responsabilité de raser le crâne à son grand-père, qui se faisait trop vieux pour le faire lui même. Debout sur son petit tabouret, par des gestes appliqués, elle rasait alors le crâne pleins de cicatrices de son grand-père. Pendant de longs mois, Sofia n'osa même pas lui demander d'où venaient-elles, jusqu'à ce qu'elle prenne son courage à deux mains.
"Baba, elles viennent d'où tes cicatrices?" "Oh, ça?- Eh bien ma petite puce, ces cicatrices montrent à quel point les mages noirs sont coriaces, dangereux et cruels." "Ce sont les mages noirs qui t'ont fait ça?" "Oui Sofia. C’est pour ça que je ne veux pas que tu deviennes Auror. Où que tu ailles, les mages noirs chercheront à s'en prendre à toi si tu deviens trop importante, si tu deviens une trop grosse menace pour eux." Un long silence, Sofia cherchait les mots pour rassurer son grand-père qui se faisait vieux et inquiet. "Je ne veux pas être Auror, Baba."

Mensonge. Mais elle le lui devait. Car, même si au fond ce métier lui faisait très peur, elle aurait aimé pouvoir être importante.

Sa baguette, elle l'obtenue quelques années plus tard, lorsque sa première rentrée approchait, et après que le choix de l'envoyer à Ilukaan ai été prit. D'ailleurs, pourquoi cette école? Tout simplement parce qu'Erdem, et ses parents, souhaitaient le meilleur pour Sofia. Même si pour cela, la petite fille devait s'éloigner. Poudlard? Dangereux. Durmstrang? Jamais de la vie. Beauxbatons? Pas adaptée à elle. Ilukaan était une école assez ouverte et moderne, tout ce qui pouvait coller à son caractère.
Une fois ce choix prit, aussi difficile que cela pourra être pour Sofia le jour du départ, Erdem lui confia sa baguette, l'ancienne baguette de sa grand-mère, Sang de Vélane.
"Ecoute, je sais que tu aurais aimé avoir une baguette toute neuve et adaptée, mais je te promet que ta grand mère et toi vous êtes si- semblables... De part le caractère, certes, mais aussi par votre physique et votre petite particularité." Ce qu'il ne voulait pas dire, c'était que le manque d'argent l'empêchait aussi de lui en acheter une. Donc il s'enfonça dans ses mensonges de traditions. " Eh puis tu sais, cette baguette se transmet de sorcière en sorcière dans la famille de ta grand mère. N'est-elle pas magnifique?"
Loin de lui en vouloir, Sofia avait regardé cette baguette, entre ses doigts. Elle était si lourde.
"Chêne rouge, avec un cœur en cheveux de Vélane. 29.5 centimètres! Elle est peut-être un peu grande pour toi, mais ne t'inquiète pas, je suis sûr que tu la manieras avec perfection, princesse." Et il n'eut pas tord.

Un mois avant la rentrée, le grand-père conta une vieille histoire à Sofia.
"Cette histoire, Sofia, se passe à Istanbul. Il y a longtemps, une princesse, enfermée dans son grand palais, rêvait d'aventure. Alors, le soir, la princesse s'en allait par les couloirs, discrètement, pour aller s'asseoir en haut de ruines des rempart de Constantinople, et admirer la lune. Mais ses parents étaient au courant de ses sorties nocturnes. Ils ne voulaient cependant pas les interdire à leur fille, alors ils ordonnèrent à un des chats du château, nomme "Inci", de la suivre et de rester avec elle. Ils le firent promettre que jamais il ne la laisserait seule aux ruines, promettre de toujours la raccompagner jusqu'à sa chambre, même s'il devait la tirer jusqu'au château par la force de sa gueule. Et Inci promit. Mais un soir, la petite fille ne sorti pas par l'entrée habituelle, et le chat la perdit. A force de la chercher, Inci s'égara pendant des années dans les rues d'Istanbul. On dit qu'Inci le chat cherche encore la petite fille, et que chaque nuits de pleines lunes, on peux l'apercevoir en hauts des ruines des remparts de Constantinople, et l'entendre pleurer..."

"Mais elle est triste cette histoire, baba..."

"Les histoires ne se finissent jamais mal, Sofia."

"Alors, il a retrouvé la princesse?"

"Peut-être." Et c’est ainsi qu'Erdem quitta la chambre de Sofia, cette nuit-là. Quelle fut sa surprise lorsque, le lendemain matin, Sofia se réveilla avec un chaton Sphinx allongé sur ses jambes. Elle avait même crier de surprise, et avait couru dans la chambre de son grand-père pour le réveiller. "Inci est là, Inci est là!" Et c'est ainsi qu'Inci devint le compagnon de Sofia.

Inci l'accompagna le premier jour, lorsque Sofia dû dire "au revoir" à son grand-père en de gros sanglots. Il fut aussi à ses côtés lors de la cérémonie de répartition. Ses premières années furent très, très compliquées dû au manque qu'elle ressentait, le manque de sa famille. Sofia, étant une personne très ambitieuse, fit passer ses études avant tout, ayant espoir de convaincre ses parents et son Baba qu'elle était une grande future sorcière. C’est donc pour cela que Sofia avait peu d'amis. Mais le fait qu'elle possède du sang de Vélane ne rend sa sociabilité que plus compliquée. Lorsqu'elle était encore à l'école, cela a été la cause de quelques accrochages, et à vrai dire, Sofia n'a jamais vu ce "don" comme quelque chose de bon. Être Vélane ou avoir du sang de Vélane rend beaucoup de choses floues. Est-ce que cette personne est sincère, ou bien est-elle juste embaumée par le charme? Pour éviter d'horribles déceptions, Sofia préféra se mettre de côté.

Elle resta un long moment sans interactions sociales, mais lorsqu'elle se rendit compte que le travail intensif sans repos et sans détente était compliqué, elle décida d'intégrer le club de théâtre ( information à vérifier suite à la validation ). Lorsqu'on lui demanda de choisir un cursus universitaire, Sofia hésita grandement à choisir Auror & défense magiques. Après tout, elle avait d'assez bon résultats pour considérer une poursuite dans le métier d'Auror mais elle s'y refusa. Elle choisi donc le cursus arts magiques qui était le plus évident au vu de ses préférences et de ses hobbies.