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Cherche pas. Je suis magique, j'te dis ! [Terminée] | | | Sujet: Cherche pas. Je suis magique, j'te dis ! [Terminée] Dim 29 Déc - 12:07 Greene Rava, Sheyenne | OC POSTE : Bibliothécaire DIRECTION DE MAISON : - ANIMAL DE COMPAGNIE : - BAGUETTE : Une simple racine de bouleau, taillée par moi-même PATRONUS : Ours brun ODEUR DE L'AMORTENTIA : La brise marine porteuse d'embruns || La 'Terre' peinte à même la peau || Le talc / la poudre de riz REFLET DANS LE MIROIR DU RISÉD : Elle valsant dans les bras de l'homme de sa vie sur une partition à 4 mains au piano, face à l'océan dans le crépuscule naissant. En arrière-plan, brûle un feu à côté duquel une serviette est déposé un album photo rempli ÉPOUVANTARD : Elle clouée dans un lit, parfaitement consciente et lucide mais incapable de faire plus que respirer et bouger les yeux FAMILLE : -
Rava S. Greene — Original Character 32 ans | Cracmol | Féminin | Amérindienne et Polynésienne |
« Courage is the Magic that turns Dreams into Reality » NOM : Greene, née Terenui PRÉNOM : Rava, Sheyenne SURNOM : Nita DATE ET LIEU DE NAISSANCE : 3 octobre 1987 à Ravahere en Polynésie française LANGUES PARLÉES: anglais, français, langues polynésiennes et dialectes amérindiens. DON : - YEUX : Noisettes CHEVEUX : Noirs TAILLE : 1,79m POIDS : 87 kg Liste des headcanons Fascinée par la neige, devient complètement dingue quand elle en voit — Cultive précieusement son âme d'enfant — Se passionne pour tout et rien, mais est toujours 'à fond' dans ce qu'elle fait — Pas hyperactive mais presque — Passe son temps à chantonner, murmurer, meumeumer,... ne supporte pas le silence — Adore les bruits simples de la Nature — Sort sa 'baguette' à tout va et ne s'en sépare plus — Mélange souvent plusieurs langues dans ses phrases — Ne jure qu'en dialectes amérindiens — Cours tous les jours, peu importe le temps ou son état — Bien que féminine, se comporte régulièrement en vrai garçon manqué — Elle nage à la perfection et peut tenir plus de 3 minutes en apnée — Fière de ses origines métissées, elles est passionnée par la culture de ses ancêtres amérindiens — Ne porte jamais un bijou s'il n'a pas une histoire et une signification à ses yeux — Donne des surnoms/pseudos affectif à tout le monde, sans exception Côté joueurPSEUDO : Nae' AVATAR : Rei de ctchrysler (dTCB) COMMENT AS-TU TROUVÉ LE FORUM ? : DC UN PETIT MOT : motCODE DU RÈGLEMENT : Check ! (via mon DC) BRUNE !
Moi, résumée en un seul mot. J'ai cette teinte de peau unique et métissée, qui rappelle la brioche un peu trop dorée et le chocolat au lait que tout le monde se bat pour déguster. Une couleur chaude et rassurante, douce et agréable, qui attire autant qu'elle fascine. Et qui me sied à ravir.
Grande aussi. Du haut de mon presque mètre quatre vingt, avec mon allure sportive et athlétique, je sais que je peux impressionner. Musclée et même un peu 'baraquée', je ne suis absolument pas passe partout. Après, j'assume mon corps mes formes et ma silhouette à 200% alors tout va bien.
J'ai les cheveux noirs, crépus et fournis. Plutôt courts, ils ne dépassent jamais la longueur de mes épaules. Rarement attachés, ils se baladent librement autour de mon visage. Et jamais ils s'accrochent dans mes boucles d'oreilles. Ça, c'est génial. Elles qui sont toujours imposantes et/ou pendantes, je peux les porter sans crainte.
J'ai le regard vif et brillant, pétillant selon certains. Mes orbes noisettes se font plus dorés à la lumière du soleil et illumine mon visage en accord avec mon sourire. J'ai cette mouche naturelle aussi, juste sous le coin des lèvres, du côté gauche. Un grain de beauté posé là juste pour attirer davantage les regards, le même que ma mère.
Niveau fringues, je sais me montrer chic et même très classe en de grandes occasions mais habituellement, c'est plus tenue pratique en mode sports-wear et baskets aux pieds. Ce qui ne m'empêche pas d'être coquette, d'aimer les couleurs et les jolies robes aussi.
FORCE ET HONNEUR !
Je suis une personne foncièrement positive. Oh, ce n'est pas moi qui vais vous dire que tout est beau tout est rose dans la vie, j'ai trop les pieds sur terre pour cela. Mais on a tous nos épreuves et nos histoires et moi, j'ai choisi de prendre les miennes avec philosophie et en souriant.
Après, je suis une personne plutôt impulsive. Je réagis tout de suite et à fond, systématiquement, même si je me calme très vite. Je suis du genre à faire du bruit, aussi bien quand je me marre que quand je gueule mais vous en faites pas, je mords personne. J'impressionne, mais je suis cool. C'est vrai que je grogne, que je fais des grands gestes et les gros yeux. Faut juste pas me chercher en fait. T'as fait une connerie ? Je te le fais bien remarquer, tu répares et après, on en parle plus et on est potes. Pas de rancœurs inutiles, je m'encombre pas de ça. Je te fais confiance mais si tu me trahis, passe ton chemin à l'avenir. Je pardonne certes, mais je n'oublie pas. Et j'ai une mémoire d'éléphant alors c'est à tes risques et périls.
Je suis tactile et 'gamine' à ma façon. Ébouriffer les cheveux, filer une tape sur l'épaule, sortir une blague pas drôle ou te faire une grimace au passage, c'est mon quotidien. Au final, je suis proche de tout le monde, à partir du moment ou on me laisse approcher.
Je ne juge pas. J'écoute, je suis juste là, je soutien aussi. Et j'ai pas peur si besoin de parler de moi pour montrer que ouais, je sais pas ce que toi tu ressens mais j'ai vécu des trucs similaires. Moi aussi, j'ai eu ma dose mais je suis toujours là alors, si je m'en suis sortie, pas de raison que t'y arrives pas.
Attachiante et fatigante aussi. Parce que je m'arrête jamais. Que ce soit sérieusement ou dans mes conneries. Duracell à moins de batterie que moi. Après, je me connais alors je me canalise bien, y a pas de soucis. Y a qu'avec mes livres que là, je peux rester des jours entiers sans bouger. Si c'est pas magique ça !
Abracadabra !
Un cri qui déchire la nuit, suivi de pleurs légers. L'exclamation puissante et d'une voix tonitruante de l'homme qui vient de devenir mon père, ravie d'avoir enfin une fille après 2 garçons issus d'un premier mariage. Et le chant doux et régulier de la pluie ne diminuera en rien la joie de la maisonnée.
Petite métisse, je suis devenue pour tout le monde la petite indienne de l'île. Il faut dire que nous vivons en communauté plutôt réduite mais très soudée. Et si ma mère avait eu quelques difficultés à s'intégrer lors de son arrivée, étrangère parmi les locaux, ce fut tout le contraire pour mon cas. Acceptée et même adorée, j'ai connu une petite enfance joyeuse et tranquille.
La vie insulaire m'a beaucoup protégée et tenue à l'écart de beaucoup de choses. Très tôt, il est apparu que je ne tenais pas en place, que je débordais d'énergie et de curiosité. Petite dernière de la famille, mes demis-frères de plus de 10 ans mes aînés m'ont autant élevés que nos parents. Tout m'intéressais et dès que je fus en âge de marcher, je suivais la première personne devant moi pour apprendre, découvrir, l'aider si je le pouvais. J'aimais l'école mais cette dernière ne me suffisait pas et j'ai autant appris derrière ses bancs que dans la nature.
C'est en voyant mon aîné se servir de sa magie une fois à la maison, âgée de 6 ans, que j'ai commencé à avoir hâte d'être sorcière moi aussi. Moi aussi, je voulais avoir une baguette à moi, faire de la magie et voir des événements étranges se manifester autour de moi. Ce serait amusant, j'avais tellement hâte de pouvoir à mon tour surprendre ma famille par mes pouvoirs.
Sauf que cela n'est jamais arrivé. Pourtant, mon père a guetté l'arrivée du moindre signe magique chez moi. Je l'ai vu devenir inquiet, agité et même un peu grognon voir désagréable à mon égard à mesure que j'approchais de l'âge charnière. Jusqu'au bout, il a espéré voir arriver une lettre à mon intention. Cependant, ses espoirs restèrent vains.
Mon onzième anniversaire marque la fin de cette période bénie que fut mon enfance. Rendu à l'évidence que je ne serais jamais sorcière, mon père m'a purement et simplement rejetée. Je suis devenue à ses yeux une erreur, ce qu'il m'a bien fait ressentir. Au point que je ne devienne en quelques semaines une véritable indésirable aux yeux de toute la communauté.
Seule ma mère m'a offert son soutien, en venant à être également la cible de ce mépris général dirigé contre ma personne. Ce qui n'a eu pour effet que de renforcer la grogne que ma simple présence provoquait. Que j'avais du mal supporter. Après tout, ce n'était pas ma faute si j'étais une Cracmol. Mais cela n'était pas une excuse suffisante.
Le jour ou mon père a levé la main sur moi, ma mère a demandé le divorce avant de faire nos valises. Nous n'étions plus les bienvenues ici alors, nous avons quitté notre île de rêve pour venir nous installer dans l'état du Mississippi, en Amérique. Et si ma mère n'a eu aucun mal à retrouver ses repères sur la terre de ses ancêtres, cela n'a pas du tout été mon cas.
Le choc des cultures fut violent, et l'adaptation très difficile pour moi. Si j'ai été très bien accueillie parmi les membres de la communauté amérindienne que nous avons rejointe, je n'arrivais pas à m'y sentir chez moi. Après tout, n'étais-je pas une indésirable ? Mine de rien, l'idée s'était bien ancrée dans ma tête.
Mon admission dans un cursus sport-étude fut une première étape pour me permettre de retrouver un semblant d'équilibre. C'est en athlétisme que j'ai été sélectionnée et n'arrivant pas à me décider sur une discipline en particulier, j'ai fini par trouver mon bonheur dans le décathlon. Là, je pouvais au moins évacuer une partie de mon trop plein d'énergie. Cela me permit aussi de rencontrer de nouvelles têtes, de me faire des amis et de reprendre confiance en moi. Je n'étais pas sorcière mais ici, personne ne l'était après tout.
Mon adolescence fut donc réellement une période de transition, dans tous les sens du terme. Nouvelle vie, nouveau climat, nouvelle 'famille', nouveau rythme, nouveau corps aussi, nouvelle langue, j'ai bien eu besoin des toutes ces années pour réellement m'adapter. Et pour moi qui fait toujours tout vite et fort, cela n'a pas été tous les jours évident. Pourtant, tranquillement, j'ai grandi et appris à aimer tout autant cette nouvelle aventure. Mon père n'a jamais accepté d'avoir le moindre contact avec moi, mes beaux frères se limitent à des politesses une ou deux fois par an mais ma mère et la 'Tribu' sont là.
Ces hommes et ces femmes, inconnus au départ, se sont révélés être une famille pour moi encore plus proche que celle de mon île natale. Aucun lien de sang ne nous lie, mais nous sommes tous frères et soeurs, unis par le coeur et nos croyances communes. Avec eux, j'ai découvert la véritable magie. Pas celle des sorciers, celle qui vient du coeur, de l'âme même. Qui brûle à l'intérieur de moi sans se manifester hors de mon être. Je me suis passionnée pour les mystères de la culture de mes ancêtres et encore aujourd'hui, j'en découvre chaque jour un peu plus dessus.
N'ayant pas atteint le niveau d'une sportive d'ampleur internationale, je n'ai pas décroché la bourse me permettant de continuer dans cette voix à l'université. Et les études n'étant pas mon fort, j'ai fait des petits boulots tout en cherchant ma voix. J'ai été serveuse, baby sitter ou encore aide vendeuse dans un magasin de souvenirs amérindiens tenus par un proche de la Tribu. Ce dernier job me plaisait bien même si je ne me voyais pas faire cela toute ma vie. J'étais de nouveau en pleine interrogation sur mon avenir lorsque le destin est venu à ma rencontre.
Un livre, avec un coquillage en couverture. Rien d'extraordinaire mais un signe à mes yeux. Cet homme, j'avais déjà assisté à un de ses cours, sorte de débat philosophique sur une oeuvre dont aujourd'hui je ne souviens plus du nom. Mais lui se rappelait de moi et de mon intervention. A laquelle il n'avait pas répondu à l'époque, du fait de la fin de la séance mais dont il avait gardé les mots en tête avant de venir me l'offrir enfin.
'La vie n'a pas de sens. Il ne tient qu'à soi de lui en donner un'. Symbolisme du voyage intérieur qui était le mien à l'époque, ces mots ont fait échos à mon histoire. J'avais 19 ans, lui 27. Nous n'avions rien en commun et pourtant, nous nous comprenions. Ce fut comme une évidence de nous revoir, avant de nous rapprocher doucement. Et sa présence redonnait un gout supplémentaire à mon existence. Comme une envie nouvelle.
Il m'a donné le gout des livres et des mots. Moi qui m'étais focalisée sur la culture orale liée à mes origines, j'ai grâce à lui appris à découvrir les merveilles dissimulées entre les lignes des pages qui filaient entre nos doigts. J'ai repris des études grâce à son soutien, autour des lettres et de ma culture maternelle, qui me plaisaient énormément mais que je n'ai pas mené à leur terme. 3 années d'études, avant de changer de vie de nouveau.
Véritable gentleman, il a attendu mes 21 ans pour me demander ma main. Mariés 2 ans plus tard, nous avons alors quitté le Mississippi pour nous installer en Californie suite à la mutation de Jonathan. J'ai trouvé un emploi d'aide-bibliothécaire à l'université ou il était affilé, me permettant de ne pas dépendre de lui. Mariés oui, mais complémentaires. Je lui ai fait découvrir le surf et je l'ai mis au jogging. Il m'a fait découvrir le piano et les nuits folles de spectacles et autres concerts.
Nous vivions heureux, ensemble et complémentaires. Nous profitions de chaque instant, mordant la vie à pleine dent sans réellement nous poser. Et puis, l'idée de fonder une famille a commencer à émerger. Nous étions si bien ensemble et puis, malgré mes réticences suite à ma propre histoire, il avait su trouver les mots pour me rassurer assez à ce sujet également. Aussi, j'étais prête à me lancer dans cette aventure à ses côtés.
Qui ne verra jamais le jour. Une fusillade a eu lieu sur le campus ou nous travaillions. Un élève qui avait décidé d'en finir mais en emportant un maximum de vies avec la sienne. Il a ouvert le feu et tirer sur tout ce qui bougeait, à l'heure de la reprise des cours de l'après-midi. Un véritable massacre. Les morts se sont comptés par centaine et si je n'ai pas été blessé, de repos ce jour-là, Jonathan n'a pas eu cette chance. Pourtant, il n'a pas été blessé par balles, mais le mouvement de foule qui le bouscula avant de le piétiner fut aussi mortel que l'arme du tueur en lui-même.
3 jours de coma. Une attente interminable suivi d'une lueur d'espoir. Et un verdict qui tombe. Blessure irréversible, moelle épinière touchée. Tétraplégique. Condamné à vivre cloué dans un lit, totalement dépendant. Un choc qui nous a tous les deux trop secoué pour réellement le réaliser. Du moins, sur le coup. Parce que j'ai voulu y croire. A un miracle, à une possible amélioration de son état. Et j'ai tout fait pour ce que cela se produise. J'ai quitté mon travail, venant m'installer presque à temps plein à l’hôpital. J'ai réorganisé toute mon existence autour d'une seule et même donnée : lui. Mais en vain...
Et après presque une année entière de cette vie qui n'en était pas une, c'est lui qui m'a demandé d'arrêter. De tout arrêter. De partir, pour le laisser partir. Une infection nosocomiale l'avait particulièrement affaibli et il avait demandé au personnel l'arrêt de ses soins. Et le suicide médicalement assisté étant autorisé dans cet état, je n'ai pas pu lui refuser cette dernière volonté. La lecture du 'Livre du Voyage' terminé, c'est sur un regard rempli de larmes mais souriant que j'ai franchi le seuil de sa chambre. Pour la dernière fois.
J'ai quitté la Californie pour retrouver le Mississippi. A l'aube de mes 30 ans, je me sentais trahie par la vie qui après m'avoir tout offert venait me reprendre ce que j'avais de plus précieux. Auprès de ma Mère et de cette tribu choctaw, j'ai laissé le temps à mon coeur de cicatriser et à mon âme de chasser ses vagues et ses nuages. Avant de reprendre aussi contact avec ma propre nature profonde, ce qui m'a aussi permis de réaliser qu'il manquait une pièce à mon histoire.
Depuis mon arrivée en Amérique, j'avais naturellement vécue en parfaite moldue. Hors, bien que dépourvue de magie, je n'en restais pas moins issue du monde magique. Alors, comment pourrais-je trouver mon équilibre en oubliant une part de celle que je suis ? La réponse s'imposa d'elle-même, ce n'était pas possible. Il était donc temps pour moi aussi de trouver cette place qui m'attendait et qui avait toujours été là, sans que je ne la vois réellement.
Mon deuil terminé, j'ai donc simplement commencé à m'intéresser de nouveau à ces signes qui ont toujours entourés mon existence. Un emploi dans une librairie comme vendeuse-conseil, une baguette égarée dans les rayons et rendu à sa propriétaire, discussion et amitié qui se noue en partageant sur ce monde sorcier qu'elle apprécie en me permettant de le découvrir et redécouvrir. Jusqu'à cette annonce parue dans un journal sorcier qui a retenu son attention. Des postes à pourvoir pour Ilukaan, l'école ou elle a suivi sa scolarité et dont elle me dit grand bien, dont celui de bibliothécaire.
Un temps de réflexion, juste de quoi suivre mes rêves et écouter les signes, m'invitant de nouveau au voyage. Une nouvelle page du livre de ma vie qui se tourne, une aventure nouvelle, un retour aux sources un peu pour moi. Je ne me serais pas vu enseigner comme Jonathan le faisait mais guider aussi à ma façon, j'aimais cette idée. Alors, j'ai postulé. Et à ma grande surprise, j'ai rapidement été contacté pour un entretien. Avant d'être retenue pour le post.
La revanche de l'erreur. Un étrange retour de bâton. Comme quoi, rien n'est figé d'avance, chaque destin se trace. Cracmol peut-être, mais belle et bien fille de la magie. Ma dernière fantaisie avant de quitter les miens fut de venir tailler une racine de bouleau pour venir m'en faire une baguette. Ma baguette, pour le plaisir d'en avoir une aussi. Elle n'aura pas besoin de pouvoir, elle m'a moi. Je ne maîtrise pas la magie, je suis 'magique', tout simplement. Et cela me suffit largement.
C'est donc l'esprit ouvert et le coeur apaisé que je suis venue m'installer à Bloombury. A 32 ans, cette année moi aussi je fais ma rentrée scolaire. Et comme pour ma première journée d'écolière, je ne peux le cacher. J'ai hâte de commencer... | | | | Sujet: Re: Cherche pas. Je suis magique, j'te dis ! [Terminée] Dim 29 Déc - 12:40 AHHHH JE STAN GRAVE LE VISU QUE tU LUI AS DONNÉ | | Vincent Leroy Ex-Directeur | Image du profil : Comment appelle-t-on un chat qui chante?
Chat-kira.
ϟ Œuvre : Original Character
ϟ Parchemins : 1709
ϟ Gallions : +infini
ϟ Âge (RP) : 51 ans
ϟ Année scolaire : PNJ
ϟ Titre(s) : Ancien Directeur d'Ilukaan — PNJ
ϟ Don : Être plus fab que toi
ϟ Baguette : Vigne, coeur en plume d'oiseau tonnerre, 30,45 centimètres. Avec un joli strap dessus.
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| Image du profil : Comment appelle-t-on un chat qui chante?
Chat-kira.
ϟ Œuvre : Original Character
ϟ Parchemins : 1709
ϟ Gallions : +infini
ϟ Âge (RP) : 51 ans
ϟ Année scolaire : PNJ
ϟ Titre(s) : Ancien Directeur d'Ilukaan — PNJ
ϟ Don : Être plus fab que toi
ϟ Baguette : Vigne, coeur en plume d'oiseau tonnerre, 30,45 centimètres. Avec un joli strap dessus.
| Sujet: Re: Cherche pas. Je suis magique, j'te dis ! [Terminée] Dim 5 Jan - 22:17 Je rejoins Aly, j'adoooore le style de l'artiste et le visu de l'OC omg. Rien à redire sur ta fiche, hâte de voir ton personnage en jeu, elle a l'air très cool <3 Bienvenue à Ilukaan ! Validation → Te voilà validé, tu peux désormais poster dans tous les recoins du forum, RP-Post ainsi que RPCB. → Crée dès maintenant un topic pour récapituler les relations de ton personnage. Tu peux également acquérir un portable ou bien créer un blog. → N'hésite pas à faire une demande de RP pour trouver un partenaire d'écriture ! → Enfin, amuse-toi bien sur le forum, n'hésite pas à en parler autour de toi et à voter régulièrement aux TS ! | | | | Sujet: Re: Cherche pas. Je suis magique, j'te dis ! [Terminée]
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