ILUKAAN est un forum MULTIFANDOM dans l'univers d'Harry Potter. Ilukaan est une école de magie internationale se situant en Nouvelle-Écosse au Canada. L'histoire se déroule en 2024, mélangeant magie et technologie. Vous pouvez jouer des personnages de manga/anime, jeux vidéos, films d'animation, dessins animés, romans jeunesse ou encore un OC. L'intrigue se fait à la fois en RPCB et RP-POST.
3211 pts
575 pts
2683 pts
1396 pts
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.
ϟ Malle : Philtre d'amour, Elexir du Gnome, Larme d'hermaphordite, Échangeur de corps
ϟ Autres comptes : ︎ Karkat Vantas
︎ Nagito Komaeda
︎ Cléonos de Pitéras
︎ Goultard Barbaren
︎ Stolas Goetia
︎ Tatsuo A. Hijikata
Sujet: "MIRACLES ARE LIKE POOP STAINS ON GOD'S UNDERWEAR." | Karkat Vantas Mar 29 Mai 2018 - 2:02
Karkat Vantas
Homestuck
Identité
Vantas Karkat (Karkitty, Beepbeep Meow...) 22 ans Américain Anglais 4 juillet 2002, Texas, Rockwall Yeux noirs, cheveux noirs 1m69, 58kg
Who am I...?
Karkat est un sorcier né-moldu appartenant à la maison Cervirald et en 12ème. Il suit le cursus Communication et Littérature Sorcière. Il ne possède aucun don. Il n'occupe aucun poste.
Sa baguette est faite de bois de Cèdre, avec un cœur en moustache de troll, d'une longueur de 25cm, souple. Son animal de compagnie est une petite grenouille noire, nommée Histrelin.
Son patronus est un crabe. L'odeur de son Amortentia est composé de vieux papier, d'iode et de pop corn. Son reflet dans le miroir du Riséd est un roman signé à son nom dans les bras, aux côtés de la personne aimée. Son Épouvantard prend la forme d'une flaque de sang.
Il a sa demie-soeur, Meulin, sa demie-soeur Nepeta et son grand frère Kankri présents à Ilukaan. Sa matière favorite est la Littérature Sorcière et la matière qu'il aime le moins est la Botanique.
Derrière l'écran Pseudo & pronoms : TegaSouhaites-tu être parrainée ? NonAvatar : YummytomatoesCode du règlement : XComment as-tu trouvé le forum : J'ai craché dessus, maintenant il m'appartient.Un petit mot ? Karkat n'est pas mort.
headcanons
Il déteste les personnes trop heureuses, du moins, au premier abord • Il a un avis sur absolument tout • Il aimerait devenir écrivain • Il a un crabe nommé Avastin chez son père • Il peut se plaindre de tout. Il peut se plaindre des cours, de la météo et de ta mère • Il n'a jamais assez de place pour ranger ses films et ses livres • Il refuse catégoriquement de voir des films ou de lire en streaming de façon illégale • Sa voix cassée est le mélange malheureux entre une chèvre et une porte qui grince. • I lit les passages intenses de ses livres à voix haute sans s'en rendre compte parfois • Il aime se croire spécialiste en romance, et donne en vérité de bons conseils • Il écrit des fanfictions et des fictions, mais jamais en utilisant des personnes réelles • Il vous insulte mais il est inquiet pour vous. • Il est très câlins mais ne l'avouera jamais, sauf si vous êtes son ami • Il ne sait pas s'asseoir correctement sur un canapé, il feule, se met en boule: c'est un chaton qui griffe.
« THEY CAN SENSE HOW SMALL AND PITIFUL I FEEL. I UNDERSTAND THAT, AND IT JUST MAKES ME FURIOUS. »
« how would you even kiss karkat, he is so... petite » — Dave Strider en gay panic
Karkat Vantas ressemble à l’allégorie même d’un fond de café dans une tasse abimée. Tout son être, son apparence, dégage ce sentiment de liquide imparfait et fort où les grains de la boisson se sont entassée. Une tâche marronne dans une tasse trop grande pour elle, une peau brune impure cachée par des vêtements trop grands. Sa garde-robe, si on oublie ses jeans et ses baskets, est composée uniquement de tissus informes, faits pour cacher sa silhouette fine qu’il déteste. Ses bras sont maigres, son torse est plat et sans muscle, alors que son ventre, lui, arbore honteusement un tout petit peu de gras. Les jours de cours, il porte l’uniforme obligatoire, qu’il néglige sans vergogne. Ses bretelles finissent toujours par tomber, mal retenues par ses fines épaules : il ne se dérange pas pour les remettre. A la place, il profite de la cape, qu’il s’agisse de celle d’été ou d’hivers afin de s’engloutir dedans comme à son habitude.
Son apparence suggère deux expressions uniquement : la fatigue, et la colère. Le dos courbé et la posture avachie, il regarde autour de lui avec des yeux blasés, cernés d’immense courbes noires et creusées. Ses soupirs sont réguliers, suggérant la fatigue, et pourtant, il y a toujours un peu d’énergie dans ce garçon. Ses sourcils sont au naturel froncés, le haut de son nez déjà ridé malgré son jeune âge, affichant un air grognon et énervé qui le suit partout dans son quotidien, même lorsqu’il est heureux.
Souillon est un mot plus qu’adapté pour le décrire. Karkat Vantas ne prend pas soin de lui, et ceci se remarque. Le vernis noir qu’il utilise sur ses ongles pour ne pas se les ronger ne fonctionne apparemment pas beaucoup, la coloration constamment abîmée et dégradée, preuve d’une anxiété certaine qui l’abime et le dégrade lui aussi. Ses cheveux courts mais épais, constamment en bataille, ne sont jamais coiffés, changeant presque de forme chaque jour. Il garde un semblant de frange, de quoi cacher son front seulement, pas plus.
On peut le dire, Karkat Vantas n’est pas très beau, ni très élégant. Pourtant, si on l’observe un certain temps, et qu’on apprend à le connaître, un certain charme se dévoile. Une façon qu’il a de bouger ses lèvres quand il est agacé, un petit sourire lié à un soufflement de nez, une petite lueur dans ses yeux : petit à petit, le chat sale et sauvage devient le chat de compagnie apprivoisé, celui que l’on apprécie prendre dans ses bras, celui qu’on trouve adorable malgré tous ses défauts. On ne remarque plus ses grands cernes, mais ses grands yeux, et le charisme l’emporte sur l’absence de beauté conventionnelle. Il est peut-être un fond de café dans une tasse abimée, mais ce fond de café sera celui qui te portera toute la journée.
« Karkat est une personne colérique, impétueuse et impolie, qui fonce la tête baissée dans toutes les disputes pour pouvoir crier plus fort que les autres. »
Il serait si simple de pouvoir décrire Karkat en cette seule phrase, mais il ne s’agirait pas d’une bonne description. Réductrice, oui, mais aussi fausse. Tout au plus, cette ouverture pourrait simplement décrire une surface, un caractère vu par des personnes extérieures et peu observatrices.
Oui, Karkat est une personne colérique, ceci est évidemment indéniable. Il ne passe pas un jour sans que ses hurlements retentissent dans la pauvre école d’Ilukaan : dans le dôme, dans les dortoirs, dans le réfectoire, dans les couloirs et les salles de classe, l’écho de sa voix traverse les mètres, si bien que les élèves des pièces alentours peuvent l’entendre. Il est très facile de lui taper sur les nerfs. Il suffit d’être idiot, ou bien de ne pas être d’accord avec lui, ce qui à ses yeux revient à la même chose. Il serait cependant incroyablement simplet de réduire ses haussements de ton à de la simple colère.
Karkat est quelqu’un de passionné. Par quoi ? La réponse est : par tout. Le garçon fait attention à tout, se sent concerné par tout, responsable de tout. Il n’y a pas un seul élément de la vie pour lequel Karkat ne possède pas d’opinion, et chaque sujet de conversation le fera partir dans des discours ou des conversations longues et éprouvantes, un trait de personnalité qui peut s’avérer frustrant comme intéressant en fonction du sujet ou bien de son interlocuteur. Il est en effet impoli : cette partie-là n’était pas fausse. En fonction de son humeur, un simple « merde » peut devenir une création artistique d’une dizaine de phrase, incroyablement graphique, et définitivement peu recommandée pour les enfants. Il arrive donc que parfois, la passion et l’amour de Karkat soit malheureusement traduite par de la haine et du sarcasme.
Karkat ne manque pas de ces deux traits de caractère non plus. Il peut lui arriver d’être dur parfois, sans le réaliser. Bien que prêt à tout pour traiter tout le monde en tant qu’égal, il est pourtant le premier à employer des mots blessants sur le coup de la colère : le clair signe d’un sang chaud prêt à exploser, d’une manie à foncer la tête baissée. C’est ce que l’on pourrait croire. A vrai dire, Karkat n’est pas si impulsif que ceci : il est d’ailleurs bien plus réfléchi que la majorité que ses amis. Il ne considère pas ses insultes comme des mots qu’il ne maîtrise pas, qui sortent tout seuls : ceux si sont en vérité maîtrisés, partie intégrante de la façade de dur qu’il apprécie se donner. Car derrière la surface d’un caractère fort se trouve simplement un garçon responsable.
Les responsabilités de Karkat sont ses raisons de vivre, ses raisons de continuer. Sans liste de chose à faire, Karkat ne peut pas fonctionner : qu’il s’agisse d’un devoir, d’une conversation à avoir, d’un ami à aider ou d’un futur à accomplir, Karkat reste terre à terre et prévoyant. Il est plus organisé que bordélique malgré son apparence peu entretenue, et bien qu’il ne fait pas forcément les choses par plaisirs, celles-ci seront faites, par obligation morale ou extérieure. Il ne fait d’ailleurs jamais les choses à moitié, à part par impatience parfois, quand d’autres choses plus importantes à ses yeux ont besoin d’être faites.
Parmi les choses importantes à ses yeux sont ses amis, ses romances, et la façon dont ces dernières le voit. Pour Karkat, les liens sociaux font tout : il se réveille en pensant à la relation entre deux de ses potes, déjeune en envisageant une conversation avec ses proches, écrit ses cours en rêvassant de son cursh du moment, va se coucher en imaginant les scénarios palpitant qui pourraient rapprocher les deux personnages d’un film ou d’une série télévisée. Tout le monde connait Karkat Vantas, Karkat Vantas connait tout le monde, et rien de tout ceci n’est due au hasard : le né-moldu fait beaucoup d’effort afin de maintenir son cercle en place, et si celui-ci s’écroule, alors Karkat Vantas s’écroule avec.
« YOU DON’T GET THAT I AM BETTER AND SMARTER THAN YOU IN EVERY WAY, FOREVER.» — Karkat Vantas
Karkat ne se rappelle pas vraiment du divorce de ses parents. Certains aiment dire que la mémoire ne fonctionne à long terme qu’à partir de sept ans. C’est une information fausse, car quelques souvenirs d’une famille unie lui reviennent à l’esprit parfois. Pas les plus agréables. Rien de dramatique, mais quelques disputes parfois verbalement violentes. Son père lui dit parfois que son premier mot est « Fuck ». Karkat ne sait pas vraiment si c’est vrai ou non, mais cette information ne l’étonne pas réellement : sa mère, bien qu’orthodoxe pratiquante et croyante, avait toujours eu la fâcheuse tendance à s’énerver contre les mauvais conducteurs et les ustensiles de maison de façon particulièrement bruyante et impolie. Encore aujourd’hui, quand Karkat la visite, elle prouve mainte et mainte fois que cette habitude ne lui ait jamais passé.
Le divorce, en revanche ? Rien. Le vide total de souvenir. Karkat, cinq ans, se rappelle simplement vivre dans une petite maison aux États-Unis, puis le décor change, et devient une petite maison au Canada, perdue au beau milieu de la longue rue déserte de Grub Road reliant Moncton et Saint-John. C’est éloigné de tout, et ce n’est pas très amusant. Karkat n’arrive pas vraiment à comprendre pourquoi ils ont quitté leur mère pour ce pauvre petit patelin paumé. Désormais, avec le recul, il comprend pourquoi. Son père, prêtre orthodoxe marié, n’avait pas réussi à ignorer pour toujours les défauts de sa femme. Ils s’aimaient, mais leurs opinions sur les choses étaient différentes, les conflits devenaient quotidiens. Soucieux d’ouvrir les bras de sa religion à tous et d’accueillir chacun en tant qu’égal, Monsieur Vantas n’avait tenu que six ans auprès d’une femme conservatrice, homophobe, xénophobe, et peu ouverte d’esprit. Il avait fui son mariage pour le Canada, qu’il pensait plus accueillant, et il n’était plus jamais retourné en arrière.
Bien qu’ayant découvert assez tôt sa bisexualité, Karkat n’a jamais réussi à en vouloir à sa mère : son éducation lui avait forgé une haine de l’inconnu très forte, et il savait que même si elle ne pouvait répondre à un possible coming out de façon négative, elle le ferait par amour, dans l’idée de protéger ses enfants de l’enfer qui les attendaient en allant ainsi « à l’encontre des consignes de Dieu ». Il était désagréable de ne rien pouvoir confier à sa propre génitrice, mais tout était plus simple comme ça : ils n’avaient pas à se disputer, et elle n’avait pas à avoir stupidement peur à cause de l’enseignement idiot qu’on lui avait gravé à l’esprit.
Le changement de décors, d’environnement et de contact ne bouleverse pas autant sa vie que sa rencontre avec la famille Leijon. Une mère et ses deux filles, toutes deux aussi âgées que lui et son propre grand frère. Le courant passe entre son père et cette paroissienne régulière. Il est interdit pour un prêtre d’épouser une femme après son ascension, et Monsieur Vantas a déjà raté sa chance avec la mère de Karkat. La relation entre lui et Mademoiselle Leijon se fait alors de façon discrète, jusqu’à l’emménagement d’elle et ses filles dans la petite demeure de Karkat. Trois présences féminines et leurs trois chats s’installent alors dans sa petite vie tranquille. Puis la nouvelle tombe quand la plus grand des sœurs, Meulin, ne peut plus retenir sa magie : les Leijons sont des sorcières.
La nouvelle chamboule la maisonnée. Tout ce que Karkat pensait être de la fantaisie de film, on lui apprend qu’il s’agit d’une réalité. Les sorciers existent, et les Vantas sont ce que l’on appelle des « moldus », du moins, pour quelques temps. Quand Kankri, son grand frère, suit la voie de Meulin et montre des signes magiques, il est alors appelé « Sorcier né-moldu » par les filles de la maison, « un miracle » par le père de Karkat. Monsieur Vantas voit la nouvelle comme un signe de Dieu : il n’est pas seulement question d’ouvrir les bras à toutes les nationalités et les sexualités, à toutes les personnes un minimum marginalisées, non : il est aussi question d’unir les sorciers et les non-mages sous la bénédiction de Dieu.
Honnêtement : « Karkat s’en branle ».
Karkat croit en Dieu, mais Karkat pensais aussi que Dieu avait autre chose à foutre que d’envoyer des pouvoirs magiques à son frère afin de faire du père un prophète. Et pourtant, la réalité avait décidé de lui prouver tort. C’est à l’âge de dix ans que Karkat se met à éteindre les lumières de sa maison dès qu’il se blesse, faisant casser les ampoules avec fracas, sa magie répondant à sa peur du sang et à ses émotions. C’est certain : les deux frères Vantas sont un cas extrêmement rare de multiples né-moldus présents dans la même famille. Quelque chose qui n’arrive presque jamais : de quoi convaincre le père que Dieu souhaite réellement communiquer avec lui.
Karkat est loin d’être réjoui de la nouvelle. Son destin idéal aurait été de rester parmi les non-mage pour vivre une vie simple, relaxante, mais ceci est désormais impossible. Heureusement pour lui, l’année suivante lui apporte une nouvelle école, Ilukaan, où vont ses sœurs et son frère – Il rejoint d’ailleurs Meulin chez les Cerviralds. A ceci s’ajoute une toute nouvelle bibliothèque de films, de livres et de médias variés, qui lui avait été cachée toute sa vie, à lui qui était moldu. Ce sont ces avantages qui permettent à Karkat de mieux s’intégrer, et de mieux supporter ce changement d’environnement soudain. Il refuse cependant, inconsciemment, de se voir comme un sorcier, se sentant plus proche de son enfance non-mage, peut être effrayé de ne pas être assez bon. Sa magie en pâti énormément, et Karkat se retrouve toujours avec au minimum un an de retard dans ses études. Il apprend à devenir doué dans seulement quelques domaines : la langue des signes, après l’accident de sa sœur Meulin, la littérature sorcière et la divination, cette dernière matière convenant parfaitement à sa tendance à regarder vers le futur et non le passé.
Cette histoire finalement close, il ne reste plus qu’à se concentrer sur la suite de l’histoire.
Karkat Vantas ===== > Réussi tes études à Ilukaan.
(c) Ilukaan
Vincent Leroy
Ex-Directeur
Image du profil :
Comment appelle-t-on un chat qui chante?
Chat-kira.
ϟ Baguette : Vigne, coeur en plume d'oiseau tonnerre, 30,45 centimètres. Avec un joli strap dessus.
Sujet: Re: "MIRACLES ARE LIKE POOP STAINS ON GOD'S UNDERWEAR." | Karkat Vantas Mar 29 Mai 2018 - 2:32
Message du staff
Validation
Accompagné par d'autres nouveaux élèves, tu es appelé(e) par le directeur à t'avancer au centre du Dôme. Scruté par les élèves et étudiants, tu regardes alors ton reflet dans la fontaine qui va décider de ton sort. D'abord voyant ta sale tête dans l'eau, tu remarque que le reflet semble se changer peu à peu jusqu'à prendre la forme d'un caribou. Tu es d'autant plus surpris quand l'animal commence à pousser un cri dans toute la salle. Tout le monde se met soudainement à t'applaudir, tandis que le directeur s'approche de toi avec une émeraude brute qu'il met autour de ton cou. "Bienvenu à Cervirald !"
—> Te voilà validé(e), tu peux désormais poster dans tous les recoins du forum, RP-Post ainsi que RPCB. —> N'hésite pas à voir la chambre qui t'a été attribuée. —> Si ton personnage est en cursus universitaire, il peut postuler pour avoir un job d'étudiant. —> Crée dès maintenant un topic pour récapituler les relations de ton personnage. Tu peux également acquérir un portable ou bien créer un blog. —> N'hésite pas à faire une demande de RP pour trouver un partenaire d'écriture ! —> Enfin, amuse-toi bien sur le forum, n'hésite pas à en parler autour de toi et à voter régulièrement aux TS !
welcome!
Ab origine fidelis, ex fortitudine scientia.
Invité
Invité
Sujet: Re: "MIRACLES ARE LIKE POOP STAINS ON GOD'S UNDERWEAR." | Karkat Vantas Dim 30 Aoû 2020 - 1:17
Bienvenue sur le Forum ! Bon courage pour ta fiche !
Contenu sponsorisé
Sujet: Re: "MIRACLES ARE LIKE POOP STAINS ON GOD'S UNDERWEAR." | Karkat Vantas