ILUKAAN est un forum MULTIFANDOM dans l'univers d'Harry Potter. Ilukaan est une école de magie internationale se situant en Nouvelle-Écosse au Canada. L'histoire se déroule en 2024, mélangeant magie et technologie. Vous pouvez jouer des personnages de manga/anime, jeux vidéos, films d'animation, dessins animés, romans jeunesse ou encore un OC. L'intrigue se fait à la fois en RPCB et RP-POST.
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Kaeya est un sorcier né-moldu appartenant à la maison Strixyst et en 8e année. Il est inscrit au cursus Psychomagie. Il ne possède aucun don. Il n'occupe aucun poste.
Sa baguette est faite d’aubépine, avec un cœur en crin de licorne, d'une longueur de 29cm, souple et presque pliable, mais droite. Son animal de compagnie est une grenouille rieuse.
Son patronus est un paon. L'odeur de son Amortentia est composé de Riesling, chaï latte et de la fumée des cheminées dans l’air froid. Son reflet dans le miroir du Riséd est Diluc, entouré de son père et de sa mère. Son Épouvantard prend la forme d’ un énorme livre, poussiéreux et ancien.
Il a un frère (Diluc) présent à Ilukaan. Sa matière favorite est la métamorphose et la matière qu'il aime le moins est la botanique.
Derrière l'écran Pseudo & pronoms : Kikki (elle/ael/iel)Souhaites-tu être parrainé·e ? Non ça va techniquement jss marraine enft Avatar : /Code du règlement : giga flemme de mettre un truc drôleComment as-tu trouvé le forum ? j’ai des attachment issues envers IluUn petit mot ? JE SUIS ACTIVE!!!!!!!!
headcanons
Il a toujours les mains glacées. Les pieds aussi et oui, il les colle sur la personne qui partage sa couette. • Il aime beaucoup la musique classique, mais aussi la house et la techno. C’est un peu une roulette russe quand il vous tend un écouteur. • C’est un bon cuisinier et mixologue, au grand désespoir de son père et de la gouvernante. • Il sait qu’il vient d’Inde et a été adopté, mais il n’en garde aucun souvenir - ni de la langue, ni de la culture, et il n’est juste pas intéressé à l’idée de renouer avec ses origines. • Il se teint les cheveux seul lorsqu’il est à l’école, mais c’est Adelinde qui l’aide à la maison. • Il est assez doué en psychanalyse du dimanche, mais déteste en être le sujet. • Il est absolument blasé par les sorciers qui ne touchent pas une bille en culture moldue, et il se fait un plaisir de leur raconter n’importe quoi. • Son style vestimentaire est assez extravagant et rappelle un mélange de mode alternative et haute-couture. Il adore les plumes et la fourrure. • Lorsqu’il avait 15 ans, il a raconté (à tort) à sa correspondante de Beauxbâtons qu’il portait des boucles d’oreilles pour frimer. Il a moins fait le malin en se faisant piercer (par Mads) lorsqu’elle lui a offert une paire. • Pilier de bar la nuit, mais pilier de Stardust le jour. • Il possède plusieurs parfums, et les porte tour à tour en fonction de la saison. • Il joue parfois aux jeux vidéo avec Diluc, mais c’est impossible de savoir en avance s’il va l’aider ou le troller. • Sa grenouille s’appelle Camille. Il a aussi quelques lézards et serpents à la maison. • Il se moque allègrement de Diluc lorsqu’il parle bas-allemand, mais l’a appris auprès de la gouvernante juste pour comprendre ce qui se dit autour de lui ; à part Adelinde, personne ne l’a jamais entendu le parler. • Il chante, siffle et tapote en rythme en permanence. • Il joue de la trompette à la perfection. Il est possible qu’il ait choisi l’instrument pour emmerder son monde. • Chaotic good
« This moment will be frozen in time. »
« My eye? My eye is fine. There's nothing unusual about hiding one's body parts from view. »
Kaeya est grand et sec – il n’est pas maigre à proprement parler, ni un fil de fer, mais il est loin d’une armoire à glace. Il va courir régulièrement, et ça se voit, mais ce n’est pas un Lupy. C’est une asperge, mais une grosse asperge. Voilà.
L’asperge en question a la peau tannée, d’une jolie couleur caramel au beurre salé, voire toffee en été. Ses cheveux sont naturellement d’un noir profond presque bleu, lisses, doux et brillants – un peu comme un ciel d’été au cœur de la nuit, les étoiles en moins. Mais Kaeya préfère le ciel entre chien et loup, et a donc décidé de se teindre les cheveux en bleu – il a varié les teintes depuis ses quinze ans, mais s’est aujourd’hui stabilisé autour d’un bleu prussien, strié d’une seule mèche bleu azuré par fantaisie. Il les entretient et les garde assez longs – une partie qui lui arrive à la mâchoire, et une petite queue de rat au niveau de la nuque qui lui tombe vers le milieu du dos. Il la garde généralement attachée, afin qu’elle repose sur son épaule. Le reste de son corps est imberbe de pied en cap, par la volonté de la génétique mais aussi par un coup de pouce esthétique (et parce qu’il aime s’huiler).
Son visage est assez fin et anguleux. Son menton est plus prononcé que sa mâchoire, et ses pommettes sont assez hautes et ses joues vaguement creusées, ce qui lui donne un air assez hautain naturellement. Ses lèvres sont pleines et assez féminines – en forme de cœur et toujours hydratées. La courbe de sa bouche et de ses commissures, vers le haut, laisse poindre une certaine moquerie ou malice permanente, ce qui rend Kaeya difficile à déchiffrer. Son nez, assez long et très droit, préside son visage quasiment en ligne droite depuis ses sourcils. Ils sont assez arqués et rarement froncés, ainsi que soigneusement épilés.
Et puis, Kaeya a des yeux.
Il en a deux, même, malgré le cache-œil qu’il porte sur son œil droit en permanence (votre gauche). Ils sont en amande et leur coin extérieur pointe plutôt vers le haut ; sa paupière est assez épaisse, et ornée de long cils épais.
Kaeya pourrait avoir de magnifiques yeux, deux billes de verre poli et éclatant tant ils sont d’un bleu glacé, dans un écrin couleur café, seulement voilà : l’asperge souffre de colobome irien, et si sur son œil gauche, la malformation est minime et donne seulement un aspect de petit diamant à sa pupille, son œil droit est beaucoup plus touché et il lui manque une bonne partie de l’iris. Pour des raisons de simplicité, de confort (et pour ne pas terrifier les petits enfants), il le cache donc.
Kaeya est un menteur. C’est un menteur parce qu’il est dans le déni vis-à-vis de lui-même, des autres, de la réalité ; c’est un menteur parce qu’il embellit ses histoires pour les rendre plus intéressantes, les gens pour les rendre moins ennuyeux, la vie parce qu’il n’en voit pas toujours les couleurs ; c’est un menteur parce qu’il sait ce qu’il veut et qu’il n’a que peu de scrupules à l’obtenir.
Kaeya va là où le vent le porte, ou plutôt ses intérêts ; c’est un opportuniste, parce que ça lui a toujours réussi. Il a du flair et énormément de chance, mais c’est aussi parce qu’il sait faire preuve d’une logique imbattable, ce qui lui permet de prévoir les différentes façons dont une situation pourrait évoluer – et donc, de mettre au point des plans redoutables. Il n’exerce pas énormément son talent cela dit, en tous cas pas en dehors de quelques farces et faveurs forcées. Il a hérité quelques principes de son père.
En bon Sagittaire, Kaeya a des opinions très tranchées, et sur absolument tout – ça ne l’empêche pas de retourner sa veste temporairement si la situation l’exige – parce que si on l’écoute déblatérer, il a tout fait, tout vu, tout compris. Il n’y croit pas vraiment quand il le raconte, c’est plutôt pour tester jusqu’où il peut pousser le vice et la crédulité de son monde, et ce par simple plaisir. L’une de ses passions, c’est d’observer les gens et leur comportement ; Kaeya, à force de fixer ses compagnons humains, a fini par en obtenir une plutôt bonne compréhension. Ça fait de lui un merveilleux thérapeute ou anthropologue amateur, mais il a secrètement espoir que comprendre les autres lui permettra de se comprendre lui-même.
Il est amical, convivial, assez facile d’approche (du moins initialement, jusqu’à la première vanne). Il a l’air de ne rien prendre au sérieux, parce qu’on va tous finir par mourir de quelque chose un jour, alors il rit – de la situation, de lui-même, surtout des autres. Il est très moqueur, joueur, sarcastique et cynique dans ses plus mauvais jours, et sa langue et sa répartie sont acérées. Surtout lorsqu’il s’agit de mauvais jeux de mots en rapport avec le froid.
Mais Kaeya est triste. Il est terrifié à l’idée qu’on l’abandonne, parce qu’il a toujours été seul, jusqu’à son adoption. Alors maintenant, il s’accroche comme une moule à son rocher à ce qui lui apporte un certain réconfort émotionnel, parce qu’au fond, il est toujours ce petit enfant au fond d’une allée dont personne ne voulait.
Sa façade a tendance à s’effriter lorsqu’il boit ou qu’il déborde naturellement, parce qu’il faut bien vider son sac de temps en temps. Il est très vulnérable et crève de l’envie d’être aimé – d’où sa tendance à se mettre sous les feux des projecteurs et à s’entourer du plus de personnes possibles, même si ce n’est que superficiel. Malgré son côté calculateur très prononcé, il est en réalité motivé par ses émotions en premier lieu, avant de les rationaliser, parce que les principes ont priorité sur le ressenti – ce qui lui demande parfois un effort considérable.
Kaeya ne ressent pas vraiment la colère ; plutôt de la résignation et de la frustration, parce que tout glisse sur lui comme des perles d’eau sur le plumage d’un canard. A part pour ses moments de détresse et de solitude, il est très rare de le voir flancher et se débarrasser de son éternel sourire en coin. Il se sent exister lorsqu’il fait tourner le monde à l’envers, et ça lui va. Il n’aime pas s’épancher sur lui-même, et encore moins qu’on s’épanche sur lui.
« Lonely? Me? Not with someone here nagging me all the time, that's for sure. »
Il ne reste très certainement plus personne pour retracer les premiers instants de son histoire. Il est probablement né d’un père et d’une mère, comme beaucoup d’autres ici-bas, après qu’ils ont partagé une étreinte, et, prévu ou non, il a pris sa première bouffée d’air neuf mois plus tard sous le ciel sec et chaud de Kolkata. C’était un 30 novembre, en 2003 – ou du moins, c’est ce que disent les papiers. Lui ne s’en souvient pas.
Il n’a pas eu une vie misérable, ou souffert le martyre. Il se souvient de saris bleus, et de beaucoup de pluie ; d’une main qui tient la sienne alors qu’il peut à peine marcher, et d’une toux rauque qui ne voulait pas lâcher prise après une mousson absolument diluvienne. Après ça, il ne répond plus de rien – et de toute façon, ça ne l’intéresse pas. Alors, il a oublié l’orphelinat, les pseudo-Mères Teresa, les jours d’école un peu moroses qui se succèdent sans grand enthousiasme et tout le reste. Des gens sans parents, comme lui, il y en a hélas beaucoup. Il ne se sent pas plus spécial qu’un autre à ce propos.
Ce dont il se souvient, c’est la chaleur tropicale étouffante et humide, qui lui prenait les poumons à bras-le-corps et qui faisait perler chaque pore de sa peau, jusqu’à ce que ses vêtements lui collent comme une carapace de chair. Il se souvient de ce sentiment très vif – comme le sont souvent les sentiments des plus jeunes – de détester l’été et de son dégoût de mettre ne serait-ce qu’un orteil en dehors de l’orphelinat. On lui a parlé du Népal, un peu plus au nord, et il s’est souvent surpris à envier cette neige qu’il ne connaissait pas.
A dire vrai, Kaeya n’a jamais pris le temps de compter son âge lorsqu’il était très jeune. Il préférait compter ses petits soldats, parce que ceux-là, on pouvait les lui voler – qui irait lui voler ses années ? De fait, la seule raison pour laquelle il sait qu’il avait six ans lorsqu’il a rencontré son père et Diluc est parce qu’on le lui a dit – et parce qu’il a commencé à compter à partir de là.
Il n’a aucune idée de pourquoi Crepus passait par son para (c’est l’un des mots qui lui reste, lorsqu’il repense, quoique rarement, à sa première vie), mais il l’a fait. Kaeya n’avait pas une très bonne opinion des touristes et Crepus et son fils, pour le dire très grossièrement, ont tout sauf l’apparence de locaux. Il s’est surpris à penser qu’il aimerait bien les voir partir, depuis son coin de trottoir où il jouait à l’ombre et les petits soldats se sont transformés en fléchettes par la simple force de sa pensée. C’est un sorcier roux étonné, mais soulagé d’avoir été attaqué par des soldats de plastique fondus, qui s’est approché de l’enfant comme d’un animal sauvage (il faut dire que Kaeya n’avait pas l’air très aimable à cet instant précis). Les soldats sont revenus, par magie, à ses pieds lorsque la version miniature de son futur papa s’est penchée pour les ramasser.
Après ça, le reste est flou parce que composé de choses ennuyeuses d’adultes, mais Kaeya a fait le trajet jusqu’à sa nouvelle maison en portoloin, et il avait un petit frère et un père et une très grande maison (et Adelinde, qui était un peu sa maman, et il sait qu’il est son préféré). On lui a patiemment expliqué qu’il porterait le nom de Alberich, parce que c’était la tradition dans la famille Ragnvindr pour les enfants « choisis » comme lui (il apprendra plus tard que c’était un vieux résidu archaïque utilisé pour désigner les enfants naturels, mais ça lui va ; il s’entend souvent dire qu’il est un bâtard, de toute façon). Il n’a, depuis sa rencontre avec sa nouvelle famille, plus jamais manifesté de pouvoirs sorciers – un fait qui a parfois fait penser à Crepus qu’il aurait pu être un Obscurus, mais le destin en a décidé autrement.
Diluc et lui sont devenus les deux faces d’une même pièce. Il le suivait comme son ombre, apprenait à parler sa langue en jouant avec lui, et quand les mots manquaient, il leur suffisait de se regarder pour comprendre le fond de la pensée de l’autre. Il l’adorait – de toute son âme. Il adorait cet enfant qui lui a appris à être un enfant, ce petit garçon roux comme les flammes du soleil d’été qu’il détestait, et qui lui inventait des histoires plus tragiques et grandioses les unes que les autres pour justifier son colobome. (Aujourd’hui encore, Kaeya raconte la version du pirate.) Leur relation était symbiotique à presque tous les niveaux, et tout naturellement, Kaeya a voulu faire un cadeau à son frère – c’était assez dur comme ça de l’entendre pleurer la nuit, ou appeler un nom qui n’évoquait rien chez son grand frère - maman.
Il s’est dit que les grandes personnes étaient décidément bien bêtes de ne pas y avoir pensé avant lui, et s’est plongé dans de nombreuses heures de recherches qu’il prenait sur son temps de sommeil, dans un coin de la bibliothèque de son père, jusqu’à trouver un livre, ancien, lourd et poussiéreux, probablement acquis quelques siècles plus tôt par un ancêtre un peu moins scrupuleux dans sa curiosité.
Kaeya n’a pas vu le petit jour poindre, comme il n’a pas vu les avertissements dans la vieille langue qu’il ne connaissait pas, comme il n’a pas vu le mal de décoder à voix haute une formule qui pourrait ramener Cecilia à Diluc et Crepus. Lui aussi, il aurait bien voulu savoir ce que ça faisait, une maman, mais au moins il avait Adelinde – Diluc méritait d’être le préféré de quelqu’un aussi, et son papa pouvait bien se la partager avec son autre fils. Ce genre de détails, il avait décidé de les laisser aux Ragnvindr. Lui, son rôle, c’était d’être le héros qui rendrait tout le monde heureux. C’était la moindre des choses.
Mû par un instinct probablement surnaturel propre aux pères, Crepus est intervenu, mais trop tard – la formule inachevée était assez avancée pour le frapper d’une malédiction qui, à terme, l’emportera.
Kaeya sait que Diluc le déteste depuis cet accident. Il ne peut pas lui en vouloir ; lui non plus ne se pardonnera jamais. De l’ombre du rouquin, il est devenu d’abord son parallèle, et puis son opposé ; jamais leurs deux noms différents n’ont eu autant de poids que depuis ce jour malheureux. Et puis, pour faire le pendant très ironique des explosions magiques répétées de son petit frère, Kaeya, dans son tourment, dès lors de l’accident, s’est mis à semer du givre après lui. Pas systématiquement, mais assez pour révéler ce qui se tramait réellement en lui (du moins d’après Adelinde) et qu’il était bel et bien un sorcier.
L’entrée à Ilukaan, de pair avec son frère, lui donne les armes dont il a besoin pour se forger une identité à part entière – ses débuts rocambolesques où il manque de très peu être une Fontaine Floue, des sujets dans lesquels briller, d’autres dans lesquels se planter, des amis, des ennemis, des béguins, des farces et beaucoup de temps pour se remettre en question et puis oublier ces grandes questions, parce qu’il n’est qu’un adolescent de dix-sept ans et qu’il ne tient pas – plus – à vivre en fonction de Diluc tout le reste de sa vie.
Pourtant, lorsqu’il le croise au détour de la salle commune des Strixyst à l’occasion des premières neiges, chaque année, il se rappelle d’abord la chaleur d’un été indien qu’il a amèrement détesté, et celle, plus douce, de l’été allemand où il attendait impatiemment d’aller se baigner avec leur père ; et puis, il se rappelle d’un beau jour de novembre, qui par hasard était son anniversaire, où il a vu son premier flocon tomber, et où il avait un petit frère pour lui expliquer d’où venait tout ce blanc.
Il arrive rarement à attraper son regard, mais il sait qu’il se souvient aussi. Alors il sourit pour lui-même de l’air énigmatique qu’il aime se donner, et se dit que s’il a pu vivre sans une famille jusqu’à ses six ans, c’est évident qu’il peut bien recommencer.
Pas vrai ?
(c) Ilukaan
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Sujet: Re: Don't get frostbite. || Kaeya Alberich Ven 14 Jan 2022 - 15:45
T'es adopté.
Bisous.
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Sujet: Re: Don't get frostbite. || Kaeya Alberich Ven 14 Jan 2022 - 16:10
Moi au moins on m'a choisi et élevé par plaisir. :)
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Invité
Sujet: Re: Don't get frostbite. || Kaeya Alberich Ven 14 Jan 2022 - 18:22
K A E Y A félicitations pour ton TC Kikki et ta reprise d'activité, c'est trop bien tous ces nouveaux personnages de Genshin ici hihi ! Also "Il joue de la trompette à la perfection. Il est possible qu’il ait choisi l’instrument pour emmerder son monde", je PLEURE.
Bon courage pour ta fiche, très hâte de le voir validé !!
Eula Lawrence
Cervirald
Image du profil :
"You don't have to be like everybody else
You don't have to fit into the norm
You are not here to conform
I am here to take a look inside myself
Recognize that I could be the eye, the eye of the storm"
- Ancient Dreams In A Modern Land, Marina
ϟ Baguette : Charme, cœur en crin de licorne, 31 cm, fine et souple
ϟ Cursus : Auror et Défense magique
ϟ Malle : Une flûte en os et quelques livres de poche défraichis.
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ϟ Malle : Une flûte en os et quelques livres de poche défraichis.
Sujet: Re: Don't get frostbite. || Kaeya Alberich Dim 16 Jan 2022 - 16:58
Yes yes yes yes yes.
Bon retour, hihi. Très très hâte de voir la suite de la fiche, et de te voir jouer Kaeya C:
Aphros Delos
❄ Get your hands off my hips, 'fore I punch you in the lips. Stop your staring at my- Hey ! Take a hint, take a hint. No, you can't buy me a drink. Let me tell you what I think. I think you could use a mint. Take a hint. Take a hint.
Invité
Invité
Sujet: Re: Don't get frostbite. || Kaeya Alberich Lun 17 Jan 2022 - 9:58
Kikkiiiiii je suis contente de te voir avec Kaeya hihi, j'ai très hâte de te voir rp avec lui Des besos
Vincent Leroy
Ex-Directeur
Image du profil :
Comment appelle-t-on un chat qui chante?
Chat-kira.
ϟ Baguette : Vigne, coeur en plume d'oiseau tonnerre, 30,45 centimètres. Avec un joli strap dessus.
Sujet: Re: Don't get frostbite. || Kaeya Alberich Mer 19 Jan 2022 - 19:38
Je viens valider KAEYA. Je suis très contente de te voir de nouveau actif.ve Kikki !! J'ai beaucoup aimé la lecture de ta fiche et la complexité du caractère de Kaeya. Et joli, pour l'explication de son oeil, damn. Bon jeu
Validation
Bienvenue chez les Strixyst
Accompagné par d'autres nouveaux élèves, tu es appelé par le directeur à t'avancer au centre du Dôme. Scruté par les élèves et étudiants, tu regardes alors ton reflet dans la fontaine qui va décider de ton sort. D'abord voyant ta sale tête dans l'eau, tu remarques que le reflet semble se changer peu à peu jusqu'à prendre la forme d'une chouette. Tu es d'autant plus surpris quand l'animal commence à pousser un cri dans toute la salle. Tout le monde se met soudainement à t'applaudir, tandis que le directeur s'approche de toi avec une améthyste brute qu'il met autour de ton cou.
"Bienvenue à Strixyst !"
⇢ Te voilà validé, tu peux désormais poster dans tous les recoins du forum, RP-Post ainsi que RPCB.
⇢ N'hésite pas à voir la chambre qui t'a été attribuée.
⇢ Si ton personnage est en cursus universitaire, il peut postuler pour avoir un job d'étudiant.