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[20 Juin 2018] When the owl sings, the boy screams. | Owen
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Sujet: [20 Juin 2018] When the owl sings, the boy screams. | Owen
Mer 20 Juin - 16:48
                    

When the owl sings, the boy screams.

[20 Juin 2018] When the owl sings, the boy screams. | Owen Qa4c


S'il y a bien un moment de la journée que tu apprécies autant qu'un aller-retour au travers du visage, c'est bien le repas du midi. Loin de toi l'idée de critiquer la nourriture (t'es pas fou) ou de vouloir préserver ta subtile taille de guêpe qui ferait tourner de l'oeil à Cristina Cordula, non : le problème, ce sont les autres élèves qui se croient malins à venir te couper l'appétit en te montrant leur sale trogne, et en se baffrant dans les plats en même temps que ta petite pomme. Déjà qu'à ton arrivée, la cafétéria de l'école te filait des cauchemars la nuit, avec son bruit incessant et ces sauvages que sont tes camarades... bon, aujourd'hui, les années ont passé et ta perception de la chose s'en est donc retrouvée changée, et pour preuve : désormais, tu dors peut-être sur tes deux oreilles, mais tu serais bien tenté d'y jeter un cocktail molotov en plein centre. Ceci étant dit, explosion rime souvent avec prison, alors tu as rapidement rayé cette option de ta liste. Ne te reste plus qu'à endurer - - c'est à se demander à quoi sert la magie si tu dois continuer à manger pour rester en vie, franchement.

Les muscles tendus comme la corde d'une arbalète, tu entres dans la gueule du Diable avec appréhension, puis t'empresses de chercher Luciano du regard. Le repas sera déjà moins désagréable si tu réussis à mettre le grappin sur ton ami ; l'ennui étant que tu ne le trouves pas. Dans un soupir, tu finis par changer de cible pour la troquer avec la sale tronche d'Alfred. Si lui est là, Lu' ne devrait pas être bien loin... et inversement. A cette pensée, une certaine forme d'hésitation commence à poindre en toi. En y réfléchissant, ce n'est peut-être pas la meilleure idée du siècle, de se mettre entre les deux tourtereaux - surtout lorsqu'un des deux te regarde comme s'il attendait que tu prennes feu sur place... Mouais. S'il te faut supporter les regards noirs de l'autre mou de la théière qui lui sert de copain, tu vas très gentiment écouter ton instinct de survie et passer ton tour. Parce qu'à tous les coups, cette drama-queen va observer ta façon de manger une banane -au cas où il te viendrait l'idée d'y mettre la langue pour chauffer son mec, hein- et se montera la tête la tête tout seul avant de te planter sa fourchette dans le plat de la main. C'est qu'il est probablement violent, le bougre.

Ton imagination va peut-être trop loin sur les rails, mais quand cela concerne Luciano, la sienne n'est jamais mieux ; d'autant plus que  tu ne sais pas de quoi un Lupy jaloux est capable... et le découvrir ne te tente *vraiment* pas, alors tu préfères ne pas prendre de risques inutiles. Encore debout à chercher la terre promise que représente à tes yeux une table seule, tu arpentes le réfectoire avec le visage d'un homme en deuil de sa troisième femme. Partout où tu vas, il y a des gens. Et re-des gens. Et re-re-des gens. Vraiment, quand tu domineras le monde, tu imposeras la limite de l'enfant unique juste pour que les cantines soient moins remplies, car là, ce n'est plus possible. Ça pullule de partout, ça rigole, ça parle, ça respire...

Sales bêtes.

Et toi tu es encore là, planté comme un piquet d'1m77, tel le grand con que tu es. Méfiance, les gens vont finir par croire que tu n'as pas d'amis - au fond, ils croiraient juste, mais juste pour les faire chier, tu vas te dépêcher d'envahir la table du fond. Elle a un pied plus grand que les autres et ça a un peu tendance à te courir sur le haricot, mais à ton stade, tu peux bien faire des concessions. Enfin assis, tu installes Pamela en face de toi dans un tête-à-tête des plus passionnants (dans la limite possible entre un humain et un gros rat des champs) et inspectes la nourriture se trouvant devant toi. La viande, ça dégage, tu te sentirais trop mal de manger le bébé d'une meuh-meuh, les légumes, pareil, sait-on jamais si madame Carotte avait de la famille (comment ça, ce n'est pas une excuse ?), ne te reste plus que le pain que tu partages avec ta musaraigne et un peu de riz pour survivre à Ilukoh-Lanta.

Mais à peine as-tu commencé à fendre le pain en deux tel Moïse à la plage qu'un immonde oiseau plein de plumes te confond avec son perchoir, te faisant alors perdre ton précieux, comme ton assurance déjà fortement mise à l'épreuve.  « Ta sœur la tong ! », t'exclames-tu dans ta surprise, avant de te figer sur place. Ne pas bouger. Surtout. Ne pas bouger. De ses yeux vides de pitié, la chouette sur ton épaule observe ta pitance que tu n'oses pas même cacher, craignant qu'au moindre mouvement, l'horreur ne vienne te picorer l’œil avec son bec. Si tu avais un semblant de courage caché dans un placard de ton être, tu te serais bien tenté à un Wingardium leviopiaf, mais pour le coup, tu préfères attendre que son ou sa propriétaire ne *vole* à ton secours. Peu rassuré, tu demandes alors d'une petite voix :

« Quelqu'un peut récupérer son con d'oiseau ? Siouplaît... ?  »


            
Invité
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Sujet: Re: [20 Juin 2018] When the owl sings, the boy screams. | Owen
Mer 20 Juin - 19:22
                    
Euh... tu veux une plume ?

feat. Une énième victime de la terreur à plumes

         Encore et toujours l’éternelle période d’examens. Non pas que c’était une période de l’année qui transcendait Owen ; en tout cas les gens étaient mystérieusement moins sociables courant juin, ce qui permettait au jeune damoiseau –c’cool les oiseaux- de paraître presque normal dans la foule. Et oui, les gens qui préfèrent rester le nez dans un bouquin étaient plus courants en cette période. Parfait pour se fondre dans la masse.

Bon, ça c’était sans compter sur son pote Elliot, qui, on ne va pas se mentir, parlait tout le temps. Et d’arithmancie en plus. C’était le pompon. Owen était une véritable brêle en maths, alors on ne va pas parler d’arithmancie. Des fois il se demandait pourquoi il avait choisi une option pareille. Il aurait mieux fait de prendre de la botanique renforcée… comment ? Ça n’existe pas ? Dommage.

— … et du coup tu devines pas ce que j’ai compris tout à l’heure ?

Euh, non, il devinait pas. Il avait jamais rien compris en arithmancie alors ce que son pote comprenait, non il savait pas.

— Eh bien, je meure de faim !

Owen tourna la tête vers lui, un vague sourire aux lèvres.

Ce sont les chiffres qui t’ont dit ça ?

— Pas tout à fait, fit-il en levant un doigt, très concentré. Disons que mon estomac a gargouillé tellement fort que le 2 que j’étais en train d’écrire s’est transformé en z. J’ai interprété les signes du destin par « zé faim ».

Je vois. Dans ce cas, accélère le pas.

OK, Owen aussi il crevait la dalle. Dans le style « je passe mon temps à manger mais mon corps garde l’allure d’un spaghetti », c’était un bon spécimen.

Ils arrivèrent finalement dans la cafétéria, quasiment bondée. Owen poussa un petit soupire. Un poil trop de monde pour lui. Il serait presque obligé de s’assoir à la table de quelqu’un d’autre et de communiquer. Situation critique. Et manifestement, sa plante, Tine, était d’accord ; elle se recroquevilla dans sa poche au niveau de sa poitrine.

Au pire, on repasse plus-

— Quelqu'un peut récupérer son con d'oiseau ? Siouplaît... ?

Tiens, encore un débile qui amène son hibou dans une cafèt’ bondée et bruyante ? Bon sang, quand est-ce que les gens se rendront compte qu’une trop grande concentration d’humains hurleurs ça ne plaisait pas vraiment aux oiseaux ?

Ah oui, sauf quand l’animal en question s’appelle Noctua. Owen se pinça l’arête du nez.

C’est pas vrai…

— Ahah, ta chouette est vraiment spéciale, Owen ! s’amusa Elliot.

Ah ça, spéciale, c’était le mot. Owen la fixa d’un œil exaspéré tandis qu’elle lorgnait la nourriture de sa victime.

— Bon… je vais gérer la chose.


Les mains dans les poches, le jeune homme s’approcha de la table du Strixyst.

Hey. Euh… désolé ?

Il tourna les yeux vers la terreur à plumes, qui le fixait d’un air « you’re talking to me ? » et absolument pas décidée à renoncer à ce repas –qu’Owen savait parfaitement qu’elle n’aimerait pas, en plus. Non, en fait elle lorgnait probablement beaucoup plus sur la musaraigne, là… euh, ce n’était pas forcément un moyen très diplomatique d’engager une discussion, si ta chouette bouffe l’animal de ton interlocuteur, non ?

Nox, viens-là, siffla-t-il.

L’appel de la bouffe était trop fort. Owen réagit à l’instant où la petite chouette commença à déplier ses ailes et lui bondit dessus pour l’empêcher de s’en prendre à l’autre petite bestiole poilue ; dans un grand bruit il renversa la table dans son mouvement un poil brusque, et marcha très probablement –voire entraina dans sa chute, il n’en savait rien, il avait des plumes devant les yeux- sur les pieds de son interlocuteur.

Ouais, Owen était décidément un génie de la socialisation.

HRP : OMG OUI LE SURNOM D'OWEN CA VA ÊTRE "OWL" T'ES UN GENIE
            
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Sujet: Re: [20 Juin 2018] When the owl sings, the boy screams. | Owen
Jeu 21 Juin - 20:56
                    

When the owl sings, the boy screams.

[20 Juin 2018] When the owl sings, the boy screams. | Owen Qa4c



La main figée dans les airs tandis que tes boyaux semblent tricoter ton écharpe pour Noël prochain, tu demeures sans voix, incapable de rajouter quoi que ce soit pour que l'on vienne à ton secours. Ça va mal, très mal. Que doit-on — non, que peut-on faire lorsqu'un hideux dindon confond un innocent animal de compagnie avec son quatre-heure ? Ton instinct a beau te hurler de fuir afin de préserver ta peau ainsi que celle de Pamela, impossible pour toi d'entamer le moindre mouvement ; c'est comme si croiser son regard t'avait enraciné au sol, soudainement changé en statue de sel. Il faut dire qu'elle est proche de ton visage, cette chouette... qui sait ce qu'elle lui ferait si tu t'amusais à ramener la tecktonik à la vie en gigotant comme un abruti sur ta chaise ? Dans le doute, tu préfères encore attendre que son propriétaire vienne à ta rescousse sur son beau balai blanc. D'ailleurs, le voilà qui arrive, les mains dans les poches et l'air désolé alors que tu frôles la rupture d'anévrisme avec son putain d'oiseau qui te reluque avec ses yeux ronds. Si ça n'en tenait qu'à toi, tu dégainerais ta baguette pour l'éborgner avec, tiens.

« Sois désolé autant que tu veux, mais récupère ta bestiole, viiiiiiite !... »


Que tu grinces entre tes dents serrées, ton regard se voulant implorant. En temps normal, tu apprécies les excuses – c'est même très bien de savoir quand demander pardon, Jésus lève ses deux pouces - mais là, ce n'est pas clairement pas ce dont tu as besoin : ce qu'il te faut, là, maintenant, c'est que le Lupy embarque son poulet loin de toi ou que le nom de ce dit-poulet finisse dans un Death Note avant qu'il ne puisse manger Pamela. De son côté, la musaraigne ne semble pas broncher, trop occupée à grignoter le morceau de pain que tu maintiens tendu comme si elle ne réalisait pas la menace qui pèse sur son existence. Pour le coup, tu la jalouserais presque. Mais alors que tu retiens ton souffle devant l'approche du jeune homme, un mouvement brusque de sa part te fait tressauter sur ta chaise. L'oiseau est passé à l'attaque - le garçon aussi. Instinctivement, tu te jettes sur ton rongeur afin de le serrer contre ton torse, tandis que tes pauvres pieds se retrouvent écrasés sous le poids de l'autre :

« Mais non, merde ! » cries-tu alors, sans accorder une once d'attention aux regards tournés vers vous. Pas le temps d'être timide, y a un piaf et son humain de compagnie à gérer !

L'expression casser les pieds prenant soudain tout son sens, tu repousses l'enclume humaine avant de te retrouver en équilibre sur ta chaise, qui bascule dangereusement vers l'arrière. Doucement mais sûrement, tu finis par te retrouver par terre, au beau milieu des grains de riz et les lamelles de viande. : S'il y a des jours où tu regrettes d'être encore en vie, celui-ci en fait bel et bien partie. L'inquiétude primant sur la colère, tu déplies tout d'abord ta main et vérifies l'état de ton amie velue, pour finalement sourire en lui caressant le crâne de ton index : « Fiouuuu. T'en fais pas, Lili est là, la chouette t'a pas bouffée... » tu murmures, ne voulant pas te donner davantage en spectacle avec tes surnoms débiles. Puis finalement repris par la force des choses, ta main vient épousseter ton chandail tandis que ton pied frappe la chaise à tes côtés. Ce n'est pas parce que tu es rassuré que ton animal ne soit pas mort broyé par la puissance de ta jolie paume que le trio chaise-chouette-inconnu va s'en sortir indemne :

« Chaise à la con qu'est même pas foutue d'avoir quatre pieds, là ! Et qu'est-ce qu'il fait ici, ton piaf ? Il aurait pu me crever l’œil - - ou pire, manger Pamela ! »



            
Invité
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Sujet: Re: [20 Juin 2018] When the owl sings, the boy screams. | Owen
Lun 25 Juin - 11:43
                    
Euh... tu veux une plume ?

feat. Une énième victime de la terreur à plumes

         En fait, le type en face avait l’air d’avoir carrément peur. C’était pas juste que Noctua l’emmerdait pendant son repas… la situation était d’autant plus critique.

Surtout qu’elle reluquait fortement la pauvre petite musaraigne, qui, elle, n’avait manifestement aucun instinct de survie puisqu’elle continuait de grignoter sans broncher. Hé ooooooh, les chouettes ce sont vos ennemis naturels merde… La preuve en est qu’Owen dût se jeter sur son oiseau avant qu’elle ne puisse transpercer la petite bête poilue de ses serres. Dans son mouvement absolument très pas gracieux du tout, il devina qu’il avait au passage écrasé le Stryxist –puisque celui-ci vient de s’exclamer quelque chose qu’Owen n’avait pas vraiment entendu tellement Noctua piaillait.

Le Lupy se retrouva avec une quantité de riz relativement remarquable dans les cheveux lorsque la table se renversa avec fracas. Misère, vous vous rendez pas compte à quel point ça allait être relou ça, vu la tignasse d’Owen… il était sûr d’en trouver encore dans trois jours. Ça ferait des réserves si jamais il a faim un jour, vous me direz…

Owen haussa le ton contre sa chouette, qui continua de piailler, mécontente, attirant les regards sur eux.

Nox, tu ne peux pas attaquer les animaux des gens ! Après on va croire que je ne te nourris pas assez, et franchement t’es loin d’avoir la peau sur les os…

La chouette ébouriffa les plumes de sa tête, et lança un regard vexé à Owen.

Ne me regarde pas comme ça, tu ne…

— …et qu'est-ce qu'il fait ici, ton piaf ? Il aurait pu me crever l’œil - - ou pire, manger Pamela !

Le jeune homme releva les yeux vers le propriétaire de la musaraigne –Pamela. Il haussa un sourcil avant de hausser les épaules.

Comment veux-tu que je le sache ? Elle n’est pas enchaînée à la volière, que je sache, et en principe il n’y a pas un panneau « interdit aux hiboux » devant l’entrée.

Owen secoua la tête, virant une bonne quantité de riz de ses cheveux, ce qui portait fortement atteinte à sa crédibilité. Crédibili-quoi ? Ça se mange ?

Bon. C’est bon, Pamela n’est pas blessée ?

Aimable, soit aimable Owen, c’est ta faute cette histoire après tout. Fais donc un effort.

Il souffla avec agacement sur la tête de Noctua qui commençait à lui donner des coups de bec sur les doigts.
            
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Sujet: Re: [20 Juin 2018] When the owl sings, the boy screams. | Owen
                    
            
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