Physique
Vous l'aurez remarquer, Polnareff est un homme d'un stature assez imposante. Mesurant dans les 1m85 -quand ses cheveux ne sont pas comptés dans la mesure-, le français possède des épaules larges, souvent dénudées par des manches courtes. Un torse parfaitement dessiné, une musculature sur laquelle il est facile d'y laisser glisser son regard, en bref, pourrait presque avoir l'air taillé dans le marbre. Le français et albinos et sa peau très claire, rougie facilement sous le soleil. Ses taches de rousseurs viennent alors se montrer, on les voit alors beaucoup en été, parsemées ça et la sur son corps et son visage.
Il ne possède aucun tatouages, mais il est parfois possible de le voir arborer un piercing au nombril. Ses oreilles quand à elles, sont percées et il arbore deux boucles formant une moitié de cœur chacune, le plus souvent rouge, il possède également une paire dorée, pour les grandes occasions.
Notons également qu'il a quelques cicatrices légères sur sa cuisse gauche.

Sa tignasse blonde est le plus souvent remontée de façon extravagante, souvent jugée ridicule, mais qu'il aime porter cependant. Quand il ne possède pas cette coiffure d'un autre monde, ses cheveux retombent sur ses épaules et quelques mèches chatouillent ses joues.

Pour ce qui est du style vestimentaire, il va des couleurs les plus sobres au plus flash' il est totalement capable de porter des crop-top rose, mais pas n'importe ou, ne soyons pas trop fou. Le plus souvent, ses fringues sont proche du corps, car moyennement adaptées à sa carrure.

Caractère
Cet homme est un vrai fou....de câlins. Non sans rire, le français est quelqu'un de très enjoué et facilement tactile. Il cache rarement certaines de ses émotions, il n'est pas rare de le voir rire pour pas grand chose et c'est naturel de le voir pleurer quand il va mal.

Pour une première impression, certains vous diront qu'il à l'air de se donner des airs de gros dur, d'autre, vous ferons savoir qu'il n'a pas l'air d'avoir la lumière à tout les étages, comprenez par là, un sous entendu compte tenu du fait qu'il n'est pas très intelligent. Alors, oui et non. Polnareff peut être doué si il s'en donne les moyens, pour peu que le sujet l'intéresse, sinon, il va vite s'ennuyer et ne va pas chercher à comprendre, c'est pour cela qu'il n'est pas futé sur certains points, c'est de la grosse inattention en somme.

En réalité, c'est un gros nounours, qui a le cœur sur la main. Prêt à aider les personnes auxquelles il tien quoi qu'il lui en coûte, il faudra le freiner un peu, pour qu'il ne fonce pas tête baissée dans des situations qui ne lui porterait pas que des bonnes choses. Il est plaisantin et aime profiter de moments simples entre amis, d'une balade, d'une discussion autour d'un verre, des choses comme ça.
C'est un amoureux des musiques des années 80/90, si vous commencez à lui en parler, il aura des paillettes dans les yeux et ira vous pousser la chansonnette, pour le "bonheur" de vos oreilles. Il fait exprès de chanter faux en vérité, il est trop timide pour chanter correctement.

Bien qu'il arbore presque tout le temps un sourire sur ses lèvres, Polnareff souffre d'un manque de confiance en lui qu'il préfère taire. Quand quelle chose ne va pas, il va emmagasiner ses émotions négatives un bon moment avant de finir par "exploser" et pleurer comme un bébé en exposant ses quatre vérités. Enfin ça, il ne le fait que devant ses amis proche, faut pas déconner. Si ça ne va pas avec une personne qu'il ne connait que très peu, il lui dira d'aller voir ailleurs avant de partir, feignant l'ignorance.

L'argenté vit constamment avec un sentiment d'insécurité, il a tout simplement peur de finir sa vie seul, sans amis ni proches.
Si il joue souvent les Don Juan, de façon peut sérieuse, c'est simplement pour cacher le fait qu'il a peur de passer à coté de la personne qui pourrait partager sa vie. Donc cela lui vaut de nombreuses peines de cœur. Cependant, il n'en parlera pas.

Histoire
Il est né le divin enfant ♪ Ha non, pas celui là, l'autre, celui né ce 18 décembre de l'an 1999. Notre cher petit lorrain, l'aîné de la famille.

Son enfance était simple, dans un petit coin de ville tranquille. Il était mignon, le petit albinos touts débraillé et décoiffé, qui arborait son plus beau sourire avec ses petites dents de lapin. Un peu actif, mais adorable.
Deux années plus tard, Polnareff eut une petite sœur, du nom de Sherry. C'était sa petite étoile, il était ce grand frère protecteur.
A savoir, que le français est né d'une famille moldue et il était le seul, à avoir cette magie qui sommeillait en lui. Dès qu'il l'a découvert, il en a parler à ses parents, mais ces derniers prenaient cela à la rigolade, les jeux innocent d'un enfant très imaginatif.
Sa sœur le croyait et elle, attendait que se réveille la magie chez elle également. Cela, n'arrivera jamais...

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C'était un jour de pluie. Les deux jeunes, alors âgés de 10 et 8 ans à l'époque, jouaient dehors. Sherry était la princesse en détresse et Polnareff, le chevalier qui viendra la sauver! Enfin, en jouant, c'est plus facile, mais cela se passa différemment.
Alors que la pluie se faisait trop forte, les frères et sœurs décidèrent de rentrer chez eux, cependant, le manque de visibilité dû au temps, fit venir la catastrophe. Une voiture qui passe, la détresse du jeune français, quelque chose d'incompréhensible, de non naturel et tout part en vrac.
D'après le rapport, la foudre c'est abattu sur la voiture qui a perdu le contrôle et renversé Sherry, mais cela ne s'était pas passé comme ça, c'est ce que Jean-Pierre voulait expliquer encore et encore, en vain.
Le véhicule était passé à toute vitesse et avait renversé sa sœur, il ne comprenait pas pourquoi on parlait de foudre à ce moment là, il ne voulait pas le comprendre même.
En réalité, c'est à cause de ses émotions trop intense que Jean-Pierre a perturber les éléments qui tombaient ce jour là et la foudre était de son fait, mais ça, il ne savait pas l'expliquer.
Tout c'est passé très vite et les images de cet accident, le jeune français ne s'en rappel pas très bien en vérité, il c'est surtout mis une barrière, il ne veut pas s'en souvenir.

Leurs parents avaient été appeler sur les lieux, Polnareff se souvient de son père courir vers sa Sherry qui se trouvait au sol et de sa mère qui pleurait en le serrant dans ses bras.

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Les deux jours qui ont suivi l'accident étaient assez flou. Entre rendez-vous ici et là, ils ont fini par être contacté par une société, qui était apparemment au courant de la situation du garçon.
Le jeune français c'était retrouvé à l'orphelinat des nés-moldus, car ses pouvoirs se sont manifesté trop dangereusement le jour de l'accident. Sa magie était une chose qu'il ne contrôlait pas et il allait devoir apprendre.
Par l’intermédiaire d'un des salariés Speedwagon, il avait des nouvelles de sa mère, désormais seule, son père avait quitté la famille pour une raison qu'on ne lui avait pas expliqué.
Bien entendu, toute cette histoire de magie a été effacée des mémoires. Pour sa mère, il était dans un centre qui lui permettrait de surmonter la perte de sa sœur et lui apprendre à gérer ses émotions. Disons qu'il y a du vrai dans ce mensonge.
Pour protéger sa famille, il a préféré ne plus leur reparler de sa magie au final. De toute façon, il n'était plus qu'en contact avec sa mère désormais. Son père a coupé les ponts.

C'est en ce lieux qu'il fit la rencontre de Kakyoin Noriaki, avec qui il se lia d'amitié. Ils avaient un peu la relation du je t'aime moi non plus que peuvent avoir certains frangins, c'était amusant à voir.
C'est en ces lieux qu'ils se sont fait une promesse, rejoindre tout deux l'école d'Ilukaan.

Oh, Jean-Pierre aurait pu choisir de se rendre à Beauxbâtons, mais il préférait suivre sa route. Pour sa mère, il suivait des études dans une école réputée à l'étranger, c'est ce qu'il lui dit toujours aujourd'hui, quand il va lui rendre visite ou lui donne de ses nouvelles. Elle a toujours été un bon soutien pour son fils.

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Alors qu'il était encore jeune, sa mère et lui sont allé en Egypte pendant ses vacances, il y a rencontré monsieur Joseph Joestar, qu'il a été étonné de revoir plus tard à Ilukaan.


Les années ont passés et notre cher Lorrain c'est fait de nouveaux amis, il a retrouvé Kakyoin et rencontrer Kujo Jotaro, avec lequel il ne s'entendait pas spécialement au début, mais a finir par se connaître, le choses avaient changé.

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Pour ses 20 ans, Polnareff est allé de nouveau en Egypte, seul cette fois, pour revoir un peu du pays. Il y rencontra Mohammed Avdol, alors qu'il c'était perdu dans une ville pendant son mini road trip. Il a eu le coup de foudre pour cet homme au parfum sucré, semblable au miel, mais il ne l'a jamais dit à personne, ni à l'intéressé qu'il avait revu quelques fois, avant de quitter l'Egypte pour reprendre ses cours. Les vacances ne sont pas infinies.

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A présent, Jean-Pierre Polnareff, suit sa scolarité, dans le cursus Sports & Jeux Magiques, filières dans lesquelles il souhaite travailler et pour cela, il s'en donne les moyens, car il excellent dans les matières demandées, les autres, il en fait un peu moins, au grand damn de certains professeurs.