ILUKAAN est un forum MULTIFANDOM dans l'univers d'Harry Potter. Ilukaan est une école de magie internationale se situant en Nouvelle-Écosse au Canada. L'histoire se déroule en 2024, mélangeant magie et technologie. Vous pouvez jouer des personnages de manga/anime, jeux vidéos, films d'animation, dessins animés, romans jeunesse ou encore un OC. L'intrigue se fait à la fois en RPCB et RP-POST.
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ϟ Baguette : Bois de sorbier, crin de licorne, 29 centimètres, souple
ϟ Cursus : Psychomagie
Sujet: I feel safe in white because deep down inside, I'm an angel | Simeon Karam Lun 8 Juin - 1:23
Simeon Karam
Obey Me !
Identité
Karam Simeon (Sim, Simo) 25 ans Libanais Arabe, Anglais, de solides bases de Français 10 février 1998, Jounieh Yeux bleu clair, cheveux noirs 1m82, 75 kg
Who am I...?
Simeon est un sorcier sang-mêlé appartenant à la maison Cervirald et en 15ème année. Il suit le cursus Psychomagie. Il ne possède aucun don. Il n'occupe aucun poste
Sa baguette est faite de bois de sorbier, avec un cœur en crin de licorne, d'une longueur de 29cm, souple. Il n'a pas d'animal de compagnie.
Son patronus est un albatros. L'odeur de son Amortentia est composé de Citron, Encens et Lys. Son reflet dans le miroir du Riséd est Lui même, devenu un auteur reconnu.. Son Épouvantard prend la forme de Lui et toute sa famille en larmes, assistant aux funérailles de sa grand mère..
Il n'a pas de famille présente à Ilukaan. Sa matière favorite est le Soin aux Créatures Magiques. et la matière qu'iel aime le moins est Métamorphose.
Derrière l'écran Pseudo & pronoms : Nirosia, elle/laSouhaites-tu être parrainé·e ? NonAvatar : Simeon, Obey Me!Code du règlement : [MP au staff]Comment as-tu trouvé le forum ? Je suis dans les petits papiers du staff depuis quelques années déjà ;)Un petit mot ? Forgive me father for i have sinned (also, oui, c'est bien du Puff Daddy)
headcanons
Il est végétarien depuis ses 7 ans • Il aime bien les réseaux sociaux, mais il est incapable de les utiliser correctement. • L'auto Correcteur de son téléphone est son pire ennemi. • Il écrit depuis quelques années déjà une série. Il est tellement passionné par ce projet qu’il a déjà écrit l’équivalent de plusieurs romans. • Ces écrits sont très légèèèrement inspirés par certaines personnes de son entourage. • Il ne l’avouera jamais pas contre. • Il est également très fan de poésie et s'y essaye régulièrement, avec plus ou moins de succès selon l'inspiration du jour. • Il aime la bonne nourriture et ne sais pas résister à un bon plat ou à un dessert gentiment proposé. • Bon sauf, si le plat en question est proposé par un des terroristes culinaires notoires qui peuplent l’école, il y a une limite à sa gentillesse tout de même. • Il aime tout particulièrement ce qui est au miel. • Tous les dimanches, il met un point d'honneur à aller à la messe. • Bien que très religieux, il est très intéressé par les croyances des autres et a tendance à leur poser beaucoup de questions.
« Oh, I am an angel, though sometimes I wish I was more of a devil. »
« Angels have no philosophy but love. »
Bien que plutôt grand, Simeon n'est pas quelqu'un qui par sa taille donne la sensation d'être imposant quand on se tient à ses côtés. Au contraire, le jeune homme est en vérité plus solaire que menaçant et en général, sait garder une distance respectueuse entre lui et les interlocuteurs dont il n'est pas particulièrement proche. Cependant, face à quelqu'un qu'il connait bien, la distance a tendance à disparaitre au fur et à mesure et il se montre alors un peu plus tactile.
Sportif, fin, élancé, il est entouré d'une espèce d'aura de tranquillité et d'élégance qui transparaît dans ses mouvements, dans ses déplacements, à la manière d'un félin qui ne semble être perturbé par rien. Cette aura paisible est accentuée par le sourire et l'air doux qu'il arbore la plupart du temps.
Ce qui nous amène à quelque chose d'important. Son visage. En vérité c'est même l'une des premières choses que l'on remarque chez lui car Simeon... est beau. Vraiment beau. Nombreux sont ceux à se surprendre à rougir légèrement lorsqu'ils se retrouvent face à lui. Cela le gêne un peu mais il a tendance à faire comme s'il n'avait rien remarquer. Faire comme si de rien n'était, permet d'éviter à ses interlocuteurs autant qu'à lui-même un moment très gênant.
Les traits de son visage sont fins, sa peau est halée, ses lèvres sont fines et le plus souvent légèrement tirées dans un petit sourire serein. Il possède également des yeux clairs, qui ressortent particulièrement en contraste avec sa peau sombre. Il arbore des cheveux bruns foncés, lisses, qui viennent souvent balayer ses yeux dès qu'il ne fait pas attention, mais qu'il garde trop long pour qu'ils soient véritablement attachés d'une manière ou d'une autre. Par défaut, il glisse souvent distraitement ses mèches les plus longues derrière ses oreilles, percées depuis que sa sœur lui a intimé que des boucles lui iraient très bien. Tout d'abord Simeon était assez indifférent mais puisqu'elle proposait de lui offrir le perçage, il se voyait mal refuser. Depuis, il s'est habitué à porter des boucles et il y a même prit gout. Ses favorites lui ont été offertes par sa grande sœur justement, il s'agit d'une petite paire dorée, triangulaire, qui se remarquent à peine si on ne prête pas attention.
De même que les boucles d'oreilles, avec le temps on lui a offert quelques bijoux, des bracelets principalement et quelques bagues, souvent dans les tons dorés. Là aussi il a commencé à les porter par politesse mais s'y est habitué et s'est même mis à les aimer.
En période de cours, il est systématiquement soigneusement habillé: la chemise de son uniforme impeccablement repassée, la cravate proprement nouée, les chaussures cirées. En fin de journée, il n'a cependant pas toujours la motivation de se changer immédiatement et il n'est pas rare de le voir alors sans sa cravate, les manches retroussées et les boutons de sa chemise négligemment entrouverts. Car bien qu'il fasse beaucoup d'effort à la manière dont il se présente, il a tout de même une préférence pour les tenues plus légères et confortables.
Quand il prend le temps de se changer ou pendant les week-ends, il adopte un style de vêtements un peu bohème. Le jeune homme reste très attaché aux chemises et pantalons mais ces derniers sont le plus souvent dans des matériaux plus souples, comme le lin. Il aime les couleurs simples, douces et à part ses quelques bijoux, il porte rarement quelque chose de trop voyant. Il lui arrive de porter des chaussures cirées en dehors des cours lorsqu'il veut s'habiller élégamment mais il les troque volontiers contre des sandales légères ou bien encore des mocassins dès qu'il veut être à l'aise.
Sinon... Il faut mentionner quelque chose quand on parle de Simeon et des vêtements.
Certes, il préfère porter des habits relativement simples, pas trop voyants mais ... il existe une autre catégorie de vêtements que le jeune libanais porte de temps en temps. Et ils sont ... légèrement indécents. Du moins, ce sont des vêtements qui ne sont pas faits pour être indécents mais la manière dont les portes Simeon font qu'il se retrouve exposé.... énormément exposé. Non, trop exposé. C'est ça, c'est le mot, « trop » qui prime ici. Une chemise trop entrouverte, un short de sport bien trop court, un col roulé dix fois trop moulant...
Pourtant, personne n'ose vraiment faire de réflexions car personne ne sait si le jeune homme le fait exprès ou non. Il a pour beaucoup cette aura d'innocence... mais pourquoi est-ce qu'il porte ce genre de fringues alors ? Il doit bien être au courant de l'effet que ça fait à tout le monde non ? Et si au contraire il ne savait pas ? Lui faire la remarque après des années à s'habiller de la sorte, voilà quelque chose de mortifiant pour le jeune libanais s'il ne s'en rendait compte que maintenant !
Pour l'instant, personne n'a vraiment franchi le pas et ne lui a fait de remarques directes. Du moins pas publiquement, c'est certain.
Et à ce jour, le mystère reste complet.
Au fil des années, Simeon s'est taillé une certaine réputation au sein de l'école. Heureusement pour lui, elle lui est plutôt favorable et il la doit en grande partie à son caractère fort agréable. Effectivement, avec son doux sourire, il renvoie l'image d'une personne aimable, très affectueuse, amicale.. et cela n'est pas une façade, bien au contraire, c'est une réalité. Pour faire simple, le Cervirald est une crème, toujours disponible pour discuter, échanger les nouvelles.. Discuter pendant de longues heures n'est pour lui pas un problème puisqu'il sait se montrer plutôt bavard. Le jeune libanais est en effet quelqu'un de très attentionné envers ses amis et même parfois envers de parfaits étrangers. Il est aussi très attentif aux autres et à ce qui leur arrive. Une tension entre deux personnes ? Un balbutiement de romance ? Les débuts d'une amitié ? Simeon le remarque et le plus souvent il essaye d'aider comme il peut pour arranger la situation ou encourager les personnes concernées à faire un pas en avant. Car l'entente commune, le bonheur de son entourage est l'un de ses buts premiers. C'est grâce à cette volonté d'aider autant de personnes qu'il le peut que Simeon brille vraiment : très à l'écoute de tous, c'est un excellent confident. Bon, peut-être que sa curiosité naturelle joue peut-être un rôle dans tout cela aussi, mais on n'en dira pas plus.
Pour autant, le jeune homme est quelqu'un de bienveillant, il attache une grande importance aux autres et tout particulièrement aux plus jeunes. Il n'hésite pas à proposer son aide à quiconque semble en avoir besoin et ce même quand il ne connaît pas particulièrement la personne. Cependant, cet empressement à aider les autres peu parfois sembler un peu... excessif, un peu « trop ». En effet, si Simeon est doté des meilleures intentions du monde, parfois son empressement le rend envahissant et le fait s'immiscer plus que de raison dans les affaires des autres. Éventuellement, ces ingérences dans ce qui ne le concerne pas lui retombent régulièrement dessus... Et bien qu'il cherche à éviter le conflit au maximum, il ne peut pourtant pas s'empêcher de recommencer la fois suivante. Car Simeon est borné, peut-être un peu trop pour son propre bien d'ailleurs. Et quand il décide de quelque chose, il s'y tient, pour le meilleur comme pour le pire.
Malgré toutes les embrouilles dans lesquelles il arrive à se fourrer (sans vraiment le vouloir), il pardonne facilement et encore une fois, peut-être un peu trop rapidement...mais il est tout simplement incapable d'en vouloir à quelqu'un trop longtemps.
En dehors de cette faiblesse, le Cervirald se montre bon meneur et professeur, supervisant le travail des autres avec facilité, n'hésitant pas à proposer son aide à qui en à besoin et sachant se montrer suffisamment strict quand il le faut. Le tout en restant calme au possible. Ce calme, visiblement olympien, attise les curiosités des foules bien évidemment, c'est trop louche, c'est suspect.. Il doit avoir quelque chose à cacher, ce n'est pas possible autrement ! Des rumeurs circulent donc par-ci par là à son encontre, certains se demandent à quoi le jeune homme peut bien ressembler lorsqu'il laisse sa colère prendre le dessus... mais à ce jour, très peu d'élèves, voir même personne ne sait comment répondre à cette question.
«You don't have to be an angel, just be someone who can give.»
C'est le 7 Septembre 1997 que Simeon vit le jour à Jounieh, grande ville côtière libanaise, prise entre la mer et la montagne. Il est alors le troisième enfant d'une fratrie qui en comptait déjà deux. Ses premières années furent relativement calmes puisqu'il grandit au sein d'une famille moldue aimante, où les membres qui la composaient étaient très proches les uns des autres. Cependant, malgré cet amour qui lui était porté, Simeon se révéla être un petit garçon colérique, qui prenait un malin plaisir à faire régner sa loi autour de lui. Certains diront qu'il s'agissait simplement du syndrome du petit dernier de la fratrie, trop gâté, trop chouchouté... mais même aujourd'hui, le concerné a lui-même des doutes.
Soudée, la famille est également religieuse et très pratiquante. Chaque messe dominicale est l'occasion de passer du temps avec les grands-parents maternels comme paternels, généralement autour d'un bon repas.
Dès ses premières années, Simeon tissa un lien très étroit et très particuliers avec sa grand-mère maternelle Rafqa, il ne manquait aucune occasion de la voir et elle non plus. Elle prit un plaisir tout particulier à lui conter mille et une histoires avant qu'il ne s'endorme ou parfois même, juste pour le distraire de ses coups de colères réguliers. La plupart de ces histoires étaient le fruit de son imagination foisonnante et cette capacité à créer des récits à partir de rien fascinaient le petit garçon. C'est avec elle qu'il commença à son tour, très jeune, à inventer ses propres aventures de chevaliers et de dragons. Elle lui apprit tout ce qu'elle savait et l'encouragea autant qu'elle pût. Il était clair pour toute la famille qu'il y avait quelque chose de spécial entre eux sans que l'on ne sache vraiment pourquoi, mais ce qui était certain c'était que Rafqa était la seule adulte qui paraissait réussir à dompter son impétueux petit fils, véritable teigne avec le reste du monde, son frère et sa sœur demeurant ses principales victimes...
Aujourd’hui encore, les longues ballades qu’ils faisaient tous les deux le long de la mer à ramasser les quelques coquillages qu’ils trouvaient dans le sable font partis de leurs souvenirs favoris.
Cependant, cette petite bulle de bonheur s'avéra éphémère et ne tarda pas à éclater. Vers ses 6 ans, la dynamique familiale changea brusquement lorsque son grand-père maternel décéda. C'était la première fois que le petit garçon était confronté à la mort d'un proche et au deuil qui s'en suivait. Mais ce qui le marqua plus que tout fût la réaction de sa grand-mère, celle avec qui il partageait tant de choses. C'est à cette période qu'il la vit pleurer pour la première fois bien qu'elle tenta de le lui cacher. Cela le déstabilisa énormément.
Rafqa ne se remit jamais vraiment de la mort soudaine de son mari et rapidement il fût décidé par les Karam que la meilleure solution était de l'accueillir à la maison, dans l'idée, ou plutôt dans l'espoir que vivre aux côtés de sa famille adoucirait un peu sa peine. Simeon l'accompagna comme il pût dans son deuil. Du moins, autant qu'un petit garçon de 6 ans pouvait le faire à son âge, ce qui se traduisit principalement par un changement rapide et drastique de comportement. Dès lors, le petit garçon s'adoucit nettement tandis qu'il essayait de consoler sa grand-mère comme il le pouvait. Il devint plus attentionné, d'abord avec elle mais peu à peu avec le reste de sa famille puis avec son entourage en général.
Les mois passèrent et tranquillement un nouveau rythme s'installa à la maison. Désormais enfant plus calme et agréable, cela leva un poids dans les relations familiales: il s'entendait mieux avec son frère et sa sœur et pût désormais passer plus de temps avec eux sans que l'affaire ne se termine en crise de hurlements les uns sur les autres. Toute la fratrie se rapprocha un peu plus de leur grand-mère, mais aussi entre eux.
Et puis arriva le tragique jour du mardi 23 novembre 2004.
En classe verte avec le reste de sa classe, le petit dernier de la famille fût confronté à une triste vérité. La sortie se déroulait à la campagne, dans une ferme. Il découvrit avec horreur que les agneaux qu'il caressait depuis quelques minutes étaient voués à être abattus et mangés. Du haut de ses 7 ans, Simeon décida de ne plus avaler de viande de sa vie. Grande décision qui étonna un peu son entourage mais la détermination du petit impressionna et pire encore, il arriva à embarquer le reste de la fratrie dans son idée. Après une semaine de repas trèèès difficiles pour les parents Karam, ils baissèrent les bras. D'accord, les enfants eurent l'autorisation de ne plus manger de viande à une condition : ceux qui voulaient choisir ce qu'ils mangeaient devaient participer à la préparation. Les parent espéraient que cette perspective allaient faire perdre toute motivation à leur progéniture mais le résultat les surpris. La cuisine devint à partir de ce moment une activité familiale très appréciée et l'un des petits plaisir personnels de Simeon. Aujourd'hui encore, cuisiner avec et pour quelqu'un est un acte assez intime pour lui.
Ce fût lors d'une de ces séances de cuisine en groupe que tout bascula de nouveau dans la vie des Karam, et tout particulièrement dans celle du plus jeune. La fratrie cuisinait avec leur grand-mère, comme à leur habitude, quand soudainement cette dernière se coupa. Ce jour-là, Simeon eu comme premier réflexe d'attraper la main blessée. La plaie était assez importante, le sang coulait abondamment sur le plan de travail et sur les manches longues de sa grand-mère. Etrangement elle ne paraissait pas paniqué le moins du monde et lui demanda de la lâcher. Cela aurait dû lui mettre la puce à l'oreille mais pourtant Simeon ne fit rien de ce qu'il lui était demandé, au contraire, comme par réflexe, il serra un peu plus la main dans la sienne et sous les yeux médusés de Rafqa, de la fratrie et de Simeon lui-même, la plaie se referma alors lentement. Blanc comme des linges, son frère et sa sœur allèrent en trombe chercher leur mère tandis que la femme nouvellement soignée observa son petit-fils d'un air songeur. Elle entendit sa fille arriver et jetta un dernier regard à Simeon.
« Bientôt, on va discuter un peu tous les deux ».
Chose promise, chose due. La panique originelle passée et après un bref passage aux urgences à la demande de maman Karam, le petit garçon se retrouva enfin en tête à tête avec Rafqa. Elle le toisa comme elle ne l'a jamais fait avant, ce qui le marqua profondément. Cependant, observant son inconfort, elle le rassura d'une caresse tendre entre ses mèches brunes. Elle commença alors à lui expliquer ce qu'il venait de se passer avec la patience légendaire qui la caractérisait. La première manifestation magique. Le monde parallèle qui existait sans même que les moldus ne le soupçonne. Tranquillement, elle répondit à chacune de ses questions. Et peu après cette entrevue, elle fit de même avec le reste de la famille.
Arriva alors la question terrible : Comment pouvait-elle connaître tout cela ? Elle dévoila sans la moindre gêne, la moindre honte, être une sorcière née moldue. Plus jeune, elle s'était mariée à un moldu et ensemble n'avaient eu qu'une seule fille, une cracmol. Ne souhaitant pas que leur unique enfant se sente rabaissé par ce manque de magie, Rafqa avait décidé quitter le monde magique volontairement. Après tout, elle avait vécu sans pendant une partie de sa vie, ce n'était pas un gros sacrifice. Cependant, ce que ni elle ni son mari n'avait envisagé soit que la magie ressurgisse chez l'un de leurs petits-enfants.
Pilule difficile à avaler, cette révélation créa de nouvelles tensions chez les Karam. L'existence de la sorcellerie remit en cause beaucoup de leurs croyances et chez une famille aussi pratiquante, ce ne fût pas quelque chose facile ou d'agréable. Simeon lui-même se posa beaucoup de questions. Sur sa nature. Sur sa foi. Sur sa famille. Sur les mensonges de sa grand-mère. Sur ce qu'il allait devenir. C'était beaucoup pour un garçon de 7 ans. Il entra dans un mutisme mais heureusement ses parents réagirent assez rapidement, se rendant compte que leurs questionnements affectaient un peu trop leur dernier fils. Bien entendu, Rafqa s'assura qu'il ne s'agissait que d'une phase pour son petit fils et prit autant soin de lui qu'il l'avait fait pour elle un peu plus d'un an plus tôt.
Simeon se remit à vivre normalement une fois cette période un peu sombre passée. Le sujet de la magie ne fut abordé qu'avec Rafqa quand personne d'autre n'était à portée d'oreille. Le reste de sa famille fit comme si rien ne s'était jamais passé. Le sujet était gênant, il l'avait bien compris mais pour l'instant, tout le monde faisait comme si rien n'avait jamais changé. Il se mit à écrire, beaucoup. Véritable exutoire pour lui, il progressa très vite, ne partageant ses créations qu'avec celle dont il partageait la particularité magique. Leur lien n'en devint que plus fort.
Arrivèrent ses 11 ans. Après des heures à convaincre ses parents et avec les conseils toujours avisés de la matriarche des Karam, il réussit s'inscrire dans l'école de son choix. Ilukaan. Il voulait voyager, découvrir autre chose que le Liban. Et puis il parlait déjà anglais et français plus que correctement donc le Canada paraissait être la destination parfaite. Tout s'enchaîna très vite une fois le choix fait : les premiers achats, les aux revoir, le voyage sur place.
Aujourd'hui encore, il se prend à repenser à cette journée où tout tremblant il s'était avancé devant la fontaine de l'école pour être réparti. Cervirald. Cette maison lui convenait parfaitement. Il s'y fit rapidement des amis et l'étude de la magie le passionna immédiatement.
Les années passèrent, il joua brièvement au Quidditch, fit partit d'un conseil pendant une année, joignit un temps le club de cuisine avant de se poser pour celui d'athlétisme. Pas très magique, c'est vrai. Mais tellement plus concret quand il avait besoin de se dépenser. A vrai dire, à part le côté magique, on pouvait dire que son adolescence fût assez normale. Les cours. Le sport. Les amours. Les amis. Les bonnes et mauvaises notes. La difficile question de l'orientation. Bon, lui avait en bonus l'éternelle question de son rapport à sa foi, à sa religion mais globalement tout se passait bien. Même pour ça il avait du soutien à Ilukaan.
Dès qu'il rentrait à la maison, l'ambiance était un peu différente par contre. La magie était encore un tabou, quelque chose qui mettait tout le monde inconfortable, mais au fond cela lui convenait. Il pouvait vivre sans, ce n'était pas quelque chose de si important là-bas. Il suffisait juste d'éviter le sujet et de cacher sa baguette le temps de son séjour.
Pendant toutes ces années, il continua inlassablement d'écrire. A ses récits habituels s'ajoutèrent la poésie, pour laquelle il prit gout lentement.
À la fin de sa 7ème année il envisagea pendant un temps de retourner définitivement au Liban, avec sa famille. Mais en regardant la liste des cursus proposés au Canada, l'un d'entre eux attira son attention : la Psychomagie. Il n'y avait jamais vraiment réfléchi mais l'idée lui plut. Psychomage, aider les gens, au-delà des blessures physiques. Voilà quelque chose qui lui plaisait.
(c) Ilukaan
Invité
Invité
Sujet: Re: I feel safe in white because deep down inside, I'm an angel | Simeon Karam Lun 8 Juin - 1:46
Merci de nous bless par ta simple présence sur le forum.
♡
Lucifer Hellborn
Personnel
Image du profil :
say I am lost, but I am found
say I have no power here
but have you looked around?
i run this place, this is my home
and I will build my castle with the ashes of your throne
ϟ Titre(s) : Assistant-professeur en Théologie Sorcière
ϟ Don : /
ϟ Baguette : Bois de cèdre, coeur en plume d'oiseau-tonnerre, 33.55cm
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ϟ Baguette : Vigne, coeur en plume d'oiseau tonnerre, 30,45 centimètres. Avec un joli strap dessus.
Sujet: Re: I feel safe in white because deep down inside, I'm an angel | Simeon Karam Ven 26 Juin - 13:14
C'est l'heure de la chasse aux sorcières
Wait.
Bienvenue petit ange arrivé très vite
Message du staff
Bienvenue à Ilukaan !
Validation
Accompagné par d'autres nouveaux élèves, tu es appelé par le directeur à t'avancer au centre du Dôme. Scruté par les élèves et étudiants, tu regardes alors ton reflet dans la fontaine qui va décider de ton sort. D'abord voyant ta sale tête dans l'eau, tu remarques que le reflet semble se changer peu à peu jusqu'à prendre la forme d'un caribou. Tu es d'autant plus surpris quand l'animal commence à pousser un cri dans toute la salle. Tout le monde se met soudainement à t'applaudir, tandis que le directeur s'approche de toi avec une émeraude brute qu'il met autour de ton cou.
"Bienvenue à Cervirald !"
→ Te voilà validé, tu peux désormais poster dans tous les recoins du forum, RP-Post ainsi que RPCB.
→ N'hésite pas à voir la chambre qui t'a été attribuée.
→ Si ton personnage est en cursus universitaire, il peut postuler pour avoir un job d'étudiant.
→ Crée dès maintenant un topic pour récapituler les relations de ton personnage. Tu peux également acquérir un portable ou bien créer un blog.
→ N'hésite pas à faire une demande de RP pour trouver un partenaire d'écriture !
→ Enfin, amuse-toi bien sur le forum, n'hésite pas à en parler autour de toi et à voter régulièrement aux TS !
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Sujet: Re: I feel safe in white because deep down inside, I'm an angel | Simeon Karam
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