ILUKAAN est un forum MULTIFANDOM dans l'univers d'Harry Potter. Ilukaan est une école de magie internationale se situant en Nouvelle-Écosse au Canada. L'histoire se déroule en 2024, mélangeant magie et technologie. Vous pouvez jouer des personnages de manga/anime, jeux vidéos, films d'animation, dessins animés, romans jeunesse ou encore un OC. L'intrigue se fait à la fois en RPCB et RP-POST.
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Women who cannot become princesses have no choice but to become witches. || Terminé
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Sujet: Women who cannot become princesses have no choice but to become witches. || Terminé Sam 2 Mar 2019 - 8:10
Anthy Himemiya | Canon
MAISON : Strixyst ANNÉE : 6e année OPTIONS / CURSUS UNIVERSITAIRE : Étude des Moldus - Divination / compte poursuivre un cursus en Botanique approfondie et Horticulture après sa 7eme année MOTIVATION : / ANIMAL DE COMPAGNIE : Une petite souris grise nommée Chuchu BAGUETTE : En bois d'Aubépine, 23,1 cm, fine et rigide au cœur de Dictame. PATRONUS : Un crocodile (N'a pas encore été capable de réaliser ce sort et ignore absolument quelle forme celui-ci pourrait prendre.) ODEUR DE L'AMORTENTIA : Un parfum de thé noir, de roses et de pluie. REFLET DANS LE MIROIR DU RISÉD : Elle se voit rire et prendre le thé dans un jardin fleuri en compagnie d'une autre personne indéfinissable. ÉPOUVANTARD : Une sombre silhouette sans visage pointant une épée particulière en sa direction. Cette dernière se recouvre de ronces. FAMILLE : Son frère ainé, Akio Himemiya (?) MATIÈRE FAVORITE : Botanique. MATIÈRE LA MOINS AIMÉE : Astronomie.
Anthy Himemiya
— Shōjo kakumei Utena
16 ans
Sang Pur
Féminin
Indo-japonaise
« Somehow, they all start to look the same, and that frightens me. »
NOM : Himemiya PRÉNOM : Anthy (Anshi) SURNOM : / DATE ET LIEU DE NAISSANCE : 1er Mars 2003 à Madurai, dans le sud de l'Inde. LANGUES PARLÉES: Hindi, Tamoul, Anglais et quelques bases de japonais. DON : / YEUX : Verts CHEVEUX : Longs, bouclés et bruns. TAILLE : 1m57 POIDS : 41kg
Liste des headcanons Elle a tendance à vouloir expérimenter des nouveaux plats dont le curry est une récurrence habituelle. Le tout, avec un succès plus ou moins mitigé — Anthy a beau avoir une voix très douce, elle est une horrible chanteuse. — Elle porte un parfum particulier à la rose. — La sorcière a des notes excellentes en Astronomie, ironiquement, elle déteste regarder les étoiles. — Elle possède Chuchu depuis bien avant son inscription à Ilukaan. A ses yeux, il a été son premier ami. — Anthy fait généralement croire qu'elle est médiocre cuisinière en ratant sciemment ses plats pour obtenir l'attention et l'aide des autres. — Veille (trop) tard le soir à force de regarder des vidéos d'animaux marrants sur Witchtube. — A une réputation de fille qui ne dit jamais "non" aux garçons (voire d'allumeuse selon certains). — A commencé à étudier la Botanique avant d'arriver à Ilukaan. — On lui a toujours interdit d'apprendre à voler en balais et depuis, ne sait toujours pas comment en faire. — Elle joue du piano. — Ni ses parents, ni son frère, ne lui laissent donner son avis au sujet de son futur fiancé ( qui est/sera forcément de sang-pur ) et à dire vrai, l'idée ne la dérange absolument pas.
Côté joueur PSEUDO : / AVATAR : Anthy Himemiya - Utena, la fillette révolutionnaire. COMMENT AS-TU TROUVÉ LE FORUM ? : ça fait longtemps que je le connais, vu plusieurs fois sur des top-site et dans divers partenaires. Je l'ai aussi exploré plusieurs fois mais je n'ai encore jamais osé m'inscrire. UN PETIT MOT : J'ai hésité très fort avec le petit finlandais d'Hetalia. Très fort. CODE DU RÈGLEMENT : (à envoyer par MP)
Physique Petite sorcière à la silhouette sèche et aux rondeurs discrètes, elle s’échappe en longeant les murs, le port de tête trop droit pour être naturel. Quand elle ne porte strictement l’uniforme scolaire, Anthy aime les hauts à manches ballons et les petits cols ronds qui font – très – sage. Féminine, sobre, sérieuse, ce n’est certainement pas en public qu’elle se présenterait de manière extravagante.
Propriétaire d’une interminable chevelue ondulée, trop sèche, crépue et brouillonne pour être réellement bouclée, les seules manières de la dompter, c’est de la tresser ou bien d’enrouler savamment ses longues mèches derrière sa tête en une couronne basse. Ironiquement, il s’agit de la part de sa physionomie qui lui donne le plus de présence. Autrement, Anthy se fait oublier, elle peut être jolie, mais seulement quand elle prend la peine de s’apprêter, ce qui a peu l’occasion de survenir au sein du cadre scolaire, ce n’est ni le lieu, ni le moment pour cela.
La seule exception serait le maquillage ; de longs cils noirs et des sourcils droits séparés d’un bindi, déjà, Anthy se maquille et elle fait plus vieille que son âge. Derrière ses imposants verres ronds, ses prunelles vertes tranchent avec la teinte de ses pommettes, la peau brunie qui noircit facilement au soleil, doux chocolat, tandis que ses lèvres pleines s’étirent en une esquisse de sourire. Absent. Pudique en émotions apparentes.
Quand elle se déplace, la sorcière transporte un parfum de plantes – plus particulièrement de roses – partout où elle se rend, de curry et de sucre après avoir cuisiné. Et il demeure probablement l'unique témoin de son passage avant l'oubli.
Caractère
Statue de bronze, stature glaciale, elle demeure à une distance raisonnable d’autrui, comme si elle ne voulait se mêler au reste du monde. Ce n’est pas faute de sourire, pourtant, de faire preuve d’amabilité. Elle est polie, Anthy – peut-être trop pour être réellement sincère –, pas le moindre geste brusque ou grossièreté. Quand on l’aborde, la sorcière ne semble jamais dérangée, toujours prête à aider, le tout, sans jamais dépasser une certaine frontière intime. Elle prend le temps, la demoiselle, d’écouter ses pairs, de les apaiser s’ils en ressentent le besoin. Elle est jeune mais elle fait un peu maman, Anthy, grande-sœur. Un calme persistant, une patience à toute épreuve, exceptionnels sont ceux qui ont pu l’apercevoir fâchée. Ses traits prennent plus facilement le visage de la tristesse que de la colère. L’air mélancolique, déçue ou bien encore, simplement fatiguée. On pourrait affirmer que ses nerfs ne se tendent jamais. L’adolescente transpire d’une sérénité docile qui peut donner envie de la secouer. Quand des évènements surviennent, Anthy ploie comme le roseau de La Fontaine, laisse couler, ou encore, prend les choses avec le sourire. Au pire, se retrouve-t-elle à hausser les épaules, c’est comme ça, humblement. Elle existe et évolue avec une apathie latente, nonobstant toute agitation qui pourrait secouer son entourage.
Elle est gentille Anthy, mais qu’est-ce qu’elle est molle ! – serait la plus brève description de sa personne. On dirait qu’elle manque de caractère, d’affirmation. Mieux vaut ne pas être féministe lorsqu’on l’observe agir comme une servante, en particulier auprès des garçons, il y aurait de quoi hurler. Elle qui ne dit jamais non, elle qui laisse passer quand on la taquine de façon plus ou moins méchante, elle qui reste silencieuse pendant qu’elle se fait remettre à sa place. Anthy pourrait se fondre dans un mur pour se faire oublier, prendre place aux côtés des peintures magiques et ne plus jamais s’exprimer. Qui accuse son éducation, une présence fraternelle trop importante, se voit obligé de remarquer que, même à liberté offerte, l’adolescente préfère passer son tour. C’est probablement plus facile de vivre comme elle l’a toujours fait.
C’est qu’elle veut bien écouter, si on lui fait des remarques sur son attitude, qu’on en rit. Un fin sourire sur les lèvres, cet air doux si sirupeux qu’il en devient écœurant. Peut-être qu’elle ne prend rien en compte après tout, elle est fatigante, Anthy, elle n’évolue pas. Alors, autant la laisser dans son monde, elle a l’air confortable, pas besoin de la plaindre et si oui elle fait, au mieux, peluche passive et agréable. De cette manière, il est aisé d’oublier qu’elle peut avoir sa propre opinion, puisqu’elle ne la formule jamais. Profondément introvertie, pour ne pas dire repliée sur elle-même, l’erreur serait de la croire timide et maladroite.
Parce qu’elle en a l’air, la sorcière. Avec ses plats ratés, son expression ingénue et les personnes qu’elle heurte en faisant tomber ses livres. Mignonne. Penseront les uns. Idiote. Songeront les autres. L’unique chose en commun est qu’ils n’auront jamais eu aussi tort.
Elle est loin, son innocence, envolée avec les souvenirs d’un vieil été. Quand on suppose que les rumeurs à son égard sont fausses, c’est que l’adorable sourire qu’elle arbore si facilement aura été convaincant. Anthy est manipulatrice et, à demeurer silencieuse, elle peut mieux surveiller ses paroles. Qui dit peu ne pense pas moins, l’adolescente lasse de soumission conserve rancune tenace voire, cruelle. Outre l’affection qu’elle porte à son frère, elle ne se permet guère d’en offrir à la première personne qui passe. De la politesse, oui, tendresse, absolument, mais se lier sentimentalement avec autrui ? C’est un suicide émotionnel, une porte ouverte à toutes les peines. Persuadée que son ainé est le seul à la connaitre, à la comprendre et à l’accepter ; il n’y a pas l’ombre d’un risque qu’Anthy veuille prendre. De toute manière, elle comme Akio sont doués pour blesser les gens, comme un doux chaos qu’ils partagent à deux alors, elle décevra. C’est une fatalité. Et, au mieux, que pourrait-il arriver ? Elle est vouée à retourner se marier dans son pays et ne plus jamais en sortir, s’amuser à créer des amitiés serait une activité futile. Ses parents sont assez bons pour veiller à ce qu’elle ne termine pas sa vie seule et Anthy leur en est redevable. L’adolescente pourrait rêver, elle l’a déjà fait, de camaraderie et d’amour. Cependant, quand elle voit celles qui tombent pour la mascarade d’Akio, celle-là même à laquelle Anthy participe aussi, c’est si fade que ce n’est même plus amusant. Pauvre fille. Qu’elle se dit en observant l’énième prête à tomber dans ses bras, à être trompée. Les contes de fée n’existent pas plus que le prince charmant. Et son frère n’en est définitivement pas un. Elles ne peuvent pas le comprendre aussi bien que sa propre sœur. Au final, c’est peut-être vrai qu’ils sont les seuls l’un pour l’autre. Ainsi se retrouve-t-elle désespérément dévouée à une personne aussi nocive qu’elle. Il faut croire que c’est un trait de famille commun. A ceux pour qui le masque tombe, jamais un sourire n’aura semblé aussi faux, des mots, à double-tranchant. Des paroles passives-agressives, l’air innocent, la sorcière réplique avec finesse, sa distance devient hautaine. Elle parait si fragile, Anthy, si sensible, difficile de croire qu’elle soit capable de faire du mal. Pourtant, il y a toujours moyen de rendre chaque coup sans lever le petit doigt. Il y a une solution à tout. Un sortilège pour tout.
C’est pourquoi l’adolescente se met à rire doucement, quand elle entend un compliment qui lui est destiné. Pire encore s’il semble sincère. On prend cela pour de la timidité ou de la modestie. Stupide. En réalité, seule l’amertume étire ses lèvres. Voir des gens qui la pensent gentille, qui sont prêts à lui donner leur confiance, ça la rend presque triste pour eux. Anthy n’est pas une bonne personne et elle le sait. Rien ne sert de s’améliorer, elle n’en a jamais vu l’intérêt ni rencontré quelqu’un qui la ferait changer. Au fond, l’idée seule de créer des liens, des vrais liens, la terrifie. Il faut du courage pour apprécier sincèrement autrui, et quand elle voit le mal que son frère et elle sont capables de faire, Anthy craint de subir la même chose. Un juste retour de karma. S’imposer des barrières et la meilleure façon d’éviter la déception. Plus important est de s’occuper de ses propres affaires, de ses études et peut-être arrivera-t-elle à une finalité satisfaisante.
Se marier, vivre heureuse et éventuellement, la vision du miroir de Riséd se réalisera en compagnie de son futur mari. Elle le suppose. Anthy n’a pas encore eu trop le temps de rêver.
Histoire
Relique d’une noblesse passée, autrefois proches du Raja de leur région natale, ils sont une famille de riches sorciers fiers de la pureté de leur sang. Bien évidemment, le premier Himemiya dont ils ont hérité le nom était japonais, un métissage plus ou moins lointain, et vaguement régulier, dont il demeure, en tout et pour tout, que leur patronyme ainsi que certains prénoms de leur famille. Ironiquement, et ce, malgré leur statut de sang-pur, ils possèdent plusieurs écoles moldues dispersées un peu partout dans le pays pour l’usage – quand bien même leur grand-père aura été accusé, il fut un temps, d’utiliser les élèves moldus à des fins risquées pour la communauté magique, il fut innocenté après enquête –.
Ainsi, l’enfance d’Anthy n’aura jamais été à plaindre, privilégiée et luxueuse. Au sein de leur immense résidence, un ancien palais, située dans la campagne à l’écart de Madurai, elle grandi bercée par l’éducation traditionnaliste de sa famille. Arriérés, diraient certains, les Himemiya ne semblent pas avoir reçu le mémo concernant la place de la femme et, très jeune, on inculque à Anthy les mœurs et devoirs d’une future épouse. Quand son frère ainé, Akio, apprends lors de leurs cours à domicile à voler en balais et les bases pour le préparer aux futures leçons de défense des écoles de sorcier ; Anthy, de son côté, connait l’apprentissage de la musique, des sorts de rangement, de couture, de ménage, et même certaines recettes magiques. Pour autant, la fillette se sent soulagée de ne pas être à la place de son frère envers qui toute la pression familiale est dirigée. Il est l’héritier dont on attend de grandes choses et Anthy fait de son mieux pour le soutenir, quitte à le couvrir et, ou, à endosser la responsabilité pour certains de ses écarts. C’est ce que font les frères et sœurs l’un pour l’autre. Ils sont proches à cette époque, probablement trop. Et ils se retrouvent régulièrement dans la salle d’observation des étoiles de leur père, astronome de renom, pour regarder le ciel nocturne après le couvre-feu. De longues heures dans une bulle qui était alors l’intégralité de son univers – Akio l’était –. Elle s’en souvient comme du temps où elle l’a, peut-être, sincèrement aimé. On décrit la petite sœur comme terriblement attachée à son ainé, ils sont adorables, s’est presque déchirant de les voir se séparer lorsque le garçon entre à Ilukaan en premier. D’innombrables lettres sont échangées par hibou – le foyer familial ayant bien du mal à se mettre à la technologie – et, quand Akio revient à la maison pour les vacances, la cadette parait rechigner de plus en plus à préserver leurs rituelles réunions à l’observatoire. Sûrement une impression. En revanche, la roseraie de la demeure obtient tout son temps libre. Endroit préféré de leur maison, Anthy pourrait passer son existence à s’occuper des plantes qui s’y trouvent. Il s’agit aussi du seul lieu où elle se sent tranquille.
Normalement, la jeune Himemiya n’aurait jamais dû entrer à Ilukaan, tout comme n’importe quelle école magique. Ce n’était pas considéré comme nécessaire, les cours à domicile suffisaient largement pour qu’elle apprenne tout ce qu’il lui fallait pour être une bonne épouse. C’était aussi simple que cela, une existence résumée au fait d’épouser un sorcier qu’elle n’aurait pas choisi, et de perpétuer le sang de leur famille. Ce fut la première fois où la voix de l’enfant s’éleva, elle désirait vraiment aller à l’école, au point où elle demanda l’appui de son frère.
C’est de cette manière qu’elle se retrouva si loin de sa maison, dans un pays étranger et entourée d’inconnus. Ce fut impressionnant, c’est peu de le dire, un certain choc à la fois culturel et social. Elle se raccroche à la présence d’Akio, bien qu’elle soit heureuse d’être là. Studieuse, Anthy se plonge à corps perdu dans les études, lors de sa première année, le cours qu’elle redoute le plus est celui du vol sur balais. Inexpérimentée, troublée par l’interdiction qu’elle a toujours eu à suivre, c’est loin d’être facile. Encore aujourd’hui, la demoiselle ressent un immense malaise rien qu’à l’idée de s’élever sur un balais. Outre ça, Anthy est plutôt bonne élève, bien que solitaire, quelque chose qui perdure malgré les années à étudier ici. Elle passe plus de temps à fréquenter les amis de son frère (est-ce que celui-ci le lui demande ?) qu’à nouer de réelles amitiés. De là, certaines rumeurs commencent à courir. Elle est aperçue à sortir avec des garçons plus âgés néanmoins ces histoires restent plus ou moins floues. Puis, son statut de fiancée se fait savoir et Anthy ignore si c’est à cause d’une de ses lettres qui aurait pu être interceptée, de ce qu’elle aurait pu dire, ou bien, si Akio en n’aura pas tout simplement discuté avec un tiers mais, en tout cas, les réactions ne se font pas attendre. Entre celles et ceux qui sont curieux (‘‘Tu le connais ?’’), d’autres qui ne comprennent pas ( ‘‘T’es pas un peu jeune pour être fiancée ?’’), les autres qui trouvent ça juste marrant, la sorcière préfère assurément ceux qui n’en ont rien à faire. Avec le temps, cette nouvelle finit par revêtir les allures d’une bonne blague dont on se rappelle parfois, pour rire. Ça fait même sourire Anthy quand elle l’entend.
Quand ils rentrent chez eux, la demoiselle a la mauvaise surprise que de voir qu’un roncier s’est développé dans la roseraie – de manière minime, certes, mais assez pour être remarqué à son sens – . Est-ce que les elfes de maison ont fait l’impasse sur les soins de ce lieu ? Il faut dire que ce ne sont ni ses parents, ni son frère qui s’en soucieront et la bataille régulière d’Anthy contre les ronces devient son hobby quotidien de vacances. La demoiselle oublie – sciemment – les rendez-vous avec son ainé, jusqu’à ce que dernier finisse par venir la chercher à la roseraie où, pourtant, il ne met jamais les pieds. Après ça, la cadette ne rate plus aucune rencontre dès qu’Akio la demande. Du regard, elle évite cette ancienne épée magique familiale accrochée au mur de leur plus grand salon, un jour, celle-ci appartiendra à son frère, comme il se doit. Le seul contact auquel Anthy est autorisé, c’est quand elle aide les elfes de maison à faire le ménage et cela lui suffit amplement. Les armes, même reliques historique, la mettent peu à l’aise.
En grandissant et en voyant les élèves autour d’elle étudier, il lui prend l’envie de poursuivre ses études quand bien même elle est consciente qu’elle est uniquement présente à Ilukaan grâce à la générosité de ses parents et au soutien d’Akio. Elle aimerait approfondir ses connaissances en botanique, peut-être même avoir un travail lié à ce milieu, plus tard. Il faut encore argumenter avec ses géniteurs, cependant, Anthy a espoir. Ses envies bourgeonnent.
Plus qu’à les faire fleurir.
Invité
Invité
Sujet: Re: Women who cannot become princesses have no choice but to become witches. || Terminé Sam 2 Mar 2019 - 9:56
Bienvenue à toi, belle bôtey
Je ne connaissais pas du tout le personnage, ni même le manga, mais c'est un bon début de fiche que je vois là ! Si tu as des questions, n'hésite pas à MP l'une des staffeuses ! (pour avoir une réponse plus rapide, car on ne vérifie pas toujours le compte de Vincent)
Bonne rédac
Invité
Invité
Sujet: Re: Women who cannot become princesses have no choice but to become witches. || Terminé Sam 2 Mar 2019 - 12:43
Bienvenuue !! Et bon courage pour ta fiche ! Hâte d'en savoir plus sur la demoiselle :D
Francis Bonnefoy
Cervirald
Image du profil :
Emportés par la foule qui nous traîne
Nous entraîne
Écrasés l'un contre l'autre
Nous ne formons qu'un seul corps
Et le flot sans effort
Nous pousse, enchaînés l'un et l'autre
Et nous laisse tous deux
Épanouis, enivrés et heureux
ϟ Baguette : Bois de charme — 29,5cm — Cheveu de vélane — Flexible
ϟ Cursus : Potions approfondies
ϟ Malle : Jeune pousse
ϟ Autres comptes : Lucifer Hellborn, Tom M. Riddle, Lian Xie, Respen Enneiros, Phoenix Wright
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Nous entraîne
Écrasés l'un contre l'autre
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Nous pousse, enchaînés l'un et l'autre
Et nous laisse tous deux
Épanouis, enivrés et heureux
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ϟ Malle : Jeune pousse
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Sujet: Re: Women who cannot become princesses have no choice but to become witches. || Terminé Sam 2 Mar 2019 - 13:53
Tant de mystère sur ton pseudo et la façon dont tu es arrivée ici. JE VEUX SAVOIR
Bienvenue en tout cas ! Je connaissais l'oeuvre que via des images sur tumblr et de nom ! En tout cas je kiffe le fait d'avoir une indo-japonaise sur Ilukaan :D
(sinon, pour ce qui est du patronus, on désire quand même connaître la forme de ce dernier, même si elle n'a jamais encore lancé le sort, c'est pour mieux cibler sa personnalité ;) )
De la part des potos:
De moi à moi:
Merci Lance !:
Merci Mads !:
Merci Luciano !:
Invité
Invité
Sujet: Re: Women who cannot become princesses have no choice but to become witches. || Terminé Sam 2 Mar 2019 - 23:35
Hiiiiii ! Un personnage d'Utena la Fille Révolutionnaire
Contente de t'accueillir, et hâte de découvrir davantage ton personnage ! Bon courage pour ta fiche
Invité
Invité
Sujet: Re: Women who cannot become princesses have no choice but to become witches. || Terminé Dim 3 Mar 2019 - 10:57
Bienvenue à toi !
Je ne connais ni l'oeuvre, ni le personnage, mais j'aime beaucoup ce que j'ai déjà lu !
Courage pour la suite de ta fiche et hâte de voir ta demoiselle parmi nous !
Invité
Invité
Sujet: Re: Women who cannot become princesses have no choice but to become witches. || Terminé Lun 4 Mar 2019 - 0:46
Hey hey , merci beaucoup pour cet accueil !
Au final, c'était plus ardu que prévu que d'adapter ce personnage dans cet univers ( j'auraidurestersurTimo jesuisensueur ) j'espère franchement que c'est cohérent ( malgré les gros flous que j'ai posé par-ci par-là ) Pas tant de mystère sur d'où je viens, de nulle part en fait
Brefouille, normalement c'est terminé, et je suis prêt à modifier des trucs si besoin
Invité
Invité
Sujet: Re: Women who cannot become princesses have no choice but to become witches. || Terminé Lun 4 Mar 2019 - 12:00
Coucou, bienvenue à toi su le forum !
Alours, j'ai lu ta fiche et tout est très bien, y a juste une toute petite chose : il faut 2 options minimum à ton personnage ! Le cursus universitaire n'est pas vraiment nécessaire étant donné que ton personnage n'est pas en 8e année, mais ça, ce n'est pas très grave.
Du coup je te laisse rajouter l'option manquante, tu me dis quand c'est fait et je te validerai !
Invité
Invité
Sujet: Re: Women who cannot become princesses have no choice but to become witches. || Terminé Lun 4 Mar 2019 - 12:30
Et bien, merci beaucoup !
C'est corrigé/ajouté !
Vincent Leroy
Ex-Directeur
Image du profil :
Comment appelle-t-on un chat qui chante?
Chat-kira.
ϟ Baguette : Vigne, coeur en plume d'oiseau tonnerre, 30,45 centimètres. Avec un joli strap dessus.
Sujet: Re: Women who cannot become princesses have no choice but to become witches. || Terminé Lun 4 Mar 2019 - 18:45
Du coup tout est bon !! Passe un bon moment à Ilukaan <3
Message du staff
Validation
Accompagnée par d'autres nouveaux élèves, tu es appelée par le directeur à t'avancer au centre du Dôme. Scrutée par les élèves et étudiants, tu regardes alors ton reflet dans la fontaine qui va décider de ton sort. D'abord voyant ta sale tête dans l'eau, tu remarques que le reflet semble se changer peu à peu jusqu'à prendre la forme d'une chouette. Tu es d'autant plus surprise quand l'animal commence à pousser un cri dans toute la salle. Tout le monde se met soudainement à t'applaudir, tandis que le directeur s'approche de toi avec une améthyste brute qu'il met autour de ton cou. "Bienvenue à Strixyst !"
—> Te voilà validée, tu peux désormais poster dans tous les recoins du forum, RP-Post ainsi que RPCB. —> N'hésite pas à voir la chambre qui t'a été attribuée. —> Si ton personnage est en cursus universitaire, il peut postuler pour avoir un job d'étudiant. —> Crée dès maintenant un topic pour récapituler les relations de ton personnage. Tu peux également acquérir un portable ou bien créer un blog. —> N'hésite pas à faire une demande de RP pour trouver un partenaire d'écriture ! —> Enfin, amuse-toi bien sur le forum, n'hésite pas à en parler autour de toi et à voter régulièrement aux TS !
welcome!
Ab origine fidelis, ex fortitudine scientia.
Contenu sponsorisé
Sujet: Re: Women who cannot become princesses have no choice but to become witches. || Terminé