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No crying until the end ✿ Lucas | | | Sujet: No crying until the end ✿ Lucas Mar 28 Jan 2020 - 1:37 Valentine Lucas | Canon MAISON : Ursirre. ANNÉE : 3ère année. OPTIONS : Soins aux Créatures magiques, Arts & Musique magiques MOTIVATION : // ANIMAL DE COMPAGNIE : Une grenouille. Il l’appelle Yeehaw et il la gâte. Un caillou de compagnie qui s’appelle Junior et un chien, resté chez lui, Boney. BAGUETTE : Sorbier, Ventricule de Dragon, 23cm, Très Flexible. C’est une baguette simple, au bout sculpté un peu comme une fleur avec plusieurs sections en pétales, mais avec une poignée solide à agripper. PATRONUS : Monarque (papillon). ODEUR DE L'AMORTENTIA : Omelettes / Thé vert / Fromage REFLET DANS LE MIROIR DU RISÉD : Sa famille qui lui sourit. ÉPOUVANTARD : Un grand dragon qui lui montre les dents. FAMILLE : Claus, son frère jumeau. MATIÈRE FAVORITE : Botanique. MATIÈRE LA MOINS AIMÉE : Vol et Sport.
Lucas Valentine — Mother 3 13 ans | Sang-mêlé | Garçon | Franco-Étasunien |
« Maybe I should’ve gone with Claus… » NOM : Valentine PRÉNOM : Lucas (Lu-ka, prononciation française) SURNOM : Lu, Lulu, Luc, Luke. De façon moins affectueuse : Petit con, Blondasse, Calvin, « Trouver Charlie », « Hé toi, tu donnes ta langue au chat ? », « Claus ??? T'as changé depuis hier. » DATE ET LIEU DE NAISSANCE : 30 octobre 2007, dans village de Tazmily, sur les Îles Nowhere, îles magiques juste au sud du Texas. LANGUES PARLÉES: Anglais, un Français assez correct. DON : // YEUX : Bleu CHEVEUX : Blonds TAILLE : 1m38 POIDS : 36kg Liste des headcanons Lucas souffre de mutisme sélectif. — Ne parle donc pas en public. Au grand maximum, il chuchotera. — Ne connaît pas la langue des signes, alors il communique surtout par des gestes. — Seule exception : s’il lance un sort. — A un magnifique accent texan lorsqu’il parle anglais. — Une fois en troisième année, il sait déjà qu’il choisira comme option Soins aux Créatures Magiques. — Ne possède pas de téléphone. — Ne sait pas changer la chaîne d’une télévision. — Sa première exposition aux nouvelles technologies a été lors de sa rentrée à Ilukaan. — Sait tondre un mouton. — A adopté sa grenouille après l’avoir trouvée blessée, près de l’école. — Possède son propre chapeau de cowboy. — Ramène souvent des tournesols dans sa chambre. Ils lui rappellent sa mère. — Avec son uniforme scolaire, porte toujours le premier badge de shérif de son père, qu’il lui a donné juste avant son départ au Canada. — Se fait très souvent confondre avec son frère Claus. — Ramasse souvent des branches de bois quand il sort se promener, juste au cas où. — Explore beaucoup l’école et ses alentours dans son temps libre. — Sinon, fait du tricot, comme une mémé. — Aime se déguiser et déguiser ses amis. — A peu d’effets personnels ; le plus précieux étant une photo de sa famille. — Parle affectueusement à son caillou de compagnie lorsque personne n’est là pour l’entendre. — Sa partie de la chambre est toujours propre et il lui arrive de temps en temps d’aller un peu toucher celle de ses colocataires pour nettoyer. — Sa mère est franco-japonaise, alors il est techniquement un quart japonais. Fun fact 2019. — Étrangement, il tombe toujours malade avant ses importantes améliorations en magie. Côté joueurPSEUDO : Mayux AVATAR : // COMMENT AS-TU TROUVÉ LE FORUM ? : Haha. UN PETIT MOT : Note, écrite au début de l’histoire : PLUS JAMAIS après cette fiche je n’écrirai volontairement un ver. Merci adieu. Note après avoir fini la fiche : Ptn mais grosse flemme de réviser vous pouvez me valider gratos svp ça fait deux semaines j’écris cette merde. En plus je fais ça quand je suis malade. Note en fin janvier quand je poste finalement : c'est mieux d'être le perso le plus fun à rper au monde parce que OMG je suis plus capable. CODE DU RÈGLEMENT : (à envoyer par MP) PhysiqueTu n'as que douze ans, tu es encore petit. Malgré tout, tu as déjà tellement grandi. Oui, même si ton dos est un peu avachi. Ta posture te donne un air introverti. Quand on te parle, tu es toujours ébahi. Sur ton crâne, tu portes le cheveu, bien sûr. Tu es si blond qu'on t'affirme caricature. On a même déjà crié à l'imposture ! En vérité, tu n'oserais une teinture. Tu ne te préoccupes de ta chevelure. Tu as un visage encore si enfantin. Tu es un peu frêle, du vrai menu fretin. Tout chez toi te donne un vague aspect incertain. Rien ne laisse croire que tu serais hautain. Il arrive qu'on te traite tel un crétin. Il est clair que quelque chose dans tes yeux brille. Vivant, est le cyan tout autour de ta pupille. Ce regard amical court dans la famille. Ton sourire a comme une saveur de vanille. Il rend plus calme qu'un thé à la camomille. Tes genoux et tes bras sont trop souvent pansés. Chandails et pantalons sont, eux, assez froissés. Chaque rappel de ton état est éclipsé. Lorsqu'on t'en parle, tu as les sourcils froncés. On pourrait croire que tu en es offensé. Dire que tu as un style serait mentir. Il n'y a que la simplicité qui t'attire. Plusieurs ont essayé de te convertir. Aucun n'a jamais pu te faire consentir. Très peu pour toi, le noir, tu peux le garantir. Tes mimiques témoignent de ton innocence. Ongles courts, mordus par manque de confiance. La main dans les cheveux, signe d'impatience. Les poings serrés pour frustration et persistance. Sautillement, indice de réjouissance. Pleines de terre, tes chaussures sont usées. Un peu comme toi, un peu partout cabossé. Dans ton coeur, une fatigue désabusée. Dans tes yeux, ta faiblesse ouverte et exposée. Nerveux et peureux, ton visage en est grisé. Ta présence répand une unique fragrance. L'air frais et puis le tournesol en abondance. Tu entretiens ton hygiène avec complaisance. C'est un tes principes, d'une extrême importance. Tu fus bien élevé, malgré les médisances. Ta voix est hélas bien loin d'être cristalline. Aiguë et douce, elle ne vient de ta poitrine. Elle n'a cependant rien qui soit saccharine. On dit plus que tu sonnes comme une gamine. Au moins, ton ton n'a rien d'une horrible machine. ✿-------------✿ Échine un peu courbée, regard un peu perdu, c’est souvent comme ça qu’on tombe sur lui. Ses bras de mauviette frappent un peu le vide lorsqu’il ne sait pas quoi faire, il a souvent ce petit air de chiot égaré. C’est sûrement ce qui paraît le plus facilement chez lui. Ça le rend aussi incroyablement difficile à comprendre au premier abord. Un enfant silencieux, un peu distant et au langage corporel timide, inconsciemment fermé. Ça doit aussi le rendre bien peu abordable. D’un autre côté, ses mouvements inconscients sont aussi une bonne façon de lire ses humeurs. Excité, il tient assez difficilement en place ; triste ou en colère, il a les épaules rentrées, la tête basse ; nerveux, il ne s’empêche jamais de jouer avec un crayon. Ses yeux, plutôt rares à croiser, sont d’un bleu très pâle. Ils sont en tant que tel très expressifs ; dommage qu’il ait l’habitude de regarder le décor plutôt que le visage des autres. Le sien, par ailleurs, est encore tout rond, comme un ballon. Trop jeune, il a encore toutes les marques caractéristiques de l’enfance. Des traits peu marqués, des grosses joues parfaites à tirer pour les taties un peu trop tactiles. Le mot serait sûrement « adorable », mais il n’est pas très objectif. Il serait plus exact de dire qu’il n’a pas encore été atteint par les hormones et le début de l’adolescence. Un peu trop souvent, il a l’air d’avoir du mal à s’occuper de lui-même. Bien sûr, il est propre sur lui, mais ses chaussettes sont roulées, ses cheveux sont en bataille, il a mis son chandail à l’envers - il est habitué à survivre tout seul, mais il est assez distrait par rapport à son apparence. Ce n’est pas une personne matinale, alors cela doit avoir un petit effet. En après-midi, il a l’air bien plus ordonné et net qu’au petit matin. Du haut de son mètre trente-huit, Lucas est vraiment petit, même pour son âge. Son corps est tout maigre, tout chétif. C’est une cible parfaite, s’il venait en tête à quelqu’un de trouver un première année à intimider. On peut se moquer de lui de mille et unes façons. De sa faiblesse, de sa petite taille, de sa voix qui craque, si on a la chance de l’entendre, de son style vestimentaire simpliste, de son manque d’argent. La seule chose qui lui manque pour qu’il soit plus facilement identifiable en tant que punching ball, c’est des grosses lunettes épaisses, dont il n’a pas besoin. Les coudes et les genoux du petit garçon sont marqués par des cicatrices encore remarquables. Plus que la trace d’anciennes souffrances, ce sont des vestiges de son enfance, lorsqu’il jouait encore régulièrement dehors et qu’il se blessait. Elles lui rappellent des souvenirs. Aujourd’hui, pourtant, il lui arrive encore aussi souvent de se balader avec des pansements. Ses mains finissent souvent pleines de suie, ses chaussures trop terreuses pour ne pas laisser de sales traces derrière chacun de ses pas. Heureusement, il pense toujours à les enlever avant de rentrer pour ne pas souiller tout un bâtiment et à se laver les mains avec du savon le plus vite possible. Il ne fait juste pas attention lorsqu’il fait quelque chose à si c’est salissant ou risqué ; mais, par après, les preuves disparaissent en moins de deux. Si on ouvre sa garde-robe, on tombe sur une certaine variété. Une variété très, très certaine de t-shirts rayés et de paires de shorts, avec peut-être deux paires de pantalons ! Bref, sans ironie, les décorations et les jolis habits ne sont pas son genre. Texan jusque dans l’âme, il n’a pas des tonnes de vêtements chauds, ce qui lui cause beaucoup de douleur lors des rudes hivers canadiens. Ses uniformes et les pulls qu'il tricote pendant son temps libre sont pas mal ses choix de secours pendant toute la saison, mais en été il est extrêmement rare de le voir le porter. Il préfère ses vêtements à lui, moins prétentieux et lui rappelant au passage la maison. CaractèreTu as toujours été difficile à cerner. Ton sourire est un jour vrai, l'autre jour fané. Jeune, le cruel monde t'a aliéné. Déjà, tu dus prouver que tu étais borné. Simplement pour éviter d'être piétiné. Rien chez toi ne parle plus que ton doux silence. Maintes gestes expriment avec virulence. Tes mots ne partagent pas cette ambivalence. Tu les distribues avec grande vigilance. Seulement pour communiquer par nonchalance. Plus que d'autres, tu portes ton cœur sur la main. Âmes blessées, tu les guides sur leur chemin. Avec ta générosité, tu es humain. Par contre, tu es n'es encore qu'un gamin. L'idée d'aider tes ennemis te rend carmin. Fermé et posé, tu aimes quand même rire. Niais et idiot, ton humour est le pire. Tu es embarqué dans presque tous les délires. Ce qui est bon enfant, tu n'as rien à redire. Blagues macabres sont selon toi à proscrire. Tu as beau être un agneau, ton cœur est amer. Après tout, tes circonstances furent grossières. Envers ces dernières, ta haine est meurtrière. Tu ne peux haïr ceux qui te causent misère. Sauf quand tu sais que leur cruauté est sincère. Tu ne te sens pas à ta place dans ce monde. Tout est changé, des kilomètres à la ronde. Tu penses, tu espères, tu prédis, tu sondes. Mais tu ne peux que te voir un futur immonde. Tu aimerais être fort, plus d'une seconde. Aliénants sont technologie et sourires. Tu ne sais pas là-dedans ce qui les attire. Apeuré par avarice et sombre désir. Jamais, juré, tu ne te laisseras séduire. Malgré l'influence, même si il n’y a pas pire. Ton point de vue sur la famille est aigre doux. Tu te souviens de quand tu étais leur bijou. Les mémoires presque oubliées te rendent fou. Le passé t'attache encore une corde au cou. Ce que tu as aimé, toujours mis sous verrou. Tu adorerais avoir l'initiative. Dans la vie, tu as des tendances inactives. C'est peut-être dû à ta nature craintive. L'action n'est que trop rarement intuitive. La peur te fait vite ravaler ta salive. ✿-------------✿ En regardant Lucas pour la première fois, on voit difficilement les cicatrices que la vie a laissées sur lui. Il est calme, posé, doux. On se rend vite compte qu’il est sensible, aussi, et qu’il prend les mots de chacun et de tous à coeur. Même si, lui, est silencieux, extrêmement silencieux. Jamais, au grand jamais, il ne prend l’initiative d’une conversation - déjà, car il a un mal fou à parler. En effet, Lucas souffre de mutisme sélectif. Trop souvent, il stresse, il complexe sur sa voix, donc il ne l’utilise pas. Il n’a jamais été un enfant bruyant, mais, depuis quelques années, ses paroles peu nombreuses sont devenues totalement inexistantes. Heureusement pour lui, son visage et son corps sont naturellement expressifs. Il aimerait travailler à se soigner, c’est un de ses plus grands rêves, mais il s’en sent incapable seul. Chose à savoir, il n’y a pas de situation particulière qui l’encouragent à parler. Il ne le fait que lorsqu’il s’y sent obligé, notamment par des professeurs, avec son frère Claus ou lorsqu’il est excessivement confortable, ce qui est assez rare. Le plus souvent, c’est lorsqu’il est au bord du sommeil ou sous les rayons chauds du soleil, qui lui rappellent la maison. Depuis son enfance, il a toujours été un garçon introverti. Aujourd’hui, ce point chez lui n’a pas vraiment changé. Bien sûr, il aime aider les autres, tendre sa main. Cependant, la solitude, le silence, le calme, c’est ce qu’il préfère. Il n’a jamais été un joueur de groupe. Naturellement, Lucas est le genre de personne qui aime s’entourer d’amis peu nombreux, mais fidèles, en qui il peut faire confiance avec sa vie, plutôt qu’une panoplie de bonnes connaissances. Malheureusement, ça ne l’aide pas beaucoup. En effet, c’est la risée de tout le monde. Si son silence, interprété comme étant timidité, n’est pas déjà hilarant, alors le fait qu’il soit plutôt solitaire et apprécie les activités calmes, comme la lecture, l’est. Sinon, pire, son inutilité totale devant les nouvelles technologies ou sa répulsion à les utiliser. Cela crée une distance certaine entre lui et les autres enfants de son âge. Pourtant, oh pourtant, Lucas n’est pas une victime. Il se distancie de ces remarques et continue à sourire. Pour lui, la haine est un sentiment difficile à avoir. C’est plus le type de personne qui s’excuse à profusion que celle qui se bat lors d’une sale dispute. Même s’il a du mal à détester les gens, le garçon n’a absolument aucun mal à se forger des opinions assez fortes. Depuis que des étrangers se sont intéressés aux îles Nowhere, il a découvert une partie du monde qu’il n’avait jamais vu ; il a vu le capitalisme, l’avarice, l’appât du gain, le matérialisme. Élevé dans un coin reculé du monde où tous ces concepts si pas totalement inexistants étaient presque absents, il y a échappé. Cependant, sa vision de ces choses est encore très innocente, très biaisée. Les valeurs de simplicité et d’altruisme sont si fortement ancrées en lui, qu’il est clair qu’il se battra toujours contre le système en place. Ce n’est pas le genre de personne qui crie son avis sur tous les toits, mais il est capable de le défendre avec persistance, même s’il est contraire à celui de la majorité. Depuis plusieurs années, il a beaucoup été laissé à lui-même avec son frère. Son père ne s’est pas particulièrement beaucoup occupé de ses fils et cela paraît. Ça leur a fait développer une grande débrouillardise, ça, c’est sûr ; cependant, ça les a aussi rendus un peu amers, un peu solitaires. Lucas en particulier, autrefois très expressif quant à ce qui le rendait malheureux, est aujourd’hui incapable de communiquer ses problèmes. Être un poids est l’une de ses plus grandes craintes. Surtout après s’être longtemps fait regarder comme s’il était simplement l’ombre de Claus, l’ombre d’une version plus énergique et talentueuse de lui-même. Cela va sans dire, il a dû grandir trop vite, beaucoup trop vite. Aucun enfant ne devrait être habitué à devoir prendre soin de soi comme lui. Vu sa situation, il ne peut que plus aimer tout ce qui est enfantin, tout ce qui le rapproche de la normalité ou de ce qu’il aurait tant aimé que sa vie soit. Les couleurs, les jeux, les blagues. Son sens de l’humour est assez cru, assez immature, ce qui contraste énormément avec son caractère normalement plus sérieux. Bien sûr, il l’a hérité de son frère jumeau, plus actif et grande gueule que lui. C’est d’ailleurs une des raisons pour lesquelles il parle, lorsqu’il est assez confortable, lorsqu’il a assez confiance en la personne en face de lui ; pour rire. Lucas a aussi un certain amour pour le déguisement, qui fait qu’il adore Halloween, déjà, et aussi qu’il s’en crée un pour chaque occasion. À ses amis aussi. Il préfère le silence et la solitude, mais pas pour les fêtes : c’est en petit groupe ou rien. Le bonheur est fait pour être partagé. Les autres choses qu’il adore tout particulièrement dans la vie sont par exemple les animaux ou l’aventure. Les animaux, car il a un instinct naturel de protection envers eux et une certaine facilité à les comprendre, en plus de ne pas être obligé de leur parler pour qu’ils l’aiment. L’aventure, car il a été élevé comme un enfant d’extérieur. Les risques ont toujours plus été quelque chose de son frère, mais justement ; cela lui rappelle le bon vieux temps, lorsque, avec leurs amis, ils se perdaient bien loin des sentiers battus et découvraient des petites merveilles de la nature. Juste 12 ans, et la nostalgie le touche déjà facilement. Heureusement, Lucas compte encore se créer des beaux souvenirs, malgré ses difficultés et ses malheurs. La compétition et les défis ne sont pas trop sa tasse de thé. Lors d’une situation compliquée, par contre, on voit facilement que le blondinet n’est pas le genre de personne à facilement jeter l’éponge. La peur le paralyse facilement, mais, aujourd’hui, il se sent prêt à ne pas laisser tomber sans avoir essayé. Généralement pessimiste, ses espoirs ne sont jamais énormes, mais il continue quand même, des fois de façon peut-être un peu trop obstinée. Il craint de retomber dans ses habitudes du passé, lorsqu’il n’arrivait pas à prendre une décision et à agir, lorsqu’il était tellement incertain qu’il n’a pas été capable de poser son pied à terre au moment où ça comptait réellement. Malheureusement, il n’a pas réussi à totalement éradiquer cette habitude avec le temps. Encore aujourd’hui, il a du mal à prendre des décisions. Son genre, ça serait de toujours laisser les autres choisir le restaurant ou le film à voir, ou au moins autant que possible. Faire un choix le rend généralement assez anxieux. Non pas à cause du jugement des autres, mais simplement car il a du mal à être satisfait de ses propres décisions. Il regrette toujours tout. Un autre détail important chez lui serait son honnêteté. Dès petit, il a été élevé pour ne dire que la vérité, la vérité, et encore la vérité. Avouer ses fautes, tout dire aux adultes. Jamais il n’accepterait de prendre le blâme des autres, à l’exception de Claus, partenaire de crime depuis sa naissance. Ça le rend par moment assez direct. Ce n’est pas le genre de personne qui pense avant de parler, sinon il n’ose tout simplement pas parler, en fait. Il lui arrive de blesser des gens lors des rares occasions où il ouvre la bouche, mais c’est aussi le type de personne qui s’excuse à profusion s’il blesse quelqu’un sans le vouloir. Quelque chose d’assez important chez Lucas est son constant sentiment de culpabilité. Peu importe à quel point c’est sadique, à quel point il se répète que c’est faux, il ne peut pas s’empêcher de croire qu’il aurait dû être blessé à la place de son frère, qu’il aurait dû protéger sa famille à la place de sa mère, qu’il aurait dû être plus présent pour son père. C’est ce sentiment qui le ronge, qui le tient réveillé la nuit, lui qui aime pourtant faire la grasse matinée. Il fait de son mieux pour l’ignorer, pour échapper à ses pensées. Jusqu’à maintenant, ça a suffisamment fonctionné. L’ignorance. L’oubli. Ne pas faire face à ses démons, les enfouir. C’est la façon la plus facile de gérer des sentiments compliqués, n’est-ce pas ? C’est ce qu’il pense. Dès qu’il rate quelque chose, il ne fait que rajouter ses regrets au tas déjà là. Au fond de lui, une envie de protéger les autres est imprimée d’encre. Pas juste une envie, un besoin, presque. Il donne facilement son amitié si on lui tend sa main. C’est le genre d’enfant qui déteste les injustices plus que tout et cherchera toujours à améliorer la condition des autres s’il en est capable. S’il en est incapable, ça ne vient qu’accentuer son sentiment de culpabilité et d’impuissance. Idéaliste, il cherche à obtenir un monde parfait ; mais petit et encore inexpérimenté, il ne fait que se torturer sur certaines causes perdues au lieu de penser à plus petit échelle. Chaque échec est à ses yeux impardonnable, même s’il fait de son mieux. Il voit toujours la pire partie, il voit toujours les choses qu’il empire plutôt que les choses qu’il améliore. C’est tout simplement dans sa nature. Le changement est quelque chose qui est plutôt difficile à accepter pour lui. Ce dont le jeune étasunien aurait bien besoin, ça serait d’un petit peu de stabilité. Il est peut-être plus fort, il a peut-être grandi, mais il reste au fond de lui fragile et un enfant. Il aimerait beaucoup pouvoir à nouveau goûter aux plaisirs simples sans penser à toutes ces choses de grandes personnes, sans avoir à faire son propre petit déjeuner lorsqu’il est à la maison, sans s’inquiéter. Son plus grand rêve serait que tout redevienne comme avant, lorsqu’il était tout petit et heureux. Cependant, il le sait impossible. Donc, il continue d’avancer sans regarder en arrière. Pourtant, oh pourtant, il donnerait tout pour avoir une figure de mentor à qui s’accrocher. Un grand frère ou une grande soeur, un faux papa ou une fausse maman, il veut juste trouver un guide qui l’aiderait à s’aiguiller dans la vie et en qui il pourrait avoir confiance. Lorsqu’il sera adulte, il sait déjà ce qu’il veut faire. Enfin, il a deux options. Déjà, après Ilukaan, il aimerait beaucoup rentrer chez lui. L’idée de devenir shérif et fermier comme son père ne lui déplaît pas. La simplicité des îles Nowhere lui manque énormément, même si elles ont changé. Sinon, il a aussi un rêve, plus personnel, qu’il regarde de loin sans savoir s’il pourra un jour le réaliser. Il aimerait beaucoup devenir magizoologiste et faire le tour du monde à la recherche d’animaux rares. Pour le moment, tout ça est encore lointain. Plusieurs années le séparent encore de cette dure décision. Il verra une fois rendu-là. HistoireUn beau soir d'automne, un jour avant Halloween Naquirent deux enfants derrière la colline. Leur jeune visage rapidement fascine. Le docteur confirma qu'ils avaient bonne mine. Il vit un mouvement au niveau des narines. Lucas et Claus, nouveaux habitants du village. Bébés, il aimaient déjà le batifolage. Ils ne sortaient presque pas des sillages. Rien n'était un danger dans leurs enfantillages. Même s'ils s'adonnaient à trop de grappillage. Ils apprirent à aimer terres et moutons. Claus se montra vite un véritable glouton. Alors que Lucas, lui, devint un avorton. Les deux étaient pourtant des vrais petits chatons. À la gentillesse douce tel le coton. Dix ans, déjà ils étaient devenus plus grands. Avec le temps, le duo devint plus bruyant. Un terrible accident leur laissa trous béants. Les habitants furent tous très condoléants. Mais plus jamais ils ne virent le bienséant. Papa les laissa souvent seuls à la maison. Pendant de longues, de très très longues saisons. Tous deux attendaient impatiemment guérison. Malgré ce que leur dit constamment la raison. Leurs espoirs devinrent trop vite leur prison. Magie finit par se manifester en eux. Celle de Lucas le fit hélas par le feu. Il avait en tête un plat trop audacieux. Le filet de bœuf était bien capricieux. Pour des jours, il eut des cendres dans les cheveux. Lentement, le blond recommença à sortir. La vie ne sembla pas plus vouloir lui sourire. Aux yeux des autres il ressemblait au martyre. Tout petit, pâle, maigre et proche de frémir. Leur laid dédain lui donnait envie de partir. Finalement, le temps vint de quitter le nid. Parmi les pamphlets, c'est Ilukaan qu'il vit. Début septembre, juste un peu avant minuit. Avec Claus, non sans se retourner il partit. Vers un futur excitant et vierge d'ennui. L'arrivée fut marquée de belles découvertes. Jamais avant n'a-t-il vu de plantes si vertes. Mais, l'épris un jour un lourd sentiment de perte. En lui, resterait toujours une plaie ouverte. Peu importe à quel point il la croit couverte. Tazmily lui manque un petit peu trop souvent. Malgré tout, son quotidien est très motivant. Il devrait profiter de la vie, survivant. Toujours, il s'arrangea pour regarder devant. Ton histoire, Lucas, raconte-la au suivant. ✿-------------✿ Ce fut en octobre 2008 que le village de Tazmily eut une bonne nouvelle. Hinawa et Flint n’avaient pas eu qu’un enfant, mais deux, ce qui fut une grande surprise pour tout le monde, eux y compris. Les jumeaux, difficilement différenciables, furent baptisés Claus et Lucas, du plus vieux au plus jeune. Leurs premières années furent emplies d’amour, de douceur, d’innocence. Grandissant sur une ferme, ils apprirent bien vite à aider à s’en occuper en plus d’aller jouer avec leurs amis. Ça ne les dérangeait pas, véritablement. Les aventures de Lucas et Claus étaient le plus souvent assez innocentes. Des fois, ils partaient en forêt et sortaient des sentiers battus pour essayer de faire une grande découverte ; des fois, ils restaient dans la plaza du village et jouaient à cache-cache avec Fuel et Nana. Leur enfance ne fut définitivement pas ennuyante, malgré l’isolation de l’île où ils vivaient. Rien que la nature, la simplicité et le partage avaient leur place sur les îles Nowhere. Une communauté fermée au monde où rien de ces choses laides des continents ne viendrait teinter leur mode de vie simple et heureux. Très tôt, ils se mirent à interagir avec la nature, avec les nombreuses créatures magiques qui populaient l’île par centaines. Claus devenait facilement leur ami, mais Lucas avait plus de facilité à les comprendre. Eux et leurs amis avaient commencé une sorte de journal, avec comme ultime but de récupérer la trace d’une des pattes de chaque type d’animal magique ou non endémique à leur lieu de vie. De grandes ambitions pour de petits enfants. Les montagnes enneigées, visibles au loin à l’horizon, l’île luxuriante un peu trop éloignée de la plage ; jamais ils n’y posèrent le pied, mais ça ne les empêchait pas de rêver. Un jour, ils graviraient les plus hauts hauts monts et lutteraient contre les plus féroces crabes pour compléter leur petite quête enfantine. Quelques temps après leur dixième anniversaire, leur mère les emmena avec elle au nord de l’île, passé la forêt juste par-dessus le village, visiter leur grand-père, vivant seul sur sa propre ferme. Flint ne put pas venir, quelqu’un devait bien s’occuper des moutons pendant leur semaine de visite. Là-bas, ils purent explorer le petit canyon aux alentours et ils y virent une famille de dragons. Peu méfiants à cause de l’environnement très sécuritaire de l’île, les jumeaux les suivirent pendant toutes leurs petites vacances, curieux. Lucas avait un peu peur, ayant entendu dire que les dragons pouvaient être dangereux, mais il ne fut pas bien difficile à convaincre, trop naïf pour être conscient du véritable danger que représentaient ces majestueux reptiles. Claus le tira par le col à chaque matin pour le forcer à le suivre dans ses petites aventures. Malheureusement, ils devaient bien rentrer, un jour. Il vint trop rapidement à leur goût. Après le dîner, au soir, Hinawa, tenant une des mains de chacun de ses fils, les guida à travers la forêt en direction de Tazmily. Cependant, des rugissements de panique firent vibrer la terre, firent chauffer l’air ambiant. Bloquant le chemin, un des grands dragons du canyon se dressait, l’aile blessée, ouverte jusqu’au sang. Se débattant, hurlant, la vision brisa le coeur de Lucas. Ce dragons, ces dragons, au fil des jours, il avait appris à les connaître, à les admirer. Qu’est-ce qui lui était arrivé ? Il n’avait pas mérité ça, cette blessure, cette douleur. Le débat violent du titanesque reptile finit pourtant par se subduer suffisamment pour que ses énormes yeux vitreux prennent conscience de la présence d’humains dans les parages. Humains. Humains. Les monstres qui l’ont blessé ont dû être des braconniers, à l’avarice inégalable et à la cruauté facile, des hommes d’un esprit tordu dans tous les sens. À la vue de leurs semblables, le dragon s’avança, une intensité vengeresse animant chacun de ses mouvements. Sa colère et son agonie furent les catalystes de ce qui s’ensuivit : un violent coup de patte, griffes en avant, du dragon ; Hinawa, qui poussa ses fils de toutes ses forces et leur cria de courir, de courir sans se retourner, de sauver leur vie. Désemparés, les jumeaux partirent, coururent, coururent à en faire brûler leurs poumons, jusqu’au moment où ils trouvèrent quelqu’un à l’orée de la forêt en feu. On ne retrouva jamais le corps d'Hinawa. L'équipe partie à sa recherche ne retrouva que quelques lambeaux de sa robe entre les bosquets noircis. Flint hurla en apprenant la nouvelle, frappa le premier villageois qui essaya de le calmer devant les yeux terrorisés de ses enfants. La nuit fut rude. Puis, celle d’après, puis celle d’après encore. Le lendemain matin, Claus, impulsif et en colère, décida d’aller venger sa mère. Il dévoila son plan à Lucas, déterminé, et ce dernier, bien que sachant que c’était de la folie, n’eut pas le courage de le retenir. Lorsque leur père vint les chercher pour les funérailles, il remarqua l'absence de son fils aîné. Toujours honnête, le second lui raconta la vérité. Tout le monde partit à sa recherche en panique. Quelques heures plus tard, il fut retrouvé, évanoui à la lisière de la forêt. Lorsqu'il se réveilla, il leur raconta s'être perdu, sans aucun point de repère après l'incendie, et avoir perdu connaissance lorsqu'il a trébuché sur une branche et est tombé sur la tête. La vie devint rude. Pour oublier, Flint se mit à travailler plus fort, plus longtemps, plus loin de chez lui. Le travail, ou des heures passées à se recueillir sur la tombe de sa femme. Pendant des jours entiers, la ferme était vide entre le premier chant du coq et le coucher du soleil. Le shérif laissa des plats préparés à ses enfants pendant les premiers mois, à peu près la seule trace de sa présence dans sa propre maison. Lucas fit de son mieux pour aider son frère à récupérer de ses blessures, mais ce fut plutôt difficile pour lui. Heureusement, les autres membres de leur communauté passaient souvent leur laisser de la nourriture, des vêtements chauds, des bandages, ou aidaient avec les moutons. Éventuellement, quelqu’un arriva sur leur île, un étranger aux promesses bien belles qui introduisit la télévision. Le refus familial à la modernité les rendit différents des autres villageois. De moins en moins de gens passaient les voir, parce qu'ils devenaient très vite désagréables lorsqu'on leur parlait des nouvelles, de la vie qui suivait son cours. Piégés dans leur mémoire et apeurés par le changement de leur précieux chez-eux, l'hostilité devint un mécanisme de défense face à ceux qui parlaient de ce qu'ils ne voulaient pas entendre. Seuls quelques uns venaient encore : les parents de leurs quelques amis restants, Fuel, Nana et Angie prenaient plus soin d'eux que leur vrai père. Leur inquiétude à leur égard les poussèrent à s'occuper des deux jeunes alors que le reste du monde avait tourné la page. Ils passèrent beaucoup plus de nuits chez leurs amis que chez eux pendant bien longtemps, jusqu'à leur départ pour le Canada. Bien vite, Lucas ne parlait plus du tout. Il vivait presque comme une ombre, apeuré, refusant de sortir et de s’exposer à la cruauté du monde. Ses mots étaient comptés, courts, tremblants. Au lieu de jouer dehors, ils jouaient sur la ferme ou chez leurs amis, maintenant. Les aventures étaient chose du passé, mais les autres enfants comprirent. L'année passa. La situation eut le temps de changer, rien qu’un peu. La tension était un peu moins palpable, même si Lucas s’en voulait toujours de plus en plus. D’être parti sans sa mère. D’avoir laissé Claus provoquer la bête en duel, sans le retenir, sans l’avertir que ça serait une mauvaise idée. Sans rien faire. Il se remit lentement, mais sûrement à sortir un peu plus souvent de la maison. Tazmily avait changé. Là où il y avait des sentiers terreux, il y avait du ciment. Là où il y avait une jolie petite auberge et un magasin étaient maintenant un grand hôtel en construction et un nouveau supermarché. Les mentalités, le monde changeait autour des Valentine. Leur deuil les avait isolés, mais la Terre ne s’était pas arrêtée de tourner pendant leur absence. Le temps vint de choisir l’école où les jumeaux seraient envoyés l’année suivante. Leurs amis leurs ramenèrent les quelques pamphlets de l'île, tous ceux que leurs parents avaient pu rassembler. Parmi eux, un particulièrement récent attira l’attention du jeune blond. Celui de l’école de magie canadienne, Ilukaan. Pourquoi là-bas plutôt qu’ailleurs ; peut-être un besoin de voir du pays, peut-être parce que, de toute façon, il avait une peur bleue de quitter son lieu de naissance et voulait se débarrasser du procédé de sélection le plus rapidement possible. Pour ne plus avoir à y penser. Pour ne pas avoir à faire face à un futur qui lui faisait se poser plus de questions que ce à quoi il pouvait répondre, avec sa sagesse d’enfant. En septembre, ils furent envoyés pour la première fois sur le continent, seuls, apeurés et légèrement émerveillés. L’école était un nouveau départ, mais aussi un nouvel éloignement, dépaysant comme rien d’autre n’aurait pu l’être. Silencieux et nerveux, la rentrée ne fut pas un grand plaisir pour Lucas, mais il était bien obligé d’y aller, n’est-ce pas ? Il n’avait pas le choix de se faire éduquer. Plus rien ne l’attendait chez lui, de toute façon, même si les gens, les maisons, la forêt, tout allait lui manquer. C’est ainsi que sa scolarité commença. Ce que l’avenir lui réserve est encore un mystère, un mystère qu’il n’est pas certain de vouloir élucider. | | | | Sujet: Re: No crying until the end ✿ Lucas Mar 28 Jan 2020 - 2:25 | | | | Sujet: Re: No crying until the end ✿ Lucas Mar 28 Jan 2020 - 10:54 Je peux l'adopter ? :c | | | | Sujet: Re: No crying until the end ✿ Lucas Mar 28 Jan 2020 - 11:46 Quand tu m’as dis que ta fiche serait longue je m’attendais pas à ça pour son physique MDRRR. En tout cas j’aime bien l’aesthetic tournesol <3 bon courage pour la fin de ta fiche ! | | Goultard Barbaren Personnel | Image du profil : ϟ Œuvre : Ankama (Krosmoz)
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Tatsuo A. Hijikata | Sujet: Re: No crying until the end ✿ Lucas Mar 28 Jan 2020 - 14:23 Mayux back at it again avec des fiches de folie ptn. Je dois encore applaudir. Et c'est même pas fini !!!! __________________________________________________________________________________________________________________________________ | | | | Sujet: Re: No crying until the end ✿ Lucas Mer 29 Jan 2020 - 15:01 omg ??? La fiche trop bien ???? ily | | | | Sujet: Re: No crying until the end ✿ Lucas Jeu 30 Jan 2020 - 3:59 CC LES ENFANTS. Oyh -> Jtm et si je me fais valider c'est grâce à toi. J'AI FAIT DEUX FAUTES DANS LE CARACTÈRE. DEUX FAUTES.Nep -> Oui. Oui tu as le droit. Tout le monde a le droit. Aly -> J-je suis un peu désolée, jsp quel membre du staff va corriger mais voilà voilà MDRRR. Au moins j'ai prévenu ??? Tega -> ARRÊTE tu vas me faire pleurer ok ????? Et j'aime pas pleurer. Pas beaucoup. Aoki -> Miroir jtm. | | Vincent Leroy Ex-Directeur | Image du profil : Comment appelle-t-on un chat qui chante?
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| Sujet: Re: No crying until the end ✿ Lucas Jeu 30 Jan 2020 - 19:58 Hello, c'est Lance ! Je m'occupe de ta fiche !
Cela a dû te prendre beaucoup de temps de la faire, c'est vraiment bien écrit, les poèmes. Avant de te valider, cependant, il y a quelques points dont je souhaite te faire part:
- Déjà, tu t'es trompée pour l'année ! Lucas est né en 2007, non 2008. S'il était né en 2008, il ne pourrait pas être sur Ilukaan. - Par rapport à l'histoire, maintenant. Tu peux laisser la mort de la mère et le presque abandon du père sans souci. Cependant, il faut que tu changes la partie où il est dit que deux enfants de 11 ans sont laissés pratiquement tout seuls pour s'occuper d'eux. L'avancée de la technologie n'est pas vraiment une réelle raison pour que tout un village décide de ne plus avoir de conscience et d'abandonner des enfants. Donc, plusieurs choix: soit ils ont une nourrice qui est bien là pour s'occuper du minimum dont ils ont besoin, soit le village, une personne ou deux continuent de s'occuper, soit ils sont confiés à une autre branche de la famille ou confiés à un service d'assistance sociale. Bref, dans tous les cas, il faut trouver une solution pour ce cas présent !
Aussi, pour ce qui concerne Claus: c'est son jumeau donc je comprends que tu en parles beaucoup. Cependant, si nous avons ce personnage un jour, il faudra peut-être s'attendre à modifier des points que tu as choisi. Comme par exemple, celle où Claus décide de venger sa mère.
Voilà, bon courage! | | | | Sujet: Re: No crying until the end ✿ Lucas Jeu 30 Jan 2020 - 22:57 Coucou ! Bon la date je me sens conne c'est pas la première fois que je me rate dessus MDR mais je l'ai corrigé. Puis j'ai aussi modifié l'histoire ! Du coup les amis de Lucas le retrouvent direct après l'incident et quand le village en général commence à se lasser ce sont leurs parents à eux qui prennent pitié et s'occupent des garçons. Puis j'ai aussi mieux expliqué pourquoi le village les laisse tomber mdrrr, je réalise comment ça sonnait à la base et c'était un peu n'importe quoi j'avoue. Puis pour Claus ça m'étonnerait que quelqu'un le joue point mais si ça arrive ça me dérangera pas de repasser sur mon histoire si elle lui va pas ! J'espère que c'est bon comme ça ! | | Vincent Leroy Ex-Directeur | Image du profil : Comment appelle-t-on un chat qui chante?
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| Sujet: Re: No crying until the end ✿ Lucas Ven 31 Jan 2020 - 23:29 Merci pour les changements ! Je vais pouvoir te valider. Comme je l'ai dis, ta fiche est vraiment bien écrite, félicitation pour les poèmes, tu as dû prendre du temps dessus. Lucas a l'air d'être à la fois adorable et à la fois on a envie de le protéger vu comment sa vie commence déjà à ne pas être simple. J'ai hâte de voir comment tu vas le faire évoluer ! Bon RP Bienvenue à Ilukaan ! Validation Accompagné par d'autres nouveaux élèves, tu es appelé par le directeur à t'avancer au centre du Dôme. Scruté par les élèves et étudiants, tu regardes alors ton reflet dans la fontaine qui va décider de ton sort. D'abord voyant ta sale tête dans l'eau, tu remarques que le reflet semble se changer peu à peu jusqu'à prendre la forme d'un ours. Tu es d'autant plus surpris quand l'animal commence à pousser un cri dans toute la salle. Tout le monde se met soudainement à t'applaudir, tandis que le directeur s'approche de toi avec un saphir brut qu'il met autour de ton cou. "Bienvenue à Ursirre !" → Te voilà validé, tu peux désormais poster dans tous les recoins du forum, RP-Post ainsi que RPCB. → N'hésite pas à voir la chambre qui t'a été attribuée. → Si ton personnage est en cursus universitaire, il peut postuler pour avoir un job d'étudiant. → Crée dès maintenant un topic pour récapituler les relations de ton personnage. Tu peux également acquérir un portable ou bien créer un blog. → N'hésite pas à faire une demande de RP pour trouver un partenaire d'écriture ! → Enfin, amuse-toi bien sur le forum, n'hésite pas à en parler autour de toi et à voter régulièrement aux TS ! | | | | Sujet: Re: No crying until the end ✿ Lucas
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