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You better wise up, 'cause I rise up. [Amaya Phay - Terminée] | Ying Wei Shitty flutter | Image du profil : Seeking both good and evil, observing the chaos of the world
I fought the Jianghu on my own
But I have not once betrayed my heart
Leading a carefree life, distancing from good and evil
ϟ Œuvre : Grandmaster of Demonic Cultivation
ϟ Parchemins : 128
ϟ Gallions : 700
ϟ Âge (RP) : 21 ans
ϟ Maison : Strixyst
ϟ Année scolaire : 11ème année
ϟ Don : Psychomètre
ϟ Baguette : Bois de santal, coeur de bi fang, 34cm, flexible
ϟ Cursus : Sciences Occultes
ϟ Malle : Son dizi, tu vas souffrir des oreilles
Son kazoo
Son otamatone
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| Sujet: You better wise up, 'cause I rise up. [Amaya Phay - Terminée] Jeu 14 Mai 2020 - 15:54 Amaya Phay
Le prince des dragons | | Identité | Phay Amaya 38 ans Cambodgienne Elle signe l'anglais, le cambodgien, le japonais, et l'américain 21 Août 1984, Oudong (Cambodge) Brune foncé aux yeux noirs 1m78, 80kg |
Who am I...? Amaya est une sorcière sang-mêlée. Elle ne possède aucun don. Elle occupe le poste de professeure de sortilèges.
Sa baguette est faite de Cèdre, avec un cœur en plume de phoenix, d'une longueur de 32cm, légèrement flexible. Elle n'a pas d'animal de compagnie.
Son patronus est un ours. L'odeur de son Amortentia est composé de biscuit à l’avoine et aux raisins secs,, cuir et de journal. Son reflet dans le miroir du Riséd est elle et sa soeur. Son Épouvantard prend la forme de ses neveux, tués par un dragon.
Elle a ses neveux présents à Ilukaan Derrière l'écran Pseudo & pronoms : Gaumar, elleSouhaites-tu être parrainé·e ? NonAvatar : Juh16_ sur instagramCode du règlement : NonComment as-tu trouvé le forum ? Il était référencéUn petit mot ? AESTHETIC CHEVALIER. headcanons Elle est sourde et muette — Elle sait parfaitement lire sur les lèvres — Pour assurer ses cours, elle utilise des gants traduisant la langue des signes avec une latence de trois secondes — Par reflex, elle a souhaité que les gants soient beiges clairs, pour que les élèves dans la même situation de handicap peuvent discerner ses mains— Bien entendu, elle pratique les sorts informulés — Elle adore les biscuits à l’avoine et aux raisins secs — Cependant, si elle les trouve mauvais, elle n’hésite pas à les jeter — A ce jour, une seule personne parvient à les cuisiner exactement comme elle les aime — Ironiquement, elle ne cuisine pas vraiment bien — Elle place le petit-déjeuner comme le plus important repas — Elle achète toujours un petit panier le matin pour la salle des profs, afin de s’assurer que ses collègues mangent — Elle emmène également des viennoiseries pour les élèves retardataires — Elle était sous-chef en Angleterre — A cette époque, pour son anniversaire, des volontaires de son équipe la confrontait pour un duel. S’ils gagnaient, ils étaient promus. Jamais personne n’a gagné. — Elle surprotège ses neveux — Elle adore les défis — Etant un peu vieux jeu, son portable n’est pas de la toute dernière génération, plutôt de la première — Elle collectionne les boucliers. Elle en a ramené un à Bloombury pour décorer sa chambre — Elle adore monter à cheval, elle aimerait en avoir un pour elle — Elle retourne de temps en temps au Cambodge pour voir ses parents et rendre visite à sa soeur — Elle est encore en très bon terme avec son beau-frère — Elle est très expressive et n’hésite pas à assumer ce qu’elle ressent ou pense. Parfois elle dit aussi ce que ressentent les autres, surtout quand ils sont dans le déni — Ce qu’elle connait du monde moldu, c’est grâce à Gren — Elle est tatouée, mais vous ne saurez ni quoi ni où — Lesbienne af. « She thinks I'm cute but doesn't want to admit it yet. » « Everyone wants to be on a winning team, but no one wants to come to practice. » — anon Quand on rencontre Amaya, on est rapidement fasciné sa morphologie en V arborant une carrure imposante aux épaules carrées. Généralement, personne ne remet en cause ses dires quand elle annonce pratiquer régulièrement des sports de combats pour entretenir correctement son corps. Lorsqu’on lui demande pourquoi elle s’entraîne autant, elle répond qu’elle en a besoin pour se prouver ce dont elle est capable, mais aussi pour prouver qu’elle est tout aussi douée que peut l’être un homme de son rang, si ce n’est plus. C’est un moyen d’avoir et de garder le respect des autres, surtout lorsqu’elle était avec les Aurors, elle le sait bien. Ainsi, son corps ne manque pas de masses musculaires, qu’elle montre sans problème lorsque les beaux jours arrivent. Elle aime montrer le prix de ses propres efforts, dans l’espoir de motiver les personnes souhaitant poursuivre le même chemin qu’elle, un moyen de dire « continuez, vous serez récompensée ». Cela dit, les cicatrices présentent un peu partout causées par ses anciens combats ont également de quoi effrayer. Amaya est également assez grande pour une Cambodgienne, 1m78 pour être plus exacte. Autant dire que durant ses études au Japon, il était impossible de la manquer. Aujourd’hui encore, il est difficile de confondre l’ancienne sous-chef avec une autre professeure d’Ilukaan.
La plus visible se trouve au niveau de son visage, le haut de sa pommette droite. C’est aussi parmi sa plus récente, apparu il y a maintenant de cela 6 ans, probablement la plus marquante pour Amaya. Son visage est assez fin, en forme triangulaire. Ses yeux sont noirs, un noir profond en amandes et rapprochés. Malgré qu’ils soient aussi foncé, il est facile de lire ses expressions et de comprendre quand quelque chose lui plait ou non. Son air quand elle juge, quand elle est heureuse, quand elle est émue, on le remarque car elle ne souhaite pas spécialement le cacher. Il est impératif qu’on la comprenne de toutes les manières possibles. Et si on lui lance un défi ? Le sourire en coin qui se forme sur ses lèvres parle de lui-même. Elles sont minces, assez petites, elles peuvent laisser aussi apparaître un air doux et bienveillant, qui indique qu’on peut lui faire confiance si on a besoin de lui parler. A côté de cela, ses sourcils sont épais, aussi noir que ses yeux. Elle ne s’en occupe pas vraiment, ce n’est pas du tout sa première préoccupation. Elle prend un peu plus de temps sur ses cheveux, car ils en ont besoin. Ils sont brun foncé et forment une sorte de dégradé : très courts sur le côté gauche, légèrement plus long jusqu’au côté droit qui termine par une mèche tombant sur son visage. Bien entendu, Amaya la coupe régulièrement pour qu’elle ne devienne pas gênante. Car oui, la Cambodgienne s’occupe elle-même de ses cheveux, elle sait parfaitement ce qu’elle veut et comment le faire. Certaine fois, la partie arrière lui donne du mal, mais cela devient de plus en plus rare qu’elle rate sa coupe. Et puis, ce n’est rien comparé à ce qu’elle économise chaque mois.
Concernant les petits détails, il faut savoir que la professeure est agile de ses mains. Ce n’est pas très étonnant cela dit. Sourde depuis son enfance, elle excelle en sortilèges informulés et réussi également des sorts simples sans baguette. Sa poigne est dure, vous allez le sentir passer si elle vous serre la main ou si elle vous fait un câlin. Si elle a également l’habitude de signer rapidement, elle fait attention à ralentir lorsqu’elle parle à une personne qui apprend la langue, pour ne pas la paniquer si elle ne comprend pas. Sachant lire sur les lèvres, elle n’a aucun problème à comprendre les personnes ne connaissant pas la langue des signes américain, mais elle est toujours ravie quand d’autres essayent et apprennent. Pour faciliter les cours, elle porte des gants traduisant sa langue, elle fait toujours attention à acheter ces derniers d’une couleur claire. C’est toujours plus simple ainsi. Elle fait de même avec les gants pour le froid.
Pour terminer, Amaya a un style vestimentaire très simple : les élèves peuvent régulièrement la voir dans une chemise blanche – ou bleu clair, une de ses couleurs préférées et un pantalon tailleur noir. Elle soigne un minimum son apparence de ce côté-là sans pour autant passer plus de temps que nécessaire tous les matins lorsqu’elle se réveille. En dehors des cours, elle porte des tenues plus décontractées, généralement des hauts avec des bretelles pour ne pas alourdir ses épaules. Elle possède également une petite collection de jean, principalement taille haute et des jeans « mom » qu’elle trouve totalement confortable. C’est lors des soirées qu’elle s’amuse un peu plus en dévoilant mieux son corps. Ne vous étonnez pas si vous la voyez arriver avec une combinaison possédant un décolleté devant ou derrière, laissant mieux apparaître sa peau brune. Cela dit, il est vraiment rare qu’elle porte ces types de tenues. Dans ce même esprit, il est rare qu’Amaya se maquille. Tout d’abord, car elle ne sait pas comment s’y prendre mais aussi car elle ne ressent pas le besoin d’en utiliser. Elle utilise une crème hydratante pour entretenir un minimum son visage et c’est tout. Amaya est une Queen. C’est à peu près tout ce qu’il y a à dire, merci.
Plus sérieusement, Amaya est une femme confiante, fière et sûre d’elle. Elle forge son caractère depuis des années, pour être un exemple auprès de ses proches et de ses élèves. C’est un point essentiel pour elle, elle sait qu’il est important pour certaines personnes d’avoir des exemples. Elle n’est pas irréprochable, loin de là, mais elle fait toujours de son mieux pour ne pas douter d’elle, ni de ses décisions. Elle se fie généralement à ses premières réflexions, car si c’est ce qui lui vient en premier en tête, c’est ce qu’il y a de plus sûr à faire pour elle. Attention, cela ne veut pas dire que les solutions qui lui viennent d’abord sont de foncer dans le tas puis réfléchir ensuite. Non. Certainement pas. Pas tout le temps, en tout cas. Elle fait simplement confiance à son intuition, doublé de sa capacité à analyser rapidement une situation. Bon, cela dit, cela arrive surtout dans les moments où il faut rapidement réfléchir pour établir le meilleur plan. Dans les moments plus calmes, elle prend plus le temps de tout voir exactement en détail ce qui est possible de faire.
C’est une professeure stricte et sérieuse, Amaya. Pendant ses cours, elle ne plaisante pas. Ce n’est pas l’armée non plus, mais elle s’assure que tous ses élèves soient attentifs, même ceux du fond qui essayent de se cacher pour dormir. Elle n’accepte pas ce genre de comportement, qu’elle trouve tout d’abord irrespectueux, mais qui peut également porter préjudice à la personne pour son futur. Elle est comme ça Amaya, elle pense aux autres. Mais bien entendu, cela peut déplaire aux élèves, d’être surveillés à ce point, elle se doute que certains ne l’aiment pas, mais tant pis. Elle fait ce qu’il y a de bien pour eux. Les cours de sortilèges permettent aux élèves de gérer leurs magies, elle ne peut pas se permettre de les laisser se décrocher sans rien faire. C’est impossible pour elle. Alors elle donne de nombreux devoirs, des exercices en cours également. Elle fait beaucoup de pratique, même si elle considère la théorie importante, il faut aussi vérifier que les élèves sachent ce qu’ils font en lançant un sort. Elle est capable de refaire lancer le même sort à un étudiant plusieurs fois d’affilés jusqu’à ce qu’il réussisse à la perfection. Elle est dure, elle est perfectionniste pour elle et pour les autres.
Il faut dire qu’elle ne supporte pas l’échec, Amaya. Quand elle ne réussit pas ce qu’elle entreprend, ça se lit directement sur son visage. Elle prend un air renfrogné, elle réfléchit sur ce qu’elle n’a pas su faire pendant plusieurs heures, plusieurs jours, juste pour savoir ce qui aurait été mieux de faire. Après tout, elle ne doit pas recommencer les mêmes erreurs. Alors elle se triture l’esprit, elle demande aussi des conseils – même si elle n’aime pas perdre, même si elle a une grande fierté, elle sait que les autres peuvent avoir une vision qui peuvent la débloquer. Bref, la défaite peut laisser un goût amer pendant plus de temps que nécessaire. Même quand elle joue au monopoly, oui. Elle est mauvaise joueuse, ça va avec.
Si la première impression est importante pour Amaya, elle peut changer d’avis sur vous à n’importe quel moment, suivant vos gestes. Même si elle vous aime bien au début, si vous commencez à avoir des agissements qu’elle n’approuve pas, comptez sur elle pour vous le dire. Si vous continuez sur cette voie, son opinion pour vous changera du tout au tout. Pour autant, elle reste respectueuse de la personne. Même si votre avis ne lui plait pas, elle argumentera sans s’énerver, simplement elle sera plus sèche et se méfiera de vous. Bon, il se peut également qu’elle puisse se laisser aller à un langage plus grossier – que Gren refuse de traduire correctement mais heureusement qu’elle a ses gants. Oh oui, Amaya n’a pas les mains dans ses poches, elle ne mâche pas ses mots quand c’est nécessaire ou qu’elle en a juste envie face à une personne qu’elle n’apprécie pas. Elle fait plus d’efforts si elle est avec l’un de ses proches, mais elle continue de dire quand elle désapprouve un choix. Elle a du franc parler, ce qui fait qu’elle est parfois un peu trop direct en ce qui concerne ses sentiments, ou bien ceux des autres. Elle est observatrice, elle arrive régulièrement à comprendre ce que ressentent les personnes autour d’elle.
Surtout qu’elle est parfois difficile, Amaya. Ou du moins, il est difficile de lui faire changer d’avis. Même si on lui montre plusieurs preuves que son point de vue est incorrect, elle doit être à la place de la personne, ou dans cette situation pour éventuellement se rendre compte qu’elle a tort. Ça arrive, c’est rare, mais ça arrive. Des témoins peuvent l’affirmer. C’est le contrecoup de sa fierté et de sa sûreté, de vouloir trop rester aux premiers abords. Mais bon, même si ça peut lui prendre plus ou moins du temps, elle n’est pas totalement fermée d’esprit et d’accepter ce qu’elle ne voulait pas approuver au début, surtout si ça fait le bonheur de ses proches. Après tout, elle se veut juste, le plus juste possible. Elle doit désormais accepter que cela passe aussi par des remises en questions, de temps en temps.
Car elle a un cœur d’or, Amaya. Elle pense aux autres, elle pense à leur bonheur, elle accepte beaucoup de choses dans ce sens. Elle tend la main pour aider quand les personnes en ont besoin. Elle protège ceux qu’elle aime, ceux qu’elle rencontre, elle ne fait aucune distinction là-dessus. Si elle peut aider car elle sent que c’est le plus juste à faire, elle le fait. Elle ne laisse tomber personne. Amaya, c’est une personne loyale, sur qui on peut toujours compter. Elle n’abandonne pas, jamais. C’est une personne qui apprécie l’humain, quoi qu’il arrive. Pour les autres, elle fait beaucoup, parfois plus que nécessaire. Mais on ne l’arrête pas quand elle a des idées en tête. Comment lui en vouloir, après tout ? Elle fait attention à son entourage, elle retient le nom de ses élèves le plus tôt possible quand elle les rencontre pour ne confondre personne, elle ne les blâme pas, ne les humilie pas quand ils n’arrivent pas à réussir un sort. Elle les fait répéter, oui, mais en les encourageants quoi qu’il arrive. Amaya, elle veut faire ressortir le meilleur de vous. Elle veut que vous soyez fier de vos progrès, de ce que vous êtes.
C’est qu’elle est attentionnée, Amaya. Oui, elle réveille les personnes du fond de la classe, mais pour les retardataires, ceux qui ne prennent pas le temps de manger le matin, ses collègues qui ne pensent même pas à se faire un café… Amaya elle y pense et elle y prépare. Elle pense à chercher deux panières complètes de viennoiseries, un pour la salle des professeurs, avec des thermos de cafés de thés et un pour ses élèves de première heure. Tout le monde doit être en forme pour commencer la journée ! Elle fait aussi attention à l’état de ses proches, de sa famille, des personnes qu’elle voit souvent. Elle comprend les sentiments des autres, ne cherchent pas à les faire taire. Pas de « ne pleure pas » avec elle. Au contraire, elle encourage à laisser parler ce que vous ressentez, car c’est important. Elle n’est pas toujours la meilleure pour les conseils, mais elle sait prendre son temps pour vous. Elle vous réconforte, elle vous prend dans ses bras. Ah ça, Amaya aime faire des câlins. Bon, pas à tout le monde non plus. Sa famille, principalement. Elle en fait qui se veulent sincère, heureux, chaleureux. C’est comme cela qu’elle se sent en général, avec un sourire sur ses lèvres qui ne trompe pas sur son humeur. Cependant, elle ne mesure pas sa force si elle se laisse aller. Alors parfois, il se peut que vos côtes soient légèrement écrasées, mais c’est toujours avec amour, promis. « She wasn't looking for a knight, she was looking for a sword.» — atticus Amaya est née le 21 août 1984 à Oudong, au Cambodge de deux parents sangs-mêlés. Elle est la cadette de la famille, ayant une grande sœur de deux ans son aînée, Sarai. Sa vie là-bas est modeste, sa famille possédant ce qu’il suffit pour vivre sans excès. Elle n’a pas beaucoup de souvenirs de son enfance au Cambodge, même pas de tous les examens qu’elle a passés pour confirmer sa surdité. A la suite de différents symptômes, comme le manque de réaction face aux bruits et une famille maternelle comprenant des nombreux cas de surdités de perception, il fallait vérifier si Amaya a aussi ce handicap, ce qui se confirme après le résultat du diagnostic. La famille s’adapte, même si l’apprentissage de la langue des signes Cambodgienne s’avère plus laborieux qu’autre chose à cause du manque d’aide de l’état sur cette situation de handicap à l’époque. Une association de la ville vient finalement en aide à la famille pour qu’ils apprennent tous à communiquer ensemble, montrant également à Amaya comment lire sur les lèvres. A côté de cela, lorsqu’elle est chez ses grands-parents maternels d’origines Japonaises, elle apprend cette version de la langue des signes, pour parler avec son grand-père mais également pour son avenir dans sa future école. Jusqu’à ses 7 ans, elle continue de travailler ces deux langues, pour que ses gestes soient fluides et qu’elle ne se trompe plus.
Au même moment, ses pouvoirs se développent et montrent sa puissance magique. Lors de ses cinq ans, sa sœur part à Mahoukotoro pour commencer ses études. Amaya la rejoint deux ans plus tard, avec joie mais aussi avec appréhension : comment l’école va se passer ? Va-t-elle pouvoir comprendre comme il le faut ? Pour mettre un terme à ses doutes, elle travaille le plus possible les cours en se montrant forte, ouverte, sérieuse et compréhensive. Elle profite également des clubs de son école pour commencer les combats de sports dans lequel elle se plait rapidement. Amaya se démarque au fur et à mesure par son ambition et sa combativité. Elle devient connue pour être celle qui n’abandonne jamais, sous aucun cas et qui relève chaque défi lancé. Ses notes sont excellentes, ses profs comme ses parents sont fiers de ses efforts. Il faut dire qu’Amaya continue de viser haut : elle souhaite devenir auror et pour cela, son dossier doit être impeccable, irréprochable. Dans ces conditions, elle est aussi vue comme sévère par moment, parfois injuste suivant les commentaires. Cela ne la touche pas particulièrement et ne l’empêche pas d’être présidente de Mahoukotoro deux années de suite, les dernières de ses études. Elle obtient son diplôme à 17 ans dans une robe d’uniforme de couleur or, confirmant son niveau. Durant ces années, elle parvient à signer couramment le cambodgien et le japonais, mais également à apprendre l’anglais. Si ce n’est pas encore parfait, elle compte bien s’améliorer pour ne pas rester bloqué dans deux pays.
C’est l’une des raisons qui la pousse à faire sa formation d’auror au Royaume-Uni. Elle y accède juste après l’obtention de son diplôme, grâce à son parcours et ses notes. Sa sœur aussi est dans une formation d’auror, depuis deux ans, mais au Japon. Grâce à cela, Amaya sait un peu à quoi s’attendre. Mais le vivre, c’est une tout autre chose : pendant cette période, elle pense vivre les trois années les plus éprouvantes mentalement comme physiquement de sa vie. Elle ne doit jamais cesser d’être au top, prouver deux fois plus ses compétences et se démarquer pour cela, plus que pour sa condition de femme en situation de handicap. Honnêtement ? Elle ne compte plus le nombre de personnes, de supérieurs doutant d’elle, essayant de la rabaisser. Mais rien ne l’empêche d’avancer et gagner petit à petit le respect de ses collègues et de ses chefs. Amaya est forte et tient bon jusqu’au bout, jusqu’à ce qu’elle termine avec succès son apprentissage et devienne enfin auror. Bien sûr, elle vise plus haut, alors elle continue d’épater avec ses capacités. Lors de ses 22 ans, elle repart un temps au Cambodge pour un heureux évènement : sa sœur s’est mariée il y a un an de cela et aujourd’hui donne naissance à un petit garçon : Callum. L’auror est plus qu’heureuse de se savoir tante. Même si elle ne va pas pouvoir passer autant de temps qu’elle le souhaite avec cet enfant, elle compte bien lui montrer au combien elle tient à lui. Elle va le gâter, lui apprendre la culture au Royaume-Uni, lui apprendre de petits tours de magie… Tout ce qu’elle peut faire de là où elle se trouve.
De retour au Royaume-Uni, elle monte les échelons et accède finalement au poste de sous-chef à 26 ans. Cette même année, sa sœur lui donne un second neveu, mais pas du même père : le père de Callum est malheureusement mort, quelques temps auparavant. Une terrible nouvelle dont il faut faire face, ce que Sarai fait. Elle est maintenant avec un autre auror, Harrow. Leur garçon se prénomme Ezran et il est tout aussi adorable que Callum, d’ailleurs ravi d’avoir un petit-frère. La famille est heureuse ensemble, cela ne peut pas faire plus plaisir à Amaya. Elle s’entend très bien avec Harrow, pour qui elle éprouve beaucoup de respect du fait de sa position entant qu’auror. Cependant, elle ne peut pas s’empêcher d’émettre plusieurs doutes sur son proche conseiller, Viren. Mais elle ne peut pas vraiment dire quoi que ce soit là-dessus, qui plus est ses enfants s’entendent bien avec ses neveux, alors pourquoi pas ?
C’est en tant que sous-chef qu’elle rencontre Grenfell, un Irlandais sous son commandement qui passe rapidement du stade collègue à ami, voire membre de la famille. Ils se font mutuellement confiance, c’est ce qui leur permet de former une bonne équipe. Elle est ravie de pouvoir lui parler de tout et de rien, de lui parler de sa famille, comme lui le fait également. Pendant certaines de leurs vacances, Amaya lui fait rencontrer ses proches, tout comme elle rencontre ceux de Gren (elle met rapidement un terme aux rumeurs d’une possible relation entre les deux en faisant un bon coming-out : elle sort avec une femme à ce moment, même si la relation ne dure pas longtemps). Bref, la vie d’Amaya n’est pas à plaindre, loin de là. Malheureusement, ces doux moments ne durent jamais éternellement.
En 2014, une mission spéciale lui est donnée : un dragon d’un élevage clandestin au Royaume-Uni s’est enfuit en direction du Japon, dans un état sauvage et dangereux pour la population. N’étant pas déclaré par le Ministère du Royaume-Uni, il est aussi possible que les moldus l’aperçoit dans les cieux. Amaya est choisie pour gérer cette affaire avec Gren et des aurors spécialisés dans les créatures magiques. Ce n’est pas tout, une équipe au Japon leur vient en aide, pour protéger les citoyens Japonais. Une collaboration qui est la bienvenue, il faut l’avouer. L’objectif n’est pas de tuer le dragon, mais de le calmer pour le ramener. C’est le meilleur scénario possible en tout cas. Là-bas, elle a le plaisir de voir qu’une des auror est Saraï. Ce n’est pas comme ça qu’elle espérait revoir sa sœur, mais la voir lui fait du bien. L’organisation se met en place et lorsque le dragon est localisé, ils partent ensemble pour le combattre.
Le combat est long, difficile. Ce dragon est violent, ne montre pas un seul signe de faiblesse. Il ne laisse pas les sorciers approcher, ce qui n’est pas étonnant lorsqu’on aperçoit les cicatrices parcourant son corps. Il était retenu en captivité de force, il était forcément maltraité. Amaya n’a pas pour autant de la peine, pas tout de suite du moins, il faut qu’elle reste concentrée, jusqu’à ce qu’il soit maîtrisé. Il finit par la blesser au niveau de la joue, à cause d’une projection de pierres brûlantes. Rien de grave, mais elle sait qu’elle va en garder la marque.
Le combat devient de plus en plus dur, cela se voit au nombre de blessés. Ils ne sont pas assez et les renforts ne vont pas arriver à temps. Ils doivent battre en retraite, s’éloigner pour établir une nouvelle stratégie. Seulement, cela se passe autrement. Alors partent, l’un des auror trébuche et tombe. Sarai le remarque immédiatement et part l’aider. Amaya ne le remarque pas tout de suite, trop occupée à surveiller ses propres pas et ceux des personnes à ses côtés. Lorsqu’elle s’en aperçoit, il est trop tard : le dragon lance une attaque qui sépare la route entre l’auror et sa sœur. Bien. Elle doit pour le moment se défendre elle et son équipe. Ils tiennent bon, autant qu’ils peuvent, jusqu’à ce que le dragon prenne son envol, préparant une attaque foudroyante. Les aurors reculent, ils sont prêts à se protéger du mieux possible. C’est quand la créature s’apprête à cracher ses flammes qu’un sort est lancé dans son dos. Sarai.
L’attention du dragon détourne son attention d’Amaya et regarde l’endroit d’où il vient de se prendre le sort. Fou de rage, il n’attend plus : un jet de flamme sort de sa gueule. Amaya, n’ayant pas la possibilité d’agir assez rapidement, est forcée d’être spectatrice. Quand le dragon calme son feu, il profite de l’affolement pour s’enfuir, menant la mission a un cuisant échec. Seulement, ce n’est pas ce qui préoccupe la Cambodgienne pour le moment. La bataille est terminé, elle fonce vers les flammes pour les éteindre et cherche sa sœur et l’auror qui était avec elle.
Seul ce dernier est retrouvé vivant. A côté de lui, le corps sans vie de sa sœur.
Les jours suivants ressemblent à un cauchemar. Quand ses supérieurs apprennent la nouvelle, ils donnent des jours de repos à Amaya, pour qu’elle reparte auprès de sa famille. Désormais, il faut préparer l’enterrement, expliquer aux enfants ce qui se passe – Harrow s’en sort formidablement malgré la tristesse qui l’envahit, pleurer, faire son deuil, se soutenir. C’est une période sombre, mais la famille sait qu’il faut s’en remettre et continuer, pour Sarai, pour la vie. Amaya le sait, c’est ce qu’elle compte faire. Mais elle se laisse quand même du temps pour affronter sa souffrance, pour ne pas non plus brimer ses sentiments. Elle se reconstruit d’abord, avant de reprendre son travail. Elle sait qu’elle ne doit pas se forcer si elle se sent encore fragile intérieurement. Elle doit aussi prendre plus de temps pour elle, c’est important, car sa santé est importante, autant mentale et physique. Elle ne doit pas être utopiste en se disant que si elle se plonge dans le travail, la douleur passera. Elle ne fera que s’atténuer un instant pour revenir et elle fera encore plus mal qu’avant. Amaya ne peut pas agir ainsi, ce n’est pas la bonne solution. Elle peut surmonter la douleur car elle sait être solide, mais juste, pas tout de suite.
Pendant son repos au Cambodge, elle rend souvent visite à Sarai. Elle lui fait multiple promesse, elle lui rend hommage, elle lui raconte comment ils se supportent mutuellement pour avancer. Elle lui promet de venir la voir régulièrement, qu’elle restera dans son cœur à jamais. Elle finit par lui écrire une lettre la veille de son départ, qu’elle dépose contre sa tombe. Ecrire ses sentiments lui fait du bien. Elle se sent prête pour repartir au Royaume-Uni.
2016. Cela fait maintenant dix ans qu’Amaya est auror. Elle aime toujours autant son travail, son poste, ses proches. Plus personne ne doute de ses capacités, on discute même pour lui donner une augmentation. Mais pour le moment, Amaya a une autre occupation en tête : Callum entre à l’école de magie. Ce dernier n’est pas allé à Mahoukotoro lors de ses 7 ans car il voulait essayer une autre école. Son choix s’est porté sur Ilukaan, l’école du Canada. Apparemment, les différentes possibilités d’étudier la magie avec les cursus universitaires l’intéresse déjà, malgré son jeune âge. Elle est rassurée que son neveu avance et s’éveille autant. Qui plus est, elle sait qu’il va être bien entouré : c’est à Ilukaan que Gren est parti l’année dernière, pour devenir professeur d’étude des moldus, laissant son rôle d’auror. Quand il lui a annoncé son départ, elle s’est bien sûre sentie triste, mais aussi heureuse pour son ami. Ce dernier se sent bien mieux là-bas et c’est ce qui compte. Ils continuent de parler ensemble quotidiennement et maintenant son neveu le rejoint. Il n’y a aucun doute quant au fait qu’Ezran le rejoindra lors de ses 11ans.
Et si cela était un signe ? Bien entendu, elle se sent comblée dans son métier actuel, mais elle ressent le besoin de changer, de se rapprocher un petit moment de sa famille, de former les prochains sorciers pour qu’ils réussissent leurs études comme elle l’a fait. Ilukaan, hein ? Elle sait qu’en faisant cela, elle risque de perdre sa place de sous-cheffe et, si elle souhaite revenir un jour, elle recommencera du début. Mais cela ne lui fait pas peur. Sans plus attendre, elle postule pour devenir professeur de Sortilèges. Elle argumente sur le fait de pouvoir aider facilement les élèves à réussir des sortilèges informulés et les bases de la magie sans baguette. Elle reçoit quelques temps plus tard une réponse du directeur : elle est acceptée pour la rentrée de septembre 2016. C’est parfait. Elle garde cela pour elle, souhaitant faire la surprise auprès de Gren et Callum. En attendant, elle donne sa démission au Royaume-Uni et trouve un appartement à Bloombury, sa désormais nouvelle résidence.
La rentrée arrive, quand son ancien partenaire la voit, elle ne manque pas de lui faire un câlin, heureuse de le revoir après tout ce temps. Callum a le droit au même sort, juste avant qu’il ne soit envoyé dans sa nouvelle maison. Cela fait maintenant 4 ans qu’Amaya est professeur, elle doit admettre qu’elle apprécie tout autant que son précédent métier, bien que tout soit totalement différent. Mais c’est une véritable bouffée d’air frais, ce dont elle a réellement besoin. Il y a beaucoup de travail, mais également des moments de repos où elle peut s’occuper d’elle et de ses proches. Ezran a également fait sa rentrée cette année, elle surveille ses avancées, donne des nouvelles régulièrement à Harrow, continue sa vie comme elle l’entend. (c) Ilukaan | | | | Sujet: Re: You better wise up, 'cause I rise up. [Amaya Phay - Terminée] Jeu 14 Mai 2020 - 16:16 HIIIII QUEEN Gren est ready à la Grensored | | | | Sujet: Re: You better wise up, 'cause I rise up. [Amaya Phay - Terminée] Jeu 14 Mai 2020 - 18:53 SPELL CREW, ASSEMBLE! | | Vincent Leroy Ex-Directeur | Image du profil : Comment appelle-t-on un chat qui chante?
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ϟ Don : Être plus fab que toi
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| Sujet: Re: You better wise up, 'cause I rise up. [Amaya Phay - Terminée] Sam 16 Mai 2020 - 16:40 Bienvenue à Ilukaan ! Validation → Te voilà validée, tu peux désormais poster dans tous les recoins du forum, RP-Post ainsi que RPCB. → Crée dès maintenant un topic pour récapituler les relations de ton personnage. Tu peux également acquérir un portable ou bien créer un blog. → N'hésite pas à faire une demande de RP pour trouver un partenaire d'écriture ! → Enfin, amuse-toi bien sur le forum, n'hésite pas à en parler autour de toi et à voter régulièrement aux TS ! | | | | Sujet: Re: You better wise up, 'cause I rise up. [Amaya Phay - Terminée]
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